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Le blé à moudre

Chapitre 1

Inceste
Ils sont tous là ! Un dimanche ordinaire, qui réveille des souvenirs. Ceux de Rose au bout de la table sont tellement présents. Rose c’est... un peu comme un rayon de soleil. Mais le soleil n’est pas toujours visible, parfois même tellement voilé, avec un ciel si bas que personne ne peut seulement en deviner les contours. Et rien ne s’arrange avec cette quarantaine qui approche, et dix-huit ans déjà le départ de son Mario.
Ils sont tous là ! Ça veut dire Pierre son père, Anne-Marie sa mère et Daniel, son fils. La table familiale, à la maison le dimanche c’est sacré. Ici, c’est une ancienne ferme rénovée avec soin par son papa. Un dimanche ordinaire quoi. Pour certains c’est la poule au pot de tradition, chez Rose et bien après la truite aux amandes, il y a un civet de lapin, comme chaque fois qu’ils sont tous rassemblés.
Ses parents sont gentils, mais ils rabâchent toujours les mêmes choses et la femme encore jeune s’entend toujours faire les mêmes reproches.
— On te l’avait bien dit de ne pas fricoter avec ce type. Tu vois où ça t’a menée ! Il te paie une pension alimentaire au moins ? C’est dommage pour le gamin ! Tu t’en sors au moins ?
Puis le soir, à l’heure du départ, c’est avec un gros cabas rempli de produit du jardin parental que Rose et Daniel reprennent la route vers leur domicile. Mais si c’est pénible pour elle, ces visites dominicales, son fils, lui, trouve cela plutôt sympa. Il passe beaucoup de temps avec ce grand-père qui quelque part, remplace son père absent. Un géniteur qu’il ne connait pas, celui-ci, Mario italien de naissance ayant quitté le lit de la belle brune, dès l’annonce de la grossesse de Rose.
De son pays natal, il n’a plus jamais donné de nouvelles et depuis dix-huit ans et son gamin a bien grandi. Daniel est un fils gentil affectueux, il travaille bien à l’école et sa mère n’a pas à se plaindre de lui. Elle le trouve un peu taciturne, trop solitaire sans doute aussi, mais c’est son tempérament comme dit Pierre. Alors pour lui, elle accepte volontiers cette corvée d’une visite mensuelle aux grands-parents.
Mais ce soir sur la route du retour elle se sent un peu de vague à l’âme, vide dans sa tête. Déprimée par la conversation qu’elle a encore eue avec son père.
— Rose ! Pourquoi tu ne trouves pas un homme bien ? Nous allons mourir un jour maman et moi et nous ne voudrions pas te savoir seule. Tu as besoin de quelque chose ? Daniel a l’âge d’avoir des copines maintenant, de faire sa vie d’homme.— Papa ! Bon sang, épargne-moi tout cela ! Crois-tu que je ne sache pas ce qu’est la solitude et puis j’ai un bon travail.— Oui, mais... tu vois bien que toute seule...— Je n’ai pas attendu après vous pour élever mon gamin que je sache ! Laissez-moi respirer un peu.— C’est pour ton bien... tu comprends.— Mais oui, mais je ne demande rien non plus. Je ne vais pas me jeter dans les bras de n’importe qui, je crois que tu me reproches déjà suffisamment de l’avoir fait une fois non ?— Oui ! Bon, ne te sens pas agressée non plus. Maman et moi aimerions te savoir heureuse avant de... — Avant de quoi ? Vous n’allez pas mourir demain et puis c’est ma vie bon sang !— Oui ! Oui ! Arrêtons de nous chamailler.
L’altercation s’arrête et ils sortent du bureau. Daniel et dans le couloir qui mène à l’extérieur avec Hell’s ! Hell’s c’est le chien de la maison, celle des grands-parents. Un bâtard de deux ans qui suit partout le jeune homme quand il vient pour le week-end.

— Ah Daniel ! Alors toujours pas de petite copine ?— Non, Papy, toujours pas ! — Ouais ! tu ne me le dirais pas de toute manière, je suppose.
Le jeune garçon s’est retourné et son regard plein de sourires vient croiser celui du vieil homme. Il aime bien ce grand-père bourru, mais bien sûr, il n’a pas les mêmes rapports avec lui que ceux qu’à sa mère. Comment lui dire qu’il n’est pas vraiment attiré par les filles de son âge ? Compliqué d’avouer cette attirance prononcée pour des femmes... plus mures. Non ! Les gamines ne sont pas intéressantes, vraiment. Et pourtant il en côtoie pas mal lors de ses cours. Mais il regarde pus les profs de l’âge de sa mère que ces étudiantes puériles qui minaudent pour des riens.
