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Un bien beau week-end à la mer

Chapitre 1

Divers
Un coup d’œil au bulletin météo suffit pour comprendre que le seul endroit ou l’on a une chance d’apercevoir le soleil pour ce weekend du 11 novembre sera au bord de la méditerranée.Un petit tour sur internet pour réserver au dernier moment une chambre dans une maison d’hôtes, et nous voila partis en ce début de samedi après midi sur les routes et autoroutes du sud de la France.Nous arrivons, après un voyage somme toute un peu long, à la nuit tombée, dans un endroit pour le moins isolé.Nous distinguons dans la pénombre un portail.Le temps de saisir nos sacs dans le coffre, et nous avançons précautionneusement de l’endroit.Après quelques mètres, une lumière salvatrice déclenchée semble t’il par un détecteur de mouvement, nous permet d’aller plus avant.Nous arrivons au seuil d’une demeure de type provençale, et entrons.Nous sommes accueillis par une jeune femme d’une trentaine d’années, les cheveux bruns mi longs, vêtues de façon fort simple d’un jean et d’un pull.Son visage est d’une beauté gracieuse, et naturelle, sans artifice. Elle est souriante, c’est son métier me direz vous, mais on sent ce sourire sincère.Un petit regard furtif me permet de juger qu’elle semble bien faite, il faut dire que son jean dessine son corps d’une façon explicite mais nullement vulgaire.Elle s’adresse alors plus particulièrement à ma Sandra pour lui expliquer le fonctionnement de sa maison, nous distribue des prospectus sensés nous permettre de visiter des lieux intéressants, nous fournit une liste de restaurants sélectionnés par son mari et elle-même, puis nous conduit vers notre chambre à l’étage.Elle en profite pour nous dire qu’il y a cinq chambres dans la maison, toutes occupées en ce weekend prolongé.Une fois franchie la porte en bois massif mue par des gonds rustiques et apparents, nous découvrons ce qui pourrait s’apparenter à une suite, avec dans la première pièce deux lits pour enfants, dont un juste en face de la porte, et une autre chambre, parentale celle-ci si l’on en juge par le lit particulièrement large et imposant.Notre hôte prend congés de nous et nous en profitons pour examiner la décoration, qui, à l’image de la propriétaire des lieux, est simple, harmonieuse et délicate.Fatigués par le trajet, nous décidons de nous reposer un peu avant de sortir diner.Après avoir défait le lit, nous ôtons pantalons et pulls et nous blottissons dans ce lit majestueux.Nous nous étirons un peu, échangeons quelques baisers, ma main vagabonde, l’air de rien sur le corps de ma chérie, effleure par inadvertance quelques points réputés sensibles, puis s’éloigne à nouveau pour ne pas réveiller le courroux de ma douce qui serait plus enclin à ce moment précis à dormir qu’a faire des câlins.Je me risque malgré tout à quelques bisous supplémentaires et à une petite caresse des fesses de ma douce, bien évidement par-dessus le tissu de sa culotte.Je récolte un petit soupir, une petite tête, yeux fermés, qui se colle contre ma poitrine, et un joli postérieur qui se tourne légèrement, comme pour être plus accessible à mon membre supérieur ,je veux bien évidement parler de ma main.Je laisse alors cette dernière s’aventurer vers ces contrées merveilleuses et caresser tendrement ce joli morceau de chair.Malicieuse, ma main tente une légère incursion sous le tissu, oh, juste un doigt en éclaireur .Celui ci se pose délicatement à l’orée de la raie de mon amour et caresse ce petit endroit de peau si doux.Ne décelant aucune objection, mais peut être dort elle déjà, le doigt éclaireur s’aventure plus avant dans l’exploration du sillon fessier, entrainant de fait avec lui le reste de la main condamnée à se glisser sous le tissu.Dans un demi-sommeil, je profite de la douceur de la peau de ma chérie qui semble, elle, s’être complètement endormie.Mon autre main, imperceptiblement, est venue se poser sur mon ventre et commence à le caresser.Je la laisse faire, mais déjà, je la sens glisser vers mon bas ventre et se glisser sous mon boxer.
