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Ma BFF Oriane

Chapitre 1

Lesbienne
Ça ne me rajeunit pas de me dire que cette histoire remonte à quinze ans, l’époque de mes études.Un jour, j’étais chez moi à papoter avec ma meilleure amie Oriane. Il était incroyable qu’on soit amies, tant on était dissemblables. Sur le plan physique déjà, elle était petite, mince sans être maigre, et brune, alors que j’étais grande, avec des rondeurs, et blonde. Et sur le plan de la personnalité surtout. Alors que moi j’étais ouverte et que j’enchainais les relations d’un soir ou d’un mois grand max, Oriane était timide, introvertie, et n’avait jamais eu de copain.Donc oui, à 22 ans, elle était encore vierge.Aucune honte à ça, je sais bien. Je le précise parce qu’elle, elle le vivait mal et s’en plaignait souvent, se reprochant son comportement. J’essayais de la réconforter, de la rassurer. J’évitais de lui faire des remarques du genre « Tu as tout le temps », que j’aurais trouvées déplacées surtout si, la veille au soir, je m’envoyais en l’air.Un jour donc, on était chez moi à papoter. Oriane commença à aborder une fois de plus qu’elle aimerait voir le loup. Elle m’expliqua sans honte qu’elle avait regardé un porno la veille au soir et qu’elle s’était masturbée en s’imaginant à la place de l’actrice. Ne faites pas les offensés. Vous savez bien que les filles parlent librement de sexe entre elles.Ce jour-là, je ne sais pas vraiment pourquoi, j’ai été prise d’une pulsion. Je me suis penchée vers elle, et je l’ai embrassée.Évidemment, elle a été surprise de mon comportement. Après tout, je l’étais bien moi-même. — Quoi ? Je veux simplement t’aider à découvrir ce que ça fait.Elle a souri, manifestement intimidée. Quant à moi, je me sentais prise d’une envie. Plus seulement une pulsion, une réelle envie.— Tu sais, j’ai des doigts et une langue moi aussi. Je peux te faire ce que tu vois dans certains de tes films.Elle eut l’air un peu choquée, ce que je compris. Mais elle eut l’air aussi intriguée. Sans être spécialement prête à passer le cap. Elle voulait découvrir un plaisir autre que celui de la masturbation, certes, mais elle voulait surtout se faire déflorer. Dépuceler. Dévierger (oh my ! que ce mot est laid). La conversation ne dura toutefois pas longtemps. Elle finit par se laisser tenter.À vrai dire, j’étais aussi excitée qu’elle. Je n’avais jamais rien fait avec une fille, alors que ça faisait longtemps que j’en avais envie.Nous sommes alors allées dans ma chambre. Nous n’avons pas perdu de temps. Oriane avait envie de jouir et moi, j’avais envie de la faire jouir. Nous n’avons même pas fait de fioriture. Elle a enlevé son pantalon, et sa culotte, avant de s’allonger sur mon lit, les jambes ouvertes en grand.J’ai quand même pris le temps de la regarder. Son ventre montait et descendait au rythme de sa respiration. Sa chatte était poilue, certes, mais il était évident qu’elle en prenait soin. Sa touffe noire était bien taillée, en triangle. Le reste était magnifiquement lisse.Sans réfléchir ni hésiter, je me suis mise à genoux devant le lit. En fait, avec le recul, heureusement que je n’ai ni réfléchi ni hésité, sans quoi ça aurait tout fait foirer. J’ai approché mon visage de son antre. Je l’ai regardée. J’ai aimé. J’ai reniflé. J’ai aimé. J’ai frotté mon nez sur ses poils. J’ai aimé. J’ai posé ma langue sur son clito. Elle a adoré.Même si c’était la première fois que je pratiquais un cunnilingus, j’en avais très souvent bénéficié. Je savais donc parfaitement ce que j’aimais. Je me suis donc concentrée sur son clitoris, que je titillais aussi doucement et délicatement que possible. Ses lèvres et l’intérieur de sa vulve, par contre, je les léchai avec voracité.À ma grande satisfaction, Oriane aimait beaucoup ce que je lui faisais. Je le sentais à l’odeur de sa chatte qui s’intensifiait. Au goût qui devenait plus sucré. À sa main posée sur ma tête, m’incitant à continuer. Et surtout à ses gémissements de plaisir. Elle était bruyante, ma copine. Et ça m’excitait.J’ai continué ainsi. Et les gémissements devinrent plus forts. Puis ils devinrent de petits cris. Des « Ha ! ». Des « Oui ». Des « Encore ». Et enfin, elle cria son plaisir « Ouiiiiii ! ».Heureusement que mes voisins n’étaient pas là pour le moment.Je me suis assise à ses côtés. Elle était haletante. Et elle me souriait.« Putain… Merci… C’était… Woah ! C’était… Putain… Trop bon… »Je lui ai souri à mon tour.
