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De bien belles vacances

Chapitre 6

Travesti / Trans
Elle le laisse sortir et s’approche. Elle s’accroupit devant moi, offrant à mon regard, non seulement sa magnifique poitrine aux tétons dressés, mais aussi une jolie vue sur son sexe glabre aux lèvres développées.
— Et toi ? Ca va ?— Oui Madame Sarah, ça va. C’était un peu dur au début... mais ça va.— Tu sais, tu n’étais pas obligé de le laisser faire— Mais Monsieur Jacques m’a dit de faire ce que Robert demandé...— Et toi, tu voulais te faire prendre par Robert ?— Ben... je... sa queue... il me l’a fait sucer plusieurs fois ce matin. Au début, j’avais du mal à la prendre dans la bouche puis c’est mieux rentré. C’est vrai que je me suis dit plusieurs fois que j’aimerai bien me la mettre dans...— D’accord Julien, c’est bien... tu obéis... Monsieur Jacques va être très content.
Tout en me parlant, elle me caresse les cuisses, puis la poitrine. Tout de suite mes tétons réagissent. Ils durcissent en pointant assez fort. Ces caresses sont douces, précises, efficaces. Elle prend mes tétines entre le pouce et l’index, les frotte, les étire un peu. L’effet est rapide. Je sens ma queue reprendre vie.
— Viens avec moi, dit-elle en me remettant debout, interrompant malheureusement ses douces caresses, il faut te laver un peu.
Elle me tient par les épaules, me pressant contre elle. Je la tiens par la taille pour la suivre, et je bande à nouveau. Pas très fort, mais ce n’est plus l’appendice petit et mou de tout à l’heure. Et en même temps que mon sexe, mon envie de continuer avec eux regonfle.Sous la douche chaude, je retrouve mes esprits alors que Sarah conte mes exploits avec Robert à son mari. Je les retrouve dans le salon. Monsieur Jacques me regarde arriver, assis dans un grand fauteuil, la bite bien dressée.
— Je suis ravi de ce que je viens d’entendre mon petit Julien ! Réussir à prendre tout le chibre de Robert... tu dois avoir la chatte un peu endolorie ?— Ça va Monsieur Jacques, la douche m’a fait du bien.— Bon, tu as un peu de ménage pour cet après-midi... ce sera plus calme.
Je vais chercher le nécessaire de ménage dans la buanderie et commence mon travail. J’ai mis le string de madame et la ficelle entre les fesses me caresse doucement la rondelle. Madame vient jeter un œil sur mon travail de temps en temps. Elle s’enquiert de mon état en venant tout près, me caressant la poitrine. Un long frisson me parcourt le dos lorsqu’elle passe son ongle sur mon téton, le faisant durcir et s’allonger.
— Tu es si récepti... ve...

Plusieurs jours durant, les journées se passent assez tranquillement, non sans une petite fellation pour Monsieur ou une sodomie au gode ceinture dans la chambre avec Madame. Je prends goût pour ce travail au final bien tranquille et agréable. Déambuler dans la maison perchée sur mes talons pour faire le ménage ne me déplaît pas du tout. Surtout quand Monsieur me croise et me passe une main agile entre les fesses. Madame use de plus en plus de qualificatifs féminins à mon égard. Il est vrai que lorsqu’elle me traite de salope alors qu’elle est en train de me pilonner les reins tout en me tirant sur les tétons cela ne fait qu’augmenter encore mon état d’excitation.
— Regarde-toi, petite chienne ! me lance-t-elle une fois mes fesses libérées de son chibre en latex en me montrant mon image dans le grand miroir de la chambre.
A quatre pattes sur le lit, les cuisses bien ouvertes, les coudes dans les draps, j’ai la croupe relevée, offerte... ouverte. Ma queue tendue perle de plaisir.Je suis maintenant imberbe, poussé par Madame à me débarrasser de tous ces poils disgracieux.
— J’aime quand tu es lisse comme une fille... me complimente-t-elle depuis cette épilation intégrale.
Cela n’a pas déplu non plus à ma mère qui, lorsque je rentre à la maison, s’offre bien volontiers à moi après lui avoir raconté ma journée.
— Julien !— Oui Madame— Dis-moi, j’aimerais que ce soir tu restes avec nous. J’ai invité quelques amis et ton coup de main serait bien venu pour le service... entre autres. Tu serais d’accord ?— Bien sûr Madame, je dois juste prévenir ma mère de ne pas m’attendre.— Bien évidemment, tu dormiras ici. Tu ne prendras pas ton scoot en pleine nuit ! Et puis, ne t’inquiète pas. Tous nos amis... vivent comme nous. Ils auront posé leurs vêtements avant même de rentrer dans la maison. — Il faudra bien me dire ce que je dois faire...— Ecoute, tu feras tout simplement le service, un peu comme pour nous à table. Je ne te cache pas que tu risques de devoir passer sous la table ou qu’un de ces messieurs vienne te prendre dans la cuisine mais je ne pense pas que cela te déplaise !— Pas du tout Madame... juste qu’avec plein de gens que je ne connais pas...— Ne te pose aucune question ! Contente-toi d’être toi-même.
