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Le bidasse

Chapitre 1

Divers
3 avril 1982. Ca y est, me voilà dans le train qui m’emmène à Colmar, faire mon mois de classes et sûrement la totalité de mon service militaire. J’ai 18 ans. Bachelier depuis l’été dernier, n’étant pas doué pour poursuivre mes études, mon père m’a dit de partir sous les drapeaux. C’est la première fois que je quitte ma Gironde natale seul. Je reste optimiste, la vie dure ça ne me fait pas peur. En revanche, ce qui m’ennuie c’est la vie entouré de mecs et l’absence de filles pendant plusieurs semaines. Le week-end précédant mon départ, je suis sorti avec mes potes histoire de faire la fête et de profiter une dernière fois. J’ai réussi à sortir avec la fille du maire de mon village, mais elle n’a pas voulu aller plus loin qu’un doigtage au moment de la raccompagner chez elle. Bref, j’ai envie de baiser avant d’entrer en caserne. Je suis attendu à la caserne le 4 avril 23h00 dernier délais. Je vais donc devoir passer la nuit dans le train et passer une bonne partie de la journée de demain à traîner en ville, cela me fait espérer.Parti de la gare de Bordeaux, nous sommes 4 dans mon compartiment. Manque de bol ce sont 2 hommes et une grand-mère qui m’accompagnent. Les personnes se succèdent dans mon compartiment mais toujours pas de jolie fille à l’horizon pour me satisfaire. Il est 17 h quand mon train arrive à Paris. J’ai trois heures pour changer de gare et me rendre à la gare de l’est. Il me reste 45 minutes quand j’arrive sur le quai de la gare en question. Je me suis un peu paumé dans le métro. Mon train pour Colmar est déjà là. Le chef de gare me dit que je peux charger mes affaires après avoir vu mon billet. Je vais voyager dans un compartiment 8 places. Je ressors sur le quai fumer une clope et patienter. Certaines personnes montent prendre place, d’autres attendent sur le quai. Les minutes passent. Il reste 20 minutes quand une jeune femme m’approche et me demande si c’est bien le train pour Colmar. Je lui confirme que c’est bien lui. Elle semble soulagée d’être arrivée à temps et est très chargée."- Je suis dans la voiture 11 (dit-elle).— Vous êtes devant madame.— Merci (me répond-elle avec un large sourire).— Attendez, laissez-moi vous aider."Je hisse ses 2 valises à l’intérieur du wagon. Elle monte et dit qu’elle est à la place 26. Génial! C’est dans mon compartiment. Je lui emmène ses bagages au lieu dit et les monte dans le porte bagages. On s’installe sur les banquettes face à face. Personne n’est avec nous. Mes espérances vont-elles devenir réalité? La jeune femme est vraiment jolie. Elle a 30 ans maximum, est blonde, cheveux mi-longs, aux yeux marrons, vêtue d’un tailleur noir et rouge. Ses jambes sont longues et à l’air libre. Elle est chaussée de talons qui achèvent de la rendre séduisante et désirable. On commence à discuter. Elle est très ouverte et souriante. Elle s’appelle Brigitte et vit à Colmar. Elle était à Paris pour raisons professionnelles et n’est pas rentrée chez elle depuis une semaine. Elle n’est pas mécontente de revoir sa ville. Elle a 28 ans. Je ne me suis pas trompé de beaucoup. Je lui explique le pourquoi de mon voyage. On discute et on rigole tellement qu’on ne remarque pas que le train démarre. Je suis bien. Tellement bien que je me dis que ce n’est pas grave si je ne me la fais pas. Elle est bandante à souhait, mais les instants que l’on passe à discuter sont tout aussi agréables.22 heures. Toujours personne d’autre avec nous dans le compartiment. Nous avons été contrôlés 2 fois. Brigitte sort un sandwich et m’en offre la moitié. Je lui offre une des 2 pommes qui me restent. Notre arrivée à Colmar est prévue à 5h45. La conversation bat son plein. Brigitte est célibataire et seule depuis un mois. Son mec l’a plaquée. Elle me tend une perche ma parole."- Alors, la vie en caserne ne te fait pas peur?— Non. De toute façon il faut passer par là. En revanche, ne pas voir de filles pendant des semaines, ça va être dur.— Pour une fille, vivre entourée de mecs, ce serait le rêve (elle se met à rire. Je décide de tenter ma chance).— Je sais qu’on ne se connaît pas vraiment, mais accepterais-tu de baiser avec moi, histoire que je goûte une dernière fois au plaisir et que je patiente jusqu’à ma première permission?— Tu es direct toi et tu n’as pas froid aux yeux. J’ai 28 ans. Tu es un gamin pour moi.— Il n’y a que 10 ans d’écart et je suis pas un gamin.— Tu es puceau Bastien?— Non, depuis 2 ans.