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De bien belles vacances

Chapitre 3

Gay
Après une bonne douche, on a préparé le repas pour dîner sur la terrasse. Malgré mes deux éjaculations de la journée, je me suis vite remis à bander en la regardant déambuler dans la maison. On mange tranquillement puis la discussion revient sur nos expériences.
— Tu sais mon chéri, je suis plutôt contente que tu ... Goûte à tout !— Goûte ? Je dirais que je fais plus que goûter ! J’ai vu Amandine plusieurs semaines tout de même. Et avec Antoine, c’était assez souvent. Tu le sais puisque tu te faisais sa mère en même temps ! — Oh !! Sois correcte quand même dit-elle en riant, on faisait l’amour ! Et puis c’est pas moi qui me la faisais comme tu dis, mais plutôt l’inverse ! D’ailleurs qui se faisait qui ? Avec Antoine ?— C’est Antoine qui me prenait... pratiquement tout le temps en fait. — Passif avec les mecs alors ! — D’ailleurs, cet après-midi, mon entretien...— Non, c’est pas vrai ! Vous avez baisé ?— Eh oui maman ! Il est pas mal, plutôt sympa. Il s’est mis à bander dans son short. Il a remarqué que je regardais. J’ai pas pu cacher que je bandais, et voilà !— Et c’est lui qui t’a pris !— Ben oui ! Et bien pris même. Le pire c’est que sa femme était dans la maison. Elle est juste venue quand je signais mon contrat.— Eh bien cela m’a l’air d’être un couple bien libertin. Comment elle est la femme ?— Maman ! Tu ne vas quand même pas débarquer chez eux comme ça !— Je peux aller voir où travaille mon garçon quand même ! ajoute-t-elle en riant, et qui profite de lui.
Toute cette discussion ne faisait que m’exciter encore un peu plus. Je n’aurais jamais pensé avoir de telles discussions avec ma mère.
— Quand t’étais jeune, tu faisais déjà tout ça ?— Mais je suis toujours jeune ! J’ai toujours été assez libérée, oui. Je t’ai déjà parlé de ton père. Lui aussi prenait du bon temps avec tout le monde. Quand il a choisi de partir, c’était pareil !
Son téléphone sonna.
— Bonsoir Mylène, comment vas-tu ?
- ...— Ce soir non, j’ai encore deux ou trois choses à faire mais demain si tu veux, viens quand tu veux, je suis seule. Julien s’est trouvé un petit boulot pour l’été.— Oui, voilà ! Apporte ta crème solaire ! dit-elle en me faisant un clin d’œil, bisous ma chérie, avant de raccrocher.— Deux ou trois choses à faire ? Et demain avec Mylène et la crème solaire ?
Elle s’approche de moi, passe la main dans mon dos en se collant à moi. Ma queue encore raide trouve sa place contre sa chatte.
— Deux trois choses parce que je ne vais pas te laisser te coucher dans cet état... et je m’occuperai de Mylène demain pendant que tu seras occupé avec ton nouveau patron.
Je bande maintenant comme un fou en la suivant vers sa chambre où on se retrouve vite enlacés sur son grand lit. Elle commence alors une fellation de rêve, mêlant caresses, succions, léchages de ma queue tout en explorant mes fesses. Je me laisse complètement aller, ouvrant largement mes cuisses pour lui ouvrir le passage. Ses doigts s’immiscent rapidement dans mon boyau alors que mon gland explore le fond de sa gorge. Plusieurs fois, elle interrompt ses caresses en me laissant à la limite de l’explosion. Je ne sais comment elle fait tout cela mais je suis dans un état second. Quand elle fouille à nouveau ma rondelle, je ne peux m’empêcher de me reculer sur ses doigts, réclamant ainsi une pénétration plus profonde. Sortant je ne sais d’où, un gode remplace alors ses doigts experts. Ma rondelle s’ouvre volontiers pour l’accueillir alors que sa langue agace toujours la corolle de mon gland turgescent. D’une main experte, elle pousse la bite de latex au fond de mes entrailles puis lime avec application mes chaires intimes, déclenchant de puissants frissons de plaisirs.
