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Bienvenue à Lastoral

Chapitre 2

Dernière répétition

Lesbienne
Si j’étais un narrateur bienveillant et précautionneux, je vous conseillerais d’arrêter de lire ces récits et de sceller vos yeux impurs. Cependant, je préfère vous féliciter chaleureusement et de vous récompenser d’avoir cédé à l’appel de Lastoral.

Dans ma grande bonté, je vous autorise à lire cette histoire intense et torride entre deux sublimes femmes. Alors, installez-vous confortablement et laissez-vous transporter dans ce nouveau chapitre.
La ville est en ébullition, non pas à cause de la chaleur certes inhabituelle pour un mois de juin, mais plutôt à cause de la grande fête d’investiture de notre toute nouvelle maire Amandine Dwenga qui se approche à grands pas. Cette fête est organisée par Paula Zaveiro, la mise en scène revient à Bianca Vicente qui a organisé rappelez-vous la fête du second. Elle est accompagnée de son jeune neveu Benjamin Mancini.

Cette histoire commence par une conversation téléphonique entre Paula et Amandine, alors ne faites pas de bruit.
— Comment se passe la répétition ?
— Je n’ai pas fini de tout vérifier avec Bianca, mais il n’y a aucun problème majeur pour l’instant, fais-moi confiance.— Je sais que vous êtes méticuleuses et que ce n’est pas votre premier coup d’essai, mais on ne sait jamais.— C’est vrai que la fête du second tour a remporté un franc succès surtout auprès de toi, lui dis-je d’un ton moqueur.
Elle éclate de rire.
— Rejoins moi dès que tu as fini, j’aimerais retravailler mon discours avec toi.— D’accord, j’arrive aussi vite que possible.
Je raccroche et Bianca me rejoint toute essoufflée.
— C’était Amandine, elle voulait savoir s’il n’y a pas de problème. — Que lui as-tu dit ?
— Je lui ai rappelé qu’il n’y a jamais de problème avec toi aux commandes et moi qui supervise. — À vrai dire, on vient de m’informer que l’on n’arrive plus à mettre la main sur les fanions.— Comment peut-on perdre une caisse aussi grande ?— Je n’en sais rien, Benjamin recherche à côté des stands et moi je compte aller voir dans l’église, tu veux m’accompagner ?— Bien sûr, on ira plus vite à deux.
On se dirige vers cette gigantesque église d’après guerre.
Le blanc des murs fait rejaillir le rouge délavé des briques, son énorme cloche cuivrée supportée par deux piliers usés par le temps s’accordent parfaitement ensemble. Les majestueux vitraux quant à eux transforment un simple rayon de soleil en une symphonie de couleurs. Reconvertie en salle polyvalente depuis bien longtemps, nous l’utilisons comme salle de stockage pour l’occasion.

Une fois arrivée dans cette salle lumineuse, la panique m’envahit quand je vois toutes ces chaises empilées, ces gigantesques plaques servant d’estrade, ces malles métalliques et ces énormes caisses en bois entreposées ici, à tel point que l’on ne voit plus le fond de la salle.
On se sépare chacune de son côté, je commence à regarder et à fouiller dans les cartons et les caisses, mais rien, jusqu’à ce que Bianca crie pour me prévenir qu’elle vient de les retrouver.
— Fantastique ! j’arrive, mais où es-tu ?— Je suis au centre de la pièce à côté des colonnes.

Plus je m’enfonce dans ce dépotoir et plus l’atmosphère devient chaude et pesante, à mon arrivée Bianca est penchée au-dessus d’une grande caisse.
J’admire ses jambes, mais mon regard se verrouille sur son magnifique fessier frappé par un rayon de lumière, plus je m’approche d’elle et plus le contour de sa culotte m’apparaît en dépit de son épaisse salopette de travail rose.

Cette vue n’est pas pour me déplaire, bien au contraire, je commence à devenir toute chose. Je finis par regarder moi aussi le contenu de cette caisse et en effet les fanions y sont soigneusement rangés.
On se redresse. Nos regards se croisent. Ces yeux sont d’un vert si intense que je suis tout bonnement hypnotisée.Malgré cette emprise, je réussis par articuler quelques mots.

— Les voilà, je suis soulagée.
Pas un mot, son visage reste impassible.

Ses mains finissent par bouger et viennent englober mon visage. L’instant d’après sa bouche pulpeuse est venue se plaquer sur mes lèvres closes, mon cœur commence à s’emballer.
Elle finit par lâcher prise et recule, mais je peux encore sentir son souffle chaud frapper mon visage. Toujours confuse, ma bouche s’ouvre instinctivement pour aspirer cet air chaud comme si ma vie en dépend.
— Désolée, je n’ai pas pu résister, dit-elle d’un air coquin.
Ma réponse est simple, mes mains agrippent ses hanches généreuses avant de plaquer son corps bouillant et crispé contre mon corps suintant de sueur.
Je me lance à l’assaut de sa bouche, elle se laisse faire. Ces yeux se ferment, son corps se détend, sa poitrine se bombe, son cœur bat à toute allure et nos langues finissent pars se trouver, s’effleurent, se caressent et s’entortillent, quel bonheur.

