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Biface

Chapitre 2

Manon

Trash
AVERTISSEMENTLe texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.

MANON
Satisfaire mes besoins sexuels représente presque une occupation à temps plein. Je jongle entre de multiples partenaires, qui ne couvrent chacun qu’une toute petite part de mes envies. Anthony est différent, sa technique, son endurance, son vice, sa perversité couvrent une part plus large de mes envies.
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Nous sommes en fin de matinée. Je suis seule chez moi, je mate un film de cul en me touchant distraitement, sous ma fine nuisette, lorsque j’entends que ma porte s’ouvre. Qui ça peut être ? Toi, Conrad, Valentine, un violeur ? Je ne sais pas, mais toutes ces idées m’excitent.
Je reconnais ton pas. Je coupe la télévision, te regarde en souriant. Je suis contente que ce soit toi, je sais que je vais passer un bon moment. Je mouille rien qu’en imaginant ce que tu vas me faire.
Sans prononcer une parole, je m’agenouille, sors ta queue et te suce pour la faire grossir. Tu durcis rapidement et te mets à pilonner ma gorge. J’aime ça. Je bave. C’est bon !
Après ces préliminaires, j’ai envie de passer aux choses sérieuses. J’utilise notre code : enlever ta ceinture et te la donner par le cuir, la boucle pendante, pour que tu me frappes avec le métal dur. J’aime être frappée.
Je sors mes seins de ma fine nuisette, mes tétons dardent, ma peau est tendue, presque douloureuse. J’aime cette sensation, la douleur fait partie intégrante de mon besoin de plaisir. Je sais que tu vas m’en donner.
Avant que je n’aie pu m’y préparer, j’entends le cuir fendre l’air et la boucle métallique s’abat violemment sur mon sein droit. Je crie. Ça me brûle. J’ai mal. Mais que c’est bon de ressentir cette douleur irradier mon sein, se propager dans tout mon corps, électriser mon sexe trempé...
Tu portes un nouveau coup, sur mon sein gauche. Tu me fais mal salaud ! Tu me donnes du plaisir. Je t’aguiche pour t’exciter et t’inciter à plus de violence encore.
Tu assènes des coups de ceinture puissants sur ma poitrine. Mes seins me font terriblement mal. Tu bandes comme un âne, ça m’excite. Je continue à t’allumer, je mordille ma lèvre inférieure, je présente mes nichons à la boucle féroce de ta ceinture pour que tu continues à les brutaliser. « Encore » imploré-je.

