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La blackette du RER

Chapitre 1

Hétéro
La fiction se mêle à la réalité...ou l’inverse !
Il faut absolument que je vous raconte ma dernière aventure parisienne.
Pour celles et ceux qui me suivent, je rappelle que je suis délégué départemental d’une association de retraités et deux fois par an, nous nous réunissons pour débattre de choses et d’autres...
Si pendant quelques années, je n’hésitais pas à entrer en voiture dans Paris pour gagner mon hôtel, près de la gare Montparnasse, cette année, j’avais opté pour une autre solution : j’avais réservé ma chambre dans un des nombreux hôtels qui ont fleuri autour du Parc de Disney et grâce au RER, je pouvais être au lieu de notre rassemblement en une bonne demi-heure...et j’échappais ainsi aux embouteillages parisiens.
Les échanges avaient été fructueux et le nombre d’adhérents ne cessait d’augmenter, ce qui était un signe de bonne santé et de dynamisme de notre association.
J’ai 65 ans et j’estime être en bonne forme physique que j’entretiens régulièrement en faisant de la randonnée pédestre et de la natation...De stature athlétique, j’ai toujours plu aux femmes qui, avec mon collier de barbe, disaient que j’avais une tête de pirate...Veuf à deux reprises, et sans attache sentimentale, j’étais libre de "papillonner" au gré de mes envies et je ne compte plus les femmes qui ont partagé mon lit pour une nuit ou plus...
La journée s’était terminée autour d’un buffet froid, puis chacun a regagné ses pénates.
Si au départ de Paris-Châtelet, la rame du RER était relativement pleine malgré l’heure tardive de la soirée, elle s’est vidée considérablement à Noisy-le-Grand, et au fur et à mesure des arrêts, je me suis trouvé seul dans la voiture avec une jeune blackette jusqu’au terminus du train.
Il ne restait que trois stations quand elle est venue s’asseoir sur la banquette voisine de la mienne en disant qu’elle se sentirait plus en sécurité près de moi.
C’est vrai qu’une femme seule (et en plus très jolie) risquait d’être importunée (pour ne pas dire autre chose) par des gens peu recommandables qui circulent à certaines heures de la soirée.
Nous avons commencé à bavarder de choses et d’autres, puis, curieuse, elle m’a demandé ce que je faisais seul à cette heure-là...
En riant, je lui ai retourné la question avec un compliment sur sa beauté !
C’est vrai qu’elle était belle... Je lui donnais environ 35 ans, les cheveux crêpés, mais artistement arrangés dégageaient une nuque fine. Les traits, bien qu’un peu négroïdes, étaient fins, et ses lèvres fardées d’un rouge carmin s’ouvraient sur des dents d’une blancheur éclatante. La silhouette, pour autant que j’aie pu en juger à ce moment-là, était fine, mais sous la doudoune, j’ai pu observer de jolies formes.

