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Le Bimblau

Chapitre unique

Un produit miracle ?

Trash
Caroline travaillait sur le prochain projet de l’entreprise : le Bimblau. C’était la campagne promotionnelle la plus facile de sa vie. Non qu’elle en ait eu d’innombrables à son actif, son poste chez Voréal n’était que son deuxième, et pour une jeune femme de vingt-neuf ans, c’était un job prestigieux... En tout cas, dans le métier, le Bimblau était ce qu’on appelait un produit qui se vendait tout seul. Il suffirait d’en présenter les caractéristiques pour que le public se jette dessus. Et comme elle était sous-chef de la campagne marketing, elle avait du temps devant elle. Elle relut la description que les types de la technique lui avaient donnée : « Le Bimblau augmente le taux de phéromone de 300 %, aucun effet secondaire, le rayon d’action est de cinq mètres, le coût de fabrication est de dix euros l’unité, l’effet ne commence que vingt-quatre heures après la prise du produit et dure une semaine, le produit n’est actif que sur de l’ADN XX. »

En gros, ce baratin scientifique signifiait qu’un jour avoir pris le produit, n’importe quelle femme devenait irrésistible pour les hommes, sans que rien ne soit détectable. C’était quasiment de la potion magique.
Mais un cadeau n’arrive jamais seul. Non seulement on lui fournissait un boulot prémâché, mais elle avait aussi devant elle un moyen de s’enrichir plus qu’elle n’en avait jamais rêvé. Elle avait reçu un mail de l’entreprise Chimex qui lui proposait deux millions d’euros si elle leur procurait un échantillon du « Bimblau » avant la fin de la semaine. Elle avait hésité, craignant qu’il s’agisse d’un piège de Voréal pour tester sa loyauté. Elle avait donc demandé des précisions, et elle avait reçu en retour des preuves convaincantes, et surtout cent mille euros d’acompte.
Ce n’était donc pas tant sur la campagne promotionnelle du « Bimblau » que Caroline planchait, mais sur le moyen d’en subtiliser un échantillon. Ça lui trottait en tête depuis le début de la semaine. Elle se demandait aussi pourquoi Chimex n’avait pas plutôt requis l’aide un technicien du labo... Sans doute que pour une mission aussi délicate, il leur fallait quelqu’un qui soit habile et rusé, comme elle.
La première étape du plan pour le vol de l’échantillon nécessitait un repérage. Elle se rendit au niveau du labo. Là, des dizaines de chimistes, de laborantins s’affairaient autour de tubes à essai et de produits chimiques nauséabonds. Comment parvenaient-ils à transformer ces monstruosités chimiques en produits beauté, cela la dépassait. Elle s’arrêta devant un des chefs chimistes, il portait un badge « Éric ».
— Bonjour, Éric, je suis Caroline, chargée du marketing. Comment ça avance avec le produit Blimbau ?— On l’a envoyé au bureau de contrôle, on attend leur retour pour certifier sa conformité.
Son ton était froid et son débit constant, Caroline avait l’impression d’être en face d’un robot à visage humain. Cela ne l’empêcha de poursuivre :
— Et ça devrait leur prendre combien de temps ?— Je l’ignore.— Eh bien, il va me falloir une estimation pour savoir quand lancer la campagne promotionnelle.— Il ne reste plus qu’à faire des tests sur sujet réel... Ça ne devrait pas prendre plus de quelques mois.— Ah ouais. Mais au fait... ce truc n’a pas encore été testé ? Je croyais que le projet était fini.— Il a été testé sur des animaux, et on est sûr des effets. La certification est une simple formalité.— En tout cas, je voudrais voir à quoi ça ressemble... J’ai besoin de me faire une idée pour le packaging.— Je dois avoir des photos sur ordinateur.— Non, je veux voir de mes yeux, sur photo, on se rend moins bien compte. »

Le scientifique haussa les épaules et mena Caroline à travers le labo. Jusqu’à une table où était posée une dizaine de gélules blanche et rouge.
— Voilà, c’est ça.— Ça ? Ces gélules ?  Elle n’arrivait pas à croire que ce pouvait être aussi simple, à quelques centimètres de sa main se trouvaient deux millions d’euros prêts à être saisis. Elle devait trouver un moyen de distraire l’attention d’Éric, en attendant, elle continua la discussion aussi innocemment que possible :— J’espère que vous pourrez changer la forme des gélules, on dirait des médocs.— Oui c’est possible, tant que ça ne perturbe pas les principes actifs. — C’est moi ou derrière vous, il y a un type malade ?— Derrière moi... ?
