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Un bizutage efficace

Chapitre 1

Trash
Je venais à cette époque d’intégrer une école de commerce. J’avais à peine 18 ans. Je vivais jusque là dans un petit village que je quittais enfin pour rejoindre Lyon. Autant dire que je me sentais complètement perdue. La plupart de mes amies de lycée s’était tournées vers les sciences humaines. L’année risquait d’être longue...
Afin d’intégrer les petites jeunes comme moi, les plus anciennes organisaient des soirées entre filles auxquelles il était bienvenu de participer. Durant un des premiers cours en amphithéâtre, des documents présentant cette soirée avaient été distribués. Il s’agissait simplement d’un repas, dont le menu était précisé. Alors pourquoi ne pas participer ? Le soir j’ai confirmé ma participation. Le repas était prévu pour la semaine suivante, le samedi soir. Et l’attente fut longue.
Le samedi soir, nous nous sommes toutes retrouvées dans un petit restaurant. Nous étions une douzaine dont six anciennes, cinq nouvelles et une jeune femme que je n’avais jamais vue mais qui se révéla aussi être une nouvelle. Le repas se passa très bien, dans le rire et la bonne humeur. J’aurais pourtant du me méfier... Au programmae : huîtres, gingembre, épices, et pas mal de vin. Avec le recul, je me rends compte que mon verre se remplissait sans cesse.

