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Chapitre 2

Hétéro
• • — La main.
Je prends sa main droite et je l’amène lentement, paume ouverte, contre ma joue, où je la tiens quelques secondes. Je regarde Guillaume dans les yeux, il n’écarte pas son regard. Ma main tremble un peu, j’espère qu’il ne s’en rend pas compte. Je réfléchis un court instant et je me jette à l’eau : je dépose un bisou rapide au creux de sa paume avant de lui rendre enfin sa main.
J’ai un peu peur d’avoir été trop loin. S’il était toujours aussi à cheval sur le règlement, il pourrait d’ailleurs me faire remarquer que j’ai touché sa main avec deux endroits différents de mon corps, mais gentleman, il ne dit rien. D’ailleurs, nous ne parlons pratiquement plus maintenant en nous échangeant les cartes.
C’est lui, cette fois, qui se retrouve avec le pouilleux. Je fais semblant de réfléchir un peu et je lui fais un sourire.
• — Je veux que tu enlèves… ton tee-shirt !
Je réalise aussitôt que ce n’est pas à moi de choisir le vêtement, mais il s’exécute sans rien dire et jette le tee-shirt en boule sur le canapé. Je pose un regard rapide sur ses bras, sa poitrine, ses abdominaux, et je note au passage qu’il doit s’entretenir physiquement parce que les muscles sont secs et plutôt saillants. Il a un très léger duvet brun au milieu de la poitrine et autour du nombril. J’aime bien, mais je n’ose pas regarder plus longtemps, il pourrait penser que j’y prends plaisir !
La manche suivante est encore pour moi. Je lui demande d’enlever autre chose et il choisit cette fois ses chaussettes. Je trouve que c’est un bon choix, car torse nu et chaussettes, à mon avis, ne font pas bon ménage.
Pour accélérer le jeu, nous sommes maintenant passés à 11 cartes distribuées seulement, c’est-à-dire toutes les figures sauf le valet de trèfle. Mauvaise série pour Guillaume : il perd à nouveau. Est-ce qu’il serait en train de tricher ?
• — Mon cou.
Il approche ses lèvres de l’endroit demandé et, à ma grande surprise, baisse légèrement la tête pour l’approcher du sillon entre mes seins dont je parlais tout à l’heure. C’est une fente très brune et qui paraît profonde grâce à un soutien-gorge un peu ajusté et qui rapproche les deux seins l’un de l’autre. Il y pose ses lèvres, sans un son. On ne peut pas vraiment parler d’un bisou dans le cou. Très, très agréable, mais un peu court. Dommage…
Nous éliminons les paires très rapidement maintenant et, cette fois-ci, c’est moi qui reste avec le vilain valet. J’enlève mes chaussettes, comme ça on est à égalité. Mes pieds, par exemple, voilà quelque chose dont je ne raffole pas. Je les trouve trop larges, trop potelés, pas assez féminins, un peu comme mes mains. Mais je les soigne et je vernis les ongles, avec une couleur rouge très foncé. J’ai aussi un bracelet autour de la cheville gauche, pour habiller un peu mes pieds nus. J’ai pourtant l’impression que Guillaume les observe avec beaucoup d’attention. Parce qu’il n’ose plus me regarder dans les yeux, peut-être ?
Nouvelle manche qu’il perd. S’il fait exprès, c’est tant pis pour lui, j’exige encore un vêtement. À lui de savoir où s’arrêter. Il a un petit rire en enlevant son pantalon et me dit que quand je perdrai à mon tour, il ne me fera pas de cadeau. À vrai dire, j’espère bien qu’il ne m’en fera pas et je crois qu’il le sait.
Ses cuisses et ses mollets sont musclés aussi, et couverts du même duvet que le tour de son nombril. J’aime beaucoup. Je n’aime pas les singes, mais je n’aime pas non plus les garçons lisses comme des filles. Sa peau a l’air douce. Du même coup d’œil, je découvre son petit boxer en lycra bleu marine. Le petit renflement sur le devant ne m’a pas échappé non plus. Je le photographie mentalement, mais je n’ose pas m’attarder sur cette idée pour l’instant.

