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Bloquée chez mon ex

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Grève des transports, super. Me voilà donc bloquée chez la famille de mon ex (puisque j’ai en plus eu la bonne idée de rompre hier soir), dans l’impossibilité de rentrer chez moi avant quelques jours. Heureusement, Anthony a eu la bonne idée de ne pas parler de notre rupture et j’ai pu éviter la gêne au petit-déjeuner. Seulement lui est parti chez ses potes en me laissant là, toute seule, parce qu’évidemment, il ne voulait pas « rester plus près d’une salope plus longtemps ». J’ai même pas été dure avec lui, ça ne marchait pas, c’est tout, je croyais qu’il était du même avis, apparemment non. Je reste donc avec ses deux cousins, son père, son oncle, que des hommes, vous imaginez mon aisance, moi, jeune femme d’une vingtaine d’années dont la timidité ne veut toujours pas disparaître. Je reste donc dans la chambre d’Anthony en surveillant les annonces de l’état du trafic des gares locales. Je m’ennuie. Et quand je m’ennuie, j’ai tendance à penser… au sexe. Que faire d’autre loin de chez soi ? Je navigue donc sur quelques sites érotiques et me retiens de me caresser, par peur d’être surprise. Mais j’y passe presque l’après-midi et je finis par ne plus résister, vers 18h, j’introduis ma main dans mon pantalon et commence à caresser mon clitoris à travers le tissu de ma culotte. je suis déjà trempée évidemment. Je continue, de plus en plus excitée, regardant maintenant des vidéos amateurs sans son pour rester discrète. Je passe ma main sous ma culotte et fais tourner mon index autour du clito. Puis j’en ai marre, et je monte à peine le son, c’est tout de suite autre chose. Je me laisse aller de plus en plus quand j’entends des bruits de pas dans le couloir, tout près. Paniquée, je ferme tout et retire ma main, à temps, la porte s’ouvre et ses deux cousins me regardent, surpris. « Oh Claire tu es toujours là ? — Oui grève des trains, vous allez devoir me subir encore quelques jours… dis-je en plaisantant.Je vois les yeux de Fred dériver vers ma main gauche et je me dépêche de la cacher en tournant sur ma chaise, je n’ai pas eu le temps de l’essuyer et mes doigts sont encore humides, j’espère qu’il n’a rien vu. Un peu embarrassée, je relance la conversation :— Si vous vouliez voir Antho, il est parti chez ses potes.— Oui on en vient, paraît que tu l’as largué, me lance Mathieu tout à coup.Ok, je suis deux fois plus embarrassée. — Heu, oui… Hier soir… — Ouais. Il a pas voulu nous dire pourquoi…— Pas vraiment de raison, c’est comme ça… Je me demande pourquoi ils restent encore là, c’est pas comme si eux et moi avions eu de grandes conversations jusque là. — Tu l’as largué juste après avoir couché, ça se fait pas trop quand même…— Pardon ? rétorqué-je surprise. — Bah, on vous a entendus, continue Fred, t’es pas du genre discrète. Il faudrait que je pense à jouir en mordant un oreiller moi. Mais j’arrive jamais à me retenir, c’est plus fort que moi. Mais peu importe, je les trouve de plus en plus impertinents ces deux-là, je sais bien qu’ils sont plus jeunes que moi, mais 20 ans, c’est juste deux ans de moins, pas la peine de se la jouer comme ça. Je décide de me taire et de me remettre à l’ordinateur, espérant qu’ils voient là le signe qu’ils doivent partir. Mais non. Fred saute sur le lit et s’allonge, Mathieu reste devant la porte. Je vais faire comme s’ils n’étaient pas là. — Vu comme ça avait l’air bon, je comprends pas pourquoi t’as fait ça. C’est un mec cool en plus.Mathieu insiste et ferme la porte derrière lui. Je n’ose pas me lever pour sortir, sachant très bien que mon pantalon est taché. — Qu’est-ce que tu veux que je te dise à la fin ? Je m’agace et il hausse les épaules. Il se rapproche de moi, nonchalant, et debout, dans mon dos, il s’empare de la souris. Je laisse faire. — Juste regarder mes mails. Je suis en panique en me disant qu’il risque de voir l’historique d’une manière ou d’une autre. Pour me donner une contenance, je me tourne vers Fred, toujours allongé, la main sur sa boucle de ceinture. Il me regarde fixement. — Et toi Fred, ça va avec ta copine ? — Oui, mais c’est pas vraiment ma copine, on se voit juste de temps en temps pour coucher.