Elle se pose délicatement sur mon sexe, bouge un peu, et déploie ses doigts le long de mes testicules, qu’elle malaxe doucement.Ma main droite, sans doute vexée par l’audace de sa rivale, s’aventure alors plus avant dans l’intimité de ma femme. Elle trouve l’entrée d’une grotte et en caresse les abords, comme pour implorer une éventuelle invitation.Ma chérie se blottie encore un peu plus contre moi, et pose une de ses cuisses sur la mienne. Son bassin se rapproche du mien jusqu’à ce que son sexe touche mon corps. Lentement, elle amorce de petits mouvements de bassin pour se frotter contre moi.Je me tourne un peu vers elle pour l’embrasser, elle a les yeux fermés, mais répond à mes baisers.Sa cuisse remonte légèrement le long de la mienne jusqu’à toucher mon sexe.J’entreprends alors de lui retirer sa culotte .Elle m’y aide en relevant légèrement son bassin.Sa culotte finit alors son voyage au fond du lit aidée en cela par mon pied.La voila nue, contre moi, et je sens déjà son humidité le long de ma cuisse.Je me tourne alors sur le flanc, la serre contre moi, et approche mon sexe, maintenant bien dur, du sien.J’entre en elle lentement, avant de ressortir tout aussi lentement.Elle a toujours les yeux fermés, mais sa bouche s’est entrouverte.J’y glisse ma langue, et la pénètre à nouveau, tout aussi lentement mais un peu plus profond.Elle me suce la langue, et ondule du bassin, j’enfonce alors en elle le reste de mon membre.Elle soupire et me sert fort contre elle.Nous restons ainsi un long moment, à demi endormis, hormis nos légers mouvements de bassin.Nous sommes à l’apogée de notre désir.Ses mouvements se font alors un peu plus rapides, nos poux s’accélèrent, nous nous embrassons d’une façon plus intense.Ses doigts se crispent sur ma peau, mes doigts sur la sienne, nous accélérons le mouvement et magie de l’amour, nous jouissons ensemble, à l’unisson.Nos muscles se relâchent, mais nous restons collés l’un à l’autre, je reste en elle, et nous nous endormons.Une heure plus tard, nous nous réveillons, engourdis de nos activités, et nous apercevons qu’il est largement temps d’aller diner.Nous nous douchons rapidement, nous habillons, sortons de la chambre, mais au moment de fermer la porte, nous nous apercevons qu’il n’y a pas de serrure, juste un loquet.Malgré notre surprise nous fermons la porte comme nous pouvons et nous dirigeons vers la sortie sans croiser âme qui vive.Le repas se passe à merveille dans un bon restaurant, et le diner est copieux, peut être même un peu trop pour nous.Nous décidons par conséquent de marcher un peu avant de reprendre la voiture.Nous rentrons au gite aux alentours de 23h30 et prenons nos précautions pour ne pas trop faire de bruit.Peine perdue, puisqu’à peine franchis le seuil de la porte qu’apparait la propriétaire des lieux qui nous invite à prendre un digestif avec son mari et d’autres clients.Il y a là trois couples, dont deux visiblement retraités et un dans nos âges ainsi qu’un homme seul dans un fauteuil.Enfin quand je dis un homme, je devrais dire un colosse, genre pilier de rugby, la tête dans les épaules, et les épaules larges, dépassant du fauteuil.Il se lève pour nous saluer, et se présenter comme le mari de la patronne…Il est immense, probablement proche des deux mètres, et la main qu’il me tend semble être de la taille d’une poêle à frire.Il se penche pour embrasser ma chérie, elle parait minuscule avec ses cinquante kilos.Je la regarde lui sourire, et je sens dans ses yeux comme une certaine attirance.Son regard ne tarde d’ailleurs pas à descendre