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Bienvenu à la maison

Chapitre 1

Hétéro
En opération, c’était toujours pareil. Après le stress du combat et la fatigue des missions, sa voix, même au travers des parasites et de la mauvaise qualité de la liaison satellite, avait le don de me donner une trique monumentale.

Dans un théâtre d’opération difficile comme celui-là, chaque patrouille pouvait tomber dans une embuscade, chaque personne qui vous dévisageait dans la foule pouvait soudain sortir une arme ou vous sauter à la gorge. Le stress était constant, la mort omniprésente. Le danger était partout. Nous étions régulièrement réveillés par des bruits de coups de feu dans le lointain. Après des semaines, la peur et la chaleur créaient une lourde litanie, et nous avions tous un souvenir auquel nous raccrocher, une présence lointaine qui nous attendait et nous donnait envie d’avancer. Dans l’infanterie, où on se retrouvait quasiment uniquement entre hommes, les occasions d’évacuer un peu de son angoisse étaient inexistantes. Les périodes de tension, entrecoupées de moments d’action intenses, laissaient à nos périodes de calme une impression de flottement, de flou, que seule elle réussissait à égayer.

Quand elle me parlait au téléphone, elle ne montrait jamais qu’elle était inquiète. Elle savait que j’avais assez à faire avec ma mère. Elle savait que ces séparations arriveraient lorsqu’on avait décidé de passer notre vie ensemble. Et surtout, elle savait que je n’avais pas envie de passer à la rassurer le peu de temps que la situation m’autorisait à passer avec elle. Alors, très vite, elle a trouvé un moyen très différent pour me donner envie de revenir plus vite.

Quand nous parvenions à nous joindre, dès que nous avions chacun fini de prendre les nouvelles de l’autre, je pouvais sentir qu’elle passait à l’attaque. Sa voix devenait plus profonde, plus suave. Elle se gorgeait de sous-entendus. Elle me susurrait qu’elle pensait beaucoup à moi ces derniers temps, qu’elle avait du mal à trouver le sommeil sans ma présence. Que l’été arrivant, elle avait recommencé à dormir nue, et que parfois, elle laissait ses doigts se perdre entre ses cuisses. Elle me disait qu’elle trouvait le temps long et qu’elle trouvait des moyens de tromper l’ennui comme elle pouvait. Qu’elle se comportait parfois comme une très, très vilaine fille.

Quand je parvenais à la joindre pendant qu’elle était au travail, elle fermait discrètement la porte de son bureau et elle me décrivait comment elle se touchait sous sa jupe, alors même que j’étais dans le désert en train d’agoniser de chaud et de frustration. Quand elle était à la maison, elle me demandait de deviner comme elle était habillée, dans quelle position elle était et ce qu’elle faisait avec quelle partie de son corps. La solution de Cluedo torride m’excitait toujours terriblement. Quelquefois, c’était seulement cinq minutes passées à l’écouter se toucher en me suppliant de revenir au plus vite pour s’occuper d’elle. Elle était diabolique. Elle me demandait alors entre deux gémissements : est-ce que je réalisais à quel point elle était en manque ? A quel point ses doigts glissaient tout seul entre ses cuisses dans son sommeil pour creuser un vide que seul ma bite bien chaude pourrait vraiment combler ?

