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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Au bois...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cet épisode nous est arrivé, il y a plus de trente ans, alors que je tentais d’amener Marie, mon épouse coquine, à surmonter ses réticences devant l’amour au pluriel. Nous avions pu explorer diverses possibilités et juger, assez vite, qu’elles ne représentaient pas la bonne voie. Ce n’est pas en boite qu’elle va poursuivre son initiation, mais dans un lieu réputé pour son animation nocturne: le bois de Boulogne. Nous en avons entendu parler comme d’un haut lieu de l’exhibitionnisme et du voyeurisme, ce qui correspond bien aux goûts de ma coquine et aux miens, mais nous voulions quand même en savoir un peu plus. Pour ce faire, il nous fallait un guide touristique des bonnes adresses de l’érotisme parisien et nous savions pouvoir le trouver dans l’un des sex-shop qui venaient d’ouvrir. Il n’en manque pas, rue Saint Denis, et c’est là que j’emmène un soir ma chérie. Le quartier est très animé et largement consacré aux plaisirs défendus. Elle s’amuse beaucoup, au passage, de la tenue des putes, si nombreuses, qui travaillent par là, certaines assez jeunes et jolies, d’autres déguisées en dominatrices, quelques unes énormes, quelques noires, toutes largement dévêtues, à la limite d’un reste de décence ou d’une salutaire crainte de la police, pour étaler leur marchandise. Nous apercevons au passage un’ Théâtre érotique ’ annonçant ’ Spectacle amateur à partir de 24h ’.( On ne parle pas encore de Live-show ) Tiens ! De quoi s’agit-il ? Nous nous en doutons bien un peu et nous nous promettons d’y revenir puisque nous n’avons pas le temps ce soir de rester si tard.
Nous entrons sans hésiter dans une boutique uniquement fréquentée par des messieurs où l’arrivée de ma chérie fait sensation. Les sex-shop, à l’époque, étaient loin d’offrir des cabines vidéo discrètes et confortables et il ne s’y passait rien de particulier. Inutile donc d’espérer l’aventure, même si ma petite coquine rigole ouvertement à la vue de l’abondante littérature illustrée et de la taille des godemichés offerts aux chalands. Elle suppute, en murmurant si haut que chacun peut l’entendre, l’effet dévastateur que pourrait produire en elle certain phallus en caoutchouc de calibre réellement éléphantesque. ’ Tu crois que je pourrai me l’enfiler? ça doit être dément! ’A vrai dire, elle n’en a jamais voulu, même si, plus tard elle en a parfois accepté quand l’ambiance s’y prêtait, ayant toujours préféré le naturel et ne voyant pas l’utilité d’utiliser ces artifices alors qu’il est si facile d’avoir recours à des réalités plus douces.
Je commence à croire que ma petite salope cherche visiblement à exciter les clients. Nous trouvons rapidement ce que nous cherchons; le vendeur, plein d’espoir, nous demande si c’est tout ce que nous voulons. Oui, c’est bien suffisant et nous emportons notre guide pour le consulter tranquillement.
Le bois était alors ouvert aux voitures et beaucoup plus tranquille qu’il l’est devenu. Les incursions de la police y étaient donc rares, l’ordre public, sinon la moralité, n’y étant guère troublé. A en croire notre guide, il renferme divers secteurs spécialisés: putes, voyeurs, échangistes...bien qu’on ne puisse aller très loin en plein air. L’accès en est libre mais encore faut-il pouvoir disposer d’une voiture. Facile, il suffit d’en louer une. Ce fut, si je me souviens bien, une Nissan, assez spacieuse et confortable, et le soir même, après dîner, nous pouvons aller faire un tour au bois.
Ma chérie m’a paru particulièrement fantasmer sur la présence de voyeurs mentionnée par notre guide. Sans me préciser qu’elle voudrait se montrer, elle se vêt pour la circonstance et s’admire dans le miroir de notre chambre d’hôtel en ajustant un soutien gorge banane à seins nus, ustensile qu’elle adore parce qu’il laisse ses pointes frotter en permanence le tissus du chemisier, les rendant d’autant plus évidentes qu’elles sont toujours raidies par l’excitation. Un mini slip en dentelle transparent, un porte-jarretelles et des bas complètent la parure. Par dessus, elle enfile une jupe qui se boutonne par devant, un chemisier également boutonné, sur lequel elle passe une veste de tailleur, tout ceci ayant l’avantage d’être facile à retirer ! Et en route avant que je ne la viole sur place !