pour se poser sur une énorme bosse à l’endroit de son entrejambe.Nous nous asseyons, et commençons à discuter avec les différents convives.Rien de bien passionnant à dire vrai.Au bout d’un certain temps, les deux couples de retraités prennent congés suivis une demi-heure après par le couple de quadras.J’en profite pour demander à ma chérie si elle désire aller se coucher, mais elle semble vouloir rester un peu d’autant que nous avions débuté une conversation passionnante à propos des voyages avec nos hôtes.Le colosse a sortit à cette occasion un album photo de leur périple au brésil, destination que connait bien ma chérie pour s’y être rendue dans une vie passée.Et les voila, cote à cote, à commenter des photos, à reconnaitre des mêmes lieux visités, et à se toucher la main pour aider à tourner la page, malgré ma présence à coté d’elle et de sa femme à lui à coté de moi.Peut être aurions nous pu les laisser qu’ils ne se seraient aperçus de rien. Ce n’est que bien plus tard, une fois l’album parcouru dans son intégralité que nous pouvons enfin prendre congés, à ma demande évidement.Arrivés à notre chambre, je demande à ma chérie ce qu’elle pense de notre homme, mais elle me répond simplement qu’elle ne le trouve pas beau, mais que sa stature l’attire.Sur ces dires, nous nous endormons rapidement.
La soif me réveille en plein milieu de la nuit.Sans doute le repas d’hier soir était il trop riche.N’ayant rien à boire sous la main je décide de descendre à la cuisine.Je me lève, me dirige vers la porte, avant de m’apercevoir, heureusement à temps que je suis dans la tenue d’Adam.J’enfile donc un peignoir, et je descends en prenant garde de ne pas faire craquer le vieil escalier.Arrivé dans la cuisine, ne voulant réveiller personne, c’est donc à tâtons que je cherche le réfrigérateur. Je l’ouvre à la recherche d’une boisson gazeuse bien connue et profite de la luminosité ainsi libérée pour me chercher un verre.Je me retourne vers les placards et …manque de succomber à une crise cardiaque (j’exagère à peine) en apercevant quelqu’un assis prêt de la table.J’allume en toute hâte, et m’aperçoit qu’il s’agit de la propriétaire.« Insomnie vous aussi ? » me lance t’elle.« Plus ou moins, surtout trop mangé et soif »« Venez-vous assoir cinq minutes avec moi si vous voulez. »Je prends mon soda en main, un verre et m’assois attablé en face d’elle.La discussion s’engage sur les sujets habituels, je suppose en de telles circonstances, elle me parle de la région, des sites à visiter, etc.…puis elle me dit :« Vous êtes mariés depuis longtemps avec votre épouse ? »« En fait nous ne sommes pas mariés, et nous ne nous connaissons que depuis le printemps »« Ah je vois… »« Et vous? » renchéris je « Depuis toujours je crois…en fait, nous nous sommes connus au lycée »« C’est bien ça, une longue et belle histoire d’amour »« Longue, ça c’est sur ! »Je ne sais pas trop quoi répondre à ce qui ressemble à une certaine lassitude.Dois-je aller plus avant en considérant qu’elle a envie de se confier, ou laisser tomber et passer à autre chose ?Mais elle reprend :« Nous étions amis au lycée, puis petit à petit, nous nous sommes rapprochés, lui parce qu’il ne trouvait pas de copine, et moi parce que j’étais déçue des garçons rencontrés…  On s’est protégés l’un l’autre en fait. »« Une sorte de mariage de raison ?! »« C’est un peu ça oui, mais bon on s’aime, c’est juste que… »« Il n’y a pas de passion…Mais dites moi, vous m’avez dit qu’il n’avait pas de copine étant plus jeune, pourtant il est pas mal votre mari ?... »« Disons