Elle me décrivait de quelle manière elle avait envie de me rejoindre dans le désert, de défaire mon pantalon de treillis pour avaler mon membre dans le noir. Elle me racontait comme seulement les bruits de mon membre au fond de sa gorge perturberaient le silence de la nuit. Pendant qu’elle me détaillait ses fantasmes, elle me décrivait les aller-retour que faisaient ses doigts au fond de sa chatte trempée. Elle me demandait d’imaginer ma queue suivre le même chemin et la pénétrer jusqu’au dernier centimètre. Elle n’en avait plus rien à foutre du romantisme, disait-elle, elle n’en avait plus rien à foutre du respect. Elle voulait seulement être prise comme une chienne, sans que je demande la permission. Elle voulait que je lui arrache ses vêtements, que je force l’entrée de ses orifices et que je la soulage des heures durant de ses désirs inassouvis.
Quand elle sentait qu’elle me tenait, que je buvais ses paroles, que chacune de ses phrases commençait dans un soupir et finissait dans un gémissement, que j’avais la tête qui tournait, elle me souhaitait une bonne journée avec une voix espiègle et raccrochait sans attendre ma réponse. Il me fallait un quart d’heure pour retrouver mon calme, arrêter de voir ses formes dans chaque relief du paysage, et surtout attendre que mon érection retombe. Semaine après semaine, jour après jour, elle avait réussi à m’ensorceler avec sa voix et les images qu’elle semait dans ma tête. J’étais devenu littéralement obsédé.
Mais ce jour-là, c’était ma dernière journée avant la fin de ma mission. C’était ma dernière patrouille dans cet enfer. Notre chef de section le savait et nous avait arrangé un itinéraire sans complication. Un aller, un retour, une promenade de santé. Je m’en fichais de toute manière, je n’arrivais pas à me concentrer sur la mission. Toute cette tension accumulée, l’absence d’intimité pour se soulager et la torture permanente qu’elle me faisait subir m’avaient conduit au bord de l’explosion. En parcourant du regard les civils occupés à leurs activités quotidiennes, je voyais se dérouler devant mes yeux mes fantasmes les plus sauvages. Je comptais chaque minute qui me séparait du pas de ma porte, et chacune de ces minutes était une occasion d’imaginer ce que j’allai lui faire subir. La veille, sachant que nous ne pourrions plus nous parler avant mon retour en France, elle m’avait conduit aux limites de la résistance humaine.
Je ne pense pas qu’elle était consciente de la férocité avec laquelle j’allais la prendre, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Elle m’avait dit qu’elle m’attendrait sans faute à la maison, avec impatience, qu’elle saurait me recevoir comme un roi. Qu’elle me ferait tout oublier, qu’elle me ferait tourner la tête, qu’elle me récompenserait pour ma patience et mon endurance.
***
Le bouton de l’interphone gémit quand je le pressai avec mon doigt, pendant un temps qui me semblât durer une éternité. J’avais l’estomac noué. J’avais tourné et retourné ce moment dans ma tête pendant des semaines. Malgré mon retour au calme de la vie civile, j’avais l’impression de m’apprêter à livrer un combat qui n’avait rien à envier à ceux que j’avais quittés. Je l’avais déjà visualisé une centaine de fois dans mon esprit. Je m’y étais préparé de tout mon être.

Et pourtant, je sentais une tension incroyable m’envahir. J’imaginais qu’elle devait être dans une situation de stress similaire au mien. Nous nous demandions si après tant de temps à fantasmer ce moment, et après tant d’effort pour cristalliser tout notre désir durant des semaines sur ces retrouvailles, après tant de frustration accumulée sur cet instant, si nous allions être à la hauteur de nos engagements. Si nous allions être capables de combler les désirs de l’autre. Sa voix interrompit enfin le flot confus de mes pensées.
— Oui ?
Elle avait la voix enrouée. « C’est moi » répondis-je, avec une voix blanche.
— Monte.
Dit-elle. Ce furent les derniers mots articulés que nous avons échangés ce soir-là.

