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Le bois

Chapitre 1

Travesti / Trans
Le bois
Je gare la voiture le long du trottoir.A gauche une allée goudronnée s’enfonce dans le bois. A une cinquantaine de mètres devant deux prostituées probablement transsexuelles attendent le client en exposant leur corps. De loin en loin, on aperçoit quelques promeneurs discrets et des joggeurs bariolés.
J’allume une cigarette, récupère mon sac à main sur le fauteuil passager puis je sors de la voiture dans une grande respiration.
Je porte une robe foulard ceinturée sur le devant, des bas noirs accrochés à de magnifiques sous-vêtements aussi rouges qu’invisibles pour le moment. La dentelle rouge couvre le plastron en silicone aux seins lourds et aux tétons tendus qui contribuent à faire de moi une femme attirante. Mon corps entier est glabre, totalement épilé à l’exception d’un petit cœur noir sur mon pubis juste au-dessus de la minuscule cage de chasteté rose qui enferme ce qui est devenu mon clitoris. Ma perruque brune, quelques bijoux et un lourd maquillage de prostitué complètent mon apparence.
Je pose une sandale à talon sur le trottoir, le cœur battant, et excitée comme une folle. Je ne veux pas rester trop longtemps au bord de la route pour le moment sans réelle raison. J’emprunte donc l’allée forestière et m’enfonce dans le bois. Le simple fait de marcher comme cela dans le monde réel, à la vue de tous me rend folle, je sens mon clitoris couler dans sa prison.
Je croise un premier « promeneur », un homme seul. Il me dévisage, regarde mes jambes, largement découvertes par la robe croisée, jauge mes seins lourds, mais il ne m’aborde pas. Je me dis qu’il fera peut-être demi-tour plus tard... Un couple de coureurs croise ensuite ma route. Ils ne ralentissent pas et ne me regardent même pas ! Rien d’étonnant à ma présence: Dans ce bois, il n’y a que des putains travestis, leurs futurs clients et des sportifs à pied et à vélo qui sont parfois des clients déguisés !Seule différence, je n’ai pas l’intention de faire payer qui que ce soit. Je veux juste sucer des queues et être utilisée comme la putain soumise et vicieuse que je suis devenue.
Je les entends avant de les voir...Les sabots des chevaux claquent doucement sur le goudron de l’allée. Je me retourne, deux policiers de la brigade montée s’approchent lentement, au pas. Je suis terrifiée, c’est mon pire cauchemar, ils vont m’arrêter, m’emmener en cellule, ma famille, mes amis vont être au courant ! Il y a une petite sente tortueuse sur ma gauche, je pourrais peut-être partir en courant... Conscient du ridicule de cette pensée, je me range sur le bas côté du chemin pour les laisser passer. Peut-être qu’ils vont m’ignorer et continuer leur route... Mais non, arrivés à ma hauteur, ils stoppent leurs montures.
— Bonjour, papiers s’il vous plaît !
Je plonge immédiatement la main dans mon sac et en ressors mon permis que je lui tends tête baissée.
— Mais regarde ça collègue, incroyable, t’aurais cru ça ?
Après les avoir lus, goguenards, il tend mes papiers d’homme à l’autre policier.
Il bascule sa jambe par-dessus sa selle et descend de cheval d’un petit bond. Campé devant moi, il me pousse un peu en arrière d’un doigt sur le sein.
— Alors tu es nouvelle, tu viens faire la pute au bois pour arrondir les fins de mois ?
Je bredouille en rougissant :
— Non, pas du tout je ne demande pas d’argent, je pensais juste rencontrer quelqu’un, passer un bon moment...— Ouvre ton sac !
Je m’exécute et le lui présente. Des clefs, des préservatifs, des mouchoirs, un rouge à lèvres, pas d’argent !
— Si ça se trouve c’est vrai, t’es juste une petite salope qui cherche de la bite, tu veux sucer des queues et te faire enfiler. C’est ça ma cochonne ?
Je baisse encore la tête, humilié, effrayé et excité à la fois.Je réponds "oui" dans un souffle.Il s’esclaffe en me poussant en arrière, je recule maladroitement sur mes talons dans le petit sentier qui pénètre dans la végétation. Il me retourne et me propulse en avant d’une puissante claque sur les fesses.