Le type lui tourna lentement le dos. Et Caroline vive comme l’éclair se saisit d’une des gélules. Quand le scientifique se retourna, elle en avait une dans sa main, bien cachée.
— Je ne vois rien derrière moi... Vous êtes sûre ?— Non, j’ai dû me tromper. Bon, ça suffira pour l’instant, je vous appellerais quand on trouvera la forme adéquate. — OK, mais je dois vous dire que je ne pense pas que ça ait la moindre importance, ça se vendrait comme des petits pains, même s’il y avait une tête de mort dessus. Ce sera un plus gros succès que le viagra.— Si les tests sur sujet humain ne révèlent rien d’anormal... 
Caroline repartait, heureuse d’avoir accompli sa mission. Elle prendrait rendez-vous avec son contact de chez Chimex, et elle serait riche. Peut-être arrêterait-elle de travailler ? Elle était encore indécise sur ce point. Alors qu’elle quittait le labo, elle entendit derrière elle Éric crier :
— Excusez-moi ! Il semble qu’une gélule a disparu.
Son cœur s’arrêta de battre. Elle se retourna lentement, et demanda d’une voix chevrotante :
— Q-Quand ça ?— À l’instant, vous n’en avez pas pris une par hasard ?— Moi ?— Vous étiez juste à côté, donc vous êtes suspecte.— C’est ridicule ! Pourquoi j’aurais fait ça ?
Elle reprenait confiance en elle, arrivant à feindre la colère avec une certaine maestria.
— Je ne sais pas, mais il s’agit d’un projet secret, aucune gélule ne doit quitter le labo.— Eh bien, il y a en une qui a roulé, ou vous avez mal compté... Je n’ai rien pris.— Si ça ne vous ennuie pas, je vais chercher un scanner, si vous avez une gélule sur vous, ce sera immédiatement détecté, le scanner détectera un surnombre de molécule Méthylpropanal et sonnera.— C’est absurde !— Ne bougez pas, je reviens tout de suite.
Éric tourna les talons et se dirigea vers une table où était posé un scanner ressemblant à ceux qu’utilisent les agents de sécurité. Caroline fut tentée de lâcher la gélule qu’elle tenait dans la main, mais elle se retint à temps. Si on la trouvait à ses pieds, il n’y aurait pas besoin d’être un génie pour deviner qu’elle avait tenté de voler le produit miracle. Ce premier élément conduirait la direction à fouiller sa boîte mail et on découvrirait qu’elle travaillait pour Chimex. Balancer la gélule était risqué aussi, le labo était loin d’être vide et il y avait de fortes chances pour que quelqu’un remarque son catapultage de gélule.
A la place, elle porta la main à sa bouche, comme pour cacher un bâillement, et mit la gélule sous la langue. Mais est-ce que ce serait suffisant pour échapper au scanner ? Elle n’en était pas sûre, s’il pouvait détecter les molécules jusque dans sa bouche, elle se ferait prendre... mieux valait jouer la prudence, elle n’avait pas besoin de voler la gélule de Bimblau aujourd’hui, elle avait pu faire son repérage et constater que les mesures de sécurité dans le labo étaient presque inexistantes. Il lui suffirait de revenir un jour où le scientifique en chef ne serait pas là et de prendre une gélule... En attendant, elle avala le Bimblau alors qu’Éric revenait avec le scanner. Il leva l’appareil et demanda avec un sourire contrit :
— Si vous voulez bien m’excuser, je vais effectuer le balayage... — Si vous tenez à vous rendre ridicule, allez-y.
Il passa le scanner de haut en bas, sans que le scanner ne bipe ou ne signale la moindre hausse inexpliquée de molécule. Caroline ne put se retenir et lâcha un léger soupir de soulagement, puis déclara d’un ton sec :
— Vous voyez, je vous avais bien dit que je n’avais rien volé.— Je suis désolé... c’est une mesure de sécurité, vous savez ce que c’est. Je vais faire fouiller le labo pour retrouver la gélule.
Elle quitta le labo situé au deuxième étage pour rejoindre l’étage marketing situé au vingtième. Elle ne s’inquiétait pas outre mesure d’avoir échoué dans sa tentative de vol, elle avait du temps devant elle, et à l’origine, elle n’avait prévu d’effectuer qu’un simple repérage.