Je montais les marches une par une, en maîtrisant difficilement mon envie de me ruer jusqu’au pas de la porte de notre appartement. J’étais parti directement après le sas de fin de mission. Rien d’autre n’aurait pu me détourner de mon objectif. Je lui avais simplement envoyé un message, « Arrivé », pour limiter au maximum les interactions. J’avais fait exprès de garder mon uniforme, pour conserver un soupçon du parfum du désert et du combat. Je voulais qu’elle ait affaire au même soldat en guerre qu’elle imaginait dans ses fantasmes quand elle prétendait me rejoindre en opération.
Je m’efforçais de maîtriser mon allure, d’une part pour garder mon calme, mais surtout parce que je voulais la faire languir. Je sentais qu’elle était dans le même état que moi, que chaque seconde d’attente lui paraissait durer une éternité. Je savais qu’elle tendait l’oreille et qu’elle tressaillait à chaque bruit. Je savais que plus l’inexorable moment de nos retrouvailles approchait, plus son estomac se nouait et son cœur s’accélérait. Je voulais savourer ma revanche sur toutes les frustrations qu’elle m’avait fait endurer.

J’arrivai enfin sur le palier et traversai le couloir jusqu’à la porte de l’appartement d’un pas calme et décidé. Sur le pas de la porte, je marquai une pause. Je savais qu’elle m’avait entendu, et j’étais sûr que le suspens était en train de la faire exploser quand je toquai trois coups lents sur la porte. Un instant plus tard, la porte s’ouvrit.

Comme dans un rêve, elle apparut dans l’encadrement et me fit face, provocante. Elle était encore plus belle et plus excitante que dans le plus fou de mes fantasmes. Ses longs cheveux lâchés, elle portait seulement un ensemble en dentelle que je voyais pour la première fois et qui lui donnait une aura surnaturelle. Elle était frêle et déjà tremblante d’excitation. Son parfum me frappa de plein fouet et me mit dans un état de frénésie incroyable, un mélange de cette odeur féminine que je reconnus immédiatement et d’autres choses, musqué et sensuel. Toute la tension qui s’était accumulée au cours des derniers mois et dont je pensais qu’elle avait atteint son indubitable sommet fut encore multipliée par mille quand je croisai son regard. Je vis le feu dans ses yeux, et je pus confirmer tous mes soupçons sur son état de trac et de désir. Le temps se figea, alors qu’aucun d’entre nous ne se décidait à rompre le silence.
Une fraction de seconde plus tard, dans un claquement, nous nous jetâmes l’un sur l’autre. Elle sauta dans mes bras, et pendant que je la soulevais dans les airs, je rentrai dans l’appartement, claquai la porte et la plaquai contre le mur. Nos lèvres se cherchèrent frénétiquement, et leur rencontre déclencha en nous un gémissement étouffé de soulagement. Je partis à l’attaque de sa bouche qui me rendit mes baisers avec avidité. Elle avait les yeux fermés, ne profitant que de brèves respirations pour contempler l’excitation dans mon regard, avant de replonger dans notre corps à corps passionné. Nos esprits étaient exclusivement concentrés sur les sensations provoquées par ce baiser, enivrés par nos parfums entremêlés. Je sentais sa langue jouer avec la mienne, m’attirant à elle pour me mordre, jouant avec moi comme je jouais avec elle.

Très vite, je ressentis le besoin de la toucher, de l’agripper, de la posséder. Je saisis ses fesses à pleine main, utilisant ce prétexte pour serrer son bassin sur ma verge. Elle dut en sentir toute l’ampleur contre son sexe puisqu’elle gémit et frémit à ce contact. Dans une vaine tentative pour accroitre encore l’intensité de cette réunion à travers le fin tissu de sa culotte, elle leva une jambe et la glissa le long de ma hanche, exposant encore plus son intimité à la bosse palpitante de mon désir. J’en profitai pour la soulever, comme une plume, en soutenant ses fesses, le bout de mes doigts au bord de son antre, à la limite de s’y glisser et de la pénétrer par-derrière. Tout en continuant de me dévorer la bouche, elle joignit ses pieds dans dos et profitât de la fermeté de ma prise pour onduler son corps à moitié nu, offert et chaud contre mon érection. Du bout de mes doigts, je sentais les prémisses de cette humidité qui imbibait son entrejambe.

