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Blandine et les loups

Chapitre 9

Trash
Abandonnant sa serviette sur le banc Blandine dut se lever toute nue, sous les regards lubriques de tous les mâles présents. Les deux hommes la conduisirent dans une chambre trois fois plus grande que celle où elle avait dormi. Ils se déshabillèrent rapidement, exhibant des bites bien bandées. Joe fit allonger la petite blonde et renifla son entrejambe.
— Allez, à la douche, enlève tout, c’est pas que ça pue mais je veux te goûter toi, pas ta pommade.
Cinq minutes plus tard elle revint, hésitant en découvrant les deux hommes allongés côte à côte sur le grand lit, flamberges dressées. Ils lui firent signe de venir entre eux, Joe s’occupant de son intimité et l’autre homme, prénommé Stephen, de sa poitrine. Au premier contact de la langue glissant dans sa fente, de bas en haut, pour finir sur le clitoris, Blandine trembla de tous ses membres. La bouche de Stephen happa un mamelon et le téta alors que l’autre téton recevait des caresses manuelles. Submergée par des sensations inconnues, elle s’ouvrit largement, offrant à Joe ses orifices gonflés. Il plongea deux doigts joints dans le vagin trempé, continuant à lécher et aspirer les nymphes, se délectant du jus suintant des replis roses.
Juste au moment où Blandine connaissait un premier orgasme et criait sans retenue, il retira ses doigts et les enfonça profondément juste en dessous, dans les reins de la jeune fille qui gémit mais ne protesta pas. Il continua à lécher et pomper le clitoris gonflé, puis fora un nouveau doigt dans l’anus. Cinq minutes plus tard, c’étaient quatre doigts qu’il plongeait jusqu’à la jointure du pouce dans l’orifice distendu, ce tout en conduisant Blandine à un nouvel orgasme.
Dans un état second dû aux jouissances et à l’alcool, elle se retrouva à genoux et Joe la sodomisa, enfonçant son mandrin d’une bonne poussée. En même temps, Stephen présenta sa verge devant l’infortunée ado qui ouvrit la bouche pour la sucer. Mais il saisit sa chevelure dénouée et imposa toute sa longueur, forçant la luette. Blandine faillit régurgiter son repas mais réussit à se contrôler. Son corps svelte était secoué de violents coups de boutoir, si rudes qu’elle se demanda si Joe ne voulait pas s’enfouir complètement en elle.
Ils se vidèrent presque ensemble et elle dut boire toute la semence déversée dans sa gorge, déglutissant avec peine tant la production était abondante. Épuisée, elle tomba en avant, sur le ventre de Stephen, alors que Joe se laissait glisser sur le côté.
— Alors, tu as aimé, on dirait.— Oui, c’était génial ! Merci à tous les deux.— Bon, faut qu’on aille s’entraîner. Si tu veux, tu peux te promener dans le secteur. Si c’est fermé, tu n’essaies pas d’entrer. Ciao ; ce soir, tu vas avoir droit à une autre équipe.— Oh mon dieu ! Je ne vais jamais tenir, moi !— Tu n’as pas le choix. Il te faudra faire comme cette nuit et c’est tout.— Mais... Ils vont être aussi nombreux ?— Cette nuit c’était l’équipe bleue, mon équipe ; nous étions quatorze. Ce soir c’est l’équipe rouge, ils sont au complet, seize. Et demain l’équipe noire, quinze membres.
Horrifiée, Blandine se leva d’un bond puis s’assit lourdement sur le lit. Une salope, elle était devenue une salope. De lycéenne modèle dans une pension catholique, elle était devenue en une semaine une fille que tout le monde baise, qui taille des pipes gratis et donne ses orifices à qui en veut. Et dieu sait que beaucoup d’hommes en voulaient, de son corps. Elle avait vu plus de bites depuis une semaine que certaines femmes dans toute leur vie.
Pensive, elle fila sous la douche, la troisième de la journée. En sortant, elle s’aperçut que quelqu’un (Joe sans aucun doute) avait déposé sur le lit un tee-shirt blanc et un short noir en coton. Taille quatorze ans, mais vu ses mensurations de nymphette, c’était parfait. Pieds nus, elle sortit de la chambre et partit visiter les lieux.
Au hasard, elle suivit un couloir désert puis descendit un escalier, se retrouvant dans un nouveau couloir. Poussant une porte, elle entendit des cris de douleur dans lesquels elle reconnut la voix de son père. Elle entra, mue par la curiosité. Attaché sur une chaise, il se faisait tabasser par trois types musculeux. Torses nus et ruisselants de sueur, ils se relayaient pour cogner sur le prisonnier.