Pour le moment il est dans la voiture qui les ramène, lui et sa mère vers leur appartement. Ce dimanche il a bien senti qu’entre sa mère et son père, il ya avait une sorte de gêne. Il somnole sur le siège passager alors que la voiture file sur l’autoroute. Encore une petite demi-heure et il retrouvera ses bouquins, sa chambre, ses repères quelques parts. Les murs de son univers sont tapissés de ses héros favoris et de ces belles femmes des magazines.
Rose, elle garde les yeux rivés sur ce ruban d’asphalte qui se déroule sous les roues. Elle ne jette que de temps à autre un coup d’œil sur le compteur, s’assurant ainsi que leur vitesse est conforme aux prescriptions de code de la route. Daniel lui en ce moment passe aussi son permis. Mais là, sa tête dodeline un peu, il est dans un semi-sommeil, un état un peu second. Que Pierre peut être chiant parfois ! Elle peste intérieurement.
Ses mouvements sont assez secs et le poids lourd qui déboite pour en dépasser un autre l’énerve un peu plus encore. Le clignotant doit être en option sur ce gros-cul. Elle rétrograde machinalement, et son poignet fait sans qu’elle s’en rende compte, glisser vers le haut sa jupe. Une cuisse bien dessinée se dévoile, mais elle ne s’aperçoit pas du regard du jeune homme assis à ces côtés. Trop occupée par sa conduite, elle ne sent pas non plus ces yeux qui trainent plus que de coutume sur ce fuseau attirant.
— xxxOOxxx —
Leur appartement ! Un trois-pièces au second étage d’un immeuble cossu. Presque une maison de poupée où tout semble bien rangé. Daniel dit parfois orchestré pour designer l’ordre que fait régner ici sa mère. Rose ne fait jamais beaucoup de bruit et passe va vie à faire la chasse à la poussière, quand elle ne travaille pas. Lui aussi a pris, hérité de ce côté sombre du soleil de la maison. Comme Rose, il aime le calme, l’organisation et le respect des choses établies. Mais ce soir, en rentrant la vision de cette jupe relevée, cette partie de femme aperçue par inadvertance le renvoie à ses démons de minuit. Sa mère vient de devenir à ses yeux autre chose... que sa mère.
C’est aussi une femme qui se vit sous le même toit que lui et pourquoi ce soir cette idée lui reste-t-elle bloquée dans la caboche ? Il prend sa douche, et elle chantonne dans la cuisine. Elle est toujours contente de quitter la maison de ses parents. Souvent elle sourit dès qu’elle retrouve son « chez elle ». Et Daniel ce soir aime cette risette qui se visse à ses lèvres de femme. En mettant son linge sale dans la panière de la salle de bains, il aperçoit au fond de celle-ci le linge qu’elle y a déposé dès qu’elle a vidé les sacs de voyage.
Un soutien-gorge est sur le dessus de la corbeille. Pourquoi le prend-il ? Il enfonce son poing dans un bonnet, comme pour en deviner la taille, celle du sein qu’il peut contenir. Mais son regard est aussitôt attiré par des couleurs analogues à celle de cette brassière. Il prend entre son pouce et son index cette culotte de dentelle fine. Dans un geste instinctif, machinal, il porte celle-ci à ses narines. Il y retrouve une sorte de fragrance intime, une odeur de femme. Pris d’une sorte de remords, il lâche l’ensemble qui coule de nouveau dans le panier. Mais cet abandon du vêtement ne monte pas jusqu’à son cerveau embrouillé. Il a comme un tressaillement et des images d’un érotisme torride viennent en vague, assaillir sa tête et son corps tout entier.
D’un coup, il a une érection monstrueuse, sa queue se tend comme ça, sous l’impact de cette vision sous l’imagination de ce que peuvent contenir ces deux pièces de vêtement si personnelles à sa mère. Il a beau se traiter de saligaud, de con, rien n’y fait sa trique bien en place ne veut pas le quitter. Alors dans un effort désespéré pour débander, il revient sous le jet tiède de la douche. Cette fois c’est bon, son sexe a repris une dimension acceptable. En peignoir, il regagne sa chambre. Rose, dans sa cuisine fredonne toujours.
— Tu viendras manger ?— Oui !
