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Besoin de vitamines

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain, je rentrais du travail vers 12h30. Ces dernières semaines, comme maman restait à la maison du fait de son état de santé, nous avions l’habitude de manger ensemble. Mais j’avouerais que cette fois-ci, je n’étais pas tellement pressé de recroiser son regard ... Quand j’y repense, je lui ai quand même laissé un verre de sperme, de MON sperme, avec un petit mot qui disait presque : "Allez santé !" ... Alors mon ventre se tordait de plus en plus lorsque j’arrivais à la maison.
Je rentrais, et entendais du bruit dans la cuisine. Ma première idée fut de fuir, mais au bout d’un moment, il faudrait crever l’abcès, alors autant le faire au plus tôt. J’ai donc rejoint ma mère, en train de faire à manger, et je peux vous dire que ça sentait drôlement bon ! Un mélange de pâtes à la bolognaise et de son parfum.Une fois dans la pièce, je vis ma mère, très bien apprêtée, dans un petit haut décolleté avec de la dentelle, et un pantalon moulant. Elle était de dos et je l’avoue, j’ai bien pris le temps de la mater. Elle avait beau être ma mère, elle était quand même incroyablement sexy !! Surtout que ça faisait un petit moment qu’elle ne s’était pas habillée comme ça pour rester à la maison, et ça, c’était un signe positif de son moral.Le petit "bonjour maman" que je lui ai lancé a presque suffi à la paralyser.

Elle s’est retournée, a baissé les yeux, et n’a rien dit pendant quelques secondes, visiblement très gênée par la situation. Elle finit par me regarder et me demanda de m’asseoir, en ajoutant que c’était bientôt prêt. Rien de plus, rien de moins. J’ai obéi sans dire un mot non plus.

Le début du repas s’est déroulé dans un silence religieux. Le cliquetis des couverts contre les assiettes était la seule présence dans la maison. Je n’osais rien dire, je n’arrivais pas à analyser si elle était folle de rage à l’intérieur, ou angoissée, ou toute autre chose. J’étais moi-même paralysé de terreur. Poser ce verre hier soir était un point de non-retour dans notre relation mère-fils, et franchement, je me suis insulté plusieurs fois dans la journée pour avoir fait une chose pareille.

C’est elle qui finit par rompre le silence, et sa phrase a provoqué en moins un soulagement si énorme, qu’il serait impossible pour moi de le décrire :
— Je suppose que je dois te dire merci ... m’annonça-t-elle avec une voix toute frêle.— Ca dépend de ce que tu en as fait, si tu l’as balancé dans l’évier, alors un merci n’est pas vraiment nécessaire !
Je plaisantais, j’avais vraiment envie que cette conversation, très lourde, se déroule de manière la plus légère et la plus souple possible. Et je suis presque certain d’avoir vu une moue sur le visage de ma mère, une très légère esquisse de sourire, puis elle m’a juste dit:
— Mhhh, non, je ne l’ai pas jeté dans l’évier quand même !— Ecoute maman, je sais que c’est bizarre, et ... Ca l’est certainement plus pour toi que pour moi, mais on peut juste faire comme ça, je te laisse tout à disposition, et toi, beh ... Tu en disposes.
A ce moment-là, elle avait à nouveau baissé les yeux, mais croyez-moi, elle m’écoutait avec la plus grande attention du monde.

— Tu sais, j’ai 22 ans, et tu sais très bien que je suis comme tous les gars de mon âge, faut que ... j’évacue, disons. Alors plutôt que de balancer tout ça dans un mouchoir, je peux très bien le mettre dans un verre, et puis toi derrière ... Bon bah voilà quoi ...