Tout en préparant son plan pour s’emparer de la précieuse gélule, elle continuait à travailler sur la campagne marketing. Elle devait présenter demain après-midi des pistes pour la mise en place du produit. Pour cela, elle attendait les résultats finaux sur un sondage à propos des femmes actives et de la façon dont elles voulaient qu’on les perçoive. D’après les premiers résultats, trois grands grands axes principaux se dégageaient : elles voulaient être vues comme compétentes, désirables et intelligentes. Elle baserait donc la campagne sur le principe qu’être désirable n’était pas incompatible avec le fait d’être compétente et intelligente. Rien de bien compliqué, mais les meilleures campagnes étaient souvent les plus simples. Elle commença à screenboarder une pub avec une femme travaillant dans un bureau qui était mise en valeur par sa beauté, et qui obtenait ce qu’elle voulait tout en étant respectée. Ce serait à mettre en forme, mais l’idée était là, restait à speecher ça au boss.
Caroline continua à travailler au projet jusqu’à la sortie des bureaux, cherchant aussi un moyen de récupérer un échantillon. Le plus simple serait peut-être de repasser au labo et de prétendre qu’elle connaissait une amie qui serait intéressée et prête à tester le produit.
Elle rentra chez elle, passa une bonne nuit, la tête pleine des projets qu’elle accomplirait avec les deux millions d’euros. Et c’est avec une énergie renouvelée qu’elle repartit au travail le lendemain.
****
Il était dix heures quand elle se dit qu’il était temps de repasser au labo de test. Elle s’était habillée avec un tailleur chic et un chemisier blanc, elle était à la fois sexy et intimidante et elle espérait que ça l’aiderait pour sa demande de test du produit. De toute façon, elle avait juste besoin de se trouver à côté d’une gélule, elle avait peint une gélule de vitamine C en blanc et rouge et était convaincue que personne ne verrait la différence si elle la substituait à une gélule de Bimblau. Elle se dirigea vers l’ascenseur, mais quelque chose la gênait. Elle se sentait mal à l’aise, comprimée... Ce n’était pas à cause de la peur, elle n’était pas du genre craintive.
Finalement, au lieu d’appuyer sur le bouton d’appel de l’ascenseur, elle préféra aller aux toilettes pour voir ce qui n’allait pas. Une bonne décision, car à mesure qu’elle marchait dans le couloir, la sensation de compression au niveau de sa poitrine augmentait, jusqu’à lui faire mal. Une fois entrée dans les w.c., elle courut jusqu’à une des cabines de toilettes et retira son chemisier...
Elle fut estomaquée, frappée par l’énormité et l’absurdité de ce qu’elle voyait : ses deux seins avaient pris des proportions titanesques.
Leur masse était écrasée dans le soutien-gorge. Pas étonnant qu’elle se sente comprimée. Elle déclipsa son soutien-gorge et ses deux seins révélèrent la totalité de leur proportion gargantuesque... C’était devenu des pastèques, ce matin, elle ne portait qu’un bonnet B, mais là, c’était autre chose, peut-être du G ou du H. Comment était-ce possible ? Elle n’était pas enceinte, elle en était sûre, elle n’avait pas couché depuis plusieurs mois et elle avait toujours pris la pilule.
Il n’y avait qu’une explication, la gélule qu’elle avait prise hier... Elle se rappela que l’effet devait se produire vingt-quatre heures après la prise. C’était maintenant. Et le produit n’avait pas encore été testé sur un être humain... visiblement, le résultat était complètement différent de celui prévu. Avant, elle pouvait tenir un de ses nichons dans une main, maintenant ses deux mains n’auraient pas suffi à en faire le tour.
La seule chose qui la rassurait était que l’effet ne devait être que temporaire... mais de tout de même d’une semaine... et cela, seulement si les scientifiques du labo ne s’étaient pas non plus trompés sur la durée de l’effet. La sueur lui perlait sur le visage alors qu’elle envisageait la possibilité que cette transformation soit permanente. Mais elle chassa bien vite cette pensée de son esprit tellement elle était affreuse. Ce serait trop horrible de devoir vivre de façon, ce serait déjà dur de supporter une semaine avec ces énormes mamelles... elle allait devoir apprendre à gérer son nouveau centre de gravité. Et le pire c’était les qu’en-dira-t-on. Ce n’était qu’une question d’heures avant que toute l’entreprise la surnomme « la fille aux gros lolos. » On penserait qu’elle s’était fait poser des implants pour avoir l’air d’une salope... ça allait être la honte. Elle tenta de remettre son soutien-gorge, mais c’était impossible.
Ses seins étaient devenus bien trop gros pour son chétif soutif. Elle dut se résoudre à reboutonner son chemisier sans rien dessous. Quand elle passa devant le miroir des toilettes, elle remarqua à quel point ses nouveaux nichons étaient visibles, bombant le tissu, donnant l’impression que le chemisier était sur le point d’exploser et les boutons de voler dans les airs.