— J’arrive Marco, je me vide juste les couilles vite fait !— Bien mon adjudant !
Comme ça j’ai bien compris ce que j’étais et ce qui m’attendait !
— Stop, à genoux salope !
Nous sommes à trois-quatre mètres du chemin, je m’arrête et tombe à genoux devant lui. Il me prend derrière la tête et plaque mon visage contre la braguette de son uniforme, son gros ceinturon me blesse le front.
— Allez, ouvre, va chercher ta surprise !
De mes deux mains, je baisse sa braguette et déboucle son ceinturon. Je défais le bouton. Le pantalon lui descend tout de suite sur les genoux, alourdi qu’il est de tout son matériel. Je me retrouve face à son caleçon tendu comme un chapiteau. Je le baisse doucement et son sexe libéré me bondit au visage. Levant la tête, je le regarde dans les yeux et passe lentement ma langue sur son gros gland violacé, je l’embrasse, le lèche à nouveau. Je descends en léchant bien mouillé le long de cette grosse tige qui pulse dans ma main... Mon grand numéro de pute ! Je remonte en le léchant et l’engloutis d’un coup jusqu’à la racine. Je l’entends gémir, il me prend derrière la tête, ressort sa queue et me la remet au fond de la gorge. Je suis aux anges, je me fais baiser par la bouche comme je le mérite, comme la salope que je suis ! Les va-et-vient continuent, il rentre, il sort, ma langue danse autour de son gland, lui lèche un peu les couilles quand il est bien au fond.
Surprise ! Je sens une deuxième bite qui tape contre ma joue. Le collègue nous a rejoints et me biffle avec un sexe de belle taille, mais surtout très long...Je le prends en main, et l’embouche tout en branlant l’adjudant dont il a pris la place entre mes lèvres.Lui, l’adjudant, ne l’entend pas comme ça : d’un seul grand mouvement, il me relève, me retourne, repousse mon visage sur le sexe de son subordonné et envoie une grande claque sur mon cul qu’il a dénudé. Ma robe s’est relevée sur mes hanches laissant apparaître le haut de mes bas, mon petit sexe encagé de rose encadré par la guêpière rouge et les jarretelles. Il apprécie:
— T’es vraiment une grosse pute hein ?! T’as mis tes fringues de chienne pour nous exciter hein ?!
Sa main puissante s’abat encore plusieurs fois sur mes fesses me poussant en avant et me faisant avaler profondément le sexe de son collègue. Et d’un coup sans avertissement, sans préliminaires il s’enfonce en moi de toute sa longueur, bien raide, tout en puissance !
J’en ai une bien longue tout au fond de la gorge et une autre bien trapue qui m’éclate le cul ! C’est si bon, le goût de cette bite qui coule dans le fond de ma gorge et la sensation d’être profondément écartelée par ce gros sexe qui me laboure l’anus...
— Prenez-moi, baisez-moi, je suis votre pute, faites-moi ce que vous voulez, jouissez dans ma bouche, dans mon cul sur mon visage, je suis à vous !!
Je ne me contrôle plus !
Le jeune policier me baise littéralement le visage, il s’enfonce à chaque aller-retour jusque dans la gorge, ma salive coule partout sur sa queue et jusqu’au sol.
L’adjudant me défonce, son sexe trapu me rentre dans le cul jusqu’aux boules à chaque coup qu’il rythme de puissantes claques qui me rougissent les fesses. Mon clito coule, j’ai joui, mon sperme coule abondamment à travers ma cage... le long sexe dans ma bouche pulse, s’enfonce profondément et je le sens se vider à long trait presque dans mon estomac. Simultanément mon autre amant accélère ses coups de hanche et lui aussi se vide dans mes intestins, je sens les longs jets chauds dans mon fondement...
Tous les deux sont vidés et un peu choqués après la violence de ce rapport et la puissance de leur jouissance. L’adjudant lâche ma taille en se redressant. Mes jambes ne me portent plus, je tombe au sol dans les feuilles mortes. Je n’ai pas envie de me relever. Je les regarde se rajuster et rejoindre leurs montures en me disant à la prochaine...
Je finis par me redresser les jambes flageolantes, avec un kleenex j’essuie la salive et un peu de sperme sur mon visage et mon décolleté. Je brosse ma robe et retourne sur le chemin. Le jour tombe, je décide de me promener un peu avant de retourner à la voiture.
