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Berlin, son histoire, ses vices

Chapitre 6

Chapitre 6; Je prends du galon

Lesbienne
Mon meilleur ami et amant m’annonce son arrivée imminente dans une lettre. La poste allemande a fait montre d’une très grande efficacité en biffant l’adresse de ma chambre pour celle de mon appartement et en une journée seulement. Le coquin se dit enflammé par mes lettres torrides. C’est lui mon chef au siège. Il est le seul homme pour qui je pourrais m’offrir comme avec Mademoiselle, sauf qu’il ne le sait pas, du moins, pas encore. Quoique, dans mes lettres, je laisse transparaître ma soumission à dose homéopathique. Je sais, je vous ai dit que je ne lui cachais plus rien. Mais je ne lui cache rien, je lui dis tout, seulement, c’est suggéré, pas net. Là, vous comprenez maintenant ? OK, je continue. Au travail, le patron est aux abonnés absents, on ne le voit que très rarement et encore, c’est déjà trop. À la place, il nous envoie une des putes de la réception nous amener ses ordres. Celle qui vient est habillée comme une vraie pute de bas étage, une femme à soldat. Quand elle rentre dans notre bureau, elle se la joue diva, hautaine. Tout ce que j’adore démonter, casser, briser. Et là, je commence à lui rabattre son caquet. Déjà qu’elle manque de se fracasser contre mon bureau en me le mettant sens dessus dessous. En se relevant, elle ne daigne même pas ramasser mes affaires. — Et merde, je me suis cassé un ongle. Qu’elle nous annonce fièrement du haut de sa hauteur.— Et le bordel sur mon bureau, tu ne trouves pas que tu pousses un peu ?— Fallait mieux ranger ton bordel et arranger ce tapis de merde.Oups, grossièreté en vue et il n’y a qu’à Mademoiselle à qui je pardonne l’usage de mot grossier. Je te l’attrape par le col, la jette au sol et pose mon pied sur sa jolie petite nuque. — Tu sais quoi, ma jolie, les pétasses dans ton genre, moi, je les dresse. Pas Isabelle ?— Oui Maîtresse. Miam, elle est à croquer ma collègue, pile dans le ton, comme toujours.— Oh, ça va, tu joues à quoi là. — À celle qui va te montrer comme on éduque des garces lécheuses de cul dans ton genre. Pour commencer, tu vas tout remettre en place sur mon bureau et, mais surtout, nous faire des excuses. Au cas où tu ne le serais pas, c’est grâce à Isabelle et moi que tu gagnes ta pitance. Sans notre service, tu ne serais que nettoyeuse de chiottes ou lécheuse de botte dans un bordel. Mets-toi au boulot. Je déciderais après ce que je vais faire de toi. — Toi ? Pfff, t’es incapable de me faire mal. Ouille, mauvaise réponse. Ma violente paire de claques, version Mademoiselle fâchée, l’envoie contre la porte d’entrée. Hébétée, elle essaie de se relever. Le talon aiguille de ma chaussure se place sur son pubis. Elle n’ose bouger, mon talon est terriblement pointu.— Je vais te dire quelque chose, je suis une chienne, j’appartiens à une femme corps et âme. Cependant, pour ta gouverne, en dehors de son autorité, je suis encore pire qu’elle. Isabelle pourrait longuement te décrire comment je m’occupe des garces dans ton genre. Comment j’en fais mes lèche-cul. Si j’appuie mon talon, je parie qu’il va s’enfoncer dans ta chatte déjà baveuse, espèce de salope. Regarde, Isabelle, sa culotte, elle se fonce. Elle mouille cette petite pute ! Là, tu vois, tu me fais sincèrement plaisir. Parce que tu es comme moi, une chienne qui ne demande qu’à obéir. Alors, si ça te chante, oublie ce gros con de patron. Il va y avoir du changement, quelqu’un arrive pour mettre bon ordre dans cette agence. Maintenant, tu vas docilement ranger mon bureau en nous montrant ton petit cul de pétasse. Voilà, comme ça, c’est bien la pute ! Quand tu auras