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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Le lendemain matin, Odile fut aux petits soins pour son invitée, elle lui avait indiqué la salle de bain, et lui avait même prêté un peignoir.Madame Mercier s’affairait joyeusement à préparer le petit déjeuner pendant que Jessica faisait sa toilette. Sous la douche revigorante, la jeune fille ne put s’empêcher de se masturber, la domestication lui manquait déjà, terriblement.Elle se sentait comme frustrée sans cet asservissement.
Elle descendit au salon, sur la table tout était prêt, viennoiseries, pain frais, confiture et une grosse théière de thé odorant et fumant.Les deux femmes s’installèrent à table et se restaurèrent.Odile lui resservait tasse sur tasse, et faisait traîner le temps passé à table, silencieuse, parfois un peu maladroitement mondaine.
Elle semblait ne pas savoir comment aborder le sujet de leur jeux de la veille.Qu’importe, Jessica silencieuse, en petite chienne sage attendrait son bon vouloir, mais l’envie était trop forte, alors elle lâcha un:« - J’ai énormément jouit hier soir ! ».« - Moi aussi.. j’y ai prit beaucoup de plaisir !, je t’aime ma petite chienne».
A ces mots, Jessica retrouva son entrain, et se mit secrètement à espérer un week-end tout aussi festif.
Madame Mercier se leva et lui conseilla de continuer à manger, avant de s’absenter, elle lui resservit une quatrième tasse de thé.« - Je reviens, j’ai une surprise pour toi, j’espère quelle te comblera... » finit-elle dans un soupir.
Elle revint cinq minutes plus tard, avec un gros paquet cadeau, qu’elle tendit à Jessica.A l’intérieur la jeune femme découvrit quelques jouets en plastique, des sucreries, mais aussi un serre-tête avec deux oreilles de chien bien dressées, comme celle d’un berger allemand, ainsi qu’un drôle de godemiché ornementé d’une queue de chienne plus vrai que nature, tout en poil synthétique.Odile Mercier la coiffa immédiatement avec son diadème, puis elle lui mit son collier et lui indiqua d’un doigt dirigé vers le sol de se mettre immédiatement à quatre-pattes.Il restait à lui enfiler son nouveau appendice caudal.Le gode était étrange.De trente centimètres de long par cinq de diamètre, formé par une succession de grosses boules hérissées d’une multitude de picots de caoutchouc à la souplesse relative.
Elle le lui présenta à sa gueule et lui intima l’ordre de le lécher en sortant bien la langue, il fallait assurément le lubrifier avant de la mettre en place, alors Jessica obéit et enduit de sa bave le précieux accessoire, outil indispensable à son éducation. Elle s’attela à la tache, avec entrain et délectation.
Lorsque la docile l’eut bien graissé par sa salive, Odile attrapa le godemiché et l’enfonça lentement dans son anus, jusqu’au fond.Jessica était comblée jusqu’au trognon par cet enjolivement que la maîtresse fixa par un habile jeux de lanières, autour de la taille de son nouvel animal de compagnie.Celui ci déjà lui répondait en remuant son popotin, exprimant ainsi tout son contentement.
Le jouet était enfoncé aux tréfonds du cul de Jessica, celle ci compris alors le rôle des pointes. Elles maintenaient l’accessoire au fond de sa cavité en se cramponnant aux parois de son colon, c’était exaltant et fort comme supplice; Odile avait bien deviner, sa chienne avait de grosses prédispositions anales.
Elle apporta une grande psyché pour qu’elle se contemple, et la chienne se trouva belle ainsi parée.
Le thé bu se rappela alors à la mémoire de la soumise, elle avait une grosse envie de faire pipi, toutes ces tasses servies amoureusement par sa maîtresse, elle en connaissait maintenant la raison.Odile lui attacha sa laisse au cou, et avant de sortir dans le jardin, elle lui agita devant le nez un petit sac en plastique, les choses étaient maintenant claire, la chienne serait sortie pour faire toutes ses commissions, pour le plus grand plaisir de sa dominatrice.
Jessica découvrit le jardin à la lumière du jour, il était grand, bordé de grandes haies de cyprès qui le rendait impénétrable aux regards indiscrets, de toute façon, la maison était isolé en rase campagne.
Odile promenait sa chienne en laisse, lui faisant découvrir son petit parc, la petite la suivait lentement à quatre-pattes, puis elle s’arrêta d’un coup, s’immobilisant au bout de la laisse tendue pour uriner enfin.Le jet fut long et dru, la quantité de boisson bue au petit déjeuner était importante, de plus les vertus diurétiques du thé faisait leur effet.Roxane pissa longuement, sans honte ni vergogne, en fixant sa dominante du regard sans faillir.