Elle retourna à son bureau, attendant que les couloirs se vident pour éviter de croiser qui que ce soit sur son trajet. Elle réfléchit à ses nouvelles priorités : trouver une boutique pour acheter un soutif bonnet F ou G, elle ne pouvait pas rester dans l’entreprise les seins distendant son chemisier. Elle se sentit prise de vertige, et quand elle s’assit, elle remarqua quelque chose d’étrange, elle semblait plus haute que d’habitude. Son siège n’avait pourtant pas de fonction de hauteur réglable... Elle se leva, se demandant s’il s’agissait bien de la même chaise, et oui c’était toujours la même, elle l’aurait reconnu entre mille.
Si ce n’était pas le siège... elle posa la main sur ses fesses et pâlit. Ses fesses étaient devenues beaucoup plus rondes, comme des boules... ce n’était pas de la graisse, mais de belles fesses bombées... Quant à ses cuisses, elles semblaient avoir fondu...
— Merde ! Merde ! Merde !
Cria-t-elle dans le bureau vide.

Et si d’autres choses changeaient encore... Si quelque chose de plus grave lui arrivait, si son cœur se mettait à rétrécir ? Elle pouvait mourir d’un moment à l’autre ! Elle devait se rendre au labo, avouer qu’elle avait avalé une gélule, expliquer qu’il y avait des effets secondaires imprévus. Ils ne pourraient pas la laisser comme ça. Mais si elle se procédait ainsi, elle devait d’abord effacer toutes les traces d’e-mail et de correspondance qu’elle avait eues avec Chimex.
Elle alluma l’ordinateur et se connecta sur sa boîte mail. Sauf qu’elle se trompa sur le mot de passe. Elle en choisissait toujours des compliqués, avec des lettres et des chiffres choisis selon une méthode précise... Mais quelle était cette méthode déjà ? Alors qu’elle réfléchissait, la porte de son bureau s’ouvrit sur Théo. C’était le stagiaire chargé du sondage sur les femmes actives.
— Bonjour, j’ai les résu...
Il stoppa net ce en voyant Caroline et chercha ses mots pour poursuivre.
— Euh... Vous... vous avez fait une teinture ? Ça vous va bien...
Caroline le regarda sans comprendre ce qu’il disait, puis elle regarda ses cheveux, ils étaient devenus blonds ! un blond jaune paille alors que dix minutes plus tôt dans le miroir des toilettes, elle était encore brune.
— Ça vous change vraiment... Vous êtes rayonnante, bégaya Théo.
Le compliment la toucha au cœur, elle répliqua immédiatement :
— Tu le penses vraiment, Théo ? T’es vraiment trop choux...— Euh ouais... Même que vous semblez plus... euh... avec des plus gros... enfin...
Caroline trouva les hésitations de ce petit stagiaire charmantes... Est-ce qu’il était puceau ? Possible, il avait encore un reste d’acné, elle s’approcha de lui en dandinant des fesses. L’idée de dépuceler ce jeune gaillard lui mettait l’eau à la bouche.
— Je suis désolée ! Je ne voulais pas dire que... heu... mais... C’est juste que, qu’ils sont si... 
Il ne trouvait plus ses mots, elle le mettait dans un tel état, alors qu’elle était tout contre lui, elle l’embrassa sans que le stagiaire s’y attende. C’était même complètement saugrenu pour lui... Caroline avait l’habitude de lui donner des ordres secs et de le traiter de façon cassante, et elle ne plaisantait pas sur la hiérarchie. Il devait l’appeler Madame Lermier, et elle n’avait jamais au grand jamais fraternisé avec lui... et voilà qu’elle fourrait sa langue dans la bouche du jeune homme, ce dernier y répondit favorablement, et ne pouvant y résister, plaqua ses mains sur les énormes nibards de sa supérieure.
Celle-ci en fut émue, sa chatte se sentit prise d’envie soudaine de queue à ce contact... elle voulait un homme en elle. Elle quitta sa bouche, quand elle se remémora soudainement qu’elle était dans son bureau et qu’elle était en train de se métamorphoser en une salope en chaleur :
— Ça suffit Théo ! Tu me donneras les résultats plus tard. Je suis occupée pour l’instant. — Euh... oui bien sûr...
Théo repartit avec une gaule carabinée tandis que sa chef était prise d’un regret de ne pas profiter du stagiaire plus longtemps. Mais elle avait un problème plus urgent... elle attendit que Théo soit parti et quitta le bureau elle aussi, elle se déplaça rapidement vers l’ascenseur. Il y avait déjà deux hommes dedans, elle hésita un instant, mais elle ne pouvait pas retarder plus longtemps son entretien avec les scientifiques. Elle entra.
Quand les portes se refermèrent, elle fut prise d’une bouffée de chaleur et s’exclama :
— Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ici ?— Euh... non ?— Mais si... moi, je trouve ça... torride !