Moi qui croyais pouvoir changer de sujet. — Elle est à Paris là, du coup ça fait un moment que j’ai pas baisé quelqu’un, ça commence à me manquer. — Ah oui… Je ne sais à nouveau plus quoi dire, à la fois gênée et en même temps, à mon grand étonnement, presque excitée par son ton direct et son regard qui descend lentement sur ma poitrine et mon entrejambe. Je me tourne à nouveau vers Mathieu et le vois, horrifiée, regarder la vidéo que j’avais moi-même vue juste avant. Figée, je revois ce couple en pleins ébats hards, la fille ballotée et hurlant sa jouissance. — Qu’est-ce que tu fais ? Je demande d’une petite voix. Mathieu me regarde et avec un sourire qui en dit long, me répond :— Ce que tu faisais toi aussi juste avant qu’on entre, petite salope. J’inspire de surprise à l’entendre m’insulter. Derrière, j’entends Fred poursuivre :— Tu sais, Antho nous en a dit de belles sur toi. Comme quoi tu adorais le sucer et avaler, par exemple. Je me retourne estomaquée et le vois doucement ouvrir sa braguette, sortir son sexe raide et le branler là, comme ça, devant moi, en me regardant droit dans les yeux. Je frémis, sans savoir exactement pourquoi. J’entends le bruit d’une autre braguette et d’un coup, un autre sexe surgit devant mon visage, à juste quelques centimètres de ma bouche. Je lève les yeux vers Mathieu qui a toujours ce sourire en coin et joue à balancer sa queue juste sous mes yeux. Tout à coup il se rapproche et me tape les joues avec, en prenant soin de passer son gland sur mes lèvres. — Alors on s’est dits que peut-être, t’aimerais avaler les nôtres aussi. Fred rejoint son frère et se met aussi debout devant moi, la queue tendue, qu’il passe lui aussi contre mon visage. Je suis perdue. L’excitation dans laquelle j’étais n’a pas disparu. Mais être humiliée comme ça… Je me lève pour ne plus avoir leurs bites sur mes lèvres. Ils ne bougent pas et me disent juste :— Tu peux partir si tu veux, mais tu le feras pas, t’en as envie. Pas de sexe pendant douze heures, tu dois être en manque, hein ? Je me rends compte que je n’ai effectivement pas envie de partir, je sens que je mouille plus encore qu’avant, et d’une voix que je ne reconnais pas, je m’entends dire : ok, je reste. Ils s’arrêtent presque de surprise, mais pas longtemps. Ils se regardent en riant et Fred s’approche de moi, rentre défait les boutons de mon pantalon, me le retire, pendant que Mathieu m’enlève mon chemisier, ils se dépêchent et me déshabillent entièrement, leurs queues caressant mes cuisses, mon cul… D’un coup je sens une main sur ma chatte. — Oh putain t’es trempée salope. C’est ça que tu veux hein ?! Mathieu se met face à moi et me donne des tapes sur la chatte avec son sexe, Fred écarte mes lèvres et l’encourage à continuer, la queue de Mathieu passe et repasse sur mon clitoris et m’arrache des gémissements incontrôlables…— Aaaaah… — A genoux maintenant et suce nous. J’obéis, définitivement soumise, je regarde leurs deux bites tendues et ne sais par laquelle commencer, mais je n’ai pas à réfléchir, Fred me tient la tête et m’enfonce la sienne directement. J’étouffe à moitié tandis qu’il va et vient entre mes lèvres, je bave sur son membre quand c’est au tour de Mathieu de m’imposer le même sort. Il y va fort aussi, vite, me baisant littéralement la bouche et me laissant juste respirer de temps en temps. N’y prenant pas trop de plaisir, je me caresse moi-même et me rentre un doigt dans la chatte que je remue au rythme du va et vient des deux cousins d’Antho. — C’est ça caresse toi petite pute, tu vas jouir avec nos bites en bouche… dit Fred d’une voix hachée.— Regarde-moi quand tu me suces, exige Mathieu. Je lève les yeux vers lui et il soupire de plaisir en me tenant par les cheveux. — T’es vraiment qu’une salope. Fallait bien qu’on venge Antho, que tu te prennes nos bites… Tu les veux où maintenant ? — Hmm hmmmhhm…— J’comprends pas… grommèle Mathieu.