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De bien belles vacances

Chapitre 4

Gay
En franchissant le seuil de notre maison, j’entends les voix de maman et de Mylène sur la terrasse. Je me demande si je dois me dévêtir ? Maman m’a bien dit que l’on pourrait être nus tout le temps…. Je jette un œil discret pour les apercevoir effectivement nues toutes les deux. Du moins le haut car je ne vois que le buste. Elles sont assises sur la banquette du salon de jardin, tournées l’une vers l’autre, en pleine discussion. Elles ont des poitrines magnifiques toutes les deux. Je retire, une nouvelle fois mes habits, pour les rejoindre. En fait je passe presque tout mon temps à poil !
— Voici mon chéri, lance ma mère lorsqu’elle m’aperçoit qui se lève pour me faire la bise. 
 Elle me fait une large sourire tout en me regardant de bas en haut, visiblement heureuse de ma ‘’tenue’’. Mylène se lève à son tour pour venir m’embrasser sur la joue. Elle a déposé ses bises tout près de la commissure des lèvres en se collant à moi, es tétons bien dressés venant se presser contre mon torse.
— Alors, cette première journée de travail ? me demande ma mére— Très bien, plutôt bien remplie ! répondis-je avec un clin d’œil— Tu t’es trouvé un boulot pour l’été ? me dis Mylène— Oui, chez des particuliers. Pour faire toutes sortes de travaux au jardin, à la maison,.. -      Tu vois la grande maison, apres la grande route, derriére le petit bois ! précise maman— Ha oui !! super maison, non ? et les proprios ?sympas ? -      Très sympas !!
 Tout en parlant, Mylène ne se prive pas de me détailler. Je bande assez fort depuis que je suis avec elles. Maman s’amuse à la regarder, me touchant le bras, les épaules, passant sa main dans mon dos. Mylène se léve pour aller prendre une cigarette. Maman me glisse à l’oreille :
— Si je te laisse seule avec elle, elle te viole sur place ! -      Pourquoi attendre que tu ne sois pas là, lui dis-je avec un grand sourire, et il ne faut que qu’elle se jette trop fort sur moi, je vais exploser en deux secondes !  -      Mais pourquoi ? -      Monsieur Jacques m’a pris sous la douche juste avant de partir et je n’ai pas joui ! et il m’a excité toute la journée ! 
 Maman prend doucement en main ma queue dressée, comme pour apprécier le niveau d’excitation auquel je suis parvenu. La douce pression de sa main me fait gémir alors que Mylène revient avec nous.
— Dites donc les petits coquins, vous faites quoi là ? -      Raconte-nous ta journée, me demande ma mère. Elle sait tout déjà entre nous !

 Elles se montrent persuasives, assises de chaque côté, leur main posée sur ma cuisse. Je leur raconte mon histoire, en omettant peut être le détail du string porté pendant le ménage.
— Combien de fois tu l’as sucé ? -      Ben….trois fois je crois… -      Et il t’a sauté ? -      Une fois….ce soir, avant de rentrer ! -      Au bout d’un mois, ce n’est plus un cul que tu auras mais une vraie chatte !  et tu n’es pas gay d’après ce que ta mère m’a dit….alors s’il te plait, viens me lécher, j’en peux plus !
 Mylène se recule sur la banquette en ouvrant ses cuisses. Sa chatte détrempée m’est offerte. Maman me regarde avec envie en faisant de même. Deux minous pour moi tout seul ! Je passe de l’une à l’autre alors qu’elles s’embrassent à pleine bouche. 
— Putain, ton fils est génial chérie ! y’a pas mieux comme sexetoy ! -      Il lèche comme un dieu.. -      Comme une déesse tu veux dire ! -      Et sa queue est super bonne !
 Sur ces mots, Mylène se redresse et se jette sur ma queue qui suinte de plaisir depuis un bon moment. Elle me fait me coucher sur la banquette pour me bouffer le sexe. Ses doigts investissent ma rondelle. Ma mère me suce les tétons.
— Pas trop vite….s’il te plait…..je vais jouir trop…..
 Elle interrompt sa fellation mais continue à me doigter.
— Il est vachement souple de la rondelle ce petit vicieux ! regarde comment je rentre mes doigts…je parie que je pourrais bientôt y mettre ma main ! -      Un mois à se faire prendre tous les jours, ça va l’ouvrir un peu ! ajoute ma mère tout en s’accroupissant au-dessus de mon visage. 
 Elle s’écarte les fesses à deux mais pour bien appliquer sa chatte sur ma bouche. Ma langue fouille ses chairs et recueille sa mouille abondante. Mylène abandonne mes fesses pour venir s’empaler sur ma queue. Je suis au fond de sa matrice, dans la chaleur de son sexe surexcité. Elle embrasse ma mère à pleine bouche en lui malaxant les seins. Cette simple pénétration suffit à la faire jouir. Je la sens frémir sur mon membre, en m’inondant de sa cyprine. Elle beugle littéralement quand ma mère lui triture le clito en même temps. Celle-ci part à son tour quand je lui aspire le sien en le mordillant. En bonne femme fontaine, elle m’asperge le visage, me remplit la bouche de sa liqueur. Mylène s’est glissée sur le côté et maman s’est assise sur un transat. Je me relève pour la rejoindre où je la couche sur le dos en lui relevant les jambes. Ma queue trouve son vagin directement et je m’y engouffre. Je la pilonne bruyamment, faisant claquer mon ventre contre elle. Elle gémit en continue, m’implore de la baiser plus fort encore.
Je m’appuie sur ses genoux, la faisant s’ouvrir d’avantage encore. Je pousse mon gland sur sa rondelle qui palpite. Ses yeux s’arrondissent et avant qu’elle puisse dire un mot, je la pénètre d’un coup, jusqu’à la garde. Un son rauque sort de sa gorge, puis se transforme en une longue plainte. Je reprends mes coups de rein dans son canal étroit, sentant le plaisir monter. Elle hurle soudain son plaisir, m’encourage à la pilonner ! je jouis enfin en criant moi aussi, déversant toute cette semence accumulée dans les entrailles de ma mére qui roule des yeux en se pétrissant la poitrine. Mylène se branle en nous regardant, spectatrice privilégiée. La tension retombe enfin. On se redresse. On se sourit. Maman m’embrasse sur la bouche. 
— C’était….divin…comment fais-tu  tout ça ?...... -      Royale ! renchérie Mylène, vraiment extra ! vous êtes géniaux tous les deux !
 Je finis par prendre congé et je monte dans ma chambre. Je n’ai même pas le courage de me doucher… j’entends à peine maman monter avec Mylène dans sa chambre, et je m’endors.
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