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Le bocal de cornichons

Chapitre unique

Hétéro
Je vais te raconter la fois où j’étais dans le cul de la voisine en train d’ouvrir une boîte de cornichons. A cette époque, la voisine m’avait dans le collimateur … Et un beau jour, elle me demanda de l’aide pour porter ses courses et nous nous retrouvâmes à faire la cuisine ensemble. 
J’embrassais une dernière fois ma poupée gonflable de compagnie et quittais ma chambre, déterminé à en découdre. Ensuite, me saisissant de tout mon courage, j’allais lui ouvrir, sachant que cela m’incombait afin de sortir de mon isolement social.
Avec un fondu musical dû à la musique de ses écouteurs qu’elle baissait à mon arrivée, elle m’apparut dans un anorak rouge auquel il manquait une capuche, des tresses mouillées par la pluie et des sacs de courses dans les mains.
— Bonsoir monsieur. Désolé de vous déranger mais je suis épuisé. J’habite trois étages au dessus. Vous voulez bien m’aider à porter mes poches ?— Oui bien sûr.
Je répondais sans réfléchir, pourtant je n’avais aucune envie de sortir de chez moi. J’en frissonnais car cela ne m’était pas arrivé depuis trois ans et en plus la voisine ne m’aimait pas. J’avais l’habitude de jeter ma poubelle par la fenêtre et un jour, je la vis marcher dans la rue, me voir et me juger avec mépris. Depuis, à chaque fois que je croisais son regard depuis ma fenêtre, elle me jugeait mal.

Mais tout ceci faisait partie de son plan, vois-tu. Elle transportait un gros morceau d’agneau. Arrivés à son pallier, elle me demanda:
— Dites, maintenant que nous sommes devant chez moi, vous voulez bien m’aider à couper ma viande ? Elle est un peu dure et je n’ai pas l’habitude d’utiliser le hachoir. Vous m’avez l’air costaud.
J’étais en effet bien bâti. Pendant ma vie en solitaire, je faisais beaucoup de musculation. Cela m’aidait à faire le vide dans ma tête avant de commencer ma journée. Et voilà comment je me suis retrouvé à faire un ragoût d’agneau avec ma voisine. 
Ne me demande pas pourquoi elle m’avait demandé de lui ouvrir un bocal de cornichon pendant que je la sodomisais, j’étais aussi surpris que toi.
Fatiguée par l’orage qui avait terrassé ses nerfs alors qu’elle était encore loin de chez elle, la voisine s’effondra sur son canapé alors que je coupais la viande. 
— J’ai fini.
J’eus à peine le temps de prononcer ces mots qu’elle me fit une autre demande:

— S’il vous plait. J’ai mal partout après cette longue marche. Vous ne voudriez pas me masser les épaules pour que je me détende ?
Elle me regardait avec plus d’appétit que la viande fraîche, pourtant bien appétissante, qui trônait sur son meuble de cuisine. Je ne voulais rien lui refuser, trop content de pouvoir toucher une femme.
Lorsque je commençais à la masser, je trouvai sa position imparfaite et chaotique. Elle était fort mal assise. J’osai lui dire:
— Vous devriez travailler votre posture. Je comprends que vous ayez mal partout.— Oh, oui, aidez moi à travailler ma posture, s’il vous plaît.
Je lui prodiguais quelques conseils.
— J’ai mal entre les cuisses. Vous devriez me masser à cet endroit, monsieur.
Ma timidité me barrait le chemin. Je m’assis à genoux sous elle et portais mes mains vers son entrejambe mais n’osais l’atteindre. Elle me prit la tête et l’enfourna sous sa jupe. Toutes mes inhibitions m’apparaissaient s’exterminant les unes les autres. Sont-ils des pages de chair d’une littérature nourrissante ! Le carré de poils pubiens de la demoiselle venait d’acheter ma paix à jamais.
— Menez-moi de l’autre main, celle qui sortait quand vous êtes arrivé, monsieur ?
Dominant fermement ma main, son papier se développait très régulièrement en communauté et elle n’était que désordre et ivresse. État de la jeune fille hors de ma pensée ? Gare à celui qui en fait une pure représentation. Quantité de légendes ne s’expliquent pas autrement... Signalons en attendant ce grand travail de l’ouvrière, à travers tous les océans, et en remontant par la falaise pour se sauver, d’autres fois c’est bien étonnant, étant donné son nom ? Absurdité.
— C’est ça, utilise ta langue...
Apprenez-leur à lire, épeler chaque mot avec peine. Suivant les informations recueillies, ces terribles félins paraissent être les facteurs décisifs du choix d’un lit de camp garni de peaux de boeuf, la face marbrée par la bile. Qu’ils arrivent ! Levons nos regards des misérables travaux effectués en vue d’un fantôme. 
— Persistez-vous à nier les faits dont vous êtes porteur ? Allez, bon sang, léchez moi la chatte et qu’on en parle plus.
Commençant à craindre que ces quelques paroles rendent singulièrement éloquents les quelques mouvements spasmodiques de son bassin, je m’interrompais et me levais. Je fus cependant si brusque que mon pantalon m’en tomba, dévoilant ma trique.
— Oh oui, quelle bonne idée. Mangez à votre faim, je vous tend ma croupe.
Elle se positionnait en levrette et je partais dans la cuisine, heureux.
— Mais que faites-vous ?— Je me sers des cornichons.— Revenez tout de suite ! Signalez-vous et ne bougez plus maintenant !
Je revins vers elle à la hâte. Elle était en colère. Elle me signifia le plus pur enthousiasme pour la pénétration par une démonstration physique habile. Je vins la pénétrer et je remarquais que, dans la main gauche, j’avais toujours un pot en verre rempli de cornichons. Je l’assaillais de coups de bite pour la satisfaire et profitais de l’instant de répit que me donnait sa satisfaction pour retirer le couvercle de mon pot. Je prenais un boudin vert aigre-doux avec ma main libre. Des gouttes de saumure coulaient le long du légume. Je pris la chose à pleine dent et croquais.
C’est ça, le bonheur.
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