Elle a relevé les yeux, et je crois bien que ses nerfs ont lâché, parce ce qu’elle s’est mise à rire et pleurer en même temps, puis elle m’a regardé avec ces yeux ... Je vous souhaite qu’un jour, votre mère vous regarde avec ces yeux-là, un regard si perçant, qui vous désarme, qui vous paralyse, et qui vous regonfle le cœur de savoir que pour votre chère maman, vous êtes le fils le plus extraordinaire qu’il soit. Je ne pensais pas que proposer de gicler pour ma mère lui déclencherait ce regard un jour, mais comme quoi, tout arrive !

J’ai continué dans mes explications (que j’avais eu le temps de travailler toute la matinée):
— De toute façon maman, je sais que tu ne veux pas te trouver un mec ... — Ah non, pas un de ces ... Enfin bref, continue (elle prenait toujours soin de ne pas dire de gros mot devant moi, ma petite maman aimante qui croit que j’ai encore 13 ans)— Bon, je sais que tu veux pas te trouver un mec, donc il ne te reste malheureusement que moi comme solution ... Je doute que les banques de sperme t’en refilent pour aromatiser ton café !
J’eus encore droit à un sourire, plus large cette fois, elle se détendait, c’était bien. Je continuais mon argumentation :
— Mais le fait est que, soit je te laisse les verres comme celui de ce matin, soit je te le fais boire de force, c’est toi qui vois ! expliquais-je, avec un ton prononcé d’humour.— Haha ! riait-elle ! Et bien je serais curieuse de voir ça ! — Sérieusement maman, je suis prêt à te violer si ça peut me permettre de te garder en vie !
Et à ce moment-là, je peux vous promettre deux choses : Premièrement, c’est que cette phrase immonde me paraissait vraiment romantique dans ma tête ! Quel idiot ! Et surtout, que lorsque ma mère me regardait en riant, elle était en train de comprendre que cela ne me dérangeait pas le moins du monde de lui donner mon liquide.
— C’est un peu comme un don du sang après tout ! Ce n’est qu’un fils qui prend soin de sa mère ! Et son idée de le mettre dans du café est pas idiote, se disait-elle.

Elle avait déjà avalé du sperme avec son ex-mari, bien sûr, mais jamais comme ça. Ce matin, c’était froid, et gluant, et c’était surtout celui de son fils ! Elle dut concentrer toutes les forces de son corps pour ne pas le vomir immédiatement, mais non, elle a bien tout gardé ! Sa santé était en jeu après tout.
Ma mère et moi sommes donc parvenus à un accord, je lui laissais le verre le soir, et pendant que je bossais, elle "effacerait toutes les traces".

Les deux jours suivants se sont déroulés de la même manière. J’ai posé les verres sur le comptoir de la cuisine, et le lendemain, je partais au travail. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que le deuxième jour, le verre avait déjà disparu avant que j’embauche. Elle avait dû se lever dans la nuit peut-être ? Ma mère est une couche-tôt, je suis toujours au lit après elle. Mais bon, cela ne m’a pas perturbé, je me suis dit qu’elle était soucieuse de sa santé, point final.
Nous étions jeudi soir, je posais le verre dans la cuisine avant d’aller me coucher, et, en repartant vers ma chambre, un éclair m’a traversé l’esprit et me fit faire demi-tour : demain, je serai de repos. Demain, je remplirai un second verre.
Après une bonne nuit de sommeil, je me suis réveillé avec une seule idée en tête : donner mon sperme à maman ! J’ai très rapidement fait mes affaires, avec mes propres fantasmes. Toujours rien sur ma petite mère, aussi belle soit-elle, mais un bon porno ça fait toujours l’affaire !
Je suis sorti de ma chambre, et j’ai suivi l’odeur du café chaud jusqu’à la cuisine, dans laquelle je trouvais cette femme toujours aussi éblouissante. Je lui tendis le verre rempli de sperme chaud, et lui lançai le plus naturellement du monde :
— Tiens, vu que je bosse pas, je me suis dit que je pouvais te donner une dose en plus !— Euuuuuh ... Merci ! me répondit-elle en prenant le verre.
j’ai commencé à m’asseoir en face d’elle pour me prendre un café quand elle me demanda, très gênée, le verre toujours à la main:
— Euuuhh tu peux sortir 5 minutes s’il te plaît ? J’ai pas envie que tu me vois ... Enfin ... S’il te plaît ?— T’inquiète maman, c’est normal ! la rassurais-je. Je vais boire mon café dans le salon !
A peine 5 minutes plus tard, je l’entendais:
— Quentin ? Tu peux venir s’il te plaît, j’aurais besoin d’un service ! — J’arrive maman ! répondais-je de l’autre bout de la maison.
En entrant dans la cuisine, je vis sa tasse et "mon" verre propres, sur l’égouttoir, et sans pouvoir l’expliquer, j’ai eu un petit picotement dans le bas-ventre. Un picotement du genre "si tu as besoin d’une deuxième tournée, c’est possible !"Elle m’expliquait qu’il fallait que je fasse une course dans la journée, rien de bien important, mais elle était toujours faible donc un peu bloquée.