Je perds la manche suivante, et ce n’est pas trop tôt, parce que je ne savais plus quoi lui demander. Ça ne me déplairait pas qu’il enlève son slip, mais je ne le lui demanderai pas ! Et puis, il refuserait, je suppose. Du coup, c’est à moi d’enlever quelque chose. Qu’est-ce que je peux montrer ? Mes jambes ? Mes seins ? Je choisis finalement mon tee-shirt plutôt que mon jean, parce que j’ai envie qu’il voie ma poitrine et parce qu’elle est protégée par un très mignon soutien-gorge Etam gris pâle à dentelles. Il est un peu juste (je prends toujours le bonnet inférieur, le B), mais il la met bien en valeur. Je passe donc le tee-shirt au-dessus de ma tête, en détachant bien les gestes, en profitant de ce moment où il voit ma poitrine mais pas la gêne sur mon visage, et je pose le tee-shirt à côté de nous, sur les coussins. Mes cheveux retombent un peu en désordre sur mes épaules et un peu sur mes seins aussi. On se regarde en souriant, sans rien dire, et on reprend les cartes. Je ne sais décidément plus trop quoi dire, et pourtant après un petit moment d’embarras, je me sens drôlement bien.
C’est lui qui perd. Je ne sais pas trop pourquoi, par défi, je choisis mon ventre. Il décide de le toucher avec le sien. Nous rions, parce qu’il aurait pu choisir un endroit plus pratique d’accès, mais je crois qu’il est aussi nerveux que moi. Il va être, au minimum, obligé de m’effleurer la poitrine, parce que je ne vois pas trop comment il va pouvoir l’éviter s’il veut que nos nombrils entrent en contact ! Il s’approche à quatre pattes et m’attire à lui, son visage contre mon oreille droite, pendant que nos poitrines se frôlent. Nos ventres finissent par se toucher maladroitement au niveau du nombril, et Guillaume s’écarte aussitôt. Quelque chose a changé dans sa façon d’agir. J’ai l’impression qu’il est gêné. En baissant les yeux, je vois tout de suite pourquoi : il bande, et son boxer doit le serrer autant que mon soutien-gorge me comprime les seins.
Voir un garçon bander, savoir que c’est moi qui lui fais cet effet, savoir qu’en plus c’est lui, Guillaume, que j’ai mis dans cet état, ça me donne dans le dos le genre de frisson que je n’ai pas eu depuis ma première fois. Les papillons reviennent dans le creux de mes reins. Ils sont nombreux, cette fois. Je respire fort et ma poitrine se soulève un peu plus vite. Ses yeux s’attardent de plus en plus sur mon corps, il ne cherche même plus à le cacher. Si c’est comme ça, je ne vais pas me gêner non plus, après tout.
Je perds la manche suivante et il choisit de se faire « toucher » la bouche. Il croit certainement que je vais l’embrasser, mais, héhé ! Je lui offre mon pied, pour qu’il dépose un chaste baiser dessus. C’est ce que je croyais, en tout cas, mais ce n’est pas du tout ce qu’il fait. Au lieu de ça, il prend mon pied gauche avec ses deux mains, masse doucement, lentement, la voûte plantaire avec ses pouces (oh, que c’est bon !) et, sans que je comprenne ce qui se passe, le voilà qui met mon petit doigt de pied dans sa bouche ! Et puis un deuxième !
Il les prend en fait l’un après l’autre dans sa bouche et les suce lentement, même le plus gros. Il passe sa langue entre les doigts, tout en me regardant droit dans les yeux. Je trouve qu’il exagère, mais je n’ose pas faire un mouvement. On ne m’a jamais fait ça, alors je ne sais pas trop comment réagir. J’aurais pensé que ça me dégoûterait… Et c’est vrai que je suis drôlement gênée, mais je n’ai pas envie que ça s’arrête. C’est complètement inattendu, mais c’est vraiment… délicieux. Ça dure une ou deux minutes. Oh, c’est tellement bon !! Je ferme les yeux. Je me demande si je ne vais pas avoir un petit orgasme. Heureusement, il s’arrête à temps.
