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De bien belles vacances

Chapitre 5

Gay
Les journées chez mes employeurs se déroulent toujours un peu pareil. Mis à part peut-être que je porte maintenant un tablier pour le ménage, en plus du string, et lorsque je les sers à table. Je n’ai eu droit aux faveurs de Madame que lorsqu’elle a fait l’amour avec son mari où elle m’a demandé de lui lécher la rondelle alors que son mari la pénétrait. A califourchon au-dessus de lui, elle venait de s’empaler sur sa queue. Les fesses bien ouvertes laissaient voir sa jolie rondelle un peu sombre. J’y ai plongé ma langue avec délice jusqu’à ce qu’elle se retourne pour se mettre dos à son mari puis se remettre le membre luisant au fond du vagin. Agenouillé entre leurs cuisses, je lui ai léché le clito jusqu’à ce qu’elle jouisse en m’aspergeant de mouille et que Jacques se répande en elle. Léchant toujours ces sexes baveux, j’ai pris en bouche la queue de Monsieur alors qu’elle glissait de son antre humide, encore bien grasse de semence. Monsieur a semblé bien apprécier la chose et Madame regardait mon travail de nettoyage. Elle me demanda alors de faire de même avec elle.
— Cela m’évitera de me lever pour laver tout ça !
Je me suis délecté de la semence de monsieur s’écoulant de la chatte de madame dans un mélange exquis de sperme et de cyprine.Cela ne l’a pas empêché de me prendre dans son bureau quelques heures plus tard avant que je ne parte. Une fois fécondé, il m’a glissé un plug entre les fesses, obstruant ainsi mon anus.
— Tu pourras le retirer ce soir, et te régaler avec mon jus !
Encore fallait-il que maman m’en laisse te temps ! Me voir arriver avec un plug dans le cul allait sûrement l’intéresser. Ce soir-là, maman est sortie alors que j’arrivai, un peu gênée de sortir ainsi.
— T’inquiète pas maman, je vais en profiter pour me coucher plus tôt !
Je me suis peut-être couché plus tôt, mais je me suis régalé en suçant le plug que j’avais au chaud dans le cul.Apres une semaine de ‘’travail’’, et les discutions avec ma mère, je me sens vraiment bien. Mes expériences sexuelles précédentes, surtout avec Antoine, me troublaient, ne sachant pas trop comment me situer.Reconnaître, et être reconnu comme bisexuel me... soulageaient. Avoir des rapports avec ma mère me comblait. Une chose me questionnait encore... Pourquoi je me sentais si bien avec un string en dentelle, un tablier, des sandales à talon haut ?Je revenais enfin chez Jacques et Sarah après le week-end. Enfin, parce que je dois reconnaître qu’il me manquait de ne pas me faire sodomiser par une vraie queue. Maman m’avait bien fait goûter à l’un de ses godes ceintures et même si cela fut fort bon et jouissif, cela ne valait une bonne vraie queue !
— Aujourd’hui, il y aura du jardinage, me dit Monsieur Jacques. Il y a du travail au fond de la propriété ! Tu vas trouver Robert là-bas. Il taille les lauriers. Vois avec lui si tu peux l’aider. OK ?— Robert ?— Il vient travailler chez nous de temps en temps. Il est un peu rustre mais bien gentil. Tu fais ce qu’il demande et tout se passera bien !
Sarah interroge son mari

— Tu le fais travailler avec Robert ? Demande Sarah à son mari, mais il va lui démonter le cul ! Tu sais comment il est monté !— Bien sûr que je le sais ! Ce que je sais aussi c’est que notre petit Julien a des dispositions particulières. Tu as vu comment il est rentré dans ce job. Au-delà de ses capacités sexuelles, à accepter les hommes et les femmes, il a cet état d’esprit de... Passif... De soumis... De se donner à fond, en pleine confiance. En plus, il prend certaines initiatives comme porter ton string, mettre le tablier. Depuis peu, il marche avec les talons..... Pour moi, c’est une sissy dans l’âme !
Je me dirige vers le lieu indiqué où je vois un homme d’une cinquantaine d’années en train de tailler une haie. Il est plutôt bien baraqué, musclé, crâne rasé. Tourné vers la haie, je ne vois que ces fesses bien musclées. Il ne porte juste que des rangers. Quand il se retourne, je peux apprécier la taille imposante de son sexe, même au repos.
— Salut, t’es Julien, c’est ça ?— Oui Monsieur— Ecoute, moi c’est Robert. Tu peux me tutoyer. Monsieur Jacques m’a dit qu’il t’avait embauché pour faire un peu tout ici, pour m’aider et que sans doute je pourrais même te baiser ! C’est vrai ?— Ecoutez... Écoute... Heu... Oui. Je dois faire ce que Monsieur Jacques demande.
Tout en parlant, je regardais son membre prendre de l’ampleur. Il avait une sacrée bite et une paire de couilles sacrément grosse.
— Commence par me sucer un peu. Ca fait déjà deux heures que je bosse !
J’ai du mal à prendre tout son gland dans ma bouche ! Je passe ma main sous ses bourses. Je les soupèse. Elles sont bien poilues.