Le samedi et le dimanche se sont déroulés de la même manière, à savoir, sperme froid du soir, sperme chaud du matin. Elle refusait toujours de me laisser la regarder, mais je pouvais comprendre. Les journées se sont déroulées normalement, je suis parti voir des potes, après que ma mère m’ait fait promettre de ne jamais rien dire à personne quoique ce soit de notre accord. Ce que je pouvais aussi comprendre, ça a été très bizarre pour nous deux alors que nous sommes particulièrement fusionnels. Alors des familles lambdas ne comprendraient jamais ce don de sperme que je lui octroie.

Les lundi et mardi matin, je vis que les verres avaient déjà disparu en partant de la maison, à 2h30. Elle qui n’avait (me semblait-il) pas l’habitude de se lever la nuit, je trouvais ça assez étonnant, mais bon ... Admettons. Elle s’est levée, elle l’a bu vite fait, et s’est recouché. Etrange, mais pas au point que je ne me pose quelque question que ce soit.C’est le soir même que je compris pourquoi.

J’étais tranquillement dans ma chambre, quand, vers 21h, j’entendis toquer. J’ouvris à ma mère et je vis qu’elle était vraiment gênée par quelque chose, surtout après avoir regardé le verre, vide, sur ma table de chevet.Elle rompit le silence tout bêtement :
— Euh... je venais juste te souhaiter bonne nuit (chose qu’elle ne fait jamais, pas en venant toquer à ma porte en tout cas)— Euh... d’accord ! Bah bonne nuit maman alors ! — Bonne nuit Quentin. — Maman ? Je me lançais. Tu voulais rien d’autre ?
Son regard en disait long. Elle savait que j’avais compris. Quoi ? Je ne savais pas encore, mais j’avais clairement compris qu’il y avait autre chose. Et elle se remit à regarder le sol.J’ai pris son menton dans ma main pour lui relever la tête, comme un amoureux le ferait, et quand nos regards se sont croisés, je lui ai demandé de la manière la plus douce possible :
— Qu’est-ce qu’il y a maman ? Dis-moi !— C’est que ... Le matin, quand je mets le ... Jus que t’as sorti la veille dans mon café, il est froid, et ça ne se dilue pas du tout, ça fait des gros grumeaux visqueux, et c’est pas du tout agréable ...— D’accord, et ... qu’est-ce que je peux faire du coup ? — Eh bien, ça m’embête de te demander ça, mais je buvais mon verre de vin, et j’étais en train de me demander ... Si tu pouvais me remplir ton verre maintenant ? Que je le dilue facilement dans mon vin pendant que c’est encore chaud ? Ca marche peut-être aussi bien que le café après tout.
Je tombais des nues ! Je n’étais pas un garçon innocent, j’avais couché avec plusieurs filles, même si mon expérience ne se limitait qu’à la pénétration vaginale et à finir sur les seins de ma première copine (les suivantes ont toujours été dégoutées par le fait que je jouisse sur elles), mais là quand même, ma mère avait toqué à ma chambre pour me demander clairement si je pouvais me branler vite fait.
Et en riant, elle a continué ses explications, comme s’il m’en fallait plus :
— Je sais que c’est bizarre ce que je te demande, mais je t’avoue que le sperme froid c’est carrément dégueulasse ! Alors j’espérais que tu puisses faire ça pour moi ?