En quelques secondes, je perds la manche suivante. Il me demande un vêtement. Je pourrais choisir mon jean, mais je choisis mon soutien-gorge parce qu’après ce qu’il vient de me faire, je veux qu’il voie dès maintenant ce que j’ai de plus beau. De mes deux mains dans le dos, j’enlève l’agrafe qui retient le tissu et je sens mes seins s’affaisser doucement et s’épanouir, au moment où je laisse s’effacer doucement ce qui les tenait un peu serrés. J’aime la forme, la couleur et la douceur de peau de mes seins. J’aime leurs petits bouts, qui se détachent à peine par une couleur un peu plus ambrée. J’aime qu’ils soient très légèrement tournés vers l’extérieur. Ils sont doux et j’aime beaucoup les toucher moi-même. Mais ce qui m’excite surtout, maintenant, c’est de voir Guillaume les observer et de voir l’effet qu’ils font sur lui. Je me cambre un peu, pour mieux les offrir à son regard. J’attends quelques instants avant de reprendre les cartes, un léger sourire sur les lèvres, plutôt fière de moi. Je lui plais beaucoup, ça se voit.
Je fais glisser mon jean après avoir perdu la manche suivante. Je n’ai plus sur moi qu’une petite culotte à dentelle, que j’aime autant que mon soutien-gorge disparu. Je me dis, intérieurement, que j’ai fait un bon choix ce matin, parce que je porte parfois des choses… moins sexy, disons. Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à être regardée, c’est tout nouveau pour moi. Je me dis quand même que j’aurais peut-être dû m’épiler car j’ai quelques poils de trop sur les cuisses et autour des chevilles. Heureusement qu’ils sont plutôt clairs. Est-ce qu’il les a remarqués ? Est-ce que ça lui déplaît ?
Guillaume vient de perdre, et j’exige un vêtement à mon tour. Il n’en porte plus qu’un seul et j’ai parfaitement conscience de ce que je suis en train de demander, même si je suis un peu fébrile. Il hésite.
• — Est-ce que j’ai un joker ?• — Tu m’as pas parlé d’un joker, tout à l’heure.
Intransigeante je reste. J’ai du mal à reconnaître ma voix, on dirait que je suis enrouée.
• — OK, c’est le jeu.
Sans se lever, il fait maladroitement glisser son boxer sur ses jambes. Je ne quitte pas son visage des yeux. Je sais que, si je le souhaite, maintenant, je peux regarder son sexe, mais je ne vais pas le faire tout de suite. Je sais qu’il doit être tout droit, tendu, mais grâce à une de ses jambes repliée, il s’arrange pour me le cacher avec un genou. Je sens quelque chose d’humide un peu au-dessus de mes jambes à moi et, sans avoir besoin de vérifier, je sais qu’il doit y avoir une tache humide sur ma culotte et que Guillaume n’aura qu’à baisser les yeux pour la voir. Je ne sais pas trop comment l’expliquer, et j’en ai honte, mais j’ai envie qu’il la remarque.
Je perds et je choisis mes seins. Depuis que je les lui ai découverts, je meurs d’envie de me les faire toucher. Comme je l’espérais, c’est avec les lèvres qu’il choisit de le faire et j’ai comme une petite secousse à l’instant où il soulève délicatement un de mes globes avec sa main. Il y dépose ses lèvres, pas très loin d’un téton, et je mets ma main derrière sa nuque pour l’encourager à rester, à en faire un peu plus. Mais il se retire et nous continuons à jouer.
Il perd. Je lui demande maintenant d’enlever ses mains, qu’il a mises devant son pénis pour le cacher comme il peut. Je voudrais le voir entièrement nu et le lui dis. Comme il tient à respecter le règlement, il les met sur le côté et je prends une grosse respiration en découvrant à quel point son sexe est dressé. Je sens le bout de mes seins se tendre encore un peu. En passant un doigt rapidement sur le tissu de ma culotte, l’air de rien, je constate qu’elle est maintenant trempée jusqu’à l’extérieur. Est-ce qu’il peut s’en rendre compte ?
