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Bernard

Chapitre 1

Gay
Dans "le sex-shop 2" je raconte comment ça a débuté avec Bernard mon voisin de palier. Cette histoire a eu une fin un peu spéciale.Comme nous habitions face à face sur le palier, je voyais souvent Bernard. Au début c’était bonjour bonsoir et en général ça n’allait pas beaucoup plus loin, et puis petit à petit les conversations se sont développées pour prendre un tour plus amicales. Après cet épisode ou nous avons fait un 69, nos relations se sont encore plus resserrées. Nous étions en juin et il faisait très chaud. J’étais toujours à poil chez moi.
Un samedi soir, vers 19 h, on sonne. J’enfile ma tunique ouverte, j’ouvre et c’est Bernard.— Salut, tu vas bien.— Super, j’ai besoin d’un citron, tu en as un?— Bien sûr, attend.Je vais chercher un citron et le lui tends. Il le prend, me dit merci et se retourne. Arrivé à sa porte, il se retourne vers moi et me dit.— Ce n’est pas trop tard pour l’apéro?— Pas du tout, j’arrive.Je prend mes clés, ferme la porte et le rejoins chez lui. Son appartement est exactement le symétrique du mien et je m’y reconnais parfaitement.— Installe toi dans le salon, j’arrive me dit Bernard.Je vais dans le salon, enlève ma tunique, l’étale sur le divan en cuir et je m’assoie dessus. Il a un petit moment de surprise quand il débouche dans le salon.— Tu sais, la peau sur du cuir ce n’est pas très bon, ça le vieillie plus rapidement.— Ça t’arrange bien n’est ce pas?— C’est vrai.Il est en short et tee shirt et fait valser le tout par terre. Nous sommes tous les deux à poil. Je remarque que contrairement à la dernière fois, il s’est rasé le pubis comme moi. La conversation s’engage sur l’aviation, nous sommes tous les deux fans de l’histoire de l’aviation. Il se passe une bonne demi-heure sans que rien ne se passe. Je commence à me demander pourquoi Bernard m’a invité à boire l’apéro. Pour en avoir le cœur net, je commence à me caresser le bite. Évidemment elle réagi et commence à se redresser. Le téléphone de Bernard sonne.— Allo.......oui.....à bon?........ok j’arrive.Il raccroche et me dit qu’il doit aller chercher sa sœur à la gare et l’amener chez elle car sa copine est parti faire un stage de formation à Paris. Isabelle est homosexuelle.— Ça va me prendre 30 à 35 minutes, je te fais signe quand je rentre.— Ok je t’attend.Je rentre chez moi et je regarde la télé en attendant Bernard. Au bout de 20 minutes j’entends quelqu’un monter dans les escaliers. Ça ne peut être que Bernard qui rentre après avoir accompagné sa sœur chez elle. Je trouve quand même tout ça un peu rapide. Quand les bruits de pas arrivent sur le palier, j’ouvre la porte. Je suis toujours à poil, ma tunique est toujours chez Bernard, mais Bernard n’est pas seul. Il est accompagné d’une ravissante jeune fille, c’est sa sœur. Je me retrouve comme un con à poil dans l’ouverture de la porte avec devant moi un mec qui a du mal à retenir un fou rire et une jeune fille qui ouvre des yeux ronds comme des mappemondes. — Je te présente Isabelle, ma sœur. — Bonjour. Tu aurais pu me prévenir que tu n’étais pas seul.— Ne t’en fais pas, Isabelle est au courant de ce qui s’est passé entre nous, je viens de tout lui dire, et comme c’est une cochonne, elle veut assister à nos débats sans y participer bien sûr.
Un peu étonné, j’accepte et les rejoins chez Bernard.Je rentre chez Bernard et je vais m’installer sur le divan. Isabelle n’est pas là, elle est dans la chambre d’ami. Bernard renouvelle les glaçons et sert un verre pour tout le monde. Je le regarde et comprenant il se déshabille pour venir s’asseoir à côté de moi. Isabelle arrive enfin et je peux la détailler. Grande, élancée elle porte une mini jupe plissée qui met en valeur ses magnifiques jambes, un corsage blanc qui laisse deviner que sa poitrine est libre de tout soutien gorge. En un mot, elle est magnifique et je me dit en moi même que s’est un formidable gâchis, une grosse perte pour le hommes.Sans attendre, ou peut être à bout de patience, Bernard m’attrape la bite et commence à la branler. Je me penche sur la sienne et la met en bouche. Quand nous bandons tous les deux, je m’allonge sur le dos et je fais signe à Bernard de se positionner en 69, ce qu’il fait immédiatement. Nous nous pompons pendant un bon moment, je sens sa bite vibrer sous les caresses de ma langue et je constate que Bernard a fait de gros progrès. Ne voulant pas jouir tout de suite, je me redresse et propose à Bernard.— Ça te dirait de me sodomiser?— Je ne l’ai jamais fait, même pas avec mes copines— Je sais mais il n’y a rien de plus facile, tu remplaces une chatte par un fion.— Oui mais ce n’est quand même pas la même chose. Un cul ça sert à autre chose de pas très ragoutant.Je comprends qu’il n’est pas encore prêt et je n’insiste pas.— Et si je le remplaçais?C’est Isabelle qui me fait la proposition en me regardant droit dans les yeux.— Tu as ce qu’il faut?