Tout en la tenant fermement contre moi au-dessus du sol, je naviguai au jugé dans l’appartement, comme ivre, en direction de notre chambre. Je renversai sans même faire attention le mobilier sur notre passage, jusqu’à atteindre notre lit, sur lequel je la jetai à quatre pattes sans aucun ménagement. Haletante, elle se cambra, m’offrant la vue de sa merveilleuse chute de reins, et me lança un regard enflammé qui signifiait « fais-moi tout ce qui te passe par la tête ». Toujours habillé, je m’installai à genoux sur le lit derrière elle, poussant ma trique entre ses fesses. Elle me rendit cette poussée avec encore plus d’ardeur, en jetant son bassin en arrière contre le mien, comme si elle voulait déjà que je la pénètre à travers nos vêtements. Tout en prolongeant ce délicieux contact, j’enlevai rapidement ma veste, le jetai avec mon T-shirt derrière moi, et défis ma ceinture et les premiers boutons de ma braguette.
Agrippant ses cheveux d’une main, je la redressai d’une tirée sèche, à la limite de la brutalité. Cette manipulation sauvage sembla l’enflammer davantage, et elle jeta ses bras en arrière pour me caresser les cheveux, poser sa tête en arrière contre mon torse et guider mes lèvres contre les siennes. Je lui rendis son baiser avec passion, et profitai du fait qu’elle était de dos contre moi et que son ventre était offert pour relancer mes mains à la conquête de son corps.
Avec ma main gauche, j’attrapai son sein droit, l’enlaçant ainsi complètement, plaquant son petit corps contre mon torse musclé et endurci par la vie militaire. Après avoir palpé sa poitrine sous la dentelle fine de sa lingerie, je glissai ma main sous son soutien-gorge pour saisir directement sa chaire brulante et lourde. Elle contint un premier gémissement étouffé. Je glissai alors ma main droite en direction de son bas-ventre, parcourant de mes doigts le long de ses lèvres jusqu’à atteindre son clitoris à travers sa culotte. Alors que je commençais à y dessiner des petits ronds avec la pulpe de mon doigt, je lui arrachai un second gémissement, qu’elle ne put cette fois pas contenir. Interrompant le contact entre nos lèvres, elle manifesta son plaisir par un soupir. Elle reprit tant bien que mal notre baiser, le corps parcouru de spasmes, provoqués tantôt par mes doigts qui pinçaient son téton droit, tantôt par ma main qui me glissait sous sa petite culotte pour investir son sexe.