Elle n’avait pas pu s’empêcher de crier ce mot. Et c’était vrai qu’elle avait chaud, elle étouffait même, et commençait à avoir peur de faire une syncope. Mais heureusement, elle savait comment s’aérer. Elle se mit à défaire les boutons de son chemisier, un à un, d’abord découvrant le bas de sa gorge, plus le haut de ses seins, et enfin laissant presque voir ses tétons... Ça allait mieux. Elle était bien plus à l’aise, et put commencer à regarder les deux messieurs à côté d’elle. L’un était d’âge mûr et fin, elle imagina immédiatement qu’il devait être plein d’expérience, et qu’il pourrait lui apprendre plein de choses avec sa bite. L’autre était plus jeune, quarante ans, en costume, avec un bouc. Elle adorait son look, elle était à deux doigts de tomber amoureuse de lui au premier regard. Elle se colla contre lui.
— Et ça te dirait qu’on se revoit ? Tu travailles ici ?— Euh oui, au département gestion...— Oh la gestion, j’adooore ça ! Tu crois que tu pourrais gérer ma petite chatte avec ta grosse queue ?— Quoi ?— Ce soir, pourquoi tu ne viendrais pas chez moi ? J’habite 17 rue Mac Mahon... et j’aurais besoin d’un pro de la gestion pour me manager le cul, et ensuite tu pourrais me comptabiliser les orgasmes... tu crois pouvoir faire ça ?
L’homme avait pris une teinte pivoine, il matait ouvertement les deux énormes nichons de Caroline, ce qui la mettait encore plus en chaleur.
— Euh... ouais, pourquoi pas ?
Il bougea le doigt de manière à cacher son alliance. Mais Caroline avait l’œil fin et le remarqua, non que cela la dérange de baiser un homme marié, au contraire, elle prenait ça comme un défi. Elle se promit de lui faire des choses que sa femme refusait de lui faire. Il prendrait son pied, elle se servirait de chacun de ses trous, et lorsqu’il rentrerait chez lui, il trouverait sa femme plate et ennuyeuse.
La porte s’ouvrit et les deux hommes quittèrent l’ascenseur, Caroline se retrouva seule avec regret. Elle sentait sa chatte devenir de plus en plus humide... Elle nota autre chose, sur la surface réfléchissante des portes métallisées, elle vit que ses lèvres avaient gonflé, elles étaient devenues plus charnues, plus épaisses. D’un doigt, elle les toucha, ce qui provoqua un petit choc électrique qui se transmit jusqu’à son minou. Elle serra les jambes pour éviter une fuite de cyprine...
Elle retrouva soudain sa clarté d’esprit et s’horrifia de ce qui venait de se passer. Elle se comportait comme une folle du cul, incapable de réfléchir. Ce n’était pas que son physique qui était en train de se métamorphoser, son cerveau aussi ! Si elle n’agissait pas, qui sait ce à quoi elle ressemblerait à la fin de la journée et si elle serait encore en mesure de penser à autre chose qu’au sexe...
Les portes s’ouvrirent enfin, elle était à l’étage des labos... Elle s’avança, et son sursaut d’intelligence s’arrêta, elle essaya de se rappeler pourquoi elle était là. Elle était venue chercher une gélule non ? Mais pourquoi ? Ah oui !! Elle voulait un antidote.
Elle avança à l’aveuglette... tous ces types en blouses blanches étaient diablement sexy, ils devaient être sacrément intelligent s’ils portaient ce genre d’uniforme, et tous ces scanners qui faisaient bip-bip et les tubes à essai qui faisaient Pschiitt ! C’était impressionnant !
Finalement, elle vit Éric, l’homme qu’elle avait rencontré hier.
— Éric !!!
Ce dernier se tourna vers elle. Et marcha à sa rencontre.
— Bonjour Caroline, vous semblez... changée aujourd’hui.— C’est vrai ? Tout le monde me dit ça hi hi ! C’est que ça doit être vrai.— Vous êtes blonde, vos seins ont quadruplé de taille et vos lèvres sont devenues pulpeuses.
Malgré le ton clinique, Caroline rougit sous cette avalanche de compliments, et sautilla d’un pied sous l’autre.
— T’es trop gentil ! tu veux me séduire c’est ça ? hihi... Je crois que t’as réussi...— Non, je crois surtout qu’hier, vous avez volé une des gélules et que vous l’avez avalé.— Mais non !!! J’ai rien volé... je suis gentille ! Tu peux me fouiller... et me fouiller où tu veux. 
Elle fit un clin d’œil.
