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Bertrand, mari de mon amie

Chapitre 1

Erotique
Bonjour à tous et à toutes, dans cette histoire, je vous raconte une expérience que j’ai vraiment vécue. Je vais commencer par me présenter :
Je m’appelle Catherine, mes amis m’appellent Cath. J’ai actuellement 26 ans, mais dans cette histoire, j’en avais encore 24 ou 25. Sans me vanter, je dirai que je suis assez belle. Assez "bandante", comme disent les mecs.Ma silhouette est plutôt élancée avec des courbes là où il faut, mon ventre plat et mes membres fins, avec mes heures hebdomadaires au club de sport. Mes seins sont bien ronds et bien fermes, deux adorables 90C. Mes hanches sont larges, et mes fesses plutôt charnues, mais sans disproportion.
Mon visage ovale est encadré par de fins cheveux blonds vénitiens qui me tombent sur le bas du dos. Ma peau est douce et laiteuse, mon nez bien dessiné, mes lèvres minces et roses, mes oreilles discrètes. Mes yeux sont bleus. Bon bref, pas très intéressant, je vais commencer à vous narrer l’histoire :
Sachez que je ne suis ni mariée, ni en couple, ni fiancée. J’ai une amie du lycée très proche, qui habite près de chez moi (j’habite dans une maison à Paris). Elle s’appelle Marine et possède à peu près le même physique que moi. Ses seins et fesses sont tout de même moins rebondis, mais ses yeux noirs profonds et ses cheveux marron coupés au carré lui donnent le charme qu’il lui faut. Une très belle femme...
Récemment, elle s’était mariée avec un Bertrand, mais malheureusement, j’étais en voyage, car je suis photographe et je gagne très bien ma vie. J’étais partie en Indonésie à ce moment-là et donc je n’ai jamais pu voir l’heureux marié en vrai. Marine m’avait évidemment envoyé une photo d’eux à leur mariage, mais l’image était totalement floue et je devinais que le photographe de mariage n’était pas un expert dans le domaine.
J’étais rentrée depuis deux semaines et heureusement je n’avais plus de décalage horaire. Je les ai invités à manger le déjeuner pour mieux connaître Bertrand et tout simplement pour voir mon amie. Je m’étais fait toute belle, un joli chignon, une robe légèrement décolletée, avec des bretelles fines, une robe qui arrivait nettement au-dessus des genoux. J’allais voir si j’aurais l’occasion d’être coquine.
Côté maquillage, je n’ai pas eu de créativité : un simple trait d’eye-liner, un léger mascara et un rouge à lèvres rouge foncé.
Je finissais justement de préparer la salade pour l’entrée et j’entendais un "toc toc" à la porte. Je suis allée ouvrir, bien sûr. Devant moi, Marine se tenait là avec son mari. Elle portait un short en jeans et un magnifique chemisier au premier bouton défait. Toujours aussi belle... Son mari était pas mal, aussi. Quelques taches de rousseur, des yeux marron, des cheveux en bataille blond très clair. Il avait mis un T-shirt simple et un pantalon bleu.
— Je te présente Bertrand, Cath. Bertrand, c’est Catherine, ma meilleure amie, tu sais je t’en avais parlé hier.— Oui oui... oui... hmm...
Ses yeux fixaient les miens, mais Marine ne s’en apercevait pas. Bertrand glissa son regard vers mon décolleté et descendit encore vers mes hanches, et ensuite mes jambes minces et musclées. Je décidai de le tirer de sa rêverie :
— Bonjour Bertrand ! Salut Marine ! Entrez, entrez...
Le couple entra et enleva leurs chaussures, puis les posa à côté du paillasson. Je leur montrai les w.c. pour qu’ils se lavent les mains, puis je leur dis de s’asseoir à la table du salon pour l’apéritif. J’apportai une bouteille de vin blanc, et je me penchai en avant pour les servir. J’étais donc en face du canapé, où étaient installés les deux autres. Ils avaient une vue plongeante de mes seins comme je me penchais. Bertrand émit un frisson et cela me plaisait.