Dès la Porte d’Auteuil, c’est le coin des putes: il y en a une légion tout au long de l’allée où les voitures roulent au pas. Rien de bien excitant, et nous n’avons d’ailleurs pas besoin des services de ce cheptel.
Du côté du Pré Catelan, nous arrivons enfin dans une avenue signalée comme un lieu d’exhibition et d’échangisme: c’est bien ce que nous cherchons. Il faut y regarder de près pour voir ce qui s’y passe. L’avenue, mal éclairée, est coupée d’allées dans lesquelles peuvent s’engager les voitures, à condition de ne pas aller trop loin. Il y en a effectivement une demi douzaine qui stationnent là et nous voyons confusément des silhouettes s’agiter autour d’elles. Nous nous rangeons le long du trottoir, un peu en retrait, pour observer le manège des habitués. C’est justement ce qu’il fallait faire pour attirer l’attention sur nous. Une voiture vient se ranger derrière nous et un homme en descend. De notre âge, assez élégant, il s’approche de la portière de Marie à qui je conseille de baisser sa vitre et d’engager la conversation. On verra bien! Le garçon se penche, sourit, et aborde la belle bourgeoise qui paraît attendre.
— Vous êtes seuls ? Vous attendez peut-être des amis ?
— Nous ne connaissons pas le coin ni ce qui s’y trouve. Que peut-on y faire ?
— Tout ce que vous voulez. Voir, vous montrer, venir dans notre voiture faire mieux connaissance ou nous inviter dans la vôtre, passer la soirée ensemble si nous nous plaisons. Ma femme est dans votre genre et aimerait sûrement vous connaître mieux. Elle adore les brunes.
— Ce n’est pas une fille pour moi que nous cherchons. Je ne suis pas gouine.
— Toutes les femmes le sont un peu dans certaines circonstances! Si vous cherchez autre chose, je serai heureux de vous satisfaire, vous me paraissez très attirante. Je suis sur que votre mari apprécierait mon épouse. Elle n’aime pas que les femmes!

— Non, pas pour le moment. Mon mari est d’accord pour me montrer un peu, mais sans qu’on me touche trop.
— Facile, mais vous n’êtes pas au bon endroit. A une centaine de mètres plus loin, vous trouverez une allée sur votre droite. Allez vous y arrêter, fermez votre vitre et allumez le plafonnier. Il y aura vite du monde autour de vous pour vous admirer si vous voulez vous donner en spectacle, avec ou sans votre mari. C’est bien dommage que vous ne vouliez pas aller plus loin ce soir....vous êtes ravissante...
— C’est vrai que tu n’es guère sympa pour ce Monsieur qui nous a si aimablement renseigné !
— Bon! C’est vrai que vous avez été sympa. Je regrette de vous décevoir mais ce soir je ne veux que me montrer ou me laisser un peu caresser.
— Je crois que vous pouvez profiter de ces bonnes dispositions. Vous ne voulez pas la découvrir un peu ?
Notre compagnon comprend vite que lui donne l’autorisation de trousser ma jolie compagne et, passant le bras par la portière ouverte, il atteint ses jambes et les caresse doucement en relevant la jupe jusqu’à découvrir le slip mignon qui voile si peu la féminité à demi offerte entre ses cuisses barrées par les jarretelles. Ses doigts fouilleraient bien un peu plus loin, mais on lui rappelle qu’il ne faut pas trop toucher.
— Soyez sage ! ! Il n’est pas beau mon petit slip ? Si vous voulez en voir davantage, nous allons nous arrêter un peu plus loin mais je fermerai la vitre.
— Non, désolé mais ce soir nous cherchons un échange, pas un simple spectacle, si intéressant soit-il. Vous êtes pourtant très mignonne !