Elle a crié depuis la table qu’elle a dressée. Il a répondu de sa chambre. Il est sur son ordinateur et tapote sur son clavier. Un devoir qu’il veut finir tant qu’il a des idées. Le temps passe et il frappe toujours sur des lettres pour parachever son travail. La porte s’est ouverte silencieusement. Rose observe son gamin. C’est vrai que son père a raison. C’est presque un homme maintenant. Le peignoir ouvert il est nu su sa chaise. Pas un seul instant il n’a levé les yeux vers elle, il ne sait pas qu’elle l’observe. Un petit bout de langue rose coincé entre ses lèvres, il se concentre. Puis comme un sixième sens, une prémonition, il remonte son front.
Sa mère est là, dans l’embrasure de la porte qui le suit des yeux. Pourquoi cette foutue érection choisit-elle ce moment-là pour réapparaitre ? Il n’en sait rien. Il ne sait pas non plus que son peignoir défait laisse voir ce sexe qui enfle à vue d’œil. Et Rose doit bien apercevoir ce trouble qui est visible comme un nez au milieu d’une figure. Merde ce n’est pas permis ça, de bander pour... il referme d’un geste trop prompt son vêtement. Mais il sait bien qu’elle a vu.
— Tu viens ? Le repas est prêt !
— xxxOOxxx —
Daniel est debout, Rose marche à deux pas devant lui. Ses hanches sont là, se balançant sous ses yeux. Elle ne fait pas exprès, c’est seulement lui qui ne réagit pas normalement. Ce derrière-là, il l’a déjà suivi des milliers de fois. Les fesses des mères d’habitude ne sont... que des fesses anonymes, des fesses qu’il ne voit même pas, qu’il n’imagine jamais et pourtant... son peignoir cache à peine cette énormité, cette absurdité. C’est interdit de... ressentir ce genre de chose pour cette femme. Oui, il pense femme et non pas maman ! Qu’est-ce qui a bien pu changer en quelques heures ?
Le diner se passe dans le calme, comme chaque soir. Elle parle de leur journée, évitant de revenir sur son début de dispute avec son père. Daniel ne voit que ses lèvres qui remuent, n’entend que la musique de sa voix. Pas moyen de se sortir du fond du crane l’odeur persistante de sa culotte, pas plus qu’il ne parvient à réprimer son érection. Encore heureux qu’il soit assis et que la table masque son bas ventre. Elle sourit, ses dents brillent à la lumière du néon. Merde qu’est-ce qui lui prend ? Il ne se retrouve plus, lui le garçon sage, dans ce type dévoyé qui imagine le postérieur de cette femme.
Il tente de se raisonner, de se dire que ce n’est pas une femme, que c’est juste... sa mère ! Sa caboche ne l’entend pas vraiment de la même manière et son sexe lui n’obéit qu’à cette suggestive odeur nichée quelque part en lui. Zut ! Le repas vire au cauchemar et même son visage lui parait différent ce soir. Il avale son dessert le plus rapidement possible. Il lui faut vivement s’écarter d’elle, filer dans sa chambre pour essayer de respirer mieux. Compliquée vraiment ! Cette relation bizarre qui vient de s’instaurer entre eux deux. Il n’a jamais connu ce genre de problème. Demain, il ira mieux c’est sûr !
Oui ! Mais demain c’est loin. Demain est séparé de maintenant par une nuit, une trop longue nuit. Son esprit tortueux ne cède pas un pouce de terrain et il n’arrive plus à se concentrer sur son travail. Si en plus ses devoirs s’en ressentent... ça va être galère. Il ne peut tout de même pas la regarder dans les yeux et lui dore tout de go...
— Je bande pour toi ! J’ai envie de baiser avec toi !
On peut agir de la sorte avec toutes les femmes du globe, mais il y en a une seule au monde avec qui ceci s’avère impossible. Celle qui défile sous sa tignasse brune, celle dont il entend les pas feutrés sur les tapis du couloir. Non ! Il déraille complètement. L’ordinateur est fermé, peut-être qu’en tentant de dormir... ces idées saugrenues vont passer. Alors il s’allonge dans le noir. Seule une raie de lumière sous sa porte lui fait savoir qu’elle ne dort pas encore. Il devine le plafond au-dessus de lui. Sur la surface invisible pourtant se dessine comme pour le tourmenter la croupe enfermée dans sa jupe.
Ce cul qui dans sur le ciel de sa chambre, il voudrait qu’il appartienne à toutes, à n’importe laquelle des femmes de cette terre, pas à celle qui est là, quelque part dans la maison. C’est affreux ces sentiments trop violents. La cuisse en filigrane de ses pensées, pourquoi se voit-il y poser sa main ? Allons ne soit pas idiot, fils pervers, tu n’as donc pas honte de fantasmer sur... oui, mais ! Une autre voix en lui qui lui souffle l’inverse de ce qu’il voudrait. Laisse-toi tenter, elle est toute proche, elle est là, tu n’as rien d’autre à faire qu’à tendre la main... lui dire que tu la veux... La bagarre est sauvage sous les paupières qu’il a fini par fermer.