Si cette première fois a été spontanée et dénuée de délicatesse, nous nous sommes rattrapées par la suite. Car oui, nous ne nous sommes pas arrêtées là. Les fois suivantes ont cependant été plus douces. Déjà, nous avons fini par nous déshabiller totalement. Toutes les deux. D’abord chacune de son côté, puis mutuellement. Oriane n’est pas longtemps restée passive, car elle a très vite voulu participer et me lécher à son tour. Très vite, les caresses sont arrivées et on se masturbait mutuellement avant de passer au cunni, soit chacune son tour, soit en 69. Nous nous embrassions. Nous sucions les seins.Tout cela a monté en intensité, jusqu’au jour où Oriane est arrivée chez moi avec un paquet cadeau. J’étais étonnée car ce n’était pas mon anniversaire, et qu’il n’y avait pas de raison particulière. Je l’interrogeai donc du regard.
— Mais vas-y. Ouvre.Ce que je fis. Pour y découvrir un gode ceinture d’une taille somme toute correcte sans être immense.Pour le coup, je ne compris pas, et lui lançai un nouveau regard interrogateur.— Tu as compris, j’imagine, me lança-t-elle.— Heu… Bah, non, justement.— De quoi je me plains depuis des années ? Qu’est-ce que je veux ?— Te faire dépuceler ?— Oui. Et après y avoir réfléchi, je suis sûre de moi aujourd’hui : c’est à toi que je veux offrir ma virginité.Un flot d’émotion me submergea. Je ne m’y étais tellement pas attendue. L’idée ne m’avait jamais traversé l’esprit. Et… Elle… Elle avait vraiment dit ça ?Oriane s’approcha et m’embrassa, puis on se dirigea vers ma chambre.Nous nous sommes embrassées fougueusement. Mes mains se dirigeaient automatiquement sous son maillot pour lui enlever et lui enlever son soutien-gorge, pour caresser ces seins que je connaissais désormais si bien. Moi aussi, j’étais désormais torse nu et Oriane se pencha légèrement pour me sucer les seins.Je l’ai délicatement poussée sur mon lit, pour lui arracher tout doucement ce qu’il lui restait de vêtement. Alors qu’elle était désormais toute nue, toute à moi, je plongeais pour lui lécher la chatte. J’avais évidemment affiné ma technique depuis la première fois, et je savais comment lui procurer des orgasmes encore plus intenses, et aussi comment la faire languir.Mais elle n’attendit pas de jouir pour mettre fin à mes cunnis. Elle m’ordonna presque de me coucher à mon tour, afin que nous inversions les rôles. Et sachez qu’elle était très douée. Plus que certains hommes pourtant rompus à l’exercice. Je fus la première de nous deux à jouir, et pas qu’un peu.Puis elle ramassa le gode ceinture qui était tombé pendant nos ébats. Elle s’allongea sur le lit, ouvrant ses jambes et la porte de son antre secret.Rassemblant mes esprits, je m’équipais de la bite en plastique. C’était bizarre, je dois le reconnaitre, mais diablement excitant. Je m’installais au-dessus d’elle. Je regardais l’engin, et m’aperçus qu’il était tout à l’entrée de sa chatte. Encore un peu, et il n’y aurait plus de retour en arrière possible.— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?Elle posa ses mains sur mes fesses, ce qui, déjà, me plut énormément, mais surtout, elle appuya dessus, de sorte que je la pénètre.Elle poussa un petit cri. De douleur et de plaisir mélangés. Elle n’était plus vierge.Alors, je commençais les vas et viens. Forcément, ce n’était pas naturel pour moi et il y eut pas mal d’erreurs, mais je finis par maîtriser la chose et j’allais et venais en elle, délicatement quand il fallait, avec vigueur quand il fallait.Oriane me caressait le visage, les cheveux, le corps, les fesses. Elle-même se caressait et se titillait les seins. Nous nous embrassions comme des affamées. Elle a eu son premier orgasme très vite.L’avantage d’une bite en plastique par rapport à une vraie, c’est que ça ne ramollit jamais. Alors, une fois son orgasme passé, moment pendant lequel nous nous sommes regardées en silence, je lui ai sourit et lui ai demandé :— Prête pour un peu de rab ?— Vas-y mon amour.« Mon amour ». C’était la première fois que nous utilisions ce genre de mot. Et pour tout dire, je sentis alors une vague de bonheur traverser ma colonne vertébrale.Je l’ai encore embrassée, et je lui ai de nouveau fait l’amour. Trois fois en tout.Voici comment ma BFF est devenue mon amante. Depuis, nous sommes officiellement en couple. Nous n’utilisons que très rarement le gode ceinture, mais nous utilisons parfois les vraies bites de mecs que nous mettons dans notre lit. Rarement chacune de notre côté, le plus souvent ensemble.Elle n’est plus aussi timide, mon Oriane. C’est même devenu une pure chaudasse. Mais tout ça, je le garde pour moi.
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