qu’il fait un peu peur… »« Oui c’est sur, mais les femmes aime bien les grands costauds… »« Oui sans doute jusqu’à un certain point, vous avez vu comment il est taillé ? »« Oui, il est balèze, c’est sur »« Oh mais le problème n’est pas là, le problème c’est qu’il est immense de partout… »« Euh…et c’est un problème ça ? »« C’est bien une réflexion de mec ça…vous pensez qu’on est extensible ? On ne prend pas forcement plus de plaisir avec une matraque qu’avec une bite normale…je dirais même que parfois on ne prend pas de plaisir du tout, c’est juste que ça fait mal…Dites, ça vous ennuie qu’on aille s’assoir sur le canapé, elles me font mal aux fesses ces chaises ? »Je reste un temps interloqué par sa façon de parler puis réponds par l’affirmative à sa requête.Elle se lève, et je m’aperçois qu’elle ne porte rien d’autre qu’une chemise de nuit un peu transparente et surtout très courte…au ras des fesses en fait.Elle est très belle et ses jambes sont magnifiques.Je la laisse passer devant, elle s’assoit dans l’angle du canapé en repliant ses jambes contre elle.« Vous venez vous assoir à coté de moi…ça me fait plaisir de parler avec vous…Je sens que vous ne me jugez pas, et ça fait du bien »« Pourquoi je vous jugerais, je ne connait rien de votre vie … »« Je ne sais pas…Peut être parce que on n’a jamais vraiment fait l’amour avec mon mari… »« Comment ça, jamais fait l’amour ? »« Je n’ai pas dit jamais…le problème c’est …qu’il, enfin, c’est …il ne me pénètre quasiment jamais !Trop gros…et je ne peux pas le prendre en bouche non plus…Donc on est frustrés tous les deux…mais on reste ensembleLui car il aurait du mal à trouver quelqu’un d’autre et moi parce que je l’aime…lui aussi m’aime, je n’ai pas dit ça, mais bon…ce n’est pas l’extase quoi… »« Et pendant tout ce temps, vous n’avez pas trouvé de solutions ? »« Quoi comme solution ?...lui faire rétrécir ? »Je sens de l’agacement dans sa voix, comme si elle me reprochait de ne pas lui apporter de réponse.« Excusez moi de vous parler comme ça, vous n’y êtes pour rien…je ne sais même pas pourquoi je vous parle de tout cela… »« Sans doute parce que vous en avez besoin…il faut que ça sorte à un moment donné… »« Oui sans doute… »Je la vois alors légèrement grimacer et se frotter les jambes avec les mains comme si elle avait des courbatures.« Vous avez mal aux jambes ? Vous voulez les étendre ? »« J’ai des fourmis dans les jambes…c’est vrai, cela ne vous gêne pas…Je peux les poser sur vous ? Je n’ai pas envie que vous vous éloignez de moi…enfin, je veux dire pour parler, c’est plus facile si on est proches… »Je me cale alors confortablement dans le fauteuil, et referme mon peignoir de sorte qu’il n’y ai aucun accident.Elle pose ses jambes sur les miennes, et ne sachant que faire de mes mains, je les pose sur ces jambes.« Cela ne vous dérange pas ? »« Non, au contraire »La conversation se poursuit sur sa vie intime avec son mari, le bonheur d’être avec lui, leur bonne entente dans la vie de tous les jours, mais dans le travail également, puis leur frustration sexuelle à tous les deux, lui ayant honte de ce qu’il est, elle ayant honte de ne pas y arriver…« Et vous n’avez jamais pensé à aller voir ailleurs, chacun de votre coté ? »« Comment cela ? »« Et bien, si vous vous entendez si bien que cela dans la vie, et qu’il n’y a que le sexe qui pose problème, vous auriez pu envisager de rester ensemble, mais d’avoir une vie sexuelle chacun de votre coté ! »« Si, nous l’avons envisagé un temps…on s’était même dit qu’avec le gite cela nous ferait des