Au cours de notre bavardage, j’ai appris qu’elle était allée dans Paris pour rencontrer des amies originaires comme elle, de la Caraïbe, mais qu’elle habitait près de son lieu de travail au parc Disney. Elle m’a confié qu’ainsi, elle pouvait se passer de voiture...
Nous en étions venus à une conversation plus intime, en quelque sorte, ne nous contentons pas des banalités que peuvent débiter des personnes de rencontre et qui ne se croiseront plus après...
Quand nous sommes arrivés au terminus du train, nous avons fait quelques pas ensemble à l’extérieur de la gare en continuant à parler.
Nous n’avions pas envie de nous quitter, tant nous nous sentions bien malgré la différence d’âge...Elle me parlait de la Martinique, une île que j’avais visitée il y a quelques années à l’époque du Carnaval...lui parlant de la beauté des sites sauvages et de certaines de ses compatriotes...
Dans ces villes de la grande banlieue qui sont de véritables "villes dortoirs", je ne voyais pas comment prolonger la soirée sauf à inviter Coline à prendre un dernier verre au bar de mon hôtel.
— Oh ! Non, on me prendrait pour une prostituée...Viens donc chez moi, nous y serons mieux et ce sera plus intime !
— Crois-tu ? (J’étais passé au tutoiement.)
— Oui... je n’ai pas envie de terminer la soirée seule... Je me sens bien avec vous.
— Bien...alors, juste un verre, et je ne resterai pas longtemps !
— Si vous voulez...
Peu de temps après, nous entrions dans l’appartement de Coline au dernier étage d’un petit immeuble récent comme beaucoup dans le secteur. Je ne m’étais pas trompé...la doudoune enlevée, je découvris des formes plus qu’agréables à regarder : une poitrine assez généreuse et des hanches callipyges.
Nous avons continué à bavarder face à face, puis Coline est venue près de moi sur le divan en disant que ce serait plus intime, plus "chaud"...Elle se rapprochait de plus en plus, je sentais désormais sa hanche contre la mienne...
Peu de temps après, elle me tendait des lèvres que je ne refusai pas... D’ailleurs, en avais-je envie ? Cette jeune femme des îles me faisait furieusement envie, bien qu’elle ait à première vue, plus de la moitié de mon âge ! !
A partir de ce moment, la soirée se déroula comme dans un rêve...
Coline se mit à cheval sur mes cuisses et le bas de sa robe remonta, découvrant le haut de ses bas maintenus par une bande élastiquée...Tout en l’embrassant, je fis coulisser la fermeture dorsale de sa robe, et je dénudai ses épaules puis sa poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge de dentelle blanche qui tranchait sur sa peau d’ébène.
Quand elle se releva, elle fit glisser sa robe sur ses hanches, restant quelques instants devant moi en lingerie; et perchée sur des talons raisonnablement hauts... On aurait dit qu’elle s’offrait à mes regards... Elle était splendide... et je n’étais pas insensible à cette beauté ! Mon sexe était emprisonné dans mon boxer, et commençait à être douloureux tant il était bandé.
Jamais je n’aurais imaginé terminer ma soirée ainsi... car il était évident à ce moment-là, que nous allions faire l’amour ! Habituellement, c’est moi qui drague les femmes, généralement matures, car je ne veux pas m’amouracher d’une jeunette ni qu’une de ces jeunettes me mette le grappin dessus...Je tiens trop à mon indépendance...
Coline s’est agenouillée entre mes cuisses et a dégrafé ma ceinture...moins d’une minute plus tard, mon pantalon et mon boxer étaient roulés en boule sur le tapis et les lèvres pulpeuses de ma nouvelle amie avalaient mon sexe...Sa fellation était timide au début... Coline se contentait de lécher mon gland, mais bientôt c’est tout mon sexe qui était dans sa bouche où il allait et venait au gré de ma nouvelle amie...
Sans avoir besoin de parler, nous avons trouvé un terrain d’entente ! Sa fellation a suffi à bien m’exciter et faire monter la pression et lorsqu’elle a enlevé son string, Coline m’a dit qu’elle était déjà inondée...Nous étions sur la même longueur d’onde...NOUS ETIONS PRETS !
D’elle-même, elle s’est agenouillée sur l’assise du divan m’offrant la vue imprenable sur son dos et sa taille étroite qui s’évasait sur des hanches bien fendues...
Lorsqu’elle me tendit un préservatif, j’ai su que le moment était venu... Dès que j’ai été couvert, je me suis approché de Coline et de la pointe de ma bite raide comme du bois, je suis allé titiller son bourgeon quelques instants puis lentement je suis entré dans sa chatte... Elle était effectivement très chaude et humide : je la sentais au travers du latex... Quand j’ai été bien abouté contre ses fesses, Coline m’a encouragé à bien la baiser, elle avait envie de s’envoyer en l’air, elle n’avait pas baisé depuis plusieurs semaines...
Je n’étais pas insensible à ces arguments et à sa beauté...saisissant sa taille entre mes mains, j’ai commencé à aller et venir dans cette chatte qui s’offrait et participait de ses muscles intimes ! C’était bon...Je faisais monter le plaisir de Coline comme je sais le faire souvent lorsque je rencontre une nouvelle amie...puis je le laissais redescendre, mais décidément, ce soir, je n’avais pas envie de "jouer", aussi j’ai repris ma copulation pour amener Coline à la jouissance pratiquement en même temps que moi...
Je restai quelques instants au fond du sexe de Coline...J’appréciais tant, c’était bon de me sentir dans cette gaine humide et chaude dont les muscles intimes massaient encore ma tige pour en extraire les dernières gouttes...Puis nous avons basculé sur le côté... bien évidemment je suis sorti du sexe de ma nouvelle "amie", mais je suis resté entre ses fesses. Passant une main par-dessus son buste, je suis allé cueillir le bourgeon d’un de ses seins que j’ai fait rouler entre mes doigts...Coline ronronnait comme une chatte, disant que je lui avais bien fait l’amour, qu’elle avait encore envie que je lui donne du plaisir comme je le faisais avec ma main...
Elle s’est retournée vers moi, a retiré le préservatif dans lequel je m’étais épanché généreusement et a entamé une nouvelle fellation dans laquelle elle a mis tout son art, si bien qu’au bout de quelques minutes, je bandais à nouveau comme un cerf en rut. Il y avait bien longtemps qu’une de mes conquêtes féminines ne m’avait pas gratifié d’une gorge profonde aussi savoureuse...Certes, mon sexe n’est pas très long, mais je sentais que Coline aurait pu en absorber un plus généreux, car lorsque j’étais au fond de sa gorge, elle ne manifestait aucun haut-le-cœur... Sa bouche était chaude, et lorsque je lui ai demandé ce qu’elle cherchait, elle m’a répondu :
— J’ai envie de te voir gicler sur mes seins...Tu n’es pas contre ?
— Bien sûr que non...
Coline a poursuivi sa fellation; et lorsque j’ai atteint le point de non-retour, je me suis arraché à sa bouche et saisissant ma bite dans sa main droite, elle m’a masturbé jusqu’à ce que je me répande sur ses seins et le haut de son buste.
Quelque temps plus tard, je regagnais mon hôtel...Il était largement plus de deux heures du matin !
Non, je n’avais pas rêvé !
Coline m’avait gentiment congédié en disant que le lendemain, elle devait se lever de bonne heure pour aller travailler !
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