— T’as une petite bouche ! Me dit-il en la prenant à deux mains pour pousser sa queue dans ma bouche. Ouvre plus grand ! Voilà... C’est bien... Tu vois que ça rentre un peu !
Je suis comme un pantin, accroché à sa queue. Il se retire plusieurs fois pour me laisser respirer. J’ai les yeux rougis, pleins de larmes. L’assaut suivant me met au bord du vomissement. Le haut-le-cœur est violent. Je bave énormément, formant des fils entre ma bouche et ce gland envahisseur. Pour ma part, je ne bande plus. Mais pas pour longtemps. Bizarrement, je sens petit à petit mon érection revenir. Je suis surpris de cette réaction alors qu’il me pilonne toujours la bouche avec son gros membre. Cela doit lui plaire aussi car je sens sa mouille sur ma langue. Son méat laisse couler une bonne quantité de liquide séminal transparent, comme pour lubrifier ma bouche et ma gorge. Lorsqu’il me redresse enfin, je bande à nouveau bien dur.
— Ha ha, petite fiotte ! Je te démolis la gueule et tu bandes encore ! Tu verras quand je te défoncerai ta petite chatte ! Allé, maintenant, emmène-moi ces sacs de branches là-bas !
J’ai un moment craint qu’il cherche à me sodomiser. Avec un tel mandrin, il m’aurait déchiré ! Mais comment cela peut-il me faire bander ? On travaille ainsi pendant deux heures encore, entrecoupé de séances de fellation. A chaque fois, je manque de vomir. A chaque fois, je crois étouffer. Et je bande ! Lorsqu’on regagne la maison pour le repas du midi, Robert me montre le cabanon qui lui sert de cantine.
— En plus, on peut voir la piscine et Madame Sarah en train de bronzer !— Tu la mates souvent ?— Dès que je peux... Tiens, suce-moi encore !
Agenouillé dans le cabanon, je reprends pour la énième fois son gros mandrin en bouche. Depuis tout à l’heure, je me suis amélioré. Il se penche au-dessus de moi et me passe son gros doigt dans ma raie. Il me masse la rondelle.
— T’es pas mal souple ! Tu te fais baiser souvent non ?— Assez oui, dis-je après avoir retiré le mandrin de ma bouche— Je crois bien que je peux te prendre, non ?— Houa ! Tu vas me déchirer ! — Viens par là pour voir !
Il me tire vers un vieux fauteuil rangé dans un coin et me fait mettre à genoux dessus, face au dossier. Accroupi derrière moi, je sens son souffle sur mes fesses. Il me crache sur la rondelle et glisse son index. Puis il y met un deuxième. Il me lime un moment tout en écartant les doigts. Il crache de temps en temps dans ses doigts avant de les replonger dans mon boyau. Me voilà maintenant avec trois doigts qui me dilatent mon anneau. Il pousse fermement sur sa main, amenant la partie la plus large de ses doigts sur ma rondelle.
— Tu sais que tu as une vraie chatte de petite femelle ! Regarde-moi ça comme je rentre dedans !
Il ne sait pas que depuis une bonne semaine je me fais prendre par Monsieur Jacques tous les jours et maintenant par ma mère au gode ceinture !Je m’accroche au dossier du fauteuil, écartant bien les cuisses contre les accoudoirs tout en me cambrant au mieux. Je sens ma queue battre entre mes jambes, bien raide. Ce salaud me fait du bien en fait. Lorsque ses doigts se dégagent, il semble en avoir mis quatre tout de même, je sens la pression plus souple mais bien large de son nœud qu’il vient de poser sur ma rondelle. Je gémis... De douleur.
— Non Robert, Non, c’est trop gros !— Tu as la chatte bien ouverte pourtant !
Il y remet ses doigts encore une fois, poussant profondément sa main entre mes fesses.
— Robert, fais un peu attention quand même !
La voix vient de la porte. Madame Sarah entre dans la cabane.
— Je vous ai entendus et j’étais sûre que tu essayerais de la monter ! Tiens, met s’y du gel ! Ça marchera mieux !
Je me retourne pour regarder Madame Sarah tendre un flacon à Robert.
— Et toi, tourne-toi et cambre-toi bien ! Dit-elle en me claquant les fesses.
Robert a enduit sa main de gel et revient à la charge. Je sens ses doigts glisser bien mieux, écartant mes chaires maintenant bien lubrifiées. Il s’enduit la queue avant de la présenter à nouveau et cette fois-ci, le gland glisse sur mon anus, se frayant un passage dans ma rondelle qui s’ouvre doucement sous la pression.
— Pousse, me dit Sarah qui se tient contre mes hanches comme pour me soutenir dans cette épreuve, ouvre-toi... Voilàaaa
Je pousse, mais je souffre tout de même. L’impression de se faire ouvrir en deux ! Je transpire ! Je me tiens au dossier, la bouche grande ouverte, muette, et les yeux écarquillés. Je cherche de l’air pour reprendre mon souffle.
— Laisse-le s’habituer au diamètre... Ressors doucement... Pas entièrement... Rentre maintenant... Tu vois, tu vas plus loin...