L’heure bleue. Il fait sombre, mais on y voit encore très bien en ce début de soirée de juin. Après cet épisode avec la police, je me sens plus à l’aise, le pire est arrivé et tout s’est bien passé. Très bien même ! Mes fesses m’en cuisent encore !Je marche au milieu du chemin en roulant du cul comme une bonne petite salope comblée !
J’arrive à une croisée des chemins, une clairière et un petit banc où je décide de m’offrir un peu de repos bien mérité. Je m’installe donc, allume une cigarette et profite de la quiétude de la soirée.Ma cigarette terminée, j’aperçois à une cinquantaine de mètres un groupe de personnes qui se dirigent vers moi. Pas rassurée, j’ai envie de fuir, mais avec si peu d’avance et mes talons hauts, ça ne va pas être possible ! J’attends donc crânement sur mon banc les jambes croisées très haut. Arrivés à ma hauteur, ils ne font pas si peur que ça. Une bande de jeunes venus s’encanailler, un peu moins d’une dizaine, pas Neuilly Auteuil, mais plutôt bon quartier que racailles de banlieues.
— Bonjour, qu’est-ce qui vous amène ? — D’après toi ?!
Après mon aventure policière, je décide de m’octroyer quelques libertés. Je remonte négligemment ma robe jusqu’à mes jarretelles :
— Quelque chose comme ça ?
Ses yeux sont rivés sur mes bas et mes jarretelles, les autres me détaillent avec force commentaires cochons.
— On veut te baiser tous les huit, combien tu prends ? — Rien du tout, vous pouvez tous me prendre par le cul et en plus je vous suce tous !
Ils sont tous surexcités, il n’est plus question de reculer. Ils ont commencé à me peloter les seins, les fesses. Ils acceptent évidemment. Je n’ai pas l’intention de leur dire ce que je suis, on verra bien. Mon petit clito est bien rangé dans mon string.
Je me retourne, à genoux sur le banc, je remonte ma robe sur mes hanches, tire mon string sur le côté pour leur dévoiler mon petit trou. Ceux qui sont de l’autre côté du banc, face à moi ont commencé à se débraguetter et j’ai déjà une belle poignée de bites sous le nez ! Un premier s’enhardit et me la fourre dans la bouche, j’en attrape une dans chaque main et commence à les branler en suçant le premier avec application.
Je sens des doigts pénétrer mon anus, un deux, plusieurs, on me caresse les fesses et les seins. Je suis au paradis ! Derrière moi, on commence à s’exciter, ce n’est pas un doigt que je sens là ou alors un gros ! Il m’enfile tout droit sans que j’ai la moindre idée de qui il est ni a quoi il ressemble et commence à me besogner brutalement. Dans ma bouche mon premier client est déjà en train de se vider, sur ma gauche il m’a joui dans la main. D’autres les remplacent, je branle, je suce, j’avale...
Je sens la brute qui me besognait durement éjaculer dans mon cul. Il se retire laissant comme un grand froid, mais est immédiatement remplacé. Lui ne tient pas longtemps, il jouit dans mes fesses en quelques secondes au moment même où un de ceux que je branlai m’éjacule sur le visage. Celui que je suce se recule et m’envoie également tout son sperme sur la langue et dans la figure ! Je n’en peux plus, c’est trop bon ! Au moment où je sens qu’on me pénètre à nouveau, j’explose dans ma cage qui coule de partout.
Je reçois à nouveau du sperme dans la bouche, j’avale. J’en reçois sur les fesses, dans mon cul encore et sur la figure, encore. A mon avis on est passé de huit à seize, ils ont tous joui deux fois ! Au moins !
Je suis épuisée, mon cul et mon estomac sont pleins de foutre. Je m’essuie lentement le visage. Tout un paquet de Kleenex y passe. Celui qui m’avait abordé revient vers moi. Se penche et me roule une grosse pelle.
— J’espère que tu aimes le goût du sperme de tes copains, chéri, parce qu’ils y sont presque tous passés !
Ils se rassemblent en se congratulant et s’éloignent lentement. Je reste seule dans ma clairière, comblée. Mon anus coule entre les lattes du banc en se vidant de tout ce sperme. Ils m’ont bien fécondé. Je retourne à la voiture d’une démarche un peu moins assurée qu’à l’aller.
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