Tout le reste de la journée, mon esprit est occupé par cette soirée. Et cela m’excite. Je bande sans discontinuer, sous le regard pervers de mes patrons. Monsieur ne manque pas de venir me caresser les fesses. Madame effleure bien volontiers ma tige dressée alors qu’elle me parle du service de ce soir.
— Cela me ferait plaisir que tu portes des talons ce soir. Peut-être pourrais-tu mettre aussi ces bas...
Elle me tend une paire de bas autofixants, en fine résille.
— Avec les escarpins, c’est vraiment très sexy... tu veux essayer ?
Le contact de ce tissu léger et doux dans ma main ne fait qu’augmenter encore mon excitation. Les doigts de Madame glissent sur ma verge tendue. Je frissonne de plaisir. Mes tétons se dressent. Cette femme me rend fou... folle... je ne sais plus...Elle me fait assoir au bord du lit et me montre comment enfiler les bas en les retroussant dans la main avant d’y glisser le pied. La sensation est exquise lorsque je remonte le long de ma jambe toute lisse. Je me redresse pour bien positionner la jarretière en haut de la cuisse. Une fois les deux bas enfilés, je me chausse d’escarpins à talon aiguille que Madame vient de m’apporter. Avec près de huit centimètres de talons, je prends quelques instants pour trouver mon équilibre et tenter quelques pas. Quelle sensation incroyable d’être ainsi perché, les jambes gainées de résille avec la pression des jarretières en haut des cuisses. Le grand miroir me renvoie mon image. Je suis cambré. Mes jambes sont plus fuselées, mes mollets fermes sont remontés. Je traverse la chambre plusieurs fois. Ma démarche s’améliore. Madame sourit en me regardant déambuler devant elle.
— Tu es bien jolie ainsi ma chérie. Tu te débrouilles très bien avec ces chaussures. Pose bien le talon en premier... oui, voilà... regarde au loin... fait comme si tu marchais sur une ligne... Très bien... On dirait que tu en as porté toute ta vie ! Et puis cela a l’air de bien te plaire, ajoute-t-elle en regardant ma queue dressée.
Ses précieux conseils me donnent de l’assurance. Mes jambes se croisent un peu, me faisant me déhancher. Mes fesses maintenant plus rebondies avec le port des talons semblent rouler à chaque pas. J’aime sentir le crissement des bas sur mes cuisses et la pression de la jarretière en haut de ma cuisse. Je me regarde avancer dans le grand miroir, posant une main sur ma hanche alors que l’autre vient caresser mon téton. Madame semble satisfaite et vient se coller dans mon dos. Je sens ses doigts parcourir mon dos, puis monter vers mes mamelons toujours plus durs. Tout en saisissant mes tétons entre le pouce et l’index pour les étirer, elle me souffle à l’oreille :
— Avec un brin de maquillage sur les yeux...
Elle les tire un peu plus fort
— Et si je dilatai un peu tes petites mamelles... tu rendrais fou mon pervers de mari...
Hypnotisé par mon image et ses paroles, je me laisse faire, la tête penchée en arrière, les mains posées sur ma tête pour mieux m’offrir à ses caresses. Je sens son pubis contre mes fesses et ses seins plaqués dans mon dos. Cette femme me rend fou... folle...
— Viens par-là ma chérie...
Elle me désigne la chaise devant sa coiffeuse. Je m’y assois en croisant les jambes, en me tenant bien droit. D’un petit tiroir, elle extrait deux petits tubes de plastique. Ce sont des pompes à téton qu’elle dispose avec dextérité sur ma poitrine. Mes mamelons sont aspirés dans le tube alors qu’elle tourne une vis qui tire sur le piston. Mes tétons avancent tout en provoquant une délicieuse tension. Elle ne s’arrête que lorsque je grimace un peu.
— Attendons un peu comme ça. Ils vont encore grossir un peu !
La douleur s’estompe doucement tandis que mes tétons remplissent les petits tubes. Ils doivent maintenant faire près de quinze millimètres de long. On dirait de vrais tétons de femme.Madame se penche vers moi pour m’embrasser sur la bouche.
— Sans la pompe, le téton reprendra doucement sa forme mais il sera bien plus sensible... tu vas adorer !
Elle ajoute une légère ombre sur mes paupières puis elle attrape un tube de mascara et peigne mes cils. En quelques minutes, mon regard a changé. Je suis troublé par ce que je vois dans la glace. Je suis sans voix. Madame sourit, visiblement satisfaite de son travail.
— Alors chérie ? Qu’en penses-tu ? Moi je te trouve très jolie. Laisse-moi essaye encore une chose !
De l’armoire, elle extrait une perruque brune, un carré court qui, une fois en place, termine de faire de moi une femme plutôt jolie.
— Waouh ! Vraiment génial ! — Madame, je...— Ne dis rien ! Suis-moi !