— Ce n’est pas la peine... Par contre, je suis intéressé par les résultats, il faudrait que je puisse vous examiner et prendre des mesures...— Je vais devoir me déshabiller alors ! oh la la ! C’est que je suis timide moi...
Soudain, elle se mit à paniquer.
— Mais je peux pas aujourd’hui ! — Ah bon ? Pourquoi ?— Je ne veux pas dire...
Elle plaqua sa main sur sa bouche comme une petite fille qui voudrait garder un secret.
— Allez... Si tu me dis, je te donnerais une récompense.— Quoi donc ?— Hum... Qu’est-ce qui te ferait envie ?— J’ai envie d’une sucette... Et quand je dis sucette, c’est un message codé... »
Caroline lui fit un clin d’œil. Et s’aperçut que ses cils étaient devenus plus longs.
— Je vois,— Ben oui, une sucette, en vrai, c’est une bite à sucer, j’adorerais qu’on me mette une grosse pine bien bandée dans la bouche.— Bon... d’accord. Je te laisserais me sucer. Maintenant, dis-moi quel est ton problème, pourquoi tu ne veux pas te déshabiller ?— J’ai pas le minou bien rasé, j’aurais trop honte de le montrer.— Ce n’est pas un problème ça.— Si !— Alors, disons qu’on fera les mesures demain... Tu te le raseras comme tu voudras ce soir.— Génial, un joli petit ticket de métro, tu me caresseras la chatte hein ?— T’inquiète pas.— Alors maintenant... je veux ma récompense.
Éric mena Caroline dans une salle obscure, sans doute utilisé pour faire des tests. Caroline se dépêcha de se mettre à genoux immédiatement pour déguster une queue à son goût. La bite n’était pas immense, mais rien que de poser ses lèvres dessus, elle devint moite. Elle commença à pomper comme elle n’avait jamais pompé, ses lèvres semblaient faites pour servir de fourreau à pine... À chaque fois que la queue frottait ses lèvres, cela lui donnait une envie furieuse de saliver et de sucer...
La pipe ne dura pas longtemps, les lèvres de Caroline étaient comme du velours, enfoncer sa queue entre ses deux épaisses lippes était un plaisir que peu d’hommes pouvaient connaître. Quand Éric gicla sa sauce, Caroline ne réfléchit même pas et se mit à tout avaler d’un trait, le sperme était délicieux ! Elle lécha le gland à fond pour être sûre de ne pas en laisser une goutte.
Éric retira sa queue de la bouche de Caroline pendant qu’elle restait à genoux à se délecter encore un peu de la saveur de sperme qui lui restait en bouche. Quand Éric allait repartir, elle se souvint qu’elle devait lui demander quelque chose :
— Éric !— Euh... Il y a quelque chose que je devais te demander... Attends... ah oui, un antidote ! C’est ça que je veux...— Mais un antidote pour quoi ?— Hier, j’ai avalé une gélule qui m’a fait pousser mes gros nichons !— Premièrement, ça m’a l’air formidable, tu n’as pas besoin d’antidote pour ça.— C’est vrai ça ! Merci ! J’adore mes nichons aussi, j’ai vraiment envie de les caresser, pas toi ?— Hum, si... Mais deuxièmement, il y a un quart d’heure, tu m’as dit que tu n’avais pas volé de gélule Bimblau.— Oh...
Mince elle avait avoué ! Il risquait d’appeler la police peut-être... Elle se serait bien jetée à genoux pour le supplier, mais elle était déjà à ses pieds.
— Je suis désolée ! J’ai vraiment été vilaine... Je le ferais plus, jurée !— Je te crois, mais c’est pas bien. Pour la peine, je crois que tu mérites une fessée. — Oh oui ! Une fessée !
Caroline s’en voulut de se montrer si enthousiasme, ça devait être une punition... pas quelque chose qu’elle devait prendre plaisir à subir. Elle se reprit :
— Je veux dire... oh non ! pas une fessée. — Viens là, dit-il en indiquant une table où étaient posés des instruments scientifiques.
Caroline se remit debout et se pencha sur la table, elle sentit que le Monsieur lui retirait son tailleur et sa petite culotte. Avec sa main, il commença à lui frapper ses fesses toutes rondes. À chaque coup, elle laissait échapper un petit « Oh ! » Alors que sa foufoune devenait de plus en plus mouillée... Quand il eut fini de la punir, la véritable punition commença, car il se refusa à lui enfoncer sa queue dans sa fente visqueuse de mouille. À la place de quoi il dit :
— Reviens demain, tu devras te déshabiller et on te fera passer des tests.— Oh des tests !? J’aime pas trop ça, les maths, c’est compliqué.— Mais non idiote, il s’agira de voir si des nichons sont plus sensibles que la normale, ce genre de choses...— Oh oui alors ! J’adorerais faire ce genre de test.— Bien, et oublie cette histoire d’antidote, tu n’en as pas besoin...