Le bassin coincé entre ma verge contre ses fesses et mes doigts qui fouillaient sa chatte trempée, et la poitrine plaquée contre la mienne par mon étreinte, elle était complètement à ma merci. Elle le savait parfaitement et s’abandonnait avec délice à mes manipulations. Les yeux fermés, le corps contracté, son esprit était focalisé sur les ondes de plaisir qui la parcouraient de part en part.
Je fus soudain envahi par l’irrémédiable envie de la posséder complètement, de déverser dans son corps des semaines de tension accumulée et de la brutaliser sauvagement. Je rompis alors notre corps-à-corps et la poussai en avant. Elle comprit immédiatement que le moment était venu et ne prit même pas la peine de se mettre à quatre pattes. Elle plaqua directement sa tête contre les draps, étalant les bras devant elle pour se préparer à amortir les chocs qui allaient inévitablement se produire. Elle était aussi cambrée qu’il est possible de l’être, tendant son cul magnifique vers moi. Elle était complètement offerte, sa chatte visible par transparence à travers sa culotte mouillée. Alors que je libérais ma verge de sa prison et qu’elle tombait lourdement entre ses fesses, elle se mit à frémir, haletante. Après avoir baissé sa culotte, saisissant ses reins d’une main, et mon sexe de l’autre, j’entrepris de profiter de ces dernières secondes de lucidité pour la faire agoniser de désir.
Je fis glisser mon gland le long de ses lèvres intimes, lentement, en insérant mon membre palpitant d’un centimètre avant de repartir. Désespérée, elle tentait de me faire venir en elle en lançant son bassin en arrière, mais je contrecarrais ses plans en me reculant et en lui refusant ce plaisir. N’y tenant plus, elle me lança un regard suppliant et s’exclama « Baise-moi, je t’en supplie ! ».
Je la pénétrai d’une traite, comblant tout le vide de son sexe brulant et trempé. Elle gémit de soulagement. Lentement, je me retirai, en tenant fermement son bassin, puis à nouveau, je m’enfonçai en elle, lui tirant un nouveau couinement de plaisir. J’avais une vue incroyable sur ses reins, et son bassin cambré me laissait voir l’entièreté de sa chatte, complètement offerte. Je pouvais voir mon chibre couvert de mouille qui était comme aspiré par l’intérieur de cette grotte torride. La levrette me donnait un accès si direct et si profond à son ventre que je devais me contenir pour ne pas ravager le fond de son ventre moite. Alors que je commençais à augmenter la cadence et la force de mes coups de reins, que ma queue s’enfonçait encore et encore en dilatant son vagin étroit, elle mordait les draps pour contenir ses gémissements. Chacun de mes coups de bite claquait contre ses fesses et la secouait entièrement.
Inlassablement, je la bombardais, agrippé à ses reins, dans un corps à corps explosif et bruyant. Des torrents de mouille ruisselaient entre ses cuisses et ponctuaient chacune de mes pénétrations par un claquement mouillé.
Profitant d’un ralentissement de cadence temporaire, je m’inclinais sur elle pour agripper ses seins, en continuant un rythme de pénétration soutenu. Se redressant sur ses coudes, elle tourna le cou pour m’offrir ses lèvres. Ce genre de baisers passionnés m’enflammaient à nouveau, et je recommençais à la pilonner sauvagement, et ses râles de plaisir rompirent le contact entre nos bouches. En me regardant droit dans les yeux, toujours en reculant avec force son bassin pour s’empaler sur moi, elle me dit avec une voix enrouée « Je veux que tu jouisses au fond de moi ».
C’en était trop pour moi. Je relâchai toutes mes barrières, me libérai du peu de retenu qui me restait et commençai à la pénétrer de toutes mes forces. Je me concentrai exclusivement sur les sensations de son vagin brulant qui enserrait mon sexe, comme une ventouse qui m’aspirait en elle et qui se contractait autour de mon membre à chaque aller-retour. Elle tendit une main en arrière pour m’encourager et m’accueillir encore plus profond, comme un assentiment, une bénédiction, pour la ravager comme bon me semblait. Elle ne contenait plus ses gémissements, et je la voyais elle aussi perdue dans un autre monde, entièrement soumise à ma merci.
Je sentis cette onde de chaleur caractéristique qui partait de la base et qui remontait le long de mon sexe, en se diffusant comme une vague dans le reste de mon corps. Haletant, je me mis moi-même à gémir en augmentant encore l’intensité de la pénétration. Elle sentit qu’elle était sur le point de gagner le combat et continua d’envoyer son bassin en arrière s’empaler sur ma bite jusqu’à la garde, en manifestant bruyamment son plaisir. Je sentis les muscles qui m’enserraient se contracter, tandis que mon membre palpitant libéra dans un soubresaut de longues giclées de sperme que je déversai au fond de son ventre. Je profitai de ces dernières pénétrations, divines, presque douloureuses, pour l’accompagner à son tour au bord de son orgasme. Elle fut à son tour saisie de frénésie, et acheva dans un râle de s’empaler contre moi.
Je m’effondrai à ses côtés, et alors qu’elle se lovait contre moi, je l’enlaçai, encore tremblant, l’esprit embrumé. Elle glissa un baiser sur mes lèvres et me dit d’une voix douce :— Bienvenu à la maison, mon amour.
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