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La beurette de ses potes

Chapitre 3

Hétéro
Alors que je peine à avaler tout son foutre, Kamel se lève brusquement du fauteuil, me prend par les bras et me jette sur le sofa, je me retrouve à quatre pattes avec seulement le buste sur le matelas. Je l’entends chuchoter des trucs, mais je ne comprends rien, je n’ose pas le regarder dans les yeux, pas une seule fois nos regards se sont croisés. Il descend à ma hauteur et m’écarte les fesses, il se met à me bouffer la chatte, c’est si bon, ma tête est contre le coussin et mes bras lancés vers l’avant, je ne suis plus maître de mon corps. Très salement, il me lèche et crache sur mes lèvres et se redresse, alors qu’il continue à murmurer, je crois entendre un :
— Tu vas voir sale pute !— Hein ? Qu’est-ce que t’as dit ? Répondis-je avec une petite voix à peine affirmé.— Ferme là et prends ça ! Je vais t’apprendre à me prendre pour un con !
À peine sa phrase terminée il me pénètre ardemment. À vue d’œil, son engin parait imposant, mais une fois en moi c’est tout autre chose. J’oublie tout et je me laisse prendre par le moment, il transperce mes reins, je sens toute sa virilité me transporter, nous sommes en levrette et je sens ses cuisses et ses hanches heurter très violemment mes fesses, et j’adore ça. Je me délecte de chaque seconde de ce festival. Alors que je viens de terminer un marathon sexuel de deux jours avec un inconnu au corps parfait, je me sens heureuse comme jamais sous l’emprise de mon meilleur ami de toujours, qui, jusqu’à il y a encore une dizaine de minutes, était considéré comme mon grand frère.
Une grande claque sur mes fesses me sort de mes pensées, il devient de plus en plus violent, il m’attrape les cheveux et me tire vers l’arrière, en tant que salope confirmée, j’ai les fesses vers le haut, ce qui rend mon dos complètement courbé. Je commence à venir, mes râles se transforment en gémissements qui deviennent eux-mêmes des cris. Je tape sur le canapé en lui ordonnant d’aller plus fort. Il va plus vite, je sens la chaleur monter en moi, son sexe gonfle peu à peu, nous allons venir ensemble. C’est l’extase. Jamais je n’ai senti pareille connexion avec quelqu’un. Il se retire et m’arrose le dos de son bonheur, il me claque les fesses et pousse encore quelques râles. Alors que je reprends mon souffle, j’entends l’eau de la douche couler, je me retourne et ne trouve personne.
C’est dans ce petit moment de solitude que je réalise quelque chose : j’aime être soumise. J’ai toujours été plutôt dominatrice, je l’ai toujours été avec mes amants, je me sentais telle une lionne, mais ces trois derniers jours et mes deux partenaires m’ont montré à quelle point la vigueur et la puissance d’un homme pouvaient faire du bien à une femme si celle-ci accepte de remplir son rôle : ass-up, head-down and shut-up ! (trad : fesses en l’air, tête au sol et ferme-là) Je suis encore là, quasiment à quatre pattes sur le canapé (afin de ne pas mettre du sperme partout) lorsque l’eau de la douche arrête de couler. Je regarde dans le vide et pense à ce qui va advenir de ce qui vient de se passer. Que va t-on dire à nos amis ? Sommes-nous en couple ? Je ne sais pas.
Alors que je me relève pour prendre une douche à mon tour, Kamel me passe devant, ne prend même pas la peine de me regarder. Il sort et ferme calmement la porte. Je n’ai même pas la force de lui dire quelque chose tellement je suis étonnée de ce qu’il vient de faire. En temps normal, j’aurais sans doute tué le gars, mais là, je suis faible et vulnérable, je suis envahie d’un sentiment de doute, d’un peu de tristesse et de honte.
Je me lave et je décide de ne pas bouger de mon lit. J’allume la télé, je tente de penser à autre chose, mais je n’y arrive pas. J’entends la porte d’entrée claquer, je suis quasiment sûre que c’est Prissou, mais j’espère quand même que c’est Kamel qui va pointer le bout de son nez.
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