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Bertrand, homme de pouvoir, et ses soumises

Chapitre 1

Une nouvelle esclave rejoint les rangs

Hétéro
La porte d’un luxueux bureau au 89ème étage d’un gratte-ciel situé en centre-ville s’ouvre. Un homme entre. Il porte ses 45 ans avec un rare éclat : sa silhouette élancée témoigne de la discipline physique à laquelle il se soumet ; ci-et-là des cheveux couleur neige agrémentent un charme déjà inné ; les rides de son visage semblent avoir été dessinées pour accentuer ses fossettes ; son costume sur mesure Cifonelli épouse parfaitement ses formes et sa posture droite et digne le désigne comme homme de pouvoir.  Sous ses airs angéliques, Bertrand n’est pas un homme bienveillant. Directeur des solutions digitales d’une PME avec le vent en poupe, il aime être sous les projecteurs et se sert pour cela des autres sans vergogne.  Aujourd’hui a été une journée particulièrement productive.  Ce matin, il a récolté les félicitations du directeur général pour le lancement réussi d’un produit géré par un de ses subordonnés, Pierre, sur lequel Bertrand n’est presque pas intervenu. Par un habile jeu de manipulation, il a réussi à s’attribuer le succès du projet et même à en convaincre son collaborateur.  Cet après-midi, il a rencontré les trois fondateurs d’une start-up venus lui proposer une solution pour améliorer leurs taux de conversion. Il a rapidement identifié les failles dans leur offre et ne s’est pas gêné pour les leur étaler en pleine face par des questions rhétoriques, avec cette candeur et ce sourire moqueur qui le caractérisent. Le trio a bien essayé de se défendre avant d’abandonner, vaincu, en colère et, savoure Bertrand, humilié.  Bertrand prend plaisir écraser les gens. Il aime que ses subordonnés se placent eux-mêmes en position d’infériorité en le flattant en permanence. Il aime asseoir sa domination sur les autres en gagnant des batailles psychologiques qui peu à peu sapent leur confiance et les placent sous sa botte.  Bertrand aime les femmes. Il les aime soumises mais préfère encore, et de loin, les soumettre.  Il sourit de contentement anticipé : dans quelques minutes, sa dernière conquête va arriver. Il s’agit d’une jeune femme de 30 ans embauchée il y a quelques mois dans son service. Il a eu un coup de cœur pour elle. Ses origines italiennes n’y sont sans doute pas étrangères.  Elle n’a pas été une proie facile. Cela fait des mois qu’il la travaille au corps. Bertrand a commencé par la prendre sous son aile afin qu’elle soit témoin de l’importance qu’il a dans la compagnie et pour pouvoir briller auprès d’elle par son intelligence et ses connaissances. Il voulait aussi qu’elle s’habitue à voir les gens le traiter en supérieur pour qu’elle assimile ce comportement.  Il avait surpris ses regards remplis d’admiration pour lui et comment elle buvait la moindre de ses paroles. Pour l’épuiser et la mettre peu à peu à sa merci, il l’avait faite travailler plus tard le soir, plus tôt le matin et lui avait même fait passer quelques nuits blanches. Il l’avait habituée à des contacts physiques innocents mais répétés, comme une main sur le dos ou sur l’épaule. Il avait tantôt brandi la carotte, tantôt le bâton.  Et puis, une heure plus tôt, il a donné le coup de grâce.  A l’occasion de la présentation d’un rapport qu’elle préparait de longue date, il l’a humiliée devant tout le conseil de direction en lui posant diverses questions extrêmement pointues d’une importance dérisoire, mais dont il a si bien exagéré la criticité qu’il a complètement discrédité la jeune femme. Cette dernière, dans une position délicate alors qu’elle venait d’acheter un appartement, a semblé paniquée quand il lui a annoncé après la réunion qu’il pensait mettre fin à sa mission.  Bertrand est interrompu dans ses réflexions par le cognement tant attendu à la porte.
  - Entre, Dolce.  La jeune italienne entre. Pour la présentation devant le conseil de direction, elle a opté pour une tenue classique veste et jupe qui la rend encore plus désirable. Bertrand se délecte de cette vue pendant de longues secondes.  - Monsieur, je suis désolé pour le fiasco cet après-midi, j’ai pourtant... - Dolce, la coupe Bertrand. Tu sais que je t’apprécie, mais tu as bâclé ton travail, tu t’es ridiculisée et tu as ridiculisé le service par la même occasion.  Alors que Dolce ouvre la bouche pour reprendre la parole, Bertrand la fait taire d’un geste.  - A présent, plus un mot jusqu’à nouvel ordre, c’est clair ? Bien. Je vais te laisser une dernière chance. Déshabille-toi.  Dolce écarquille les yeux pendant quelques instants. Elle regarde autour d’elle comme pour vérifier qu’elle n’est pas observée puis à nouveau sur Bertrand pour voir s’il plaisante. Mais son regard reste dur et impératif. Dolce retire ses vêtements un à un jusqu’à se retrouver nue.  Elle est parfaite. Son cou fragile, ses seins rebondis, la pente saisissante de ses hanches, ses jambes de volleyeuse, ses cuisses fermes et sa peau parfumée sont un appel à la luxure.  - Mets-toi à genoux et passe sous la table.  Dolce se met à 4 pattes et se glisse sous le bureau.  Bertrand contemple la divine créature à ses pieds qui n’attend que son bon vouloir. Il passe son pouce sur les lèvres de la jeune femme et les caresse langoureusement.  - Si tu te montres obéissante, je te promets de te prendre sous mon aile et de te protéger, Dolce. Tu me fais confiance ? Tu peux répondre.  - Oui, je vous crois.  Bertrand enfonce son pouce dans la bouche de la jeune femme qui ouvre ses lèvres et commence à le téter.  - C’est très bien ma chérie.  Encouragée, Dolce tète, suce, lèche et mord le pouce qui s’offre à elle.  - Passons à la suite, dit Bertrand en retirant son pouce. Je crois que ça va te plaire.  Bertrand se lève, se déshabille à son tour et se rassoit, son sexe tout en longueur dressé sous la table.  - Approche ta bouche. Voilà, pas plus loin.  Il frotte doucement son sexe sur la joue gauche de la jeune fille, sur le menton, l’autre joue et enfin contre ses lèvres.  - Qu’en penses-tu, Dolce ? - Il est magnifique, monsieur. - Est-ce que tu as envie de le prendre en bouche ? - Oui. - De le lécher ? - Oui. - De le sucer ? - Oui. - Nous verrons. Occupe-toi de mes boules pour commencer.  Dolce s’approche et dépose ses lèvres sur ses boules qu’elle embrasse sur toute leur surface. Elle s’incline un peu plus pour aller les lécher par en dessous. Bertrand savoure le contact de cette langue chaude qui le nettoie efficacement et agréablement. Il manque lâcher un râle de plaisir quand Dolce prend en bouche ses boules pour les aspirer goulûment.  - Tu fais du très bon travail ma petite chienne. Tu m’autorises à t’appeler comme ça, n’est-ce pas ? dit-il en passant affectueusement sa main sur le contour de ses oreilles.  Dolce hoche la tête avant de reprendre son travail de succion.  - Tu as mérité une récompense ma petite chienne. Ouvre la bouche.  Dolce ouvre la bouche et Bertrand y engouffre son sexe. Dolce le tète et le suce avec frénésie.  - Hum, c’est très bien ma petite chienne. Continue à sucer. Lèche bien le gland. Mordille. Oui, c’est très agréable, tu as une bouche faite pour ça.  Bertrand savoure une nouvelle fois la vue de cette magnifique jeune femme agenouillée à ses pieds qui lui prodigue de si vifs plaisirs. Elle est complètement à lui. Elle n’a presque pas hésité quand il lui a demandé de se déshabiller et elle fait preuve d’une ardeur exemplaire.  La jeune femme lui tète amoureusement le gland en utilisant efficacement ses lèvres remplies. A présent, elle remonte sa langue de la base de ses boules jusqu’au sommet de la verge avant de l’aspirer de nouveau avidement. Il est proche de jouir. Dolce le sent et fait mine de retirer sa bouche.  - Ne sois pas timide Dolce. Rouvre la bouche tout de suite et avale.  Bertrand sait qu’elle va accepter. Son refus n’est que pure forme. Il pense avec excitation à toutes les humiliations qu’il va lui faire subir. Dans quelques temps, elle va réclamer elle-même qu’il l’humilie et se vide en elle. Il le sait par expérience.  La suite ne le détrompe pas. Dolce saisit son sexe avec sa main droite et le suce avec encore plus d’ardeur. Bertrand se retient quelques instants, puis, n’y tenant plus, agrippe la tête de Dolce et jouit abondamment dans sa bouche.  Il ne relâche sa pression que lorsque la jeune femme a tout avalé. Même alors, elle lui presse le sexe pour en faire surgir les dernières gouttes. - C’était bon ma petite chienne ?  Le visage un peu rouge d’une humiliation mêlée de plaisir, Dolce répond par l’affirmative. - Tu peux te rhabiller et rentrer chez toi. Rendez-vous dans mon bureau demain à 8h. Je compte sur toi.  -----------------------------------------------------------------------------------------------------------  Le lendemain, 8h05, bureau de Bertrand.  Bertrand est assis à son bureau. La porte est fermée à double tour. En face de lui, 5 femmes, belles et nues, incluant Dolce, sont à genoux.  Bertrand se lève et annonce : - J’ai le plaisir de vous annoncer qu’une nouvelle esclave a rejoint nos rangs aujourd’hui. Elle s’appelle Dolce. Je vous prie de l’accueillir avec gentillesse. Elle a fait preuve de beaucoup d’entrain pour une première fois. Regardez plutôt.  Bertrand tourne l’écran de son ordinateur personnel vers les 5 femmes et démarre une vidéo. Dolce contemple horrifiée son visage à l’écran, sa bouche qui suce Bertrand et avale son sperme jusqu’à la dernière goutte. Bertrand la regarde avec un sourire aux lèvres avant de couper la vidéo et de continuer :  - Vous vous présenterez à Dolce un peu plus tard. Pour l’heure, j’ai une mauvaise et une bonne nouvelle mes chiennes. La mauvaise nouvelle, c’est que je n’ai que 4 petits-déjeuners pour vous aujourd’hui.  Il dépose sur le bureau 4 verrines. A l’intérieur, une cuillère trempe dans un liquide visqueux et blanc que Dolce devine être sa semence.  Puis, du sourire charmeur qui le caractérise, Bertrand reprend : - Quelle chanceuse aimerait prendre son petit-déjeuner à la source ?
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