Marie rabat gentiment sa jupe en lui faisant un beau sourire et me demande d’aller me ranger dans l’allée qu’il nous a indiquée. Elle est totalement obscure et, à notre arrivée, nos codes éclairent deux voitures déjà arrêtées non loin l’une de l’autre. Pour nous ranger, il nous faut les doubler, très lentement pour n’écraser personne, ce qui nous permet de voir ce qui s’y passe et comment se pratiquent les choses ici. Si les deux voitures stationnent toutes lumières éteintes, leur plafonnier intérieur est allumé et permet de voir que plusieurs hommes se pressent sur le bas côté devant chacune d’elles.
La première, portières et vitres fermées, est occupé par un couple: le conducteur, penchée vers sa compagne, à demi allongée sur son fauteuil en position inclinée, lui dévore le minou d’autant plus facilement qu’elle ne porte plus que son porte-jarretelle et ses bas. Dehors, trois voyeurs se pressent contre les vitres en se branlant.
Le spectacle de la deuxième est encore plus excitant puisque ici, la portière passager est ouverte, ce qui permet à la passagère, totalement nue, couchée en travers sur son siège, la tête sur les genoux du conducteur et les jambes au dehors, de se prêter aux caresses des voyeurs qui s’agglutinent sur elle.
Nous nous rangeons un peu plus loin. On n’y voit vraiment rien et nous faisons comme les autres en éteignant nos feux avant d’allumer le plafonnier qui va attirer les voyeurs comme des papillons. Dès qu’il s’allume, nous regardons venir vers nous plusieurs hommes que nous devinons plus que nous ne les voyons: ils attendaient leur proie !. Cette incertitude sur le nombre réel des spectateurs est un piment supplémentaire pour mon artiste. Combien va-t-il en sortir du bois ?
— Tu es sure de vouloir continuer et te montrer à tous ceux qui voudront t’admirer?
— ça me plairait bien, mon chéri. Je sens ce soir que je ne vais pas être très sage. On ne risque pas grand chose, je viens de verrouiller les portières. Mais c’est à toi de me montrer, si tu le veux.
— Bon! J’aime beaucoup que tu ne sois pas sage, tu sais bien que je vais adorer te dévoiler et montrer à d’autres combien tu es belle et chaude. Mais il faudra que tu m’obéisses et fasse tout ce que je te demanderai .
— Je t’obéirai, mon maître, je mouille rien que d’y penser, mais ne m’en impose quand même pas trop !
— Retire la veste de ton tailleur...C’est bien, maintenant sors le bas de ton chemisier de ta ceinture et déboutonne le lentement, bouton après bouton...On te voit bien, ouvre le complètement.
— Complètement ? Mais je porte un soutien-gorge seins-nus, on va voir mes pointes !
— Justement, tu es là pour te montrer, c’est ce qu’ils veulent voir,... pour commencer. Garde le. Il offre plus qu’il ne cache.
Marie s’exécute et dévoile complètement son soutien-gorge fait pour offrir les pointes dardées de ses seins.
— Mon chéri, je mouille d’excitation ! Regarde, ils sont plusieurs autour de la voiture. Ils me voient bien avec le plafonnier. Pince moi doucement les bouts pour les faire bander. Je ne me suis jamais montrée aussi vicieusement. Je veux être salope pour toi. Qu’est ce que je peux être pute, quand même !
— Pourquoi tu veux que je te fasse les bouts, tu vois bien qu’ils bandent déjà. Tu veux toujours continuer ? Bon, alors tu vas devoir être encore plus salope, ouvre ta jupe, complètement.
— Je défais tous les boutons ?
— Oui, tous, lentement, en commençant par le bas, remonte vers la ceinture et laisse les pans de la jupe s’écarter... et pendant ce temps, regarde tes voyeurs, provoque les. Tu les vois, ils se branlent déjà pour toi. Là, c’est bien, ils ont une vue imprenable sur ton slip et ton porte-jarretelles.
— Salaud, ce que tu me fais faire! Tu sais que j’avais mis en prévision le plus mignon de mes slips ? Il doit les exciter, il ne cache rien, on voit mon minou à travers. Mes jarretelles ne doivent pas être mal non plus.