Elle m’entraîne derrière elle en me tirant par la main pour aller vers la terrasse où Monsieur est en train de téléphoner. Avant de me laisser rejoindre son mari, elle retire les pompes de mes tétons. Ils sont bien gonflés, avec l’auréole bien rouge. Ils pointent d’un bon centimètre, avec le même diamètre. Monsieur lève les yeux sur moi et reste un instant interdit.
— Mais... c’est... Julien ?— Eh oui chéri ! Qu’en penses-tu ? JULIE va rester pour nous aider pour la soirée ! Tu veux bien ?— Si je veux bien ? C’est génial !
Il me fait tourner sur moi-même.
— Eh bien, si je m’attendais à un pareil résultat !
Visiblement, je lui fais un effet terrible. Il bande très fort alors qu’il me colle contre lui en cherchant ma bouche. Il m’attrape un téton. La sensation est extraordinaire. Madame m’avait prévenu. Ils sont hyper sensibles ! Monsieur m’embrasse à pleine bouche maintenant en me malaxant les fesses.
— Allons chéri, laisse-la maintenant. Il nous faut préparer la soirée !— Tu as raison ! Sinon je la saute sur place !— Tu en auras bien l’occasion ce soir.
Madame m’entraîne à nouveau derrière elle.
— Pour le service, j’aimerais te mettre une cage de chasteté. De toute façon, tu ne devrais pas avoir à te servir de ton clito. Et je trouve tellement excitant de voir ma soubrette contrainte avec une jolie petite cage !
Dans la salle de bain, elle me fait mettre à califourchon sur le bidet.
— Un bon jet d’eau froide devrait te calmer un moment, le temps que je place... ceci ! me dit-elle en me présentant un assemblage d’anneau et de tube en plastique translucides.
L’eau froide me fait effectivement perdre toutes mes ardeurs et après un essuyage rapide, Madame place habilement un anneau à la base de mon sexe et derrière mes bourses et glisse ma queue dans le tube. Elle verrouille la cage avec un petit cadenas dont le clic de fermeture me fait prendre conscience de ‘’ l’enfermement’’ de mon sexe. L’extrémité du tube à la forme de mon gland est munie d’une petite ouverture d’où perle déjà une goutte transparente, témoignant de mon état croissant d’excitation. Ma queue se trouve rapidement à l’étroit en reprenant de la vigueur. Sensation étrange d’être vraiment à la merci de cette femme car maîtrisant dorénavant l’accès à mon sexe. Bizarrement, ne pas pouvoir bander librement me provoque la sensation étrange de sentir ma rondelle réagir. Toujours assis sur le bidet, je passe ma main entre mes cuisses et pose mes doigts sur mon anus. Je pousse sur mes sphincters, faisant ressortir mon anneau. Le contact avec mes doigts m’électrise. Je gémis doucement.
Madame s’accroupit devant moi. Elle me regarde me caresser, puis glisse sa main à son tour pour joindre ses doigts aux miens. Je lui laisse bien volontiers la place pour me caresser les tétons. Ses doigts agiles tournent un instant autour de mon puits que je contracte avant de le relâcher.
— C’est bien ma chérie, me glisse-t-elle à l’oreille, c’est maintenant une vraie chatte que tu as là... on dirait même que tu mouilles... petite cochonne...
Je gémis plus fort. Une phalange vient de passer la porte... il coulisse, me lime doucement comme une petite queue. Je me sens m’ouvrir. Mes chairs intimes accompagnent ce doigt inquisiteur lorsqu’il ressort avant de replonger toujours plus loin. J’écarte encore un peu plus mes cuisses, les yeux clos, je me caresse les tétons, alors qu’un autre doigt a rejoint le premier, me dilatant encore un peu plus.La pression de ma queue prisonnière de sa cage ne fait qu’accentuer encore le plaisir de me laisser investir par les doigts agiles de Madame. Comment fait-elle pour me mettre dans cet état-là ? Pourquoi je me sens si bien maintenant que je porte bas, talons aiguilles, perruque et mascara ? Je laisse échapper un râle de plaisir, la tête penchée en arrière. Un brasier vient de s’allumer au creux de mes reins, irradiant tout mon bas-ventre et en faisant remonter des frissons le long de mon dos. Ma queue va exploser dans son carcan. J’ai l’impression qu’on la pousse de l’intérieur. Heureusement que je suis assis. Mes jambes tremblent. La bouche grande ouverte, je regarde Madame qui me sourit sans arrêter le mouvement magique de ses doigts. Une longue plainte sort de ma bouche. Je ne contrôle plus rien. La danse des doigts dans mon ventre s’interrompt soudain, me laissant au bord de l’abîme. La braise allumée dans mon fondement est sur le point de s’embraser mais elle se contente de la maintenir bien rougeoyante. J’ai envie de jouir, de laisser exploser toute cette énergie.Madame se penche vers moi et m’embrasse. Ses doigts quittent doucement ma rondelle, laissant un vide frustrant.
— Doucement ma belle, doucement... tu es prête à recevoir nos amis...
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