Nous buvions nos verres et commencions à discuter.
Ensuite, nous nous installions de chaque côté de la table de la salle à manger. Nous mangeons l’entrée, le plat et puis le dessert, une magnifique tarte aux fraises achetée chez la boulangerie-pâtisserie au coin de la rue. Nous discutions de tout et de rien. J’étais assise en face de Marine et Bertrand était à côté de son épouse. Je rapportais l’assiette du dessert à la cuisine et...
Un téléphone sonna. C’était celui de Marine :
— Oh non, pas ça ! s’écria-t-elle.
Je me précipitai vers elle et lui demanda ce qu’il se passait.
— Une urgence à l’hôpital, je dois y aller, je suis vraiment désolée, Catherine, pile le jour où tu m’invites, ah la la ça m’exaspère...
Marine est médecin. Elle devait partir maintenant et je dis :
— Ce n’est pas grave, tu peux y aller, on t’attend.— Tu es sûre que cela ne te gêne pas que Bertrand soit là ?— Non non, pas du tout, sois tranquille et va sauver des vies.— Merci Cath, c’est super sympa. Bon j’y vais, mon chou ! dit-elle à Bertrand en l’embrassant sur la joue.
Elle sortit en fermant la porte derrière elle.
— Bon ben, pourquoi pas me faire visiter ta maison ? dit la voix grave et masculine de Bertrand.— Si tu veux.
Je lui avais déjà montré le rez-de-chaussée avant de manger et je me dirigeai vers l’escalier. Je montai devant lui, bien sensuelle que je suis, en exhibant mes jolies fesses à travers ma robe courte et fine.
— Voici le premier étage. Là-bas, la salle de bain. Mon bureau est dans la pièce au fond du couloir et ma chambre est sur la droite.
Nous arrivions dans ma chambre et je lui montrai les photos que j’avais prises en Indonésie cadrées, posées sur la commode. Je sortis un album photo pour lui en montrer plus.
Je m’asseyais sur le bord de mon lit en indiquant à Bertrand de se mettre à côté de moi et je commençais à feuilleter les pages en expliquant chaque photo. Sa grande main d’homme vint se poser soudain sur ma cuisse gauche en la caressant lentement. Je me levai pour ranger l’album photo dans son tiroir, car j’avais montré toutes les images. Comme c’était le tiroir tout en bas, je me suis accroupie bien lentement pour bien montrer mes fesses. C’était mon petit jeu, on va dire.
Quand je me suis retournée, Bertrand était debout devant moi. Je ne pouvais pas ignorer l’énorme bosse qui prenait place en dessous de sa ceinture tellement ça gonflait. J’allais proposer de redescendre pour prendre un café, mais tout s’est passé très vite.
Bertrand positionna sa main droite à l’arrière de mon crâne et sa main gauche à ma nuque. Il m’attira contre lui et posa ses lèvres sur les miennes. Une sensation que je n’avais pas connue depuis longtemps, trop longtemps. Je mis mes mains autour de lui aussi, et timidement nos langues se trouvèrent et s’entremêlèrent. Soudain en réalisant ce que l’on était en train de faire, je le repoussai et dis :
— Mais enfin, Bertrand, qu’est-ce que t’as ?
Je n’ai pas attendu sa réponse puis je l’ai embrassé encore une fois, plus fougueusement. Ensuite, je souriais et je commençai à lui mordiller délicatement le lobe de l’oreille. Il chuchota :
— Tu es belle, Catherine. Dès que je t’ai vue, j’ai commencé à bander.
Je sentais que je mouillais et je dis doucement, toujours les bras autour de lui.
— Continue.— J’ai envie de toi, très envie. Tu me fais bander, tu es tellement sexy et sensuelle.
C’est là que l’histoire commence vraiment.
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