— Moi je trouve qu’il en cache encore trop. Si tu veux vraiment te montrer, il faut aller plus loin. D’accord ? Oui ? Soulève tes fesses et fait glisser ton slip...doucement...enlève le complètement.
L’artiste est douée. Au lieu de se cambrer en appuyant sa nuque sur le dossier comme je m’y attendais, elle vient prendre appui sur le tableau de bord avec ses pieds pour soulever ses fesses, offrant ainsi le minou qu’elle va dévoiler au ras de la vitre de la portière. Comme la jupe complètement ouverte n’existe plus, la charge érotique de son exhib est particulièrement intense. Ma petite salope fait lentement glisser le slip, dévoilant sa brune toison sous le nez des voyeurs qui se sont rapprochés. Ils sont quatre et se pressent autour de notre voiture en branlant des bites plus ou moins intéressantes qui se tendent vers ma belle. Ma femme, dépoitraillée et la chatte à l’air est vraiment bandante. Elle m’excite prodigieusement et je suis heureux de la voir aller aussi loin.
— Oh chéri, je me livre toute entière. Tu fais de moi ce que tu veux. Je suis une vraie chienne en chaleur. Ils doivent me prendre pour une belle salope avec les seins et la chatte au vent. Regarde, ils s’astiquent la queue à toute vitesse...Ils vont jouir rien que de me voir, ces salauds...ça me plait de les voir faire, j’ai envie de jouir moi aussi, caresse moi, je mouille, ça doit se voir.... Regarde, ils sont au moins quatre! C’est pour ta petite chatte qu’ils bandent. — Oh!, tu as vu comme il est monté celui là ? Quelle pine ! Je ne risque rien, au moins?
— Mais non, nous sommes enfermés et le moteur tourne. Tu veux l’essayer, le gros calibre ?
— Bien sur que non, pas ici, je ne suis pas tranquille. N’importe qui vient ici, ça peut être dangereux. Je veux pouvoir choisir.
— On va leur en donner pour leur argent. ?carte un peu les cuisses, on va leur montrer comme tu es belle quand on te met la main au cul...Mais il faut qu’ils te voient mieux !
Me penchant sur elle, j’ôte son chemisier, je dégrafe et retire son balconnet, puis son porte-jarretelles et fait glisser ses bas, ne lui laissant que sa jupe qui ne tient plus que par la ceinture: c’est pire que si elle était totalement nue ! Mes lèvres parcourent sa poitrine et viennent lui sucer les pointes tandis que mes doigts écartent sa toison, ouvrent ses lèvres pour bien montrer son intimité déjà luisante de cyprine aux spectateurs et massent délicatement son pistil. Elle se renverse sur le fauteuil, ferme les yeux et ondule sous ma caresse et les regards de nos voyeurs.
— Mais tu es déjà trempée ! Là, laisse toi caresser...ne jouis pas encore, cochonne !...Ils te mangent des yeux, ils auraient bien envie de te toucher un peu, tu ne veux pas les laisser faire ?
— Si tu veux... laisse les me toucher si tu veux... je suis excitée comme une chienne et j’ai envie de jouir encore. Fais bien attention de pas les laisser faire n’importe quoi ! Ils sont trop nombreux, je ne me suis jamais laissée tripoter par plusieurs types à la fois...j’en ai bien envie mais je ne veux pas qu’on me prenne...je préfère ne rien voir...
— Tu n’as qu’à fermer les yeux. Ou plutôt, je vais te nouer ton foulard comme bandeau.
Je lui cache donc ce qu’elle ne veut pas voir, mais seulement ressentir. Cette astuce du bandeau lui évitant de voir ce qui pourrait heurter ses scrupules nous resservira à plusieurs reprises. Je pense aussi que le fait de ne pas voir ce qu’on va lui faire ni qui va la caresser augmente encore son excitation en la pimentant d’une dose d’inquiétude due au nombre des amateurs. Cette fille, les yeux bandés, la poitrine et les cuisses offertes doit être une vraie trouvaille pour nos spectateurs.
— Incline le dossier de ton siège, couche le presque, et ouvre ta vitre...Attention, un seul à la fois...et pas de brutalité.