Caroline repartit du labo, elle fut déçue de ne croiser personne dans l’ascenseur et dans les couloirs. Elle avait vraiment envie de parler avec des hommes, et plus si affinités...
Dans son bureau, elle se remit à travailler sur le projet de campagne marketing... Du moins, elle essaya. Elle déchiffra avec difficulté les notes qu’elle avait écrites la veille : « Il faut axer la campagne sur le principe qu’être désirable n’était pas incompatible avec compétence et intelligence. » Qu’est-ce que ça pouvait bien dire ? Elle était désirable, ça ne suffisait pas ? Elle prit le crayon pour barrer intelligence et compétence, puis elle se mit à réfléchir, mais au bout de quinze secondes, ses pensées tournaient autour des hommes, comme elle avait envie de leur queue. Sans s’en rendre compte, elle avait mis le stylo dans sa bouche et elle se mit à le sucer.
On cogna contre sa porte :
— Entrez !
La porte s’ouvrit, elle fut déçue que ce ne soit pas un Monsieur, mais juste Florence, la secrétaire du patron. Et elle semblait en colère :
— Qu’est-ce que tu fais, ça fait dix minutes que tu devrais être en réunion. Tu ne lis pas tes mails ?— Je trouve plus mon mot de passe.— Et ton téléphone ?— Euh... J’ai plus mon code Pin. Hihi, pin, ça se prononce comme pine...
Florence regarda Caroline comme si elle était attardée, se demandant si elle se foutait de sa gueule. Et elle avait changé depuis la dernière fois qu’elle l’avait vu, elle avait les cheveux blonds, et cette poitrine... Mais n’était pas là pour ça :
— Ce n’est pas le moment pour faire des blagues, ton dossier est prêt ?
Caroline regarda la feuille avec la petite phrase écrite dessus :
— Oui, j’ai écrit quelque chose. — Très bien, alors on y va.
Caroline suivit Florence, heureusement car elle ne se souvenait plus vraiment où était le bureau du patron. Elle entra dans le bureau, alors que le patron était déjà assis. Il était en costume élégant, était âgé d’une cinquantaine d’années, mais entretenait son physique. Ses cheveux étaient bruns, ses yeux bleus et sa mâchoire carrée. Caroline l’avait toujours trouvé impressionnant, affichant une assurance que seuls des millions sur un compte en banque peuvent donner. Il pouvait vous figer sur place d’un regard s’il posait les yeux sur vous, et Caroline était assez fière -jusqu’à présent- d’avoir pu lui retourner ce regard sans fléchir, en ayant derrière elle l’assurance de sa propre compétence et de son intelligence.
Mais maintenant, elle était anxieuse, inquiète, elle devait lui remettre un travail et elle n’était pas sûre que ça lui plaise. Tremblante, elle fit tomber son papier. Quand elle le ramassa, elle se courba en deux, laissant bien le temps à son patron de mater son postérieur de qualité supérieure. Quand elle se remit debout, elle bafouilla : »
— Alors le projet de marketing, c’est que euh... il faut que les femmes soient séduisantes. — Et...— Mais aussi intelligente et compétente ? C’est dans le sondage. Mais moi je crois que c’est faux...— Et pourquoi tu penses ça... ?— Hi hi, je sais pas. — Une femme qui n’est ni compétente ni intelligente. Comment fera-t-elle pour trouver un job, un mari ?— Eh ben... Faut qu’elle couche et qu’elle suce, je pense.— Tu crois ça ?— Euh oui. — Alors qu’est-ce que tu attends pour t’exercer ?
Comme si elle n’attendait en effet que ça, Caroline retira son tailleur et sa petite culotte. En la retirant, elle se rendit compte qu’elle avait tellement imprégné le tissu de mouille qu’il en dégoulinait. Elle prit bonne note d’apporter pour les jours suivants plusieurs culottes à mettre dans son sac à main pour pouvoir en changer lorsqu’elle était trop excitée. Il ne lui fallut ensuite que quinze secondes pour déboutonner les quatre boutons restant encore attachés de son chemisier et elle se retrouva entièrement nue.
Le patron se rapprocha d’elle et commença à la caresser, ce qui fit frissonner Caroline d’un délicieux plaisir anticipé.
— Pour la campagne marketing, on va laisser quelqu’un d’autre sans charger.
Caroline était humiliée et honteuse ; son travail n’était-il donc pas satisfaisant ?