opportunités…mais on a jamais osé, et puis il faut trouver des gens qui nous plaisent et surtout une femme qui convienne à mon homme !!! »Au fil de la conversation, mes mains se sont mises à parcourir les jambes de mon interlocutrice. Au début quelques caresses avec le bout des pouces, puis le long du tibia et du mollet avec la paume de la main, puis enfin gentiment le long des cuisses.Elle reprend :« Vous savez, je crois à un moment que j’ai faillis faire une croix sur ma vie sexuelle, car je ne voulais pas perdre mon mari, mais c’est vrai que c’est compliqué, j’ai des fantasmes comme tout le monde »« C’est sur que ça ne doit pas être évident à vivre »« Parfois j’aimerais qu’un homme normal, enfin je veux dire pas sur-dimensionné me fasse l’amour, me caresse, me pénètre doucement, tendrement, ne pas avoir mal…et pourquoi pas avoir un orgasme »« Vous n’avez jamais eu d’orgasme ? »« Si, ça peut arriver, quand je me caresse toute seule, ou parfois très rarement quand il me lèche…Mais je vous choque peut être avec mes histoires ? »Elle ne me choque pas, et pour être franc son histoire ne me laisse pas indifférent, je sens mon sexe se gonfler de plus en plus et j’ai peur qu’elle s’en aperçoive.« Non, rassurez vous, absolument pas, continuez si cela vous fait du bien »Elle se glisse alors un peu plus dans le canapé, comme pour s’allonger, son corps se rapproche un peu du mien, ses cuisses sont à présent sur les miennes.Ce mouvement a fait glisser un peu les pans de mon peignoir, je sens l’air sur mes cuisses et m’aperçois qu’il ne reste plus que quelques petits centimètres de tissu sur mon sexe.Je regarde en sa direction et me rend compte que sa chemise de nuit qui ne recouvrait déjà pas grand-chose est remontée au niveau de ses reins.Elle ne porte rien sous sa chemise de nuit.Un peu troublé et déstabilisé, je ressens le besoin de reprendre la conversation.« Vous savez, le sexe, ce n’est pas toujours facile dans un couple, nous non plus ce n’est pas toujours évident .On a pas toujours les mêmes besoins ni les mêmes envies »Je lui caresse à présent le haut des cuisses.« Pourtant vous avez l’air heureux et épanouis tous les deux ! »« Oui, mais c’est au prix de certains sacrifices »« Comment ça ? »« Il nous arrive de faire l’amour avec d’autres personnes, par exemple »« Pourquoi ? »Ma main remonte alors sur son ventre au dessus de sa toison, elle ferme un instant les yeux et reprend sa respiration.« Pourquoi ?, parce que ma femme a des envies que je ne peux parfois satisfaire, parce que j’ai des envies qu’elle ne peut satisfaire, parce cela nous plait…en fait on n’en a jamais parlé, c’est venu tout seul. »Ma main caresse à présent son mont de venus presque intégralement épilé. Je sens son pou, comme le mien s’accélérer, et des petits mouvements s’emparer de son bassin.« Et…vous n’êtes pas jaloux de voir votre femme avec un autre homme ? »« Si bien sur, surtout quand elle prend du plaisir, mais cela m’excite également, alors… »Mon index caresse alors le capuchon recouvrant son clitoris, délicatement, l’air de rien, comme pour ne pas soulever d’objection.Je reprends alors :« Je ne sais pas si je devrais vous le dire, mais tout à l’heure, j’ai cru remarquer que votre mari et ma femme n’étaient pas indifférents l’un à l’autre. »Mon doigt se pose maintenant sur sa vulve.