Une main passe par la vitre ouverte et vient pincer doucement les pointes de ma belle épouse, ce qui la fait un peu se cabrer dès qu’elle comprend que ce n’est plus ma main. Très vite la caresse dérive vers le buisson ardent et un doigt se glisse entre ses lèvres déjà bien lubrifiées et masse doucement son clito en faisant durer le plaisir.
— Chéri, il me branle, il y a un mec qui me branle...tu le vois...c’est bon...j’étais bien mouillée...c’est trop bon...son doigt me pénètre,...il me pince le clito ...oh! ce qu’il me le fait bien...doucement...je mouille trop...je sens que je viens...
— Tu la fais trop jouir. Elle va partir. Si vous voulez tous en avoir, il faut la faire durer un peu plus. Tu l’as assez branlée, laisse la se reposer un peu avant qu’un autre l’entreprenne.
— Je l’ai à peine touchée...Ce n’est pas ma faute si cette salope est aussi chaude ! ça a l’air de lui faire un effet terrible de se laisser toucher devant toi par n’importe qui. Elle est complètement trempée, tu ne dois pas t’ennuyer avec un numéro pareil !
— C’est vrai, quand vous l’aurez tous bien tripotée, elle sera aussi chaude qu’un volcan et je me la taperai à votre santé...Elle n’est pas encore à point et il en faut pour tout le monde. Allez, laisse la place.
Une autre main passe par la vitre et s’attarde plus longuement sur les seins, son propriétaire empoignant et pétrissant à pleine main les globes sensibles, étirant les tétons et les faisant rouler entre ses doigts.
— Oh! c’est bon...il me brutalise...non, continue, tu as le temps de descendre...Tu n’as qu’une main ? Chéri, je suis branlée aux seins et au con...c’est extra...je vais jouir...
Le type la travaille à deux mains, la gauche maintenant la rigidité des pointes des seins, tandis que la droite se perd dans les profondeurs de l’entrecuisse. Je vois distinctement le pouce masser le clitoris et s’introduire de temps à autre plus profondément dans la minette tandis que les autres doigts me paraissent se perdre entre les cuisses et glisser vers un autre orifice, profitant de l’inclinaison du siège et de l’abondante rosée qui doit couler dans le sillon. Marie ne paraît pas se plaindre du traitement et soulève son bassin pour faciliter cette introduction coupable, tout en râlant de plaisir et en protestant pour la forme.
— Chéri, il me tient en tenaille...j’ai son doigt dans le con et l’autre dans le cul...oui....ça glisse tout seul...c’est bon...je jouis...il me rentre bien...ah! salaud, c’est pire que si tu m’enculais...
— Elle est très souple du cul...elle doit avoir l’habitude de se faire enculer...ça lui plait bien. Tu ne veux pas me la prêter dans les buissons ? Je suis sure qu’elle apprécierait ma bite.
— Non, ça m’est réservé, contentez vous de ce qu’on vous donne. Et puis laisse la un peu se reposer, tu vois bien qu’elle va exploser. Changez un peu...Ma femme est vraiment en forme ce soir, c’est la première fois qu’elle a autant de clients et elle veut vous faire plaisir à tous. Mais il ne faut pas l’exciter trop vite ou elle va partir et ce sera fini...Attention, chérie, c’est celui que tu trouvais si bien monté. Si tu veux tendre la main son instrument n’est pas loin, il arrive presque en haut de la portière. Tu veux qu’on l’ouvre ? Ce sera plus commode pour te faire caresser bien à fond et tu pourras mieux le toucher.
— Si tu veux...mais fais attention qu’on n’en profite pas pour me sauter...tu me fais faire la pute...j’aime.
Je me penche donc pour ouvrir la portière en grand, ce qui va l’offrit totalement aux entreprises de celui qui se présente.
— Aïe ! Ne me pince pas les pointes, sois doux ou tu te retire...Mon amour, je la tiens...elle est belle...je n’en ai jamais tenu une d’aussi grosse...pas même celle d’Henri.