fini, tu poseras tes avant-bras sur mon bureau, le corps bien plié à 90 degrés. Isabelle est près d’un client, ils ne peuvent entendre ce qui se passe dans notre bureau. Je surveille cette pouffe. C’est dingue avec quelle rapidité elle me remet tout en ordre sur mon bureau, c’est même mieux qu’avant. Puis, docile, elle se met exactement comme je le lui avais ordonné.Là, je ne me sens plus. Mes mains sur ses fesses, je masse son cul, très beau au demeurant. Je la sens gémir, son souffle est court quand mes doigts s’enfoncent dans son sillon. Elle mouille, c’est certain. Quand je lui claque méchamment son cul, sa tête s’enfonce entre ses bras avec un ouille de circonstance et diaboliquement sensuel. Je caresse, je gifle ce cul. Plus je frappe fort, plus elle gémit fort. Mais quand mon pouce s’enfonce dans son cul, enfonçant sa culotte par la même occasion, c’est une bombe atomique que j’ai devant moi. Je la redresse, ajuste sa minijupe, remets en place une mèche de ses cheveux. — Tu vois que tu peux être une bonne fille. Va, rejoins ta collègue et sois bien sage.— Oui, Mademoiselle. Sa voix est douce, sensuelle quand elle me répond, j’adore.— Ben voilà qui est nettement mieux. Là, tu me plais ma belle, parce que tu me ressembles et je suis sincère. Il y a une amie de ma Maîtresse qui cherche une jeune femme telle que toi, ma belle. Tu lui plairais à coup sûr. — Je peux être franche ?— J’y compte bien !— Présentez-moi cette dominatrice, je vous en supplie. Il y a juste un problème, le patron me tient par... comment dire...— Les couilles. Je vois. T’inquiète, je m’en occupe. Il te suffit de me faire un mémo sur ton souci. Va maintenant !La jeune demoiselle m’embrasse à pleine bouche au moment où Isabelle pénètre dans le bureau, même pas choquée. La petite réceptionniste s’en retourne. J’appelle Mademoiselle, lui fais un topo très précis sur cette jeune femme. Je la sens heureuse, joyeuse même. Elle me fixe rendez-vous ce soir, chez elle. Il paraît que Monsieur Heinz veut me voir absolument avec Béa. Je piaffe déjà d’impatience, il semblerait que nous allons jouir dans un film de Monsieur Heinz. Je suis comme folle, embrassant Isabelle avec un baiser si violent qu’elle doit le ressentir comme un viol, un délicieux viol. La journée terminée, je n’ai pas le temps d’être devant la porte de l’agence que Mademoiselle est là, assise à l’arrière de sa voiture, Béa, ma douce Béa au volant. Comme à chaque fois, je m’agenouille sur le pas de la portière, m’incline avec déférence, baise le pied de Mademoiselle avant sa main qui se tend tendrement, caressant mon visage. Sa main dans les miennes, je la lèche, l’embrasse avant de monter près d’elle. Isabelle n’a rien manqué, émue. Le directeur non plus, ce cave. Il doit même se branler, ce porcelet ! Chez Mademoiselle, Monsieur Heinz est là, jouant avec le corps d’Agnès enfin libérée de toutes ses appréhensions. Je baise le divin cul marqué d’Agnès d’un baiser lascif. J’y ajoute même un long et impudique coup de langue sur toute la longueur de son sillon intime. Je me retourne, m’agenouille devant Monsieur Heinz, baise ses chaussures, les lèche, ses mains, que je lèche aussi, avec déférence. Béa fait de même. Puis, prenant place sur un fauteuil, il nous explique qu’il a fait l’acquisition d’un vaste manoir à l’abandon. Il veut y tourner ses films une fois quelques travaux effectués. Il nous veut, toutes les deux, moi et Béa, pour notre premier long-métrage SM. Autant dire que sans l’autorisation de Mademoiselle, nous ne pourrions pas en être. Connaissant Mademoiselle, elle a déjà accepté et sans réserve, lui racontant même ma dernière et cinglante punition ainsi que mes orgasmes sans fin.