En sortant du restaurant, nous étions toutes bien gaies. Les anciennes nous ont alors emmenées dans un grand appartement appartenant sans doute à l’une d’elle. Le salon, dans mon souvenir était immense. Et c’est là qu’a commencé la vraie soirée d’intégration. Au départ, tout le monde était encore de bonne humeur, en partie parce que jusqu’ici tout s’était bien passé, en particulier du fait de l’alcool.
Au milieudu salon, six serviettes étaient installées. Les anciennes nous invitères à nous mettre, chacune sur sa serviette, histoire de poursuivre par des jeux. Certaines s’amusaient à nous titiller, en tirant sur nos vêtements, ou ce genre de chose, celle qui quittait sa serviette étant la perdante. L’ancienne qui s’occupait de moi me baissa ma petit juppe. Je me baissai rapidement pour la remettre, mais la plaisanterie n’avait pas encore atteint les limites. L’une des filles avait aussi son pantalon sur les chevilles, mais quand elle voulut le remettre, son chemisier lui fut arracher. Elle se retrouvait en sous-vêtement. Une ancienne lança alors : "vous n’allez pas la laisser seule comme ça, un peu de solidarité !" Alors, la jeune femme que je ne connaissais pas se mit à son tour en sous-vêtement. Toujours émêchées et pour suivre le mouvement, le reste de la troupe s’est déshabillé à son tour. Six filles en sous-vêtement.
J’entendis presque immédiatement un cri étouffé à côté de moi : la même jeune femme que je ne connaissais toujours venait de perdre son soutien-gorge. Pendant qu’elle cachait avec difficulté sa poitrine, sa culotte suivit. Elle était nue. Elle demanda à celle qu’elle avait précédemment soutenue de l’imiter pour qu’elle ne soit pas seule. Celle-ci hésita quelques instants. L’alcool aidant, elle finit par s’aider.
Les anciennes annoncèrent alors que les filles nues devaient s’agenouiller sur leur serviette, ce qu’elles firent. Puis, toujours en riant, elles nous déshabillèrent à notre tour. Les six jeunes étaient nues donc nues. Pour ma part, je ne riais plus. Ou plutôt je riais jaune. Celle que je ne connaissais paraissait de bonne humeur. Quant aux autres, je n’aurais pas pu dire si elles s’amusaient réellement, ou si, comme moi, elles auraient préféré partir. Nous étions pris dans le feu de l’action.
Pendant qu’une ancienne allumait la télévision située devant nous, on nous servit un verre de champagne qui fut le bienvenu. Une fois mon verre fini, et alors que ma tête tournait franchement, je pus me rendre compte qu’un film pornographique était diffusé devant nos yeux. Une ancienne annonça : "nouveau jeu : la première qui mouille sa serviette a perdu".
Nous sommes ainsi restées comme ça pendant plusieurs minutes. A la télévision, une femme suçait un homme pendant qu’un autre la fourrait par derrière. Les bites semblaient démesurées. Effet des aphrodisiaques, de l’alcool ou des images, je me sentis extrêmement excitée. J’entendis un "perdu !". Une de mes camarades avait mouillé sa serviette. Ensuite, ce fut mon tour. Lorsque toutes les serviettes furent mouillées, la porte s’ouvrit... Toujours sous l’emprise de l’alcool, je n’eus pas le réflexe de me cacher. Six hommes nus sont alors entrés. Ils se sont positionnés immédiatement derrière nous. Le mien était un petit brun. Dans l’état dans lequel je me trouvais, je jetai mon premier regard à son sexe qui n’était pas énorme, mais pas ridicule non plus. L’homme lui-même n’était ni beau ni laid. L’une des anciennes déboucha un flacon d’huile de massage et chacun des hommes en mit sur ses mains. Et ils commencèrent à nous masser.
Pour me part je n’osais même pas regarder. J’essayais de me concentrer sur autre chose, mais l’odeur de l’huile eut un effet dévasteur. Et c’est à nouveau un son qui tira de mes pensées. Un gémissement d’homme. A côté de moi, toujours la même jeune femme avait pris les devants et suçait avidement son partenaire. Ce fut le déclencheur. Les autres s’y mirent aussi. Moi je sentais l’homme bander dans mon dos. Son sexe durci reposait sur épaule. Je finis par succomber. A mon tour, je le pris dans ma bouche. Et nous étions là, toutes les six à sucer des inconnus les unes à côté des autres, pendant que les anciennes nous regardaient, tantôt riant, tantôt nous encourageons. C’est à ce moment que je me rendis compte que l’une d’entre elle nous mitraillait avec un appareil photo. Mais il était trop tard.
Aussitôt, la porte s’ouvrit de nouveau et six nouveaux garçons firent leur apparition. Moi qui n’avais jamais eu de relations sexuelles qu’avec mon petit ami, je me retrouvais à sucer deux queues. Mon premier partenaire vint se positionner derrière moi, et je me suis fait l’effet d’être la pornostar que je voyais peu de temps auparavant à l’image. Il me pilonna ainsi pendant 5 bonnes minutes. Ma bouche était pleine du goût des bites que je suçais. Je ressentis un violent orgasme. A ce moment, mes deux partenaires changèrent de place. Et mon pilonneur m’éjacula directement dans la bouche. Ne pouvant tout recracher, j’avalai une partie du sperme, ce qui me provoqua un haut le coeur. Il sortit de ma bouche et s’essuya la bite dans mes cheveux bruns. Après quelques minutes, l’autre se positionna face à moi et m’envoya son sperme sur le visage. Puis il m’abandonna : les anciennes servaient à boire aux mecs.
Mes camarades n’étaient pas dans un meilleur état que moi. Une en particulier avait véritablement le visage recouvert de sperme. Une autre se plaignit d’avoir "vraiment trop mal" : l’un de ses partenaires l’avait sodomisée de force. Et l’ancienne continuait à prendre ses photos. Une autre avait carrément filmé la scène. Lorsque j’ai demandé si je pouvais aussi avoir de l’eau, on me répondit qu’il me faudra à nouveau sucer deux queues et avaler le sperme pour en avoir. Au point au j’en étais... Deux hommes de nouveau vigoureux se présentèrent et à nouveau je suçais. Je sentais qu’on me filmait en gros plan. Mais tant pis. J’étais trop saoûle pour me rendre compte.
Finalement, les garçons repartirent. Nous, nous nous sommes endormies directement sur place, trop saoûles et fatiguées pour bouger. Au petit, je me suis réveillé, du sperme collé dans les cheveux et sur le visage. La bouche pâteuse. Sur l’écran de télévision, un film porno était encore diffusé, mais c’était moi l’héroïne.
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