— Tu veux la goûter ou l’avoir ? Les dames l’apprécient beaucoup. Emmenez-moi avec vous, on pourra s’amuser tranquillement, je sais bien faire partir les vicieuses dans ton genre, tu pourras l’avoir par tous les trous.
— Prétentieux! Non, je n’ai pas envie que tu me casses le cul, tu es un peu gros, caresse moi bien pendant que je vais te branler....Chéri...ce qu’il me le fait bien ce salaud...c’est vrai qu’il sait faire, il me doigte à fond...je jouis...j’y vais...
J’ai juste le temps d’écarter la main trop efficace pour laisser se calmer un peu ma chérie qui proteste.
— Ne l’arrêtes pas, j’allais partir...vous n’allez pas me laisser comme ça...je veux qu’on me finisse...je veux jouir à fond...
Dans l’état où ils l’ont mise, je sais qu’elle ne peut plus rien refuser. Son sang froid retrouvé, elle m’en voudrait certainement beaucoup de l’avoir laissée prendre, mais je pense qu’on peut aller un peu plus loin.
— Tu en veux encore ? Tu vas en avoir. Tu vas te laisser caresser par tous à la fois, tu verras, tu vas adorer. Sors de la voiture et laisse toi faire, ils vont tous s’occuper de toi.
Pour veiller sur elle, je sors de la voiture, vient devant sa portière et l’extirpe de son siège pour la guider vers le bord du capot sur lequel je l’étend, toujours vêtue de sa seule jupe ouverte jusqu’à la ceinture..
— Allez-y, les mecs, vous l’avez entendue, elle en veut, faites en ce que vous voulez, sauf la baiser...vous pouvez la toucher partout mais ne la pénétrez pas, je me la réserve.
Marie frissonne un peu: le froid de la tôle du capot sur son dos nu , l’excitation de se voir ainsi offerte ou la crainte de ce qui va arriver ? Les voyeurs ne se le font pas dire deux fois et c’est huit mains et quatre bites qui se tendent vers ma poupée tandis que je surveille le déroulement des opérations et l’éventuelle arrivée d’intrus. Elle doit être un peu inquiète de ne rien voir mais n’en sent pas moins que tout son corps est livré à des inconnus et elle ne peut ignorer le gland qui vient frotter ses lèvres, bien qu’elle le refuse, ni celui qui lui caresse le torse, encore moins celui qui se glisse dans sa main en qui elle doit reconnaître le calibre impressionnant qui l’étonnait il y a encore quelques instants.. Le quatrième mâle s’agenouille pour venir lui faire minette tandis que les autres se branlent sur elle ou se font branler par elle.
— Allez-y, faites la jouir bien à fond, couvrez la de foutre, elle aime ça, si tu sais la sucer, elle va gueuler de plaisir....
Et de fait, au moment même où un premier jet de sperme s’écrase sur sa gorge et son cou, avant que personne n’ait eu le temps de réagir, mon adorée part dans un orgasme formidable en serrant l’énorme dard qui lui plaisait tant et se vide à son tour sur son ventre. Le dernier salue ses ultimes contorsions en venant se répandre sur ses seins. Je l’ai rarement vu prendre son pied de façon aussi intense, elle est superbe, abandonnée, plus que nue et couverte de foutre sur son capot de voiture. Elle a été sublime ! Il est vrai qu’il y a plus d’un quart d’heure qu’elle se livre aux pires attouchements, il y avait de quoi la faire partir ! Je sais ce qu’elle attend maintenant et ne veux pas laisser à d’autres le soin de le lui donner. Je pousse Marie, chancelante dans la voiture et l’allonge sur son siège. Remontant de mon côté, je ferme soigneusement vitres et portières, trouve son slip abandonné sur le plancher et m’en sert pour essuyer le sperme dont elle est couverte. Je viens doucement sur elle et, sortant mon dard presque douloureux à force de bander en la regardant, je la possède lentement sous les yeux des voyeurs. Ils me voient bien la limer profondément et peuvent bientôt admirer ses coups de reins pour mieux se faire enfiler. Je n’ai malheureusement plus la possibilité de me retenir et dois me répandre en elle malgré ses cris ’ Encore...encore...’ Un peu calmés, nous nous redressons et je démarre aussitôt. Je m’arrête un peu plus loin pour lui permettre de remettre de l’ordre dans sa tenue et lui retirer son bandeau.