Elle profite de ce rapprochement pour glisser ses mains douces dans mon pantalon et malaxer mes fesses brûlantes pendant de longues minutes. Ses doigts passent ensuite sous mon slip et s’attaquent à ma rondelle tremblotante, d’un geste régulier, son mouvement circulaire s’accélère sans jamais me pénétrer. Elle se souvient que je suis très sensible à ce genre de caresse, ce petit jeu est frustrant, mais terriblement efficace, ça m’électrise.
Mon entrejambe devient vite humide et des palpitations se font sentir, si seulement l’un de ses doigts s’enfoncer en moi.
La sonnerie de son smartphone retentit, elle se résigne à interrompre ce savoureux jeu.
— Oui Benjamin.— J’ai fouillé tout le secteur et demandé aux artisans s’ils ne les avaient pas vus, mais rien, et de ton côté ?— Je suis avec Paula en train de chercher dans l’église.— Vous voulez un coup de main?— Non va plutôt voir à côté des camions garés sur la place du marché, on a rangé des caisses là-bas. Tiens-moi au courant si tu trouves quelque chose.— OK.
Elle raccroche et dépose son portable sur une caisse.
— C’était Benjamin, il n’a rien trouvé.— Comme c’est surprenant, lui dis-je avec un grand sourire.
Sur ces paroles, elle se rapproche de moi, me projette contre une colonne de pierre avant de venir presser son corps contre le mien et m’embrasse à pleine bouche. Me voilà prise entre le froid de la pierre et la chaleur infernale causée par Bianca.

Elle finit par décoller son corps du mien. Ses mains s’aventurent sous ma blouse bleu ciel, au moment où ses doigts touchent mon ventre, une décharge me parcourt, je ne sais pas pourquoi, mais je repousse Bianca.
— Quoi tu n’aimes pas ? — Bien sûr que si, mais il est temps de passer aux choses sérieuses.— Avec joie !

Sur ce, je jette ma blouse contre un tas de carton et me retrouve seins nus, car je ne vois pas l’intérêt de mettre un soutien-gorge, avec un poitrine aussi plate que la mienne.

J’enlève mes chaussures et les balance en direction de ma blouse, pendant que je déboutonne mon pantalon bleu nuit, Bianca se débarrasse rapidement de sa salopette et de son tee-shirt blanc, trempé de sueur pour se retrouver nue face de moi, me laissant ainsi tout le temps de la regarder, comme pour graver cet instant dans ma tête.

Ce qui me frappe en premier, c’est sa peau blanche, parsemée de grains de beauté.
Des jambes fuselées tentent de cacher de grandes lèvres, entrouvertes, surmontées d’un pubis complètement rasé.
De petites poignées d’amour commencent à faire leurs apparitions, j’ai une cruelle envie de les attraper.
Ses petits seins ronds et fermes sont couronnés de petites aréoles sombres, tout cela réveille mon appétit.
Ses longs cheveux châtains, ses lèvres charnues, son nez droit et légèrement retroussé à l’avant entouré par des joues rebondies, sans oublier ses longs sourcils foncés qui accentuent l’éclat de ses yeux, tout cela met en valeur son visage ovale.
Je reprends mes esprits lorsque d’un mouvement franc, elle s’agenouille, emportant avec elle mon pantalon et mon slip. Une fois débarrassée de tout mes habits, je ne me sens plus oppressée par la chaleur ambiante.
Le visage de Bianca se trouve à quelques centimètres de mon pubis à peine poilu. Sa langue écarte mes grandes et petites lèvres et bouge dans tous les sens, il n’en faut pas plus pour que je lâche des petits gémissements.Elle remonte légèrement jusqu’à mon nombril, sa langue tourne tout autour de lui et finit par s’y enfoncer, avant de déposer plusieurs baisers sur mon ventre.
Maintenant, c’est au tour de mes seins, sa langue joue avec mes tétons durs comme la pierre, et finit par les mordiller du bout des dents.Elle continue sa remontée, ses lèvres sont encore humidifiées par le mélange de ma cyprine et de sa salive. Quand elle vient déposer un long baiser dans le creux de mon cou, un frisson me parcourt.

Nous voilà face à face, je la prends de vitesse et l’embrasse avec passion. Je profite de cette occasion pour lui attraper ses cheveux soyeux et tirer sa tête en arrière, avant de lui chuchoter à l’oreille d’une voix douce, mais autoritaire.
— Je te l’ai dit non, fini de jouer.
Sa réponse ne se fait pas attendre.
— Montre-moi ton côté bestial et fais de moi ta chienne, dit-elle d’une voix ferme
Sur ces mots, je lui enfonce sans aucune pitié deux doigts dans sa chatte lubrifiée par une énorme quantité de cyprine, et la stimule avec ardeur, un rugissement de plaisir sort de sa bouche.

— Ta maîtresse t’ordonne de lui donner du plaisir !

Elle s’exécute sans rechigner. Ses longs doigts remplissent ma chatte, ses va-et-vient finissent par me provoquer un puissant orgasme que j’attends depuis tout à l’heure. Mon corps tout entier tremble, je lâche totalement prise.