« Vous croyez ? Je n’ai rien remarqué… »« Je connais bien ma femme, elle aime les mecs costaud et …bien fait, et je crois bien avoir lu du désir dans son regard. »Mon doigt ressent une certaine humidité naissante à l’orée du sexe de ma compagne d’un soir, et je décide, au risque de tout gâcher, de tenter une légère intromission.Ne trouvant aucune résistance, j’imprègne mon doigt de son humidité pour aller mieux caresser son petit bouton.Elle se saisit alors de mon bras, comme pour me forcer à rester dans cette position.J’intensifie alors ma caresse.« Vous êtes bien fait alors vous aussi ? »« Non, pas spécialement, enfin je veux dire je suis d’une taille normale je crois »Elle gémit.Alors que je continue de titiller son petit bouton, j’approche ma seconde main de son sexe afin d’y introduire un doigt.Elle soulève son bassin tandis que j’amorce un mouvement de va et vient.« Oh oui, continuez s’il vous plait…vous pensez qu’elle aimerait coucher avec lui ? »« Je pense…cela ne vous dérangerait pas ? »« Je ne sais pas…je ne pense pas…s’ils peuvent prendre du plaisir, pourquoi pas ! »Mon sexe est à présent gorgé de sang et sa cuisse, à présent collée à lui n’arrange rien.Je me dégage alors de son emprise pour me placer face à elle, face à son entrejambe, je lui écarte les cuisses, et me penche afin de distiller quelques baisers sur son bas ventre.« Que faites vous ?, ce n’est pas raisonnable…ce n’est pas bien ce que nous faisons…il faudra qu’ils le fassent ensemble alors, d’accord ? »« Oui, on va organiser cela…laissez moi faire à présent »Je me lance des lors à l’assaut de son entrejambe, lui léchant le sexe, descendant jusqu’à son petit œillet, en faisant le tour, remontant jusqu’à son clitoris, le lapant avec ma langue, introduisant parfois un doigt dans son sexe.Je remonte sa chemise de nuit, afin, avec ma main restée libre de lui malaxer les seinsElle se cambre, je sens sa jouissance arriver, je me concentre à embêter son clitoris avec ma langue, alors qu’à présent deux de mes doigts s’introduisent en elle.Elle porte ses mains à sa bouche pour la couvrir, et se laisse aller à sa jouissance, je pense qu’elle voudrait crier, mais elle ne le peut pas.Son corps se tend, l’ensemble de ses muscles bande, elle est gagnée par un orgasmeJe souhaitais continuer à l’exciter avec ma langue et mes doigts, mais elle me repousse de son entrejambe.« C’est trop fort là…arrêtes un peu…mon dieu que c’est bon… »Après un court instant de flottement, elle se relève et s’assoit, me pousse vers l’arrière pour m’obliger à m’allonger, défait la ceinture de mon peignoir, et en écarte les pans de tissus.Elle me saisit le sexe et commence à me branler.« C’est mignon quand c’est petit…ça donne envie d’en manger !!! »Je ne m’offusque pas de sa remarque d’autant qu’elle se penche pour me lécher le gland.Sa langue est douce et fraiche. Elle me lèche et me caresse en même temps, je lui caresse les cheveux et les épaules.D’un coup, elle m’engloutit, puis me libère, puis recommence. Sa bouche humide et douce me procure des sensations presque jusqu’à lors insoupçonnées, à moins que ce ne soit la situation qui me fasse ressentir autant de choses, ou peut être les deux…Elle me suce avec gourmandise, avec passion, elle me malaxe les testicules, me caresse le torse, ses cheveux retombent sur mon ventre et me procurent une douce sensation.Je comprends que je ne tiendrais pas longtemps à ce régime, alors je prends les devants :« J’ai envie de te prendre…tu veux bien ?« Oui, j’en ai envie aussi…viens en moi…j’aime ta queue… »« Viens sur moi » lui dis-je « j’ai envie de te regarder me faire l’amour. »Elle enlève alors sa chemise de nuit jusqu’à lors remontée à la hauteur de sa poitrine et me chevauche.Elle n’a aucun mal à faire entrer mon sexe en elle, elle se cambre et rejette sa tête en arrière, je lui prends les seins dans mes mains.Elle ondule du bassin assez ostensiblement, je pose mes mains sur ses hanches pour la freiner un peu.