— Attends, si je mets ma bite aussi, ce sera peut-être plus clair, rigole Fred à côté.Il me colle sa bite sous le nez et essaie de la faire rentrer avec celle de son frère, évidemment ils n’y arrivent pas… — Moi je vote pour son cul, dit Fred. — Hmmnonnnmm.J’aime assez la sodomie, mais pas avec eux, je fais non de la tête, la bite de Mathieu toujours en bouche. — Non ? Où ça alors ? Il sort enfin sa queue et je reprends peu à peu forme. — Alors ? Fred ma gifle avec sa bite pour exiger une réponse. J’ai toujours mon doigt dans la chatte et j’avoue que je suis de plus en plus excitée, je sens les vagues de plaisir se suivre et me guider lentement vers l’orgasme… Je n’ai pas envie de le montrer et j’en meurs d’envie en même temps… — Dans… dans la chatte s’il vous plaît… — Quoi ? — Je veux vos bites dans ma chatte…— Tu vas les avoir petite chienne, debout, répond Mathieu. Je me lève, le doigt toujours plante dans ma chatte qui dégouline. — Cette pute mouille à fond, commente Fred. Il éloigne ma main d’un geste et rentre son index et son majeur dans ma chatte. Je pousse un cri de plaisir. Il continue et agite ses doigts comme un fou, je ne tiens pas dix secondes et explose de jouissance, debout, les jambes tremblantes, devant me tenir à Mathieu qui rigole. Je n’ai même pas fini de trembler qu’ils me soulèvent et me posent sur le lit en levrette. Et tout de suite j’ai une bite dans la chatte. La sensation est divine, je sais pas où il a appris à baiser, Mathieu, mais c’est fou ce qu’il me fait du bien. Ou c’est la situation qui joue peut-être. Je me cambre et me tortille sur lui qui prend un malin plaisir à ralentir dès que je bouge. Je suis alors obligée de rester tranquille pour qu’il veuille bien me prendre. Il y va alors de toutes ses forces, me défonçant jusqu’au bout, ses couilles claquant contre moi, ses mains fessant mon cul… Fred vient devant moi et me rentre sa queue dans ma bouche. Je n’en peux plus et rien que de m’imaginer prise par deux mecs comme ça, je jouis une deuxième fois. — La salope prend son pied comme jamais… Lorsque Fred retire sa queue, c’est moi qui tend la langue pour qu’il me pénètre à nouveau la bouche. Quand Mathieu se retire aussi, je recule et me cambre plus pour qu’il reprenne sa cadence infernale. J’ai honte de l’image que je dois donner mais je suis folle d’excitation en ce moment. Jamais je n’ai couché avec deux mecs en même temps, ni de cette façon là, je voyais ça dans les vidéos, lisais des histoires, c’était tout,… Fred et Mathieu poussent des râles plus profonds et moi-même je crie comme je peux avec le sexe de Fred entre les lèvres. Soudain, il gicle dans ma bouche, longtemps, me tient la tête jusqu’à ce qu’il termine. J’avale et lèche consciencieusement son membre , et gémis en même temps tellement je trouve (et ce depuis toujours) ça excitant. — C’est bien avale cochonne… C’est bon hein ? — Hmm hmm oui… — Demande à Mathieu qu’il te fasse pareil. Je tourne la tête en arrière et dit à Mathieu, les yeux dans les yeux : — Mathieu, s’il-te-plaît, viens jouir dans ma bouche… Prononcer ces mots décuple mes sensations, je suis encore à deux doigts de jouir quand il se retire et s’approche de mon visage. — Tends la langue, voilà salope c’est bien. J’attends et me tortille, n’en pouvant plus… — Aaah aaah… Putain… Claire… Prends ça… Il explose sur ma langue et me laisse le soin d’avaler et de lécher son gland… Ils s’effondrent tout deux et rigolent en me voyant rester dans la même position. Puis ils se lèvent et me disent que le dîner devrait être prêt, même si j’ai déjà pas mal mangé, ajoute Fred en riant, avant de partir à la suite de son frère. Je me redresse, encore nue, souillée, excitée, perdue. Et le pire, c’est que je me sens pas rassasiée.
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