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Blandine et les loups

Chapitre 3

Trash
Il avait prévenu ; alors il y est allé de bon cœur, attaquant par de puissants allers-retours qui secouaient le corps menu de la jeune fille dont la tête heurtait le mur à chaque ruée en avant. Elle réussit à poser la joue sur sa main droite, ce qui lui permit de voir son assaillant en action. Croché fermement aux hanches à peine marquées de sa proie, il se projetait à grands coups de reins mécaniques ponctués de grognements bestiaux. Son visage marqué et son torse velu se mirent rapidement à ruisseler de sueur dont les gouttes tombaient sur le dos de Blandine.
Les gémissements de la petite blonde se transformaient peu à peu en cris rauques rythmant la furieuse pénétration. Son ventre s’était adapté pour accueillir l’intrus et la grosse verge se mouvait dans un bruit liquide accompagné par les claquements du bassin de Dédé contre ses cuisses. Puis l’homme s’immobilisa en lâchant un chapelet de jurons, planté bien au fond du ventre douillet, et il jouit longuement.
— Putain, que tu es étroite, tu serres tellement ma bite que j’ai pas pu me retenir d’avantage. Allez, a genoux devant moi, petite chienne. Tu va lécher ma queue et la nettoyer.
Il se retira et Blandine poussa un petit cri, mélange de dépit et de confusion ; Elle n’avait pas joui, mais les sensations n’avaient pas été toutes négatives. Elle avait aimé être prise ainsi, à la hussarde, sans fioritures. Elle se retourna et s’appuya un instant contre le mur ; méfiante, elle considéra Dédé qui attendait manifestement qu’elle obéisse. D’un coup d’œil elle détailla son physique de catcheur, immense carcasse musclée, bedonnante et velue, qui la dominait de plus de trente centimètres. Elle s’attarda sur sa verge épaisse et brune dans un préservatif rose taché de sang. Son sang, celui de son hymen rompu.
Sans expérience aucune, elle trouva cette première verge plus volumineuse, plus longue aussi, que ce qu’elle en imaginait. Pas étonnant qu’elle ait eu mal au début, pas étonnant qu’elle se soit senti si dilatée, si pleine...
— Tu attends quoi ? Mets-toi à genoux, vite.— Euh... Oui... Oui Monsieur.
Elle s’installa précautionneusement en faisant la grimace : son ventre était douloureux, son vagin irrité. Une fois installée, son visage se retrouva juste devant la verge qui reposait sur ses lourdes et velues génitoires ; elle leva les yeux sur le tenancier des lieux pour savoir ce qu’elle devait faire maintenant.
— Tu enlèves le préso et tu lèches, gourdasse.
Plissant le front tellement elle était attentive, Blandine prit à deux mains la colonne de chair qui avait perdu de sa superbe et entreprit de retirer l’enveloppe de latex ; à sa surprise, elle y arriva facilement. Elle fit la moue, dégoûtée par le contact du condom gluant et souillé qu’elle lâcha vite. La verge était pire, lui semblait-il, maculée et couverte de semence qui pendait en gros filaments glaireux. Elle recula instinctivement et expliqua, incrédule :
— Vous ne voulez quand même pas que je lèche ça, non ? Vous vous moquez de moi ?— J’ai l’air de me moquer, tu trouves ?— Eux... Non. Non Monsieur.— Alors tu sais ce qu’il te reste à faire.— Oui, d’accord, mais c’est berk. Les filles font toutes ça ?— Non, seulement les putes comme toi.
— Flatteur, grommela Blandine entre ses dents. Bon, quand faut y aller...
Elle sortit sa langue et en posa le bout sur le gland, entrant en contact avec la semence qui le couvrait. Rien, aucune sensation. Bon, au moins n’était-ce pas un affreux acide. Ses narines frémirent par contre, devant l’odeur d’urine, de sueur et d’autre chose encore. Elle s’enhardit et donna en coup de langue de bas en haut, recueillant un peu de sperme. Pas terrible, elle s’en doutait : iodé, un peu grumeleux, mais pas épouvantable non plus. Elle pouvait le faire !
La jeune fille commença à lécher la verge amollie ; elle se rendit vite compte que ce n’était pas facile de la nettoyer ainsi. Elle se demandait si elle allait y arriver quand Dédé lui lança :
— Prends-la dans la bouche et suce !— Mais... C’est pas sale de faire ça ?— Tu vois, le monde se divise en deux catégories : les femmes bien qui ne sucent pas, et les salopes qui sucent. Toi, tu es une salope. Alors tu suces.— Ouais, d’accord, j’ai compris...
Plissant le nez, la petite blonde goba le gland et aspira pour prendre toute la colonne de chair en bouche. Aussitôt Dédé posa une large main sur sa nuque pour pousser un peu plus sa bite dans la cavité buccale accueillante ; les lèvres plongées dans les poils drus du pubis masculin, Blandine protesta d’un grognement. Qui devint glapissement affolé quand elle sentit la bête se réveiller : la verge gonflait d’importance, s’allongeait et durcissait.
Le tenancier bloqua suffisamment longtemps Blandine pour qu’elle commence à s’inquiéter, puis il la libéra. Elle recula en toussant et crachant un flot de salive avant de lever vers lui des yeux larmoyants.
— Vous cherchez à m’asphyxier ?— Non. Tu dois apprendre à sucer convenablement une bite, salope. Et tu oublies d’être polie. Allez, suce.
La jeune fille examina avec inquiétude mais aussi fascination la hampe de chair dressée à l’horizontale. Brune, sillonnée de veines épaisses. Le gland épais et luisant presque recouvert par la peau du prépuce. Dessous, les gros testicules à la toison sombre.
— Bien Monsieur...
Elle ramena la peau en arrière pour dégager la prune charnue qu’elle prit en bouche. Puis elle aspira aussi fort qu’elle put, prenant la tige épaisse jusqu’à buter contre la luette. Gagnée par la nausée, elle recula un peu, léchant et mordillant sous les ordres du colosse. Debout, il la dominait de toute sa taille et elle devait lever la tête pour prendre en bouche la grosse bite maintenant gonflée à bloc.
— Les mains croisées dans le dos, et je ne veux pas que tu les bouges. Je vais tester ta profondeur...
Prenant la tête de Blandine à deux mains, il s’enfonça jusqu’à forcer la glotte, provoquant un réflexe de régurgitation chez la jeune fille qui protesta en gémissant. Pourtant, elle n’osa pas utiliser ses mains qui restèrent en arrière, à la satisfaction de l’homme. Il poussa son avantage, mais dut stopper en sentant la panique gagner les yeux de la blondinette. Il sortit complètement et la laissa respirer et reprendre son calme.
— Tu verras, dans quelques jours tu me feras des gorges profondes sans problème. En attendant, suce, fais-moi jouir.
Docilement, Blandine ouvrit la bouche et se mit à l’œuvre. Il la laissa s’activer plusieurs minutes avant de saisir sa queue et de la masturber avec entrain. Elle sentit qu’il allait éjaculer mais ne tenta pas de reculer ni de s’échapper, recevant sur sa langue de lourdes rasades de sperme. Un simple coup d’œil à Dédé lui fit comprendre la suite : elle déglutit et avala tout.
— Pas terrible, jugea-t-il. Mais je suppose que pour une première il fallait pas en attendre plus. On va voir si ton père veut te sauter, maintenant.
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