Une fois, l’extase fini, mes jambes encore toutes tremblantes ont du mal a soutenir le poids de mon corps, mais je replonge ma main entre ses cuisses grandes ouvertes et enfouis mon index et mon majeur, immédiatement je sens sa chatte se contracter. Pendant ce temps mon pouce caresse son clitoris.
Mes mouvements sont variés et fluides, mon but est de lui provoquer un orgasme aussi incroyable que celui que j’ai eu.
Les gémissements qui sortent de nos bouches commencent à se synchroniser. Nous continuons de plus belle, en nous regardant droit dans les yeux.
Le plaisir monte de plus en plus, son clitoris est sur le point d’exploser, nos chattes convulsent, nos tétons pointent comme jamais. J’essaie de me contenir, mais finis par craquer et cède avec joie quand j’entends Bianca hurler de plaisir.
Chacune d’entre nous expulse la main de l’autre avant de nous effondrer par terre.
Bien que nos corps ne convulsent plus, nous sommes toujours couchés sur le dos profitant de la fraîcheur du sol, mais une voix vient interrompre ce délicieux moment.
— Vous êtes là ?

Cette voix, c’est celle de Benjamin, je n’ai aucune crainte car il est impossible pour lui de nous voir.

— Oui ! On est ici, crie Bianca d’une voix chevrotante— J’ai cherché partout, mais je n’ai rien trouvé.— On vient de les retrouver, j’allais te prévenir par SMS.— Super ! Je retourne aider Coralie à son stand.— Encore, dit-elle sur un ton taquin.— Je ne vois pas de quoi tu parles, à plus tard.— À plus.
La porte en bois massif claque. Je me redresse légèrement et m’assois contre une colonne, Bianca essaie de se redresser, mais je l’interromps.
— Tu ne pense pas que je vais retourner au bureau ainsi, viens me nettoyer.
Cette sensation de domination augmente mon excitation déjà très élevée.
J’écarte les cuisses et lui fais signe, avec mon doigt, de s’approcher. Quand sa tête se trouve au dessus de mon pubis, je ne lui laisse pas le temps de souffler. Ma main appuie sur sa tête, elle comprend vite ce que je veux.
Les bruits de succion résonnent dans tout l’édifice, je sens sa langue passer et repasser sur ma fente prête a exploser à tout moment, elle n’oublie pas de s’occuper avec attention de mon clitoris gorgé de sang.
— Je jouuuiiiiis !
Une fois fini, sa tête remonte, elle me regarde d’un air lubrique, passe un doigt tout autour de sa bouche et le lèche d’un bout à l’autre. j’essaie tant bien que mal de reprendre mon souffle.
— J’ai la gorge sèche, tu n’aurais pas de l’eau avec toi ?— Désolée, mais je n’ai pas pensé à prendre une bouteille d’eau avec moi— Pas grave, j’ai une bien meilleure idée ! Va t’asseoir sur cette caisse et écarte tes belles cuisses luisantes.
Elle réussit tant bien que mal à s’asseoir sur le rebord et écarte les cuisses comme demandé. Sans la moindre hésitation, je m’approche d’elle à quatre pattes telle une lionne en chasse, attirée par l’exquise odeur dégagée par sa chatte dilatée.

Je titille avec la pointe de ma langue son clitoris gonflé et explore chaque recoin de sa chatte, cela lui provoque un orgasme qui la terrasse.

Pendant qu’elle récupère couchée sur la caisse, j’en profite pour aspirer tout le jus qu’elle a produit.
Je viens de me rappeler qu’Amandine m’attend, à contrecœur, je finis tant bien que mal par m’arrêter. On se rhabille et rangeons notre petit nid d’amour, avant de ressortir.
Arrivée devant ma voiture, je félicite Bianca pour le travail qu’elle et son équipe ont fait et rentre le plus rapidement possible au bureau.

Je rejoins Amandine furieuse dans son bureau. Après lui avoir fait un rapport de la situation, et lui avoir raconté en détail ma petite expédition pour retrouver les fanions, elle est subjuguée et me pardonne.
Nous commençons à travailler sur son discours. Tellement absorbée par la tâche, je ne vois pas le temps passer.
— Il se fait tard, on ferait mieux de rentrer dormir, sinon tu ne seras pas en forme pour ton couronnement, Mme la Maire.— Merci pour ton aide, ce discours va être génial grâce à toi.
Une dernière bise et chacune part de son côté.
Quand je rentre chez moi, mes deux colocataires temporaires sont endormis sur le canapé, je les recouvre d’un plaid et dépose un baiser sur le front de Bianca, et file dans la cuisine manger quelque chose, avant d’aller moi aussi prends un repos bien mérité.

Paula ne trouvera pas les bras de Morphée si rapidement. Son corps s’enflamme au quart de tour quand elle se remémore son expédition dans l’église et s’imagine même recommencer.
J’espère que vous avez apprécié cette histoire alors à la prochaine, n’oubliez jamais le credo de Lastoral :
Cette ville ne cherche qu’une chose : le plaisir
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