Avec mes cuisses maintenant relevées pour lui donner toute la liberté nécessaire pour me sodomiser, je râle de plaisir sous ses assauts, les yeux rivés sur ma queue surplombant mon ventre qui laisse couler un filet ininterrompu de mouille. Ma mère se caresse en même temps, jusqu’à ce qu’elle s’accroupisse au-dessus de mon visage, offrant ainsi sa chatte détrempée avec ma bouche. Elle se saisit aussi de ma queue pour la branler plus longuement, faisant monter d’un coup le niveau de plaisir. Mon cri étouffé par sa chatte arrive alors que le premier jet de sperme jaillit sur son visage. Elle jouit à son tour en m’inondant la bouche de son nectar tout en avalant ma queue gluante.Nous nous remettons doucement de nos ébats, dans les bras l’un de l’autre où je m’endors assez vite.Je me réveille seul dans son grand lit. Ai-je rêvé tout ça ?... le gode au pied du lit témoigne encore de cette soirée. Une bonne odeur de café arrive jusqu’à la chambre. Je retrouve ma mère à la cuisine, nue, en train de préparer la table du petit-déjeuner.
— Comment vas-tu mon chéri ? me dit-elle en faisant m’embrasser sur la bouche tout en se collant à moi— Très bien maman, et toi ?— J’ai très bien dormi... et toi tu as retrouvé des forces dit-elle en attrapant doucement ma queue déjà dressée. Et là ? ajoute-t-elle en passant ses doigts sur ma rondelle.— Très bien aussi... je suis prêt pour aller bosser !— On dirait que tu vas bosser avec ton cul ! dit-elle en riant— Je pense qu’il y a un peu de ça, non ?— Tu me diras ce soir ! Ne te mets pas en retard.— Mylène arrive à quelle heure ?— Je ne sais pas trop. Sans doute en fin de matinée et elle partira ... plus tard. On a plus besoin de se cacher maintenant. Si elle est encore là quand tu rentres, tu ne t’étonneras pas d’entendre du bruit !— Si vous avez besoin d’aide...— Fais le malin, tu verras comment tu vas rentrer !
J’arrête mon scoot devant le portail de Jacques et Sarah qui s’ouvre après avoir sonné. Je pousse mon engin jusqu’au garage. Jacques arrive, nu, pour m’accueillir.
— Tu peux le laisser là. Ensuite, tu peux mettre tes affaires ici, dit-il en me montrant un caisson de vestiaire.
Je retire mon tee-shirt et mon bermuda, n’ayant pas mis de sous-vêtement ce matin.
— Très bien ! Ce matin il faudrait s’occuper un peu de la piscine.
Je le suis dans les allées du jardin jusqu’au pool house. Je regarde ses fesses devant moi, bien musclées et bronzées. Lorsqu’il se retourne dans le local, il voit mon érection que je ne cherche pas à dissimuler. Il s’approche, m’attrape la queue et m’embrasse à pleine bouche.
— Je te montre comment utiliser cet attirail pour la piscine. Tu la nettoies. Après viens me retrouver dans mon bureau !
Une petite demi-heure suffit pour les consignes de la piscine, où je m’affaire pendant près d’une heure. Sarah est sur un transat, en train de lire une revue. Je peux à loisir détailler son anatomie tout en passant l’aspirateur dans la piscine, là encore sans chercher à dissimuler ma queue dressée. Une fois terminé, je range mes outils et retourne vers la maison après avoir demandé à Sarah où se trouvait le bureau. J’y retrouve Jacques en train de téléphoner. Il me fait signe d’approcher sans lâcher l’appareil. Il pivote sur son grand fauteuil pour se mettre face à moi, me présentant sa queue dressée qu’il caresse doucement. Il me fait signe de l’index d’approcher encore puis me fait mettre à genoux. Le message est clair. Je le prends en bouche tout en lui caressant les couilles. Il pose sa main sur ma tête pour accompagner ma fellation. Il n’interrompt pas sa communication dont je ne comprends rien, me poussant même vers son bureau pour pouvoir saisir des documents alors que je me glisse sous le meuble sans lâcher son membre.