— Tiens, voila la salope ! s’exclama un des hommes. Tu viens pour nous demander de le libérer ?— Non. Je me fiche de son sort, maintenant.— Blandine, coassa Gilles d’une voix cassée, ma fille chérie, dis-leur de me libérer. Tu vois ce qu’ils me font, ensuite ils veulent me tuer. Tout ça parce que j’ai voulu te protéger, te faire sortir d’ici...— Tu parles ! ricana un des bourreaux, le chef sans doute. Il nous a dit de te garder, que tu pouvais rapporter beaucoup d’argent en faisant la pute. Un vrai fumier.— Ne les écoute pas ! hurla Gilles. Je t’aime, tu es la lumière de ma vie...— Tu peux pas savoir combien je te hais. Tu n’es pas un homme, t’es une bête. Tout ce que tu touches devient répugnant, vulgaire. Je ne veux plus jamais te voir. Plus jamais t’entendre. Plus jamais, tu entends. Ni entendre parler de toi. Tu as sali l’unique chose belle dans ma vie. Gibier de potence. Je peux enfin te cracher à la figure.
Ébahi par la tirade de sa fille, il resta bouche bée alors qu’elle crachait sur lui. Puis elle se tourna vars les trois homme médusés.
— Je vous laisse, je vais à la piscine. Je compte l’oublier définitivement.
Blandine profita de la fin d’après-midi pour nager et se prélasser au soleil. Parfois un homme passait, par là, manifestement pour la surveiller. Au troisième qu’elle vit, elle lança :
— Dites, vous pouvez m’aider, me passer de la lotion sur le dos et les fesses ?— Et j’aurai droit à quoi ?— Une pipe, ça vous irait ? répondit-elle innocemment.— Vendu ! Mais d’abord la pipe, OK ?
Bonne fille, elle s’agenouilla sur une serviette pliée en quatre et entreprit de baisser le short de sport du vigile. Comme elle s’y attendait, c’est une énorme bite plus épaisse que son poignet qui jaillit à l’air libre. Sans attendre, elle goba le gland ressemblant à une prune violacée et pompa vigoureusement tout en caressant les couilles. Se baissant et déglutissant, elle réussit à absorber une bonne partie de la hampe qu’elle restitua couverte de salive.
Il lui fallut cinq minutes pour recevoir dans sa gorge la semence abondante du garde ; elle réussit à en avaler la majeure partie mais ne put en empêcher de couler sur son menton. Ensuite l’homme prit son temps pour huiler le dos de la jeune fille qui s’était allongée sur son bain de soleil. Ses mains massèrent longuement les fesses et s’insinuèrent entre elles, et Blandine écarta obligeamment les cuisses pour offrir son intimité aux doigts agiles. Mais un appel sur son portable l’obligea à s’éclipser en la laissant insatisfaite et boudeuse.
Quand elle commença à avoir faim, elle se rhabilla et rejoignit la cuisine. Elle y retrouva toute une bande d’hommes. Il lui sembla qu’ils étaient décidément bâtis sur le même moule, ici : entre vingt et quarante ans, grand et costauds. Disons même très grands et très costauds, par rapport à elle qui faisait figure de crevette. Ils portaient une tenue noire moulante avec une barre rouge sur l’épaule gauche. Elle déglutit difficilement en comprenant qu’elle avait en face d’elle l’équipe rouge, celle qui allait s’occuper d’elle ce soir.
Elle choisit de les affronter sans leur montrer sa peur. Elle s’avança et attendit que tous les yeux soient braqués sur elle pour lancer :
— Bonjour, je m’appelle Blandine, j’ai dix-huit ans.
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