Deux semaines passent. Mon ami Alain vient d’atterrir. Je suis à la douane, impatiente de tout lui raconter. Je sais qu’il me baisera de partout, ce ne serait pas la première fois. Après tout, je lui dois d’être ce que je suis, la pute soumise et heureuse d’appartenir à Mademoiselle Janice. En taxi, nous traversons la ville. Sa main déjà active sous ma jupe, il découvre mon anneau. C’est à ce moment qu’il voit aussi celui implanté dans mon nez. Puis, ses mains sur mes seins, il me sourit en sentant mes autres anneaux. Il me fouille, de telle manière que le chauffeur ne manque rien. Devant mon petit immeuble, il se souvient de son passage dans cette rue, dans cette ville. Je le préviens sur le mobilier de mon appartement. Quand la porte s’ouvre, il est stupéfait devant mon logis entièrement dédié au dressage de salope dans mon genre. C’est tout juste s’il ne tombe pas sur le cul.La porte fermée, comme à mon habitude, je me mets nue devant Alain. Je m’agenouille, baise ses chaussures, défais les lacets de mes dents, les lui retire. Ensuite, toujours avec ma bouche, je retire ses chaussettes, lèche ses pieds légèrement et merveilleusement odorants. Il s’adosse contre le mur, ne cessant de me fixer, découvrant la nouvelle Aroa, la chienne soumise. — Bibi, si j’avais su, c’est bien avant que tu serais venue dans cette ville.— Qu’importe, Monsieur, je suis là, je compte même y rester pour vivre sous la coupe de Mademoiselle.— Alors, c’est bien vrai, tu es devenue l’esclave d’une femme !— Oui Monsieur, je vous le concède et j’aime cette vie. Mademoiselle m’a fait découvrir ma vraie nature, celle de n’être qu’une salope au service du sexe. Près de la télévision, vous trouverez une cassette vidéo. Regardez les prouesses de l’esclave que je suis devenue pendant que je me prépare pour vous servir. Il enfonce la cassette, allume la télévision et découvre cette salope encore en devenir. Je suis en laisse, nue à quatre pattes, sous le joug de Béa.— Voici ma Maîtresse, la superbe femme qui nous suit. N’est-elle pas somptueuse, Monsieur ?— Très belle effectivement, tu as toujours aussi bon goût dans tes choix, comme toujours du reste. Pourtant, il me semble la reconnaître... oui, elle me dit quelque chose, mais quoi et où.Je me douche, enfile une légère et très courte robe à peine boutonnée sur le devant, style début minirobe, très sixties. À mon cou, je me pare de mon collier, remets mes anneaux, tous. Dans le salon, Monsieur Alain se masturbe lentement. Je me précipite, ma bouche avalant littéralement son chibre superbe. Ses mains sur ma tête imposent son rythme, il est vigoureux, rapide. Certes, il varie, parfois, il s’enfonce au-delà de ma luette. Le bruit de sa queue dans ma bouche m’excite. Mon cul se tortille de plaisir. Il regarde le film, découvrant la scène où Monsieur Heinz enfonce sa main dans mon cul et entièrement. C’était lors du casting. — Tu es réellement devenu une salope de première.— Oui Monsieur et bien pire encore. Seule Mademoiselle est à même de tout vous le dire, elle tient mon journal en sa possession. Voudriez-vous que je l’appelle ?— Oui, pourquoi pas, je suis là pour découvrir celle que tu prétends être devenue après tout.— Bien Monsieur. Au préalable, il serait bon que Monsieur jute dans la bouche de sa putain. C’est ce qu’il fait et longuement comme s’il n’avait pas déchargé depuis une éternité. Je recommence à le sucer et cela dur ainsi le temps du film, 123 minutes exactement. Après mon téléphone, Mademoiselle s’empresse de nous rejoindre, annulant même tous ses rendez-vous. Devant Alain, elle reste un court instant en admiration. Monsieur Alain se montre très vite galant, sans être entreprenant avec ma Maîtresse. Je me retrouve à quatre pattes, les divins pieds de mes deux Maîtres posés sur mon dos. Ils bavardent longuement, sans me laisser d’autre choix que de supporter leurs pieds. Mademoiselle lui fait un récit complet et diaboliquement détaillé de ma soumission. En fait, je n’écris plus dans mon journal, ce sont les payants de Mademoiselle qui s’en chargent. Chaque soir, dès mon retour, si je ne suis pas chez Mademoiselle, je l’appelle, lui fait le récit de ma journée dans les moindres détails, sans ne jamais rien lui taire. Monsieur Alain se lève enfin, il désire se soulager. Je vois qu’il est encore en érection.