J’ai ressenti la même excitation que la dernière fois dans la cuisine quand j’avais compris que ma mère avait englouti chaque goutte de mon jus. Si mon cerveau me disait "réfléchis à la phrase que tu vas dire", soyez certains que ma bite me hurlait "c’est partiiiiii !!!"

Alors, comme je suis un homme, le cerveau d’en bas a pris le dessus, et j’ai juste dit à ma mère de m’attendre et de me laisser 2 minutes.J’ai fermé la porte, et je me suis déshabillé immédiatement. J’étais déjà dur comme la pierre, sans même savoir ce qui m’excitait vraiment, mais ça marchait ! Tout tourbillonnait dans ma tête, le fait que ma propre maman, une femme tellement splendide, sur qui n’importe quel homme fantasmerait (sauf moi, c’est ma mère voyons !), cette femme dont les seins poussent constamment vers la sortie, me demandait purement et simplement de travailler ma bite pour qu’elle puisse avaler mon sperme.
Ca avait beau être médical, c’en était trop, et j’ai déchargé l’intégralité de mes couilles dans ce pauvre verre qui n’en avait pas demandé autant, en poussant un énorme râle, suivi d’un "oh ouiiiiiii !" bien rauque. J’avais l’impression d’avoir laissé mon âme en plus de mon foutre dans le verre.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort. Et j’avoue que je ne me suis pas spécialement retenu au niveau sonore... C’était génial.Mais à peine 5 secondes plus tard, elle retoquait à la porte !

J’ai ouvert de quelques centimètres en me cachant derrière la porte, toujours nu et la bite levée, quand elle a tendu la main ouverte vers le verre en me remerciant. Je l’ai stoppée dans son élan, et, toujours caché derrière la porte, mais sans la refermer, j’ai fait les va-et-vient nécessaires pour lâcher les dernières gouttes, le tout en soupirant fortement. De l’autre côté de la porte toujours ouverte, il était parfaitement impossible que ma mère n’ait pas entendu mes soupirs en comprenant que j’étais en train de finir de tirer ma bite pour elle.
Après avoir lâché la dernière goutte et un "pffffffff" bien fort, j’ai remis la tête dans l’embrasure de la porte et j’ai donné le verre à ma maman et la regardant dans les yeux. J’aurais juré avoir vu de la luxure dans son regard, mais je n’en étais pas certain à 100%.
Mais en refermant la porte, mon sang n’a fait qu’un tour : non seulement j’étais en train de me branler bien sauvagement pendant qu’elle m’attendait (et m’entendait, c’est certain) de l’autre côté de la porte ! Elle n’a même pas attendu que je me rhabille ! Il lui fallait juste mon sperme bien chaud, tout de suite ! Et comme si ça ne suffisait pas, je me suis vraiment terminé à 15 centimètres d’elle, une toute petite porte entre nous, même pas fermée !
J’ai franchement hésité à me faufiler jusqu’au salon pour la voir le mettre dans son vin et tout mettre au fond de sa gorge, mais c’était risqué, et je n’avais pas envie de briser cette confiance qu’elle me portait.Une heure plus tard, j’étais dans mon lit en train de me branler sur des vidéos pornos de faciales et autres cumshot en tout genre. Tant pis pour cette fois-là, ça finira dans un mouchoir, je n’aurais pas su comment expliquer à ma mère que je m’étais vidé encore une fois juste après sa visite.
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