Quand il pose son téléphone, je le suce toujours avec application. Son bureau est une grande plaque de verre posée sur des tréteaux. Je le vois consulter, travailler, taper à son ordinateur au travers de cette vitre. Sarah qui interpelle son mari :
— Alors ? Bien ?— Pour l’instant, rien à dire. Je lui fais signe de me sucer et il s’exécute sans discuter. D’ailleurs tu le vois bien !
Sarah peut me voir à genoux entre les cuisses de son mari, les cuisses écartées, les pieds vers l’extérieur. Je bande fort car cette situation m’excite énormément.
— Il faudrait qu’il me fasse un peu de ménage...— Si tu veux ma chérie... et puis s’il continue comme ça, je vais jouir vite je crois !— Allez Julien, Sarah a besoin de toi !
Je m’extirpe de sous le bureau pour rejoindre Madame Sarah qui m’attend près de la porte. Elle m’entraîne vers la buanderie où elle me montre les différents ustensiles pour le ménage.
— J’ai besoin que tu me fasses les poussières, et tu rangeras notre chambre.
Il y a un aspirateur, des plumeaux, des chiffons... je fais assez souvent le ménage à la maison pour savoir quoi faire. Il y a même des petits tabliers blancs, à nouer dans le dos. J’en mets un pour voir... ma queue fait une bosse devant. Il y a une sorte de sandales à talon. Je tente de les mettre mais je ne sais pas marcher avec. Je retire le tout, attrape chiffons, plumeau et aspirateur et je me dirige vers le salon.Il me faut un moment avant d’en faire le tour, puis la salle à manger. Je me dirige enfin vers la chambre où trône un grand lit. Elle est vaste, avec une salle de bains attenante. Des affaires traînent par terre. Je les mets dans le panier à linge, mais parmi elles se trouvent des sous-vêtements de madame. Comme à la maison, je les hume. J’aime cette odeur de femme, surtout quand il s’agit de cyprine laissée par une chatte excitée, et madame Sarah mouille beaucoup... Et comme à la maison, je ne résiste pas d’enfiler le string en dentelle, celui encore un peu humide... rempli d’odeur de femme... Je bande... je mouille moi aussi...Je ne remarque pas Madame Sarah qui est en train de m’observer en souriant. Appuyée contre le montant de la porte, elle me regarde déambuler un moment dans la chambre. Je suis sur le point de retirer le string pour le mettre dans le panier quand elle intervient :
— Tu peux le garder pour continuer le ménage, me dit-elle.
Le ton est gentil, aimable. Elle s’approche et réajuste la ceinture du string sur mes hanches. Un peu plus haut que je ne l’aurai fait. La ficelle est plus serrée entre mes fesses, contre ma rondelle. Ma queue dépasse largement du petit bout de tissus mais elle est maintenue contre mon ventre. Ses mains sur mes hanches m’électrisent.
— Cela te va plutôt bien en plus !
Elle me laisse seul dans la chambre. Je termine mon travail et je vais ranger mon matériel. J’accroche le string avec les tabliers dans la buanderie.Nous déjeunons sur la terrasse. Je leur propose de faire le service. Ils en sont ravis. Ils se font livrer le repas. Je n’ai que des plats à emporter.
— Apres ce petit repas, j’aimerais bien une petite pipe... dit monsieur Jacques en me regardant.
Je repousse ma chaise et me glisse sous la table. Il bande déjà bien fort et je le prends en bouche avec délectation. J’aime bien comme dessert.