Une fois les libations terminées, Odile enleva d’un coup sec la queue du cul de sa chienne, et c’est les cuisses imbibée d’urine qu’elle se tourna pour permettre à Madame Mercier de mieux la regarder déféquer.Odile assista avec gourmandise à la dilatation indécente de l’anus, puis à la lente sortie des grosses crottes.Elles s’étiraient longuement pour leurs inexorables descentes vers le sol, finissant par s’amonceler copieusement sur l’herbe verte.Une fois terminé, la chienne se tourna et renifla le tas nauséabond, comme le ferait n’importe quel canin.
Odile, sans la torcher, replaça l’appendice en place, c’est à dire dans le cul merdeux de la demoiselle. Elle prit soin de lui donner quelques mouvements de va-et-vient pour bien le positionner, mais aussi pour récompenser son animal d’un rapide plaisir anal.La merde fut ramassée puis jetée, et les deux repartirent pour une longue promenade matinale sur le gazon.Elle rentrèrent dans le salon, et Jessica voulue faire de grosse joie à celle qui maintenant était la garante de son dressage.
Odile lui cria « assis ! » d’un ton péremptoire, et la soumise obéit.« - Pas bougé, je reviens... » et s’éclipsa, laissant seule un instant, la pauvre petite chienne interloqué.
Elle revint dix minutes plus tard, totalement nue, tenant dans sa main un drôle de gode ceinture.La première extrémité reproduisait parfaitement le phallus d’un homme, l’autre bout était plus original, il avait la forme du sexe d’un chien, et à en juger du calibre, sûrement d’un dogue ou d’un danois.A sa base on pouvoir voir un knot de belle taille, plus vrai que nature, mais deux poires en sortaient, laissant présager du meilleur comme du pire ?
Odile Mercier enfila son jouet, puis serra les lanières avec soin, et se plaça derrière sa soumise.« - Je vais te saillir comme une vrai chienne ! », lui lâcha t-elle.
Elle entra sans ménagement la fausse bitte de chien dans le con de sa bête et commença à la limer, avec force et détermination.Roxane hurlait sous les coups de butoir, son extase était exacerbé par le souffle d’Odile dans sa nuque, elle fermait les yeux et imaginait que c’était un dogue qui la prenait...« - Tu le sens mon molosse ? », lâchait sa tourmenteuse, tout en serrant ses bras sur la taille de son esclave.De sa bouche coulait de longs filaments de bave qui finissait tous sur la nuque de son animal, et le liquide gluant, qui dégoulinait de son cou jusque sur son dos exacerbait encore plus l’extase de la soumise.
Le gros sexe de plastique limait chaque recoin de son vagin, Jessica sentait le long tube frotter sur les parois de sa chatte, taraudant inexorablement son conduit, jusqu’aux tréfonds de sa grotte pour finir sa course contre son utérus.Jessica, en un incroyable grognement, succomba d’extase, trois fois, sous les allés-et-retours du gode, mais Odile ne cessait pas pour autant ses coups de reins... excitée elle aussi par l’extrémité du jouet qui lui flattait les entrailles...
Au contraire, maintenant elle avait saisi l’une des poires qui pendouillait du godemiché et commença à appuyer dessus avec frénésie. Le knot à l’origine de belle taille doubla puis tripla de volume dans la chatte distendue de la chienne, jusqu’à l’emplir totalement.
Le sextoy confortablement inséré dans le con de la belle ne pouvait plus en sortir, et le seul chemin possible pour lui était d’avancer encore plus loin, pour venir buter en fin de course contre la matrice de Roxane.Sa minette était distendue, son ventre remplit totalement par le divin olisbos, et toute son intimité était fouillée sans relâche, sans ménagement.
Elle, hurlait toujours plus, toujours d’avantage, comblée jusqu’aux entrailles, totalement possédée.Elle jouit encore une fois, puis deux...Au troisième orgasme, Odile pressa la seconde poire, libérant ainsi, un énorme flot de faux sperme dans le ventre de son petit animal qui maintenant chancelait de jouissance.
Roxane goûta au plaisir fort d’être totalement emprisonnée et de sentir une semence abondante venir inonder son vagin. Quinze longues minutes elle laissa le nœud gonflé à l’extrême, puis Odile le dégonfla lentement, et dégagea le jouet d’amour.Un flot abondant coula du con martyrisé, inondant ses piercings, coulant dans le creux de ses cuisses.
La dominatrice, pas encore tout a fait rassasiée, introduisit une main dans le vagin de son pantin désarticulé, Jessica la laissa faire, même lorsque la seconde menotte suivit la première.Au plus profond de sa docile, Odile titillait l’utérus de son doux animal à la recherche d’une ouverture plus intime, et finit par introduire un doigt dans l’orifice dilaté. La belle prise de convulsion de contentement, s’écroula exténuée en pissant sous elle.
La souveraine se releva, mais tout d’un coup, elle remarqua la flaque d’urine.Elle alla dans la cuisine et en revint avec un martinet.« - Sale chienne, dégueulasse, tu as pissée sur mon carrelage !».