— Je suis désolée, Monsieur...— Tu n’as pas à l’être, tu vas être promue.— Vraiment !? Caroline sauta de joie et embrassa son patron.— Tu vas être promu à la publicité, tu serviras de modèle pour vanter les mérites du Bimblau. — C’est merveilleux !
Tout le monde la verrait sur des affiches, elle s’imagina faire bander des hommes dans tout le pays, dans le monde entier peut-être ! C’était comme un rêve devenu réalité.
— Et maintenant, allonge-toi. Je crois qu’une certaine jeune femme a un besoin urgent de se faire tringler.
Caroline obéit immédiatement, et poussa un cri dès qu’elle fut pénétrée par la queue dure de son patron. Elle se demandait comment elle parvenait à être silencieuse quand elle faisait l’amour avant ? Maintenant, à chaque pénétration, elle criait haut et fort, se moquant bien qu’on puisse penser qu’elle n’était qu’une salope, elle prenait de toute façon bien trop son pied pour penser.
Son patron lui pelotait ses énormes seins tout en la baisant, savourant ce corps de Bimbo si parfait. Il n’avait pas été étonné de la voir débarquer sous cette forme dans son bureau. C’est lui qui avait envoyé l’e-mail en provenance de Chimex pour lui faire croire qu’ils étaient intéressés par le vol de la gélule Bimblau. Il avait tout organisé avec Éric, celui-ci avait besoin d’un test sur un cobaye humain, mais le faire selon les normes établies par l’EMA, c’était impossible. Quand Éric lui avait fait part de la transformation physique de Caroline en Bimbo et qu’elle avait accepté de se faire fesser sans autre forme de procès, il était devenu impatient de voir son employée, ce qui était une première.
De toute façon, la vente de ce produit se ferait par le marché noir, en passant par la Russie. Vendre un produit qui change physiquement le corps des femmes était déjà à la limite du légal, mais quand les scientifiques s’étaient aperçus que cela rendait stupide toute commercialisation était devenue impossible.
Et pourtant, cela ouvrait un tel marché... Quel mari ne voudrait pas d’une femme belle et idiote ? Quel patron ne voudrait pas d’une secrétaire canon et soumise qu’il baiserait quand il en aurait envie ?
En pensant cela, il redoubla de vigueur. Il se rappelait encore quand elle venait d’être engagée, elle sortait d’une grande école de commerce : l’HEBAM, et se pavanait comme si l’entreprise lui appartenait, donnait des ordres à tout le monde. Elle puait l’arrogance, quand il la rencontrait dans les couloirs, elle le regardait comme si elle voulait prendre sa place. Maintenant, son QI avait baissé de 40 points... elle devait avoir des difficultés à lire, et ne devait pas être capable d’utiliser plus de deux cents mots de vocabulaire. Sa capacité de concentration ne s’étendait pas au-delà d’une minute, et l’essentiel de ses pensées tournait autour du sexe.
Quant à sa fierté, avec une bite plantée dans sa chatte juteuse, elle ne pourrait plus prétendre qu’à être une soumise, une de ces filles qui s’agenouillent et prennent ce qu’on leur donne.
Quand Éric avait parlé des effets du Bimblau, Guillaume avait immédiatement pensé à Caroline. Il avait tellement envie que cette snob hautaine se mette à genoux pour le sucer, qu’elle écarte les cuisses pour lui et devienne sa chienne. Elle était peut-être encore respectée aujourd’hui, mais elle serait considérée comme la salope de l’entreprise dès demain, celle que tout le monde aurait baisée. Celle qui avale des queues sur simple demande. Une fois qu’Éric aurait analysé scientifiquement Caroline, elle irait au département marketing du 26ème étage, elle serait photographiée nue et en habits sexy pour la promotion du Bimblau. Ensuite... peut-être pourra-t-elle avoir une place à l’accueil. Elle serait parfaite pour faire patienter les clients, et ceux-ci seraient plus détendus une fois qu’ils se seraient vidé les couilles en elle.
Alors que Caroline criait : « Plus fort ! plus fort ! » Guillaume jouit dans sa chatte, déversant sa semence dans son employée servile. Caroline n’avait jamais éprouvé ça, cette sensation d’être remplie par tout ce sperme, elle jouit en hurlant d’extase.
Quand elle quitta le bureau, elle eut soudain une vision fugace... comme si son cerveau se réveillait et hurlait d’horreur en se découvrant devenue une salope, une pute. Mais rapidement, cette idée étrange disparue. Peut-être qu’elle devrait en parler à Éric, si elle insistait il lui donnerait peut-être une nouvelle gélule, ce serait chouette si elle pouvait devenir encore deux fois plus belle !
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