— Il est vraiment parfait, dit Jacques, je ne pensais pas qu’il serait si docile !— Sais-tu ce qu’il a fait ce matin dans la chambre ? Il a mis un de mes strings ! Et je lui ai dit de finir le ménage avec— Non !!!! Il a mis lequel ?— Celui que j’avais mis hier pour aller en ville. Et il l’a bien reniflé avant de l’enfiler !— Mais c’est génial ! On est vraiment tombé sur une perle on dirait... hooooo et il suce comme une vraie cochonne... hummmm il va me faire... jouiiiiiir...— Tu ne devrais pas tout de suite. Gardes-en pour le féconder plus tard !
Monsieur Jacques se recule, la bite tendue, brillante de salive et de mouille.
— Cet après-midi, tu vas nettoyer le garage, ensuite tu pourras rentrer, me dit Monsieur Jacques.
Ce n’est pas un travail bien sexy, mais après tout, je suis ‘’l’homme à tout faire’’.Ce garage est grand et sale. Je passe du temps à trier des vieux trucs, balayer des tonnes de poussières ! Monsieur Jacques finit par venir me voir. Il est satisfait de mon travail.
— Tu as bien bossé... tu peux aller te laver dans la petite salle d’eau, là-bas, au fond.
Quel plaisir de se débarrasser de toute cette poussière ! Alors que je m’apprête à sortir, Monsieur Jacques me rejoint sous la douche. Il m’enserre dans ses bras tout en m’embrassant à pleine bouche. Il me caresse les fesses, titille ma rondelle. Je me laisse aller entre ses bras, les mains simplement posées sur ses hanches. Je lève bien haut un genou afin d’offrir mon intimité à son membre tendu. Je sens son gland pousser mon anus, sur lequel je m’appuie afin de le faire pénétrer plus vite. Il me soutient en passant son bras sous mon genou levé et en me tenant la cuisse de l’autre. Je m’accroche à son cou et je me laisse glisser le long de son pieu. Je laisse exprimer toute l’excitation entretenue toute la journée. Ses coups de reins sont puissants, profonds, qu’il accompagne d’un râle sourd. Il me lime sur la longueur de son membre. Je voudrais pouvoir me caresser en même temps mais je suis obligé de me tenir à lui. Il ne semble pas se préoccuper de mon plaisir. Il me baise pour se vider les couilles.
Je suis son jouet, son sextoy. Il accélère ses coups de reins en me pilonnant plus loin encore, comme pour me transpercer. Il se raidit soudain, sa queue encore plus tendue, sur laquelle je reste empalée, en équilibre sur la pointe du pied, accroché à son cou. Il crie sa jouissance, inondant mes boyaux de sa semence. Je le sens se vider. Je contracte mes sphincters, comme pour l’aspirer encore un peu plus. Il gémit, et redonne quelques coups de queue que je sens maintenant ramollir. Il me lâche doucement le genou. Je retrouve pied sur le carrelage et je m’agenouille. Je le prends en bouche et aspire son gland devenu hyper sensible après cette éjaculation. Il tente de reculer mais son dos touche la paroi de la douche. Je lui saisis les fesses pour mieux l’avaler, profitant de son manque de vigueur pour le prendre tout en bouche. Il gémit encore. Ma langue parcourt son gland, fait le tour de la corolle, l’aspire encore. Je connais ces sensations de douleur et plaisir irradiant le membre ramolli.
Dans un sursaut, il semble éjaculer encore. Je savoure ces dernières gouttes avant de me redresser. Il remet l’eau en route et on se rince abondamment. Il ne dit rien jusqu’à ce qu’il m’embrasse après avoir fermé le robinet.
— Tu peux rentrer ... vivement demain !— Bonsoir Monsieur Jacques, à demain.
Je reste un peu sur ma faim. J’aurais bien voulu jouir aussi !
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