05/06/2014 : Présentation. Bonjour !Je m’appelle Marguerite et c’est mon blog ! Une copine du lycée m’a dit que pour être moderne il fallait avoir un blog. Je lui ai dit que je m’en fichais pas mal d’être moderne, car moi je suis romantique, j’aime les belles choses, pas les blogs. Mais elle m’a répondu que c‘était un poète qui l’avait dit, qu’il fallait être ‘’absolument moderne.’’ Parce qu’Hélène (ma copine du lycée) sait que j’aime la poésie, les rimes tout ça. Tenez, j’ai fait un quatrain pour me présenter :J’ai des cheveux blonds comme les présJ’ai un visage comme une star de cinéJ’ai les fesses qui font rêverEt des seins à tomber.Pas mal hein, en plus c’est un poème licencieux parce que ça parle un peu des ‘’choses’’ 06/06/2014 : Ma visite chez le docteur. Je n’ai pas pu écrire beaucoup hier, j’avais mal au ventre et j’ai éteint vite fait mon ordinateur pour aller chez le docteur. C’est mon médecin de famille comme on dit, je le connais bien, c’est un vieux d’au moins 60 ans et pourtant il est hyper sympa ! Déjà je n’attends presque pas dans la salle d’attente quand je vais chez lui, il me fait passer avant les autres. Je le sais parce qu’un jour je lui ai demandé si j’avais droit à un traitement de faveur, et il m’a répondu qu’il détestait l’idée que je puisse souffrir dans la salle d’attente, alors qu’il pouvait me soulager dans son cabinet.Sitôt entrée, il m’interroge : -Qu’est-ce qui ne va pas, Mademoiselle ?-J’ai mal au ventre. Genre… vous voyez quand le type revient dans le vaisseau dans ‘’Alien’’ ? Et bien, c’est pareil, mais en pire !-Très bien, alors déshabillez-vous que je regarde ça. -Je dois retirer ma culotte et mon soutien-gorge ?-Oui, bien sûr. Je sais, j’ai l’air gourde de demander ça parce que, bien sûr, il faut se déshabiller complètement chez le médecin ! Sinon il ne peut pas bien savoir ce qu’on a. Mais je suis super pudique, alors je préfère demander à chaque fois. Une fois nue, il commence à me tâter, d’abord il appuie sur mon ventre, c’est un peu douloureux: -Ouille !-Très bien, il faut faire attention ce n’est pas un ‘’Alien’’, mais il me faut vérifier que votre mal ne s’est propagé ailleurs.
Alors il me touche les fesses, mais je ne sentais rien. Enfin, je sentais bien qu’il me touchait le postérieur, mais ça ne me faisait pas mal. Il a vérifié mes seins, mais à nouveau je ne sentais rien. Il m’explique qu’il lui faut bien les malaxer, parce que des fois l’infection est cachée, surtout quand on a de gros seins comme les miens. Mais je ne sentais toujours rien de bizarre après qu’il les ait soupesées, pétri, et qu’il ait même pincé un peu les tétons. Je vous ai dit, c’est un vrai professionnel, il vérifie jusqu’au bout quoi ! Heureusement, il n’a rien trouvé, l’infection ne s’était donc pas propagée. Je peux vous dire que j’étais sacrément soulagé. Pour retirer la douleur de mon ventre, il m’a expliqué qu’il allait devoir enfoncer un tube dans mes fesses pour déloger les microbes. C’était beaucoup plus rapide que de me donner un sirop à boire, et dans ce genre d’infection il ne fallait pas perdre de temps. Moi je ne m’y connais pas vraiment en médecine, mais ça semblait logique. Il m’a alors fait allonger sur son espèce de lit mobile, et il monta derrière moi en m’expliquant : -Il faut que je sois bien en position verticale par rapport à vous pour enfoncer le tube-C’est douloureux ?-Non ! Presque pas... Mais vous devez être parfaitement immobile ! Ou je risque de toucher des zones qu’il ne faudrait pas et ça pourrait entrainer de graves lésions.-Je serais sage comme une image docteur !-J’y compte bien. Alors évidemment je me tenais comme une statue, la tête figée et tout. Parce que j’avais un peu la trouille. Je sentis un liquide autour de mon anus qu’il commença à masser un peu. Il m’expliqua que c’était pour faciliter l’entrée du tuyau. Je vais vous dire… c’est un médecin vraiment prévenant, il prend soin de moi comme personne d’autre, je crois que jamais je n’en changerais. Donc finalement il introduit le tube, il n’était pas très long, mais assez gros, en tout cas pas du tout comme je me l’imaginais, mais je le sentis vite grossir dans mon anus, ça devait un matériel spécial pour le derrière.Ce qui est sûr c’est qu’il avait du mal à l’enfoncer il n’arrêtait pas de l’entrer et de le sortir ! -Tout va bien docteur ? Votre tige s’enfonce bien dans mes fesses ? -Oui, oui c’est juste... qu’il faut bien secouer le tube à température du corps… Aaah, ne t’inquiète pas, tout se passe normalement. Oh ! Je le sens bien, ouuuuiiii, c’est un peu étroit, il faut prendre son temps… A voilà, le tube passe comme dans du beurre maintenant, et huuuum… Et il y mettait du cœur ! Sa voix était devenue rauque sous l’effort d’enfoncer son tuyau, et à chaque fois que le tube pénétrait dans mon cul, je sentais ses bras me rentrer dans les fesses avec force. On aurait presque cru ses jambes ! Et puis je ne voudrais pas être licencieuse à nouveau, mais je ne m’inquiétais plus trop de ses difficultés. Vous voyez, toutes ces poussées, ça avait fini par me faire un peu mouiller, et j’avais peur de laisser des marques sur la nappe posée sur le lit. S’il continuait ainsi, je craignais même que tout le lit finisse par être imbibé, heureusement après quelques poussées qui commençaient à me rentrer dedans vraiment profondément, il dit : -Ohhh, ouiouioui, le hum, le tube est à point… oh oui ! Je vais éjecter la euh, la crème tue-microbe. Alors, prépare-toi ça peut surprendre ! Et pouf ! Je sentis toute la crème remplir mon cul, j’ai même poussé un petit cri de surprise (voir un peu plus que de surprise…) C’était plutôt agréable d’autant que je pensais que ce serait froid, mais non ! C’était une crème toute chaude et bien liquide. Le docteur dégagea le tuyau me demandant de rester immobile le temps que le produit fasse effet. Je l’entendis ranger le tube dans une trousse, avec le bruit du zip caractéristique, puis il revint à son bureau quand il me dit que je pouvais bouger à nouveau. Je remis vite ma culotte pour ne pas montrer dans quel état j’avais été mise par son tube. J’aurais vraiment eu honte s’il avait vu mon indécence ! Il me prescrivit aussi des gélules pour compléter le traitement. Pour être sûr à 200% comme il dit. Je le payais et laissais même un pourboire parce qu’il me fait passer devant les autres et que c’est un super-pro, du coup, il le mérite quoi. Haïku :Un mal de ventrele docteur malaxe les seinsdouleur au cul. A+ pour d’autres billets !