Je sens le membre glisser en moi, repoussant mes chaires vers l’extérieur quand il ressort, puis basculer vers l’intérieur quand il entre. Petit à petit je sens mon ventre se remplir. Ma rondelle s’est maintenant faite à ce diamètre, même si elle reste étirée à l’extrême. Il faut maintenant que ce pieu se fasse une place dans mon fondement. J’ai l’impression qu’il va ressortir par la gorge. Sarah, penchée vers ma tête, elle me réconforte, m’encourage.
— Il y est presque... Il va finir par passer la deuxième porte... Ce deuxième anneau qui ferme le rectum... Ensuite il va pour voir te limer...
Elle me parle tranquillement, naturellement, comme si l’introduction d’un tel pieu de chaire dans mon anus était normale. Elle me tient la tête en me souriant. Je la regarde sans pouvoir parler, tout mon esprit est concentré sur la pénétration de ce pieu de chair.Petit à petit, le glissement répété sur mes chaires intimes, puis sur ma prostate, génère une sorte d’onde de plaisir. Après la douleur vient le moment où l’on voudrait ne plus bouger pour ne pas la réveiller. On est bien, mais sans bouger. Mais ce n’est pas toi qui décides. Tu es juste un objet, un trou pour celui qui veut te posséder. Il pousse encore et encore, t’amenant au bord de l’abîme. Faut-il crier parce qu’on a mal, ou parce que le plaisir va arriver ? Heureusement que mes genoux sont bloqués contre les accoudoirs, mes jambes ne me tiennent plus. Je suis affalé sur le dossier, la tête toujours soutenue par Sarah qui me la presse contre son ventre. Robert souffle dans mon dos, m’étreignant fermement les hanches pour mieux guider sa pénétration. Il recule encore, sous les conseils de Sarah, pour verser encore un peu de gel et replonge une nouvelle fois dans mes entrailles.Je gémis, bavant sur le ventre de Sarah. La sensation a changé, se modifiant doucement en... Plaisir. Mais oui, le frottement du gland sur ma prostate vient de réveiller ma bite qui pendouille entre mes cuisses. Le sang revient gorger mon sexe. Quand enfin Robert plaque son ventre contre mes fesses, il pousse un râle de plaisir, comme un rugissement, satisfait d’avoir atteint son but. Il reste plaqué contre moi un instant, goûtant au plaisir d’avoir toute la queue avalée par un petit cul. Je suis content aussi, satisfait d’avoir pu accueillir cette bite énorme.
— C’est bien ! Me dit Sarah en se penchant pour déposer un baiser sur mes lèvres, on va faire de belles choses avec toi !
Robert a repris ses coups de reins, lents, longs. Que sa queue est longue ! Je ne peux pas me contracter dessus, tellement je suis dilaté, mais maintenant la douleur s’estompe presque complètement.Sarah s’est accroupie derrière moi et me saisit la queue.
— Regarde Robert, il arrive même à bander un peu avec ton pieu dans le cul.— C’est une vraie salope je vous dis, une vraie femelle !— Tu as sans doute raison Robert. C’est Monsieur Jacques qui va être content.
Elle nous laisse tous les deux. Robert me lime toujours, sans s’arrêter. Il souffle de plus en plus fort, me traitant de tous les noms. Je ne comprends pas grand-chose. J’ai la tête qui bourdonne, prête à recevoir l’immense explosion qui s’annonce. La boule s’est allumée au fond de mon ventre, réveillée par la queue de Robert. Elle grossit, envahissant tout mon bas-ventre et se met à monter le long de mon dos. Lorsque Robert explose au fond de mes fesses, je le suis dans les étoiles. Je crie mon plaisir en lâchant moi aussi des jets de semence. Les miennes finissent sur le fauteuil alors que celles de Robert me tapissent les entrailles, alimentant ma jouissance. Je m’effondre sur les vieux coussins, lâché par Robert et sa grosse queue qui sort avec un bruit de succion. Je sens mon cul se vider sur mes cuisses. Je frissonne encore de plaisir, de froid, de chaud, je ne sais plus. Quel orgasme ! Après la crainte, la douleur, puis cette explosion...Robert m’apporte à boire, me cajole contre son épaule. Il est presque doux après m’avoir tant tourmenté. Je ne sens plus ma rondelle, anesthésié par cet étirement forcé. Ma queue flasque est poisseuse de foutre. Il y a toujours cet instant bizarre après une telle décharge d’adrénaline, où la libido est au plus bas, où l’on se demande ce qu’on fait là, ce qu’on a fait même. Madame Sarah revient à cet instant. Elle semble contente de nous voir côte à côte, tranquille.
— Alors... Ça a été ?
Je ne sais pas trop à qui elle s’adresse. Elle est très belle, les mains sur les hanches, sur le pas de la porte. Le contre-jour détaille ses formes.
— Oui M’dame, répond Robert en premier, très bien ! C’est un bon petit cul ! C’est pas tous les jours que je peux plonger ma bite au fond d’un bon petit cul ! Bon, je retourne bosser !
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