Lorsque mes seins sont couverts de traces rouges, qu’ils me brûlent, tu stoppes et me fais allonger sur le canapé, à plat ventre. Le contact entre le tissu et ma peau meurtrie est douloureux, je gémis. Tu remontes ma nuisette. J’espère que tu vas faire goûter le cuir à mon postérieur. Je vais avoir mal. Une pointe de crainte me saisit, mais je suis tellement excitée d’être ta chienne, ta chose, de te faire bander, que j’attends les coups avec impatience. Tu me fais languir, en me questionnant d’une voix faussement innocente. Tu veux savoir ce que je veux. Je te réponds : « Frappe-moi ! » Tu me demandes où. Je quémande : « Mon cul, mes cuisses, mon dos. Partout. » Je te supplie : « Vas-y ! Fort ! » Mais tu ne me donnes pas encore ce dont j’ai si envie. Tu veux savoir si j’ai mérité ces coups. Je réponds par l’affirmative.
Enfin, tu abats ta ceinture sur ma peau. Que ça fait mal. Que c’est bon ! Avec un rythme de métronome, tu me violentes. Tu astiques méthodiquement mes fesses, l’une après l’autre, puis tu frappes le haut de mes cuisses, tu remontes sur mon dos, mes épaules. Je crie, je halète : « Aïe, j’ai mal...
— Tu veux que j’arrête ? proposes-tu.— Oh, non, pas tout de suite, continue, encore, bats-moi ! »
Heureusement tu poursuis.
Tu glisses un doigt dans mon intimité, tu dois en vérifier l’humidité. Sans doute satisfait de me faire mouiller comme une gamine en chaleur, tu me retournes, me places sur le dos.
Tu cingles maintenant l’avant de mes cuisses, mon ventre. Tu portes même un coup bien senti au cœur de mes cuisses ouvertes, je hurle de douleur : « Aïïïïïe ! Putain ! »
Instinctivement, j’ai serré les jambes. Je m’en veux immédiatement. J’aime être battue, violentée. J’écarte à nouveau mes cuisses au maximum, offerte à d’autres coups sadiques.
J’ai mal partout lorsque tu poses la ceinture. Voir ta belle bite bandée bien dure m’excite. C’est en partie pour ça que j’ai voulu que tu me battes. J’espère que tu vas maintenant me baiser vigoureusement.
Tu assouvis mon envie. Tu empales ton chibre dans mon anus excité. Ta pénétration est brutale, violente, conforme à ce que j’espérais. Je t’encourage : « Vas-y pète-moi le fion ! »
Tu mets du cœur à ta besogne, mais tu ne m’accordes pas la délivrance. Tu te retires avant que j’aie joui. Salaud ! Malgré mes protestations, tu ne retournes pas pilonner mon derrière.
Tu baisses ton froc et m’intimes l’ordre de lécher ta raie. J’espère qu’elle n’est pas trop propre. Non, ça va, tu n’as pas dû te laver aujourd’hui, ni peut-être hier. Excitée, j’oublie un peu ma frustration et lèche avec envie ton entrefesse. Je bave. Je plante ma langue dans ton anus, m’immisçant dans ton fondement. Je ne peux m’empêcher de toucher ma chatte pendant que je commets ces ignominies.
Mes efforts paient. Je sens ton anus s’ouvrir lentement. Je fais jouer ma langue à l’intérieur pendant un moment.
Puis, tu te retournes. Quel spectacle je dois t’offrir ! Je te souris. Je sens que mon visage est couvert de bave. Un éclair vicieux passe dans ton regard, sans me prévenir tu te mets à me pisser dessus. J’adore ton urine. Je tente de la capter dans ma bouche, mais le flot est fort, tu me détrempes en un instant. J’avale ce que je peux. J’aime le goût fort et salé.
Dès que tu as fini de pisser, tu entres ta matraque dans ma bouche. Je t’avale le plus profondément possible. Tu pilonnes ma gorge comme un sauvage. J’étouffe. Tu me gifles en me tenant par les cheveux. Que c’est bon !
Même si je branle toujours mon clitoris, j’ai besoin de plus. Je veux être baisée à fond : « Encule-moi encore, fais-moi jouir par le cul, crié-je. »
Enfin tu me donnes ce dont j’ai envie, ce pour quoi je vis. Tu m’encules sauvagement. Tu me pilonnes bien profondément, tu me démolis le fion.
Tu continues de maltraiter ma bouche en y fourrant tes doigts. Totalement sous l’emprise de mon plaisir, je te laisse faire. Tes doigts gluants forcent mon gosier, me provoquent des haut-le-cœur. Ton autre main s’immisce violemment dans ma chatte détrempée. De tes multiples pénétrations vigoureuses, tu me fais enfin jouir !
Je hurle mon bonheur. Mais tu n’as pas encore joui. Je me rends à peine compte que tu libères mon cul pour investir ma chatte. Tu t’y démènes sans retenir tes efforts. Alors que tu plaques mon visage dans la flaque de pisse et de bave qui jonche le sol, tu éjacules dans mon sexe trempé ! Que c’est bon !
Lorsque tu t’es retiré, je doigte ma moule pour y récupérer le bon foutre gluant que tu as laissé. Je le déguste à petites gouttes.
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