Ce foutu sommeil qui ne vient pas. C’est elle qui vient de passer devant sa porte. Ce simple geste de s’arrêter, à l’écoute de sa respiration il sait bien qu’elle le fait chaque soir, depuis qu’il est en âge de comprendre. C’est pour un fils qu’elle s’inquiète, pour son garçon qu’elle a peur. Et lui le fils indigne, il n’a plus qu’une pensée, une idée en tête. Coucher avec elle... enfin pas seulement coucher ! Ça il l’a fait des centaines de fois les soirs d’orage, ou quand il était malheureux, comme cette fois ou tombé de vélo, elle l’avait choyé. Mais c’était... il y a bien longtemps.
Là ce soir, pas de tonnerre à l’horizon, pas de petits bobos à soigner. Rien sauf cette... ce sexe qui bande et l’objet de son désir vient de reprendre sa route, vers sa chambre ? Non ! Pas encore. Elle aussi a besoin de se sentir nette et propre, pour dormir. Mais lui n’est pas bien dans sa peau... l’a-t-elle compris au repas ? Elle le regardait comme à l’accoutumée, mais... elle devine si bien parfois. Et il entend l’eau qui coule alors c’est pire encore. Nue, elle doit être nue et merde, c’est normal de se doucher à poil, même pour une mère. Alors ? Il bande et elle doit ne plus se laver ? Nul le gros nigaud !
Elle est... il veut arrêter d’imaginer cela qui va le rendre fou. Pourquoi est-il debout dans ce couloir ? La douche... elle n’a pas même fermé la porte et l’eau coule, elle se savonne c’est sûr ! il n’a qu’à tendre les doigts, pousser cette cloison mobile mal close. Elle ne va pas gronder son garçon s’il entre ? Mais Daniel reste derrière cette porte, cette interdiction, ce tabou ! Il n’a pas ce courage, en est-ce vraiment un ? De faire ce pas qui le sépare de la perversité complète. Dépravation c’est bien le mot. Ah ! oui, mais alors cette trique-là, garçon pourquoi l’as-tu qui te chatouille le bas ventre ?
Difficile de comprendre le pourquoi de tout cela ! Il avance vers la cuisine, un verre d’eau lui sera salutaire, sa bouche est sèche. Le jet de la douche vient de se taire. Un autre son parvient à ses oreilles de garçon mal élevé. Elle doit s’éponger et c’est sa chevelure qu’elle frotte sur l’éponge qui lui renvoie ce genre de signaux. Il boit, sa soif n’est pas étanchée pour autant. Il est comme un con avec l’étendard levé dans son peignoir qui a du mal à rester fermé.
—Tu ne dors pas Daniel ?—...
Il fait un bond, surpris par le son cristallin de cette voix qui l’interpelle. Debout pieds nus, seulement couverte elle aussi d’une sortie de bain... c’est un martyre. Il devine ce que doit contenir le soutien-gorge qui git dans le linge sale. Puis ses pensées glissent bien trop bas, dans un bas fond interdit. Non ! Ne pas lui montrer son trouble, pas lui faire comprendre son émoi. Elle se brosse ses cheveux en le regardant, incroyable posture de son visage penché qui a les yeux ancrés dans les siens. Et ce n’est pas fait pour... calmer la bougie qui reste tendue.
— Tu fais une drôle de bobine ce soir ! Il s’est passé quelque chose de spécial chez papy et mamy ? — Non... pourquoi tu dis ça ? Tout va bien... je suis juste un peu énervé et ne peux pas dormir ! Un verre d’eau...— Oui ! Tu ne vas pas prendre un somnifère à ton âge, quand même.— Non ! non ! C’est bon, ça va passer.— Oui ! Je crois qu’il a raison papa. Tu es un homme maintenant et je vais devoir m’habituer à voir défiler des filles ici !— Non, non ! Personne ne m’intéresse.— Oh ! Tu dis cela bien prestement. Et puis me crois tu aveugle ? Je suis une mère, mais aussi une femme et il est des signes qui ne trompent pas.— Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ? Tu insinues que...— Mais non ! Je veux dire simplement que je vois bien que tu es en âge d’avoir une petite amie...— Je n’en veux pas !