— Vous savez, mon cher, cette petite salope, elle se fera un plaisir de vous servir d’urinoir. Elle vous boit si divinement que ce serait gâcher que d’aller vous soulager dans les toilettes.— Oh, toi, une petite buveuse de pisse en plus. Tu as vraiment changé, mais en bien, ma belle secrétaire. Si elle ne vous l’a pas appris, Aroa a été ma secrétaire au siège. Ici, elle n’est là que pour parfaire la langue. Ce que je constate comme déjà acquis. Oh, voilà que j’oubliais de vous préciser, ma chère Janice, que je l’ai aussi dépucelée et baisée plus d’une fois. Sachez cependant que c’est uniquement sexuel. Aroa, il faudra que tu m’expliques tout de ce qui se passe à l’agence, son directeur semble très peu satisfait de toi.— Puis-je vous boire auparavant ?— Oh, oui, j’oubliais. Désolé, Janice, mais je ne tiens plus, vous me comprenez.— Parfaitement, mon cher Alain. Si cette petite vous plaît tant que ça, je vous l’abandonne le temps de votre séjour.— Que voilà une merveilleuse et touchante attention. Si je peux vous être utile, je vous en supplie, n’hésitez surtout pas. Oh ouiiiiiii que ça fait du bien.J’avalais cette urine, le goût me plaît, il est à l’image de cet homme. J’ai même poussé ma langue sur son anus. Enfin, je lui fais le plus précis des topos sur l’agence. Je lui détaille tout depuis mon arrivée jusqu’à hier. Mademoiselle sait que je ne me permettrais pas de lui mentir. Ce serait un affront pour Mademoiselle que de mystifier mon récit ne serait-ce que d’une virgule. Et puis, Monsieur Alain sait que je ne suis pas une menteuse. D’après lui, je suis même un peu trop franche parfois (Relire mes entretiens avec mon directeur d’agence). Après plus d’une heure de résumé, le voilà au fait de tout sur l’agence de Berlin.— Je vois là une machine à écrire. Voyons si tu sais toujours t’en servir. Va t’y installer et tape ce que je te dicte. Tiens, j’ai même du papier à en-tête. Gare aux fautes ! Si je peux, chère Janice.— Et comment donc, j’allais même vous en prier. Elle est autant à vous, mon cher, qu’elle est mienne désormais. Après tout, sans vous, elle ne serait pas ici, ni ce qu’elle est.— C’est assez vrai, sur son plan de Berlin, j’avais même entouré d’un rond rouge ce quartier somptueux. Il me dicte une lettre qui fait de moi la nouvelle sous-directrice de l’agence, un poste vacant depuis bien avant mon arrivée. Je suis toute folle intérieurement. Je voudrais le lécher partout et plus, s’il me donne le plus sale de son beau corps. De plus, il me donne carte blanche pour opérer comme bon me semble pour autant que ce soit pour le bien de l’agence et de la firme, mais ça, cela va sans dire. Il vérifie scrupuleusement l’orthographe. Il découvre que j’ai changé quelques phrases pour les rendre plus autoritaires. J’ai droit à une caresse sur mes seins pour cela. S’il continue, je ne réponds plus de moi. Ma Maîtresse lui suggère de laisser ma langue vagabonder entre ses jambes. Maîtresse Janice se branle vigoureusement quand Alain retire pantalon et slip pour se poser sur ma bouche. La vache, son trou est sale, je me délecte d’autant plus que c’est la toute première fois que je lui lèche son cul.— Vous voyez, j’en ai fait une chienne parfaite. Plus on la pousse, plus elle aime ça ! Plus c’est sale, plus elle adore. C’est comme quand je dois la punir. Plus je me montre sévère, plus elle me vénère. C’est une parfaite esclave, m’en priver signerait mon déclin.— Je n’ai nulle intention de vous la prendre. Seulement, si je reviens à Berlin, pouvoir en jouir...