— Oui dans ma valise, j’arrive.En bonne Homosexuelle elle doit avoir toute une panoplie de gode et gode-ceinture. Elle revient avec deux gode-ceintures d’un diamètre différent. Elle déboutonne son corsage, le jette à terre, descend le zip de sa jupe qui rejoint le corsage et fait glisser son string. Elle est nue devant nous et je vois à la tête de Bernard que c’est la première fois qu’il voit sa sœur nue. Son pubis rebondi est parfaitement épilé. Elle fixe le plus gros gode-ceinture à sa taille et dit.— A qui le tour?— Moi dis je.Je me met en position, à quatre pattes. Elle vient vers moi et présente le pénis artificiel à l’entrée de mon cul. Elle me lubrifie avec sa salive, m’agrippe les fesses et pousse doucement. Le gode entre sans difficulté et elle commence ses va et viens devant les yeux écarquillés de son frère. Elle me pistonne tellement bien que je sens que je vais jouir rapidement. — Vas y, c’est bon, je vais tout lâcher, quelqu’un à la réception.Bernard réagit et se précipite sur ma queue. Il l’enfourne juste au moment ou je joui.— Oui, vas y baise moi, c’est bon, ah que c’est bon de se faire enculer par une femme.Bernard a tout avalé et me regarde avec une expression de bonheur dans les yeux.— Tu vois, je t’avais dit que la prochaine fois je boirais tout.Il se met sur le dos et je me penche sur sa bite raide. Je la suce, la titille avec mes dents, la caresse avec ma langue.— Ça suffit vous deux, au suivant.Bernard se retourne vers sa sœur.— Tu ne vas tout de même pas enculer ton frère.— Et pourquoi pas?— Mais parce que ça ne se fait pas.Isabelle éclate de rire.— Alors ça ne se fait pas qu’une sœur encule son frère avec un gode, mais elle peut se mettre à poil devant lui, enculer son copain, le tout en étant homosexuelle. Tu as une drôle de morale mon frère chéri.— C’est vrai que ta sœur n’a pas entièrement tord. Et puis je suis sûr que tu as envie d’essayer, seulement moi dès que j’enfile une capote, je débande. Impossible de te satisfaire. Il ne te reste plus beaucoup de possibilité.— Ok mais comme s’est la première fois, met le plus petit s’il te plait.— D’accord, en position.Je demande à Isabelle d’attendre un instant et vais chez moi chercher du lubrifiant.— C’est la première fois et je pense qu’un peu de salive ne va pas suffire.Bernard se met à quatre pattes et attend. Je lui badigeonne le cul d’huile silicone en en profitant pour glisser un doigt dans son cul afin de voir sa réaction. Il a l’air d’apprécier alors, je commence à insister un peu plus et lui introduis deux doigts. Je le pistonne doucement et je sent son sphincter se détendre de plus en plus. Quand je juge que c’est suffisant, je me retire et fait signe à Isabelle d’y aller. Elle se positionne derrière lui et lui enfonce doucement le gode. C’est un gode de 2 cm de diamètre, pas très gros mais suffisant pour une première fois. Bernard se contracte un peu et je me glisse sous lui pour m’occuper de sa bite. En regardant vers l’arrière, je vois le gode s’enfoncer dans le fion de Bernard mais aussi la chatte d’Isabelle qui d’après mon expérience n’est pas tout à fait indifférente à se qui se passe dans la pièce. Sa chatte est luisante de mouille et je vois bien que ça ne va pas se terminer comme ça.Avec Bernard en bouche j’ai les mains libres et je m’occupe des couille de celui-ci. Je les malaxe et comme je l’espérais je sent la chatte d’Isabelle me toucher la main à chaque va et viens. Elle est trempée.— Ça y est, je joui, vas y Isabelle Jean à soif.Je manque d’éclater de rire, je ne m’attendais pas à ce que Bernard est une pointe d’humour au moment de jouir. Je reçois son foutre dans la bouche et je l’avale.— Oui c’est bon, encore, encore, je joui!Isabelle se retire et je vois à ses yeux qu’il lui manque quelque chose.J’étale ma tunique sur le divan et je dit à Isabelle.— Maintenant c’est ton tour. Installe toi et fait toi plaisir.Elle me regarde.— Personne ne me touche.— Pas de problème.Elle s’allonge et porte ses main sur sa vulve. Avec deux doigts elle écarte ses lèvre et avec l’autre main se caresse le clitoris. Ses hanches ondulent, son ventre se crispe, elle ferme les yeux et laisse le plaisir monter doucement. Quand la tension monte trop, elle cesse de se caresser et remet ça dès que la tension redescend. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, elle s’enfonce ses doigts de la main gauche dans le con et se raidi. Elle joui.— Oui, c’est bon, je joui, ou es tu Chantal, ou es tu mon amour? je joui, je joui.Elle se calme petit à petit et se redresse pour s’asseoir sur le divan.— Fait soif ici dit elle.Bernard ressert tout le monde et une conversation s’engage comme si de rien n’était. Au moment de les quitter, Isabelle vient me faire la bise et je sent ses sein toucher ma poitrine, ce qui m’électrise.Arrivé chez moi, je suis obligé de me masturber pour me calmer.J’ai revu Bernard plusieurs fois, il a fini par accepter de me sodomiser. Ça lui a plu et on a recommencer plusieurs fois.
Jo s’en est mêle mais ceci est une autre histoire.
Au mois de janvier suivant, Bernard a eu un accident dont il n’a pas survécu.Je voyais pour la dernière fois Isabelle à son enterrement.
zooph34@gmail.com
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