Il a pratiquement hurlé ces mots. La violence du ton le surprend lui-même. Pourtant, elle le regarde comme d’habitude, sans se départir d’un certain calme, un certain flegme. Ses tifs sont bien rangés sur sa caboche. Mouillés, mais peignés. Elle s’assoit et elle entreprend de refaire son vernis. Sans gêne, elle a posé son pied sur le rebord de l’assise de la chaise et le dissolvant fait son office. Elle ne sait pas qu’il voit son entrecuisse ? Elle le sait et elle en use ? Cette femme est démoniaque. Mais non ! Grand bêta, elle fait cela depuis toujours devant toi, mais tu n’avais jamais fait attention.
Elle vient de changer de pied et sa chatte n’est pas couverte. Il voit la toison qui descend bien bas. Elle a les yeux rivés sur ces foutus ongles et le pinceau qui les nacre ne masque pas son sexe. Daniel voit ou imagine, il ne sait plus trop vraiment. Cette fente qui reste tout de même un peu masquée par des poils de la couleur de ses cheveux... elle ne se rase donc pas comme dans les films ?
— Dis-moi Daniel... tu ne veux pas de filles ? Alors un garçon peut-être ?— Tu es folle ma parole, je ne suis pas... homo ! — Si tu l’étais, ce ne serait pas un drame... tout est possible dans la vie.— Ah oui ? Tu es tolérante à ce point-là ! Tu m’imagines avec un autre homme ?
Elle hausse les épaules et étire les jambes dans le but avoué de faire sécher plus vite ses ongles brillants.
— Tu es mon fils, quelles que soient les circonstances !
Puis elle retourne cette fois aux ongles de ses longues mains. Lui jette encore quelques coups d’œil à ce balai qui courent sur le bout de chaque doigt. Alors, comme mu par un réflexe, il retourne dans sa chambre. Il bande toujours et n’arrive pas à trouver de solution. Il en existe bien une toute bête, celle de se masturber, mais rien en pourrait le satisfaire ce soir. Il rallume son ordinateur, mais c’est « mission impossible » de travailler dans ces conditions. Les pas de Rose se sont fait entendre, plus feutrés que jamais. L’escale obligatoire devant sa porte est aussi de mise et c’est, sans doute rassurée par l’absence totale de mouvement dans son nid qu’elle est allée se coucher.
Mais Daniel est toujours aussi perturbé. Un second verre d’eau s’impose donc. Le même corridor pour se rendre à l’évier. Mais pour cela, outre la salle de bain, il faut aussi longer la chambre de Rose. Elle doit lire, la lampe allumée semble l’indiquer. Au retour, c’est le garçon qui fait une halte devant la porte de sa mère. Et là encore, plus par réflexe que pour voir, il se penche et guette par trou de la serrure. Elle est sur le lit, et entre ses doigts elle tient, ou bricole peut-être après un objet que le fils n’a jamais vu. Longue, dorée cette étrange chose, un ustensile bizarre dont elle dévisse une extrémité lui rappelle... non ce n’est pas possible, il a l’impression que ça ressemble à... une bite.
IL reste là, complètement abasourdi à la surveiller alors qu’elle enfonce dans le truc ce qui pourrait être... des piles. Puis quand elle a remis le capuchon, une sorte de ronron, à peine audible de sa place de guet, se fait entendre. Il regarde halluciné, cette femme qui ouvre largement ses jambes, après avoir placé sur l’engin un préservatif. Le bout de ce phallus semble happé par la fourrure qui émerge juste au-dessus de la fourche largement écartée. Sa poitrine se soulève et elle respire plus vite. De temps en temps elle pousse un gémissement qu’elle réprime tout de suite, puis jette de fréquents regards vers l’endroit où il se trouve.
A-t-elle deviné sa présence ou tient-elle seulement à s’assurer qu’elle est toujours dans son espace intime personnel, que rien ni personne ne peut la déranger ? Mais lui derrière l’huis, lui a juste un peu entrouvert les pans de son peignoir. D’une main, sans quitter son poste de surveillance, il entreprend en mesure, de faire comme elle. C’est très excitant de se masturber en jouissant du spectacle de cette femme qui s’enfonce de plus en plus vite son olisbos dans la chatte. La position du garçon est mal aisée, mais il ne lui faut guère de temps pour que sa semence vienne avec force s’écouler entre des doigts qui la contiennent, tant bien que mal, avant de filer dans sa chambre.
Finalement il apprend là que sa mère est une femme aussi... oui une femme comme les autres qui a des envies et des fantasmes sans doute... mais doit-il pour autant les canaliser vers lui et sa petite personne ? Il rapporte dans sa tête plus de questions que de réponses. Mais il se promet de réfléchir !...Parce qu’envies ou pas, fantasme ou non cette femme... c’est encore et toujours... sa maman.
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