Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 0 Commentaire

Blandine et les loups

Chapitre 16

Trash
Le géant sourit, béat. Cette fille était vraiment géniale, elle allait au-devant de ses désirs ; il se rembrunit en se disant qu’il ne voulait pas la blesser. Il tenait trop à elle. Or il savait bien que sa bite était bien trop longue pour son vagin ; certes elle était assez fine sur dix centimètres, mais après pardon ! Pourtant il avait envie de la défoncer à sa guise, de sentir autour de sa matraque la chaleur et l’étroitesse de son fourreau.
À cette idée, il grogna doucement et sa bite durcit et gonfla encore plus, ce que ne manqua pas de sentir la jeune fille. Elle posa ses mains sur son ventre gonflé, sentant sous la peau les palpitations du barreau d’acier qui l’emplissait. Elle soupira et gémit de plaisir.
— Mon dieu, c’est pas vrai... Que tu es dur, jamais je n’aurais cru possible d’aimer être autant remplie. Je crois que mon petit cul ne s’en remettra jamais.— Aussi, tu n’as pas idée de m’exciter en me demandant de te prendre comme une bête, de te défoncer la chatte.— Tu en as envie, c’est vrai ? Alors qu’est-ce que tu attends ?
Pour toute réponse, le géant se souleva à la force des bras, arrachant un cri ravi à son amante.la maintenant contre lui d’une main, il sortit de la grande baignoire. Il s’immobilisa un instant en face d’un miroir mural, surpris, tellement l’image reflétée trahissait la disproportion entre Blandine et lui. Elle était empalée sur sa bite, minuscule poupée rose collée contre son torse de barrique et juste tenue par sa gigantesque main velue posée sous sa poitrine. Il la trouva fatiguée, les traits tirés ; mais elle lui sourit et ses yeux bleus pétillèrent, elle lui adressa un baiser de ses lèvres gonflées et son cœur chavira de bonheur.
Elle l’aimait. C’était une bénédiction et une malédiction. Il allait devoir honorer son pacte, malgré son amour pour cette jeune humaine. Ou plutôt à cause de lui.
Il la souleva lentement pour extraire sa bite en douceur et la posa devant lui. Elle s’enroula dans une serviette de bain et se frictionna les cheveux ; libérés, ils tombaient plus bas que ses épaules, mais elle les noua sommairement sur sa nuque. Liou se rendit dans un angle de la pièce où était installé un mécanisme mystérieux ; en fait, une soufflerie puissante étudiée pour sécher rapidement un géant à la fourrure de grizzly.
— Tu veux essayer ? proposa-t-il. Il y a de la place pour deux.— Merci, mais tu prends déjà la place de deux personnes. Et puis je suis vite sèche, tu sais. Je n’ai pas tous ces poils partout.
Fascinée, elle regardait à la dérobée la verge de son amant disparaître dans son fourreau, alors que cinq minutes plus tôt... Après un long moment Liou avança d’un pas et la soufflerie s’arrêta automatiquement. Blandine le trouva encore plus imposant car sa fourrure avait pris de l’ampleur en séchant ; elle se jeta dans ses bras après avoir lâché sa serviette et se blottit en couinant de plaisir, fourrageant à deux mains dans la toison soyeuse et souple.
— Alors, tu es en forme ? demanda le géant en caressant ses épaules.— En fait, je suis morte de fatigue. Le bain, sans doute.
Il la souleva et l’embrassa sur le bout du nez, puis sortit de la salle de bain d’un pas tranquille. Quand il la posa délicatement sur le lit, elle dormait déjà. Il se glissa à son tour sous la couette ; dans son sommeil elle se tourna vers lui et vint se nicher dans le creux de son bras. Il soupira et s’endormit à son tour, comblé.
Il se réveilla au milieu d’un rêve érotique ; puis il comprit ce qui se passait et rejeta la couette sur le côté. Agenouillée entre ses jambes, Blandine léchait ses couilles avec entrain. Ses yeux bleus brillaient d’un éclat malicieux alors que sa langue s’activait.