J’ai perdu. Guillaume a l’air presque triste pour moi.
• — Christelle… Si tu veux, on arrête le jeu maintenant et on dit que j’ai gagné.• — T’as envie d’arrêter… ou t’as envie de gagner ?• — Tu ne peux pas imaginer à quel point j’ai envie de continuer.
Oh si, j’ai une petite idée. Je n’ai jamais regardé aussi intensément le corps d’un garçon tout en sachant que lui était en train de regarder le mien. C’est tout à fait consciente de moi, de l’importance du moment et de ce que je suis en train de faire que je me lève maintenant et qu’en passant les doigts entre l’élastique et mes hanches je commence à faire glisser ma culotte le long de mes jambes. Je la laisse finalement tomber à mes chevilles et m’en débarrasse, un pied après l’autre. Je reste debout, les bras ballants. Maintenant, Guillaume est en train de poser ses yeux sur ma chatte et je crois bien que je tremble un peu. J’ai envie d’avoir son visage sur elle, qu’il l’enfouisse dans la touffe abondante de mes poils qui frisottent, et je suis sur le point de lui prendre le cou avec les mains et de l’attirer contre moi.
Mais, pour l’instant, je me contiens, je me rapproche un peu de lui et je m’assois. J’entends que sa respiration est plus rapide. Je me dis qu’il faut que je le pousse un peu, sinon il est capable de me proposer encore d’arrêter. Je fais ma petite fille :
• — Si on faisait comme si tu avais perdu ?• — Mais on n’a pas encore joué.• — On n’a qu’à faire comme si.• — Je n’ai plus rien à enlever.• — Tu peux toucher mes lèvres, si tu veux.
Je vois le bas de son visage se rapprocher et nos lèvres se touchent. Les siennes sont très douces. Ses mains se glissent dans mon dos, sous mes cheveux, et je sens sa langue faire son chemin entre mes lèvres et pénétrer dans ma bouche. J’enroule ma langue autour de la sienne et je sens maintenant sa poitrine contre mes seins. Un peu plus bas, son sexe effleure le bas de mon ventre. Il s’écarte un peu, prononce mon prénom et me dit que je suis belle.
• — Oh Guillaume…
Je prends sa tête et la met entre mes seins, en ébouriffant ses cheveux. Ça lui plait visiblement beaucoup car il enveloppe maintenant le bout de mon sein droit avec sa bouche et commence à le sucer. Il fait le tour de mes seins en les embrassant à petites touches. À certains moments, je sens sa langue. Je finis par renverser la tête en arrière pour qu’il ait la meilleure vue sur ce que je suis en train de lui offrir. Et j’ai maintenant envie de lui offrir beaucoup plus. Je n’ai jamais eu l’envie comme ça de faire l’amour à un garçon. Rien ne s’est passé comme prévu dans cette soirée. En particulier, je ne me serais pas imaginée dire ce que j’allais dire maintenant, très bas :
• — Guillaume… On va faire l’amour ?
Petit silence. Il met sa tête dans mon cou, dans mon vrai cou et me souffle à l’oreille :
• — Tu en as envie ?• — Oui. J’ai très envie que tu me regardes. Et que tu me caresses partout. Et que tu me fasses l’amour.
Je m’allonge sur le dos, un coussin sous mes reins, et j’écarte légèrement mes jambes. Je veux maintenant qu’il plonge son regard dans ma chatte trempée et qu’il en découvre tous les replis. Je veux sentir son désir et le rendre fou. Plus tard, j’aurai certainement honte de ce que je suis en train de faire, mais pour l’instant, j’ai envie, terriblement envie de lui et rien d’autre n’a d’importance.
• — Christelle… Tu es tellement belle !