« Comme c’est bon…j’avais oublié comme cela pouvait être bon… »Ne pouvant à l’évidence contrôler ses mouvements, je décide de me relever et de la faire basculer vers l’arrière.Je lui remonte les cuisses aussi haut que possible, et la pénètre en l’embrassant.Elle prend ma tête entre ses mains et m’embrasse de toutes ses forces.Je prends soin de la pénétrer avec douceur, mais avec fermeté, je ressorts, je rentre à nouveau, j’essaye de garder le contrôle, mais elle reprend ses mouvements de bassin, je me dis alors qu’il faut encore changer de position.Je me retire donc et la fait se mettre à quatre pattes sur le canapé, je me place derrière elle et la prend en la tenant par les hanches.Le plaisir est intense, pour moi comme pour elle semble t’il, je lui tapote les fesses, elle se cambre, je lui gratte le dos, descend le long de sa colonne vertébrale, elle pose sa tête et ses épaules sur le canapé.Ses fesses ainsi relevés me dévoile toute son intimité, je la trouve magnifique, j’ai envie de la prendre par son petit trou, mais je n’ose pas, je sens à présent que ma jouissance est proche mais j’ai peur de la décevoir.Je ralentis la cadence et lui demande :« Je suis presque au bout…tu veux que je vienne en toi ou tu ne préfères pas ? »« Oh non pas déjà, j’ai encore envie de toi…reste encore un peu en moi, mon bel inconnu »Comment résister à une telle supplique, sauf que la résistance, ce n’est pas trop mon truc, je ne sais pas si je pourrais tenir encore longtemps. Elle est si belle vu d’ici, ses épaules, son dos, le creux de sa colonne vertébrale, sa cambrure, ses fesses…tout me plais, m’excite, et …ne m’aide pas à tenir.Je continue ainsi encore quelques temps, ralentissant la cadence, puis accélérant, elle gémit de plus en plus fort, elle accompagne à présent mon mouvement, je sens qu’elle va jouir, moi je n’en peux plus, et je laisse enfin mon orgasme me submerger, mes mains se crispent sur ses hanches, elle crie, elle jouit elle aussi, quel bonheur, quelle chance, elle ne se retient plus, elle lâche toute la frustration accumuler tout au long de ces années.Elle m’attrape les fesses avec ses mains pour être sur que je ne m’échappe pas, pour aller ou ?, je suis bien en son antre, je jouis en elle, elle accepte mon offrande et jouit de celle-ci.Nous nous effondrons sur le canapé, moi sur elle, contre son dos, contre ses fesses.Nous nous câlinons un peu, puis elle me dit :« On n’a pas été sage hein ?...mais j’ai adoré ça !!! »« Moi aussi j’ai bien aimé, tu es tellement belle »« Merci, tu es un amour…tu vas lui dire à ta femme ce qu’on a fait ? »« Surement, ne serai ce que pour la pousser à faire la même chose avec ton mari…par contre toi, ne lui dit rien, qu’il ai l’impression que rien n’est manigancé. »« Tu as une idée ? »« Je crois…on va se coucher ? »« Ok, à demain mon bel amant…j’ai envie de te dire je t’aime mais je crois que ce ne serait pas une bonne idée ?!! »« Je ne crois pas non, et puis c’est ton mari que tu aimes, ceci n’est rien d’autre qu’une distraction.A demain »Je remonte alors dans mes appartements, ma femme dort comme un bébé, je retire mon peignoir, me couche sans faire de bruit, et dépose un léger baiser sur son front.Je ne ressens ni gène, ni culpabilité, au contraire puisque je sais que demain ce sera au tour de ma chérie de se faire plaisir.
A suivre ...
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