— C’était bon ? Cette façon de t’offrir avait l’air de te plaire beaucoup. C’est la première fois que tu as eu autant de mâles pour s’occuper de toi. Je n’aurais pas cru que tu partes si vite, tu m’as surprise, tu étais vraiment bien chauffée.
— Ce n’est pas aussi bon que de baiser mais je mouillais comme une salope à l’idée qu’il y avait autant de mecs sur moi: j’ai joui comme une folle dans leurs mains et sous la langue de celui qui me léchait. Je crois que c’était à l’idée de m’offrir à des hommes que je ne voyais pas. C’est un peu comme si j’avais été livrée à eux sans défense, comme une esclave. Ces mains sur mon corps m’ont fait un effet terrible, surtout le second qui m’a malaxée comme on ne me l’avait jamais fait et qui m’a doigté en même temps.
— Tu n’as pas eu peur d’être totalement violée quand je t’ai tirée de la voiture ?
— Bien sur... mais je savais que tu n’allais pas les laisser faire. J’avais une énorme bite sous la main, je n’en avais jamais eu la même, j’avais quand même un peu peur de l’avoir dans le cul si tu l’avais laissé faire ce qu’il proposait.
— Tu as bien entendu que je leur avais dit de ne pas te pénétrer, mais on ne sait jamais...Nous aurions pu demander à celui qui était monté comme un âne de venir sur la banquette arrière où tu l’aurais rejoint. Pendant que j’aurais fait un tour dans le Bois, il aurait pu te montrer ce qu’il savait faire.
— C’est justement ce que je voulais éviter. Je pensais que tu aurais cette idée et que, excité comme tu devais l’être, ça ne t’aurais pas déplu de me livrer à lui et de le laisser faire ce qu’il voulait avec moi, même m’enculer avec son énorme engin, sans même que je puisse le voir et ça, je ne voulais pas !
— Tu l’as échappé belle ! Tu n’as rien remarqué ?
— Sa taille...et puis son gland qui était lisse, un peu pointu du bout, pas rond comme le tien. Il me paraissait énorme.
— Pas étonnant...c’était un beur.
— Quoi ? Salaud, tu m’as laissée tripoter par un beur et tu m’aurais laissée me faire monter par lui ? C’est vrai qu’ils ont l’air intéressants, ces gars là, dommage que j’ai un peu peur d’eux.
— Justement, tu ne l’as pas vu...mais tu l’as beaucoup apprécié. Tu vois, les préjugés coûtent cher. Tu veux recommencer ? On peut en trouver d’autres.
— Pas ce soir, j’en ai eu assez, ils m’ont crevée. Rentrons, je suis vidée, j’ai été trop salope, je n’avais jamais été aussi loin. Mais ça ne me déplairait pas de recommencer ailleurs qu’ici. Je n’aime pas beaucoup la faune de ce bois. J’ai joui comme une folle mais j’avais un peu la trouille. Il faudrait trouver quelque chose de plus cool.
Et nous sommes rentrés bien sagement pour finir entre nous ce qui avait si bien commencé à plusieurs. Cette soirée réussie me laisse percevoir ce que j’avais ignoré jusqu’ici, une certaine tendance de mon amour à apprécier qu’on la domine. Oh!, bien sur, sans aucune brutalité. Ce n’est pas une masochiste et elle est d’ailleurs douillette. Mais, mentalement, elle n’est pas contre être forcée à certaines pratiques et ne déteste pas de se sentir un peu esclave, mon esclave adorée. C’est ce sentiment d’impuissance, révélé par le bandeau du foulard, qui a été le principal attrait de cette aventure. Je crois que je vais être désormais plus exigeant. Par contre, il ne me semble guère opportun de revenir au bois dont la faune ne m’a pas laissé une bonne impression et dont les pratiques ne permettent pas d’aller bien loin, au moins sans risques. Il faudra trouver d’autres lieux propices aux rencontres, mais mieux fréquentés.

Auteur: ComtemariegeoAdresse: comtemariegeo@aol.com
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