— Autant qu’il vous plaira. Je peux même mettre Agnès à votre disposition. Elle ne déteste pas une bonne queue dans son cul depuis peu. Un peu plus tard, alors que je prépare à manger pour mes invités, Mademoiselle fait quelque chose qui me fait un plaisir immense, provoquant un orgasme démoniaque en moi. Mademoiselle Janice couche Alain, s’empale sur son pénis, sous mes yeux émerveillés. Oui, mon orgasme est si violent que je délaisse mon souper un court instant. — Mademoiselle ne pouvait me rendre plus heureuse. Monsieur Alain est un étalon de première main. Il sait être homme qui vous fera jouir sans comme une mesure.— Je n’en doute plus, mon amour de salope adorée. C’est vrai qu’il est bon, ma chérie. Oooh ouiii, il est même excellent. Surtout qu’il m’a confié avoir joui deux fois par ta bouche.— Oui Maîtresse vénérée, mon amour. Vous me connaissez suffisamment pour savoir que je craque devant une belle et bonne queue.— Je ne saurais t’en vouloir, ma chérie d’amour.Pour les laisser copuler en toute quiétude, je suspends la cuisson de mon repas. Je m’approche de Mademoiselle, l’embrasse en retirant mon léger vêtement et m’offre à ce couple démoniaque. Déjà, Mademoiselle me montre le cul de Monsieur Alain. Je m’empresse de pourfendre son anus de ma langue, de lécher ses testicules avidement. Je ne lèche plus, je dévore ce postérieur. Le goût sale me ragaillardit, me réjouit le cœur. Ma langue, comme tout mon être, se délecte de ce cul sale. Je le nettoie avec soin quand Mademoiselle jouit avec une extrême puissance dévastatrice. Elle me sourit. Je ne sais pas depuis quand Mademoiselle n’avait pas connu d’homme en elle. Je parle de vrais hommes, entendons-nous bien.— Ma salope, je t’aime. Quant à vous, à toi, c’est quand tu veux, mon biquet. T’es le tout premier à m’épuiser après un premier orgasme. Oh la vache que c’est bon de jouir d’une bonne grosse bite. Alain, tu as désormais tous les droits sur ma salope, ma petite pute. Seulement, ne la marque pas trop, dans quelques jours, elle débute le tournage de son premier porno. J’ai lu le scénario, il pourrait te plaire.— Ce sera avec un immense plaisir que de le lire. Et n’aie pas d’inquiétude, je saurais la préserver. Tu l’aimes autant que je l’aime depuis notre première rencontre.— Oh, voilà qui me plaît mon bel étalon. Dis, tu n’aurais pas dans l’idée de vivre à Berlin par hasard. Il me plairait d’avoir un homme tel que toi près de nous. Tu pourrais baiser, punir trois salopes et leur Maîtresse. Quoi que punir, dans mon cas, n’y compte pas trop.— Justement, je te tiendrais au courant dans quelques jours. Là, pour le moment, je suis en congé. C’est l’avantage d’être le directeur des agences extérieures et le directeur RH de la firme.Mon repas servit, je n’ai eu droit qu’à des éloges jouissifs sur mon corps. Puis, Monsieur Alain donne quelques signes de fatigue. Je sais qu’il a travaillé dur ce matin, avant de prendre l’avion. Je le connais, quand il travaille, il ne compte jamais ses heures, ne lésine pas sur ses efforts. Je le conduis dans mon lit, le couche, le borde tel un bébé. Le genre qu’on ne voudrait plus voir partir.Dans mon salon, Mademoiselle cherche un bas. Je le trouve accroché à son porte-jarretelles. Je me fais un plaisir que de le faire glisser sur sa jambe que j’embrasse en le mettant.— Il me plaît ton Alain. Fais tout ce qu’il te commande, j’exige un rapport quotidien sur vous deux.