Cette histoire s’est passée il y a maintenant 2 ans je vais vous la raconter au présent afin qu’elle soit bien plus immersive. Je m’appelle C et j’habite à Rouen, je suis étudiant à l’Université de Mont-Saint-Aignan et j’entame ma dernière année d’études. Je sors avec une fille depuis 3/4 mois et j’ai plein de sentiments pour elle, mais je ne sais pas pourquoi, depuis que j’ai 15 ans j’aime aussi le sexe avec les hommes, seulement le sexe par contre et bizarrement, seulement leurs bites. Nous sommes donc un mardi midi, je mange avec des amis et on est tous sur notre téléphone comme d’habitude lorsque je reçois un Snap de mon plan cul qui me demande si je veux baiser. Je suis gêné car personne ne le sait que je fréquente un mec. Après une rapide vérif que personne ne porte d’attention sur moi, je lui réponds que oui, mais que cette fois-ci j’aimerais un peu plus. En effet depuis quelque temps j’ai fait l’acquisition de 2 godes avec lesquels je me procure beaucoup de plaisir, surtout que je me suis entraîné à la double anal et je trouve que ça passe plutôt facilement. Sa réponse me refroidit car il était catégorique : c’était non. Après une bonne heure à le chauffer en envoyant des sextos de plus en plus chaud je réussis à le convaincre à envoyer un message à tout ceux qu’il connais pour leur proposer un gang bang. Je me dis que mon rêve est proche car ce que j’adore par-dessus tout chez les hommes, c’est leur sperme, je l’avale goulûment et j’en raffole, je ne saurais dire d’où vient cette obsession. Il est maintenant 15h, je fini à 19h et je reçois la confirmation qu’il y aurait d’autres personnes ce soir, malheureusement, seulement une... Mais bon, c’est mieux que rien alors je m’empresse d’approuver et je lui donne rendez-vous à 19h20 le temps de faire la route. Le temps est long, très long, j’ai l’impression de patienter des années que l’heure sonne quand tout à coup le prof annonce la fin du cours. Je saute dans ma voiture et je roule en direction de chez mon plan cul, je me gare devant chez lui, je toc, personne... Je me demande s’il ne m’a pas posé un lapin mais après 5 bonnes minutes d’attente il finit par m’ouvrir en me précisant que son frère était là et que ce n’était pas prévu mais qu’on irait dans sa cave car il a une pièce aménagée pour jouer aux jeux vidéo. Je descends et ne vois personne d’autre que nous 2, je lui demande où est l’autre et il me dit qu’on ira le chercher d’ici 45 minutes, 45 minutes à attendre ?! Je ne peux pas, je m’avance vers lui et commence à lui baisser son pantalon, puis son caleçon et je laisse apparaître sa bite. Je me mets à genoux devant lui, pose ma langue sur son gland et plonge mes yeux dans ses yeux avant d’enfourner sa bite dans ma bouche, pas entièrement non, je n’y arrive pas malgré beaucoup d’essais, mais assez loin pour me déclencher des haut-le-cœur. Je le lèche de bas en haut, puis de haut en bas, je lèche ses couilles, les prend dans la bouche tout en branlant cette bite qui m’a tant donné envie toute la journée. J’appuie mes coups de langue sur son gland, sur son frein et je n’hésite pas à prendre son gland en bouche pour le lécher encore mieux. Après 10 bonnes minutes de fellation, je sens que Monsieur va jouir, je me retire et lui demande s’il sera à nouveau opérationnel après. Il acquiesce alors je reprends ma fellation et en le pompant tout en le branlant il éjacule dans ma bouche en 30 secondes : un premier jet tape le fond de ma gorge, le second fait de même, le 3ème s’étale juste sur ma langue et le dernier coula juste sur ma langue, mais comme j’avais gardé sa bite en bouche, son sperme ressortit un peu et coula sur mon menton, je laisse donc reposer sa bite et avale tout ce foutre que j’ai en bouché qui a bon goût (pour l’instant je n’en ai jamais avalé de mauvais) et je récupère le sperme sur mon menton pour l’avaler aussi, bien évidemment, je presse sa bite afin de récupérer tout le nectar n’étant pas sorti. Il est maintenant 19h35 et on ne va chercher que son ami dans 30 minutes. Je recommence à branler mon plan cul et son membre repris peu à peu de la vigueur, n’étant pas adepte des capotes, je lubrifie sa bite en crachant dans ma main puis en le branlant, je me déshabille en même temps et je le fais s’asseoir sur le canapé avant de le chevaucher et de commencer à me frotter à sa bite. Je n’en peux plus d’attendre, je la veux, je la prends en main et la pose contre ma rondelle et je commence à descendre doucement car malgré nos baises très régulière, mon cul reste douloureux au début. Une fois le gland passé, le travail est fait et je peux me laisser tomber entier sur sa bite afin qu’elle fouille mes entrailles, je la sens en moi, profonde (17cm quand même) et je sens mon cul se dilater sous l’extase que me procure ce simple aller, je remonte jusqu’à ce que sa bite ressorte entièrement avant de me rabaisser à nouveau entièrement dessus, malheureusement cette position n’est pas très confortable et je ne suis pas très stable, je demande donc à mon plan cul de me baiser le cul aussi fort qu’il le peut et il s’exécute directement, il prend mes fesses, les soulève un peu et commence à me pilonner le cul, qu’est-ce que c’est bon, il n’y va pas doucement en plus, du liquide commence à couler de ma bite et il accélère encore, je sens ses couilles taper mon cul, sa bite rentrer et sortir à toute vitesse, je suis aux anges, je vais jouir s’il continue, il continue sauf qu’il me prend au cou maintenant, c’est plus possible, je jouis : je remplis son torse de foutre alors qu’il me baise encore sauvagement, je suis sur un nuage, un nuage qui me défonce le cul certes mais un nuage quand même lorsque d’un coup, ses paroles me ramènent à la réalité, il me prévenait qu’il allait jouir, je veux avaler encore alors je lui dis de stopper et je le branle frénétiquement jusqu’à ce qu’il éjacule encore plus que la première fois et j’ai fait en sorte que ses jets atterrissent aussi sur son torse, son sperme se mélange au mien, je suce sa bite histoire de la nettoyer de tous le sperme restant et je commence à lui lécher le torse pour avaler cette substance blanche qui l’inonde, il y en a beaucoup, mais j’avalerais tout. Après une bonne séance de nettoyage de torse qui mine de rien, me pris 3 bonnes minutes, il était bientôt l’heure d’aller chercher son ami qui, je l’espère, me mettra aussi chère.