— Montre-moi ce que tu sais faire."Son air a changé. De souriante, elle est devenue plus sérieuse. Je m’assieds à ses côtés et commence à l’embrasser. Nos langues se mélangent, tandis que je passe une main dans ses cheveux avant de descendre vers son chemisier. Je passe ma main dessous et pelote sa poitrine à travers le soutien-gorge. Brigitte retire sa bouche de la mienne."- C’est bon. Tire bien le rideau j’ai pas envie de faire le spectacle pour d’éventuels voyeurs."Je suis heureux. Je vais avoir ce que je voulais. Je reviens vite m’installer à ses côtés et nous reprenons notre baiser. Brigitte a ouvert son chemisier et libéré ses seins. Je la pelote délicatement tout en l’embrassant. Je fais glisser ma main sous sa jupe et la plonge dans sa culotte. Brigitte gémit dans ma bouche. Je sens mon index et mon majeur caresser son clitoris et descendre sur ses lèvres vaginales avant de remonter sur le bouton. Elle dégage sa bouche de la mienne une nouvelle fois:"- T’es en train de me rendre folle Bastien. Montre ta queue Chou!"Je me déboutonne le jean et sors mon sexe tendu et gonflé d’excitation. Debout devant elle je lui présente mon outil qu’elle branle tout doucement. Elle lève son regard vers moi et sourit."- T’es bien membré pour un gamin.— Tu vas voir ce qu’il va te mettre le gamin."Elle engloutit ma queue dans sa bouche. Mes jambes semblent fléchir tellement je me sens bien. Brigitte fait jouer sa langue sur toute la longueur de la bite, suce le gland, descend sur les bourses, remonte, ravale. Ses mains massent mes couilles. Jamais une fille ne m’avait sucé de la sorte. Je vois l’expérience d’une femme plus âgée, ça change des coquines de mon âge.Nous voilà nus à présent. Si quelqu’un entre ici, on est mal. Mais on y pense pas. Nous sommes trop occupés à notre plaisir. Elle est allongée sur la banquette, jambes écartées, se caressant en me regardant d’un air aguicheur. Je m’assieds et l’invite à venir sur moi. Brigitte s’empale doucement les lèvres sur ma queue, me tournant le dos. C’est chaud. Je passe chacune de mes mains devant elle et saisis ses loches. Je malaxe ses tétons tandis que la belle monte et descend sur mon sexe. Je l’embrasse dans le cou. Elle sent bon, son parfum m’enivre. Je lui susurre à l’oreille:"- C’est bon de baiser avec toi."Brigitte ne répond pas et continue son va et vient, ondulant ses fesses pour mieux me sentir en elle. Elle pousse de petits gémissements. On change de position non sans s’embrasser fougueusement. La voilà un genou sur la banquette, l’autre jambe en appui au sol. Moi, je suis derrière elle. Je m’introduis dans sa grotte. Elle se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper de cri trop fort. Je pose mes mains sur ses fesses et commence à la pilonner doucement: Quelle levrette! Ses seins pendent dans le vide et bougent à chaque coup de queue. Je mouille mon index droit avec ma salive et tout en continuant à baiser ma belle blonde, je le lui enfonce dans l’anus sans qu’elle s’y attende. Brigitte laisse échapper un "Ha" de surprise et peut-être de douleur."- Pas le cul Bastien. Pas ici. Faut pas alerter le wagon Chou!"Je retire mon doigt de son cul, un peu déçu mais compréhensif. C’est pas grave, j’intensifie mes coups de boutoir. Brigitte a enfoui sa tête dans le creux de ses bras. Je sens que je vais jouir et la préviens. Elle me demande de me retirer et m’exécute. Brigitte s’assied et prend ma bite dans la main. Elle me branle énergiquement, rien à voir avec la branlette du début."- Je viens!!!"Je gicle un jet blanc au visage de ma partenaire dans un râle de plaisir. Brigitte me lèche le gland tout en me branlant pour faire sortir le reste de ma semence."- Mummmm, tu as bon goût mon chéri".Elle s’essuie le visage avec son mouchoir qu’elle me prête pour me nettoyer le bout. Puis on se rhabille. Je la remercie pour ce moment et l’on s’embrasse de nouveau. Je m’assieds. Brigitte se couche sur la banquette, la tête posée sur mes cuisses et on s’endort jusqu’au terme de notre voyage.Une fois sur le quai de la gare de Colmar, je m’apprête à la saluer quand Brigitte dit:"- Quand dois-tu être à la caserne?— J’ai jusqu’à 23 heures dernier délai.— Viens chez moi. Je t’invite à déjeuner et tu pourras te doucher. Je t’amènerais ce soir vers 22 heures.— D’accord, avec plaisir.— Je vais téléphoner à mon collègue pour lui dire que je suis fatiguée du voyage et que je ne viendrai pas bosser aujourd’hui. Et puis on a pas fini de faire connaissance toi et moi, n’est-ce pas Chou ?"
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