Elle commença à la punir. par de grands coups de lanières sur son dos, sur ses fesses qui déjà rougissaient sous les lanières de cuir.Roxane , penaude, acceptait la punition, elle s’était oubliée et devait en subir les conséquences, de plus la correction raviva son plaisir, attisant de plus belle la colère de Madame Mercier.La dominatrice finit par l’attraper par les cheveux, et lui plaqua la figure dans la flaque d’urine.« - Lèches, sale clébard, nettoies ta bêtise ! », et la chienne lécha toute sa pisse sur les carreaux de faïence, la figure dégoulinant de son pipi, puis elle finit recluse sur une paillasse, punie !.
Odile s’installa sur le sofa, plus loin sur sa couche, Roxane ne bougeait ni ne bronchait plus.La rousse commença à se caresser le clitoris sans regarder son précieux animal. Une fois le coït clitoridien atteint, elle commença à s’enfoncer deux puis trois doigts dans la chatte, et bientôt la main toute entière s’insinua dans son con.Elle l’enfonçait jusqu’à son poignet, de son autre main elle tendit son majeur, et se rentra une phalange dans son petit trou qui pisse, puis le doigt tout entier finit par entrer dans cet étroit fourreau.Odile hurla de jouissance et s’écroula pantoise dans le canapé. Elle resta un instant immobile, puis ouvrit les yeux, devant elle, sa fidèle chienne attendait la levée de sa punition, les yeux implorant son pardon.
Odile tapota sur le canapé, et l’appela. La soumise approcha lentement à quatre patte, Odile écarta ses cuisses pour lui indiquer le chemin qu’elle devait suivre.Roxane vint positionner sa bouche sur le trou béant de sa maîtresse, cette dernière l’attrapant fermement par la chevelure, lui plaqua la gueule sur son vagin déformé, et commença à lui pisser dans la bouche.La chienne avala tout ce qui sortit, puis une fois le jet tarit, elle lécha consciencieusement le méat, la chatte, les lèvres jusqu’à ce qu’ils furent propres.
Odile partit ensuite faire la sieste, quand à la chienne, elle dormit au pied de son lit, la bouche pleine du goût musqué de la pisse.
Odile fut prise d’une envie pressante, ses intestins la tiraillait. Elle descendit du lit, enjamba sa soumise qui dormait par terre, et se dirigea vers les toilettes puis s’assit.Elle poussait et poussait encore, et lentement se vidait, elle chiait depuis un bon quart d’heure, lorsqu’elle entendit un peu de bruit.Dans l’encadrement de la porte Roxane était là, à quatre-pattes sur le plancher flottant du couloir, la regardant piteusement, implorant le pardon pour sa bêtise sur le carrelage.Odile allait saisir le rouleau de papier hygiénique, mais se ravisât d’un coup. L’idée perverse de tester la servilité de celle qu’elle considérait maintenant comme son animal de compagnie germa dans sa tête.
Elle avait décelé l’obéissance sans faille de Roxane, tant dans la soumission des jeux sexuels que dans la punition.Sa chienne aimait être saillie et punie, mais jusqu’où, il fallait en avoir le cœur net, la tester, pour ensuite mieux la diriger.
Sans rien dire Odile se leva, elle passa silencieuse et distante devant Jessica, puis dans l’étroit corridor elle se mit elle aussi à quatre-pattes, le cul tourné vers la face de sa bête.Elle posa sa tête au sol, et tendit ses bras pour atteindre ses deux fesses qu’elle écarta largement, dévoilant son petit trou bien crotté.
Roxane compris tout de suite, et s’approchant à pas feutrés.Elle vint coller sa bouche sur l’anus maculé et commença méthodiquement à le nettoyer.La langue roulait délicieusement sur chacun des replis merdeux du cul de sa patronne.Elle s’appliquait à la toiletter, se délectant au passage de ce met délicieux sorti des entrailles de sa dominatrice, offert en pâture à l’avidité de sa gueule.Elle la pourlécha longuement, méticuleusement, dévorant chaque gramme de matière fécale, et même lorsqu’elle fut propre... elle la lécha encore et encore, jusqu’à ce qu’Odile eut jouit de cette délicieuse toilette.
Odile repartit se coucher, Roxane la suivit lentement, et à son arrivée dans la chambre, elle l’attendait, allongée sur le lit.La couette était soulevée, en signal de venir la rejoindre dans sa couche, pour lui signifier que sa discipline serait récompensée par le partage du lit du maître.Jessica se pelotonna contre elle.Son visage était encore barbouillé de la merde de sa dominatrice, alors cette dernière l’embrassa avec passion, et leur langue se mêlèrent, jusqu’à ce que le visage de la canine fut enfin propre. Puis une bonne partie de la nuit, Odile Mercier la câlina, alternant douceur et fermeté.
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