— N’ayez aucune crainte, je le servirais comme je vous sers, d’un même amour. Je vous aime Mademoiselle. Oui, depuis que je vous ai vue jouir de mon directeur, je suis encore plus folle de vous. — Moi aussi ma douce, moi aussi.Son baiser a un goût exquis, plus doux et plus tendre que jamais. Dès le matin, je me prépare. Jupe ample, chemisier pour le haut, en dessous, seulement un soutien-gorge. Pas de bas, chatte et jambes épilées avec grand soin. Un peu de rouge sur mes lèvres, rien de plus et me voilà prête. Sur la table basse du salon, je laisse un mot. Je prends mon blanc-seing et me voilà partie.Je me rends directement chez le directeur. Il m’accueille froidement, un véritable iceberg. Qu’importe, il va encore refroidir en lisant la lettre signée de son directeur que je lui tends sans un mot. Je me permets même de m’asseoir, croisant mes jambes avec désinvolture. Il ne cesse de me fixer, de me déshabiller du regard serait plus juste. Enfin, il lit. Plus il découvre la teneur de la lettre, plus il blêmit. Avachi sur sa chaise, son regard change et je prends le pas sur lui de suite et le plus brutalement possible. — Bon, tu as compris je viens prendre place dans le bureau juste à côté. D’ici quelques jours, Monsieur le directeur sera là, en face de vous. Il me l’a confirmé par téléphone. Oui, je sais, pourquoi ne vous a-t-il pas mis au courant. Simple, il a entièrement confiance en moi, je suis sa secrétaire très particulière, sa petite pute si tu préfères. Je veux Isabelle comme secrétaire. Comme il est écrit dans la lettre, je dois avoir accès à tout dans l’agence. C’est juste au cas où je serais appelée à te remplacer. Voilà, je te laisse sa lettre, j’en possède plusieurs copies au cas où ! Je vais avertir Isabelle. Oh, ta petite réceptionniste, comment déjà, oui, Gertrude, une très belle jeune femme. Eh bien, tu l’oublies tout simplement. Je dois la conduire chez une personne de ma connaissance, une amie très chère au cœur de ma Maîtresse dont je suis aussi sa salope soumise. OK ? Bien, je te laisse, des fois que tu doives te confesser par écrit. Tout à fait entre nous, j’écrirais une belle confession en ne disant que la vérité. Mon Maître, Monsieur Alain, tout comme moi, détestons les mensonges. Tu fais comme tu veux, mais comme on dit, faute avouée est à moitié pardonnée.Dans le bureau, je retrouve Isabelle. Je lui apprends la bonne nouvelle. Elle sautille comme une gamine. On se serre dans les bras, nous nous embrassons. Dommage, un client arrive. Maintenant, vu que ma fonction fait aussi de moi la DRH de l’agence, il me faut deux personnes à la réception des plaintes. Dans mon bureau, je fais venir cette Gertrude. — Salut ma puce, comment va ma petite chienne ?— Bien Mademoiselle, très bien. Je suis déjà au courant pour votre belle nomination. Permettez que je vous félicite, Maîtresse.— Tu peux, mais en me léchant mes pompes et mes pieds par la même occasion. Gertrude sous mon bureau, elle s’active déjà sur mes pieds, mes jambes jusqu’à remonter à la source de mes orgasmes, ma chatte en feu. Attentive, elle écoute.— Maintenant, en attendant qu’Isabelle me rejoigne, j’ai besoin de tes services. Il me faut deux remplaçantes aux plaintes. Tu peux me faire passer des annonces dans les journaux ?— Oh que oui, avec un immense plaisir. — Encore une chose, viens, relève-toi, oui, sur mes cuisses ma petite salope. Mmmh pas de culotte, petite friponne, j’adore ça. Là, tu sens ma main, ma chérie ? Oui, tu la sens. Ce soir, je vais te présenter une femme, belle, exigeante. Une femme comme ma Maîtresse. Je la connais bien, c’est elle qui m’a administré ma dernière punition, ce fut merveilleux et si jouissif, tu n’as pas idée. Tu te sens prête à me suivre dans la soumission, devenir mon égale, oui, j’ai bien dit mon égale. Chut, même au travail nous serons égales, deux putes en libertés et Isabelle à envoyer sur orbite. — Mademoiselle Aroa ne va-t-elle pas trop vite ?— Voudrais-tu refuser ?— Non, bien sûr que non, au contraire, si cette femme est telle que vous me la décrivez.— Elle l’est. C’est une délicieuse perverse. Nous nous sommes embrassées. Elle a même joui de ma main curieuse et fouineuse. Je lui ai un peu forcé la main à me lécher ma moule dégoulinante de mouille. Elle se gave de moi, c’est divin de découvrir une jeune femme comme elle. Je vois déjà Isabelle jouer les matrones avec nous.À suivre...
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