Tout en restant allongée, je baisse la tête pour le voir me regarder et voir ce qu’il fait. Son sexe est gonflé et son gland, brillant, est devenu presque violet. Il y a une petite perle blanche au bout. Il s’accroupit entre mes cuisses, les écarte doucement et me regarde encore.
• — Je vais te donner beaucoup de plaisir.
Oh oui, je sais qu’il va le faire. Son visage se baisse et, aussitôt, sans arriver à y croire, je sens sa bouche contre ma chatte ! Je pousse un petit cri. Sa langue fouille les lèvres de mon vagin et j’ai du mal à me retenir d’en pousser un autre. Ce qu’il me fait est incroyable ! Mes cuisses se resserrent au-dessus de son cou. Sa langue a maintenant découvert mon clitoris et lape délicatement le liquide que je suis en train de secréter.
Je gémis doucement, sans pouvoir me retenir. Guillaume s’active avec beaucoup de patience. Je n’en peux plus, j’ai envie de le sentir en moi. Je ne veux pas jouir sans lui. J’ai déjà joui toute seule, mais jamais avec un garçon. Ce sera la première fois et j’ai envie de le voir jouir lui aussi, et que ce soit grâce à moi.
• — S’il te plaît… viens ! J’en ai trop envie !
À ma demande, Guillaume se redresse et remonte son visage le long de mon ventre, depuis mon sexe jusqu’à ma bouche. Je l’embrasse et je découvre l’odeur et le goût de ma chatte. J’aimerais connaître aussi celui de sa queue, mais je préfère encore la sentir, à l’intérieur de moi, me remplir. Je la sens, pour l’instant, appuyée contre ma vulve. Guillaume frotte son sexe de bas en haut contre mes grandes et mes petites lèvres, qui ne demandent qu’à s’ouvrir largement. Ohhhh… C’est une véritable torture. Pourquoi est-ce qu’il fait ça ?
Je suis tellement trempée qu’un seul petit mouvement vers le bas de mon bassin et il me pénètrera jusqu’au bout. II va le faire, maintenant, je le sens… Oh oui ! Ça y est !!! On pousse un cri tous les deux en même temps. Il va-et-vient doucement, pour commencer. Puis se retire pour voir comment je réagis.
• — Oh noooon…
Alors à nouveau, il me pénètre très doucement et je pousse un gémissement de soulagement, en crispant mes mains sur ses fesses, pour que, cette fois, il reste. Son membre, brûlant comme ses joues, est au fond de moi et je n’ai jamais rien senti comme ça. Il me remplit complètement. Il recommence doucement à aller et venir, et tous les deux nous regardons les mouvements de nos bassins. Il a replié mes bras au-dessus de mon visage et appuyé ses mains sur les miennes. Il a l’air fasciné. Oh, j’aime tellement qu’il me regarde, et aussi ce qu’il est en train de me faire ! Le rythme de ses coups s’accélère maintenant. Je bouge aussi mes fesses, pour mieux le sentir encore.
• — Christelle, doucement, je t’en supplie, tu vas me faire jouir.
Je ne veux pas qu’il se retienne, je veux l’entendre crier, je veux voir le plaisir que je lui donne. Je sens déjà quelque chose vibrer dans son sexe et en le regardant droit dans les yeux, je glisse une main entre nous pour aller caresser ses couilles. Je les prends à pleine main et, deux secondes après, je l’entends crier « Christelle ! », à mon oreille et je sens un long jet tiède dans le bas de mon ventre. Puis une deuxième secousse, suivie aussitôt d’une troisième. Je m’entends pousser à mon tour de petits cris, qui deviennent de plus en plus forts, jusqu’à se fondre en un seul.
Et puis, j’ai comme un flash et je crie son prénom à mon tour. Parcourue de spasmes, je me retiens de lui dire que je l’aime. Une autre fois, je le lui dirai peut-être. J’ai l’impression de perdre connaissance. Je cesse de penser et je le serre très fort dans mes bras, avant que la magie de l’instant s’en aille pour de bon.
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