— Bonjour toi !— Bonjour, tu es enfin réveillé ? Je voulais faire comme Dédé m’a appris, mais tes couilles sont bien trop grosses pour ma bouche. Tout chez toi est surdimensionné, d’ailleurs. Non que ça me déplaise...
En riant, elle remonta vite vers la tête de lit et embrassa Liou ; sa petite langue plongea entre les lèvres du géant qui répondit en projetant la sienne dans la bouche de la jeune fille. En même temps ses mains empoignèrent les petites fesses bien rondes et écrasèrent le corps menu contre le sien, emprisonnant sa virilité dressée entre eux.
— Petite diablesse, tu as envie de quoi, ce matin ?— Je veux que tu pénètres mon petit cul, que tu le défonces de toutes tes forces jusqu’à entrer complètement en moi. — Tu es folle, je vais te déchirer, ma petite.— Pfff... Je suis jeune, je suis souple, et j’ai envie de faire ce sacrifice pour toi.— Prends garde, si je commence comme ça je vais te démolir le cul ; tu vas souffrir. — Arrête, tu en as encore plus envie que moi, je sens bien que ta bite est de plus en plus grosse.— C’est vrai, mais je ne veux pas te faire mal ; pas trop mal en tout cas.
Blandine s’échappa des bras du géant et se mit à quatre pattes, bien cambrée, offrant sans pudeur ses orifices au regard fiévreux de son amant. Il eut alors la surprise de voir la base d’un plug qui dépassait de son anus luisant de lubrifiant. Elle lui sourit par-dessus son épaule, mais son regard était suppliant.
— Tu vois, je me suis préparée. Le plug n’est pas bien gros par rapport à ta verge, mais j’ai bien lubrifié en profondeur avec toute ma main.— Tu n’as pas une grosse main, petite maligne.— C’est vrai, mais c’est tout ce que j’avais. Tu n’as qu’à commencer doucement.
Une seconde plus tard Liou était agenouillé derrière elle, il extirpa facilement le plug en plastique et le remplaça par sa bite congestionnée. Blandine poussa un cri de gorge, ravie de voir qu’il passait à l’action. Il prit sa taille à deux mains, en faisant aisément le tour. L’adolescente avait la taille fine et lui de grosses mains.
— Tu es prête ?— Oui, vas-y... Oh mon dieu... Putain que c’est gros. Tu m’ouvres en deux, fais attention...— Tu veux que j’arrête ?— Noooon ! Continue, je t’en supplie... Oooh...
Fermement crochée par les hanches, Blandine était tirée en arrière en même temps que son suborneur se projetait en avant, tamponnant en puissance l’anus distendu. La jeune fille hoquetait, bégayait et bavait sans s’en rendre compte, yeux révulsés et bouche bée. Puis quelque chose lâcha dans son ventre et elle hurla comme une énormité l’envahissait. Le lien était passé. Elle pensa s’évanouir tellement elle avait mal, mais non, elle tenait bon. Emplie comme elle ne l’avait jamais été, elle essuya les larmes qui ruisselaient sur ses joues et tourna la tête vers Liou.
— C’est passé, tu es complètement entré. Et je ne suis pas morte.— Je... Je vais jouir, c’est fabuleux... Tu sens, je te remplis de semence...
Il tira Blandine contre lui et se redressa ; debout, il fit quelques pas dans la chambre et s’arrêta devant un miroir. Comme la veille devant celui de la salle de bain, la petite blonde était empalée ; mais là, toute la bite était en elle, base comprise. Son ventre était déformé, gonflé comme si elle était enceinte. Elle comprit que Liou se vidait en elle de manière continue, la remplissant de semence.
— Trois fois que je me vide, Blandine. Et je n’arrive pas à arrêter.— Tu vas me faire éclater si tu ne peux pas sortir, mon gros.
Diffuse en direct !
Regarder son live