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La boîte de Pandorre

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Au cours des années passées ensemble, nos ébats se sont sans doute un peu assagis : plus question de se sauter dessus à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Une certaine routine s’est installée, comme partout. C’est-à-dire que notre couple a pris ses marques, pour se positionner dans une vie professionnelle, amoureuse, sexuelle.
Mais le plaisir du sexe est toujours très présent. Nous dormons toujours nus, et il suffit que Maëlie passe sa main chaude et douce sur mon corps pour que mon membre, même profondément endormi et la tête engoncée entre les épaules, se redresse et montre le bout de son nez, telle la tortue tentant de se hisser hors de sa carapace. Même si je suis moi-même abattu de fatigue et sur le point de m’endormir, lui tournant le dos, Maëlie me tient tout entier en son pouvoir. Parfois, peut-être excitée par la lecture d’un roman qu’elle dévore au moment du coucher, elle vient se plaquer à moi, et sa main caresse mon torse. Si elle passe une fois et se maintient sur ma poitrine, nous nous endormons amoureusement dans les bras l’un de l’autre.
Mais si elle descend sur mon ventre, sa chaude caresse réveille instantanément le membre au repos. Elle descend jusqu’à effleurer les poils pubiens et je suis parcouru de frissons, car elle n’est qu’à quelques centimètres d’effleurer la zone la plus érogène de mon corps. Je veux dormir, alors je ne bouge pas, mais ce contact sensuel éveille en moi des pulsions et des images érotiques. Elle maintient sa main sans bouger, pour prétendre ne pas avoir voulu me réveiller. Mais je pense qu’elle sait que je ne suis qu’un misérable incapable de résister à sa douceur ! Je sais que mon sexe, maintenant totalement dressé, dans l’attente d’une récompense, d’une petite caresse sur son flanc, n’est qu’à quelques centimètres du dos de sa main, qui repose sur le bas de mon ventre. Au moindre mouvement, mon prépuce effleure sa peau, et je suis assailli de désir.
Elle le sait, elle le sent, et déplace ses doigts légers pour venir taquiner ma verge. Elle pose la pulpe de ses doigts sur ma colonne soyeuse, puis les déplace doucement, vers le haut du chibre tendu. Je n’ai jamais connu une main aussi douce, qui pourrait résister à un tel appel ? Une fois encore, j’imagine ses précédents amants, dans cette même situation. Je les imagine se laisser caresser de la sorte, irradiant le plaisir dans tout leur être. Je les vois en pensée se tournant vers elle, la prenant dans leurs bras et cherchant son sexe ouvert d’une main fébrile. Elle m’avoua un jour qu’elle adorait ce moment où les doigts de son amant ouvraient son sexe pour la pénétrer doucement. Elle n’a jamais tellement osé me parler de ce qu’elle aimait, plus de ce qu’elle n’aimait pas. Alors ce genre de confidence, ça m’excite au plus haut point. J’imagine des adolescents, qui ne seront pas devenus des amants, mais qui auraient eu droit de connaître cette douceur humide de leurs doigts, et de lui faire connaître le plaisir au fond de son ventre, lors de caresses échangées peut-être en boîte de nuit, ou sur une plage, comme avec ce garçon qu’elle avait rencontré en vacances en Grèce. Je sais qu’elle a eu son sexe entre les mains, je suppose qu’il a caressé sa petite chatte, mais je n’en sais pas plus. Comme c’est peu. Comme une allumette dont le souffre s’enflamme, mais pas assez pour alimenter une vraie combustion et qui s’éteint aussitôt.
« Tu imagines que ce soit la première fois que tu es avec ton amant, il t’a caressée, et maintenant, tu vas enfin le laisser te pénétrer de ses doigts ». Mon fantasme est toujours présent, je cherche du carburant pour l’alimenter, j’ai besoin de sentir son excitation à l’idée de ce scénario pour être moi-même transporté de ce plaisir masochiste qui consiste à imaginer ma femme entièrement possédée par un autre homme. « Non, pas ce soir. Ce soir, c’est toi que je veux ». Pan ! Bon, c’est flatteur, je ne vais pas me plaindre non plus. Alors changement de registre, extinction des feux, baissez les couleurs. Je sens son corps sous moi qui m’appelle et je n’ai pas de mal à trouver mon plaisir, ainsi que le sien.
Pourtant, alors que je la pressai de m’avouer un fantasme, elle me dit un jour « je ne sais pas, j’en n’ai pas vraiment, alors c’est un peu les tiens ». Elle reconnaissait donc être troublée elle aussi par cette idée d’avoir un amant. Qui ne le serait pas ? La première fois, les premières fois, c’est tellement intense, tellement différent. Pourquoi se refuser mutuellement ce plaisir à jamais alors qu’il peut être si bon parfois ?
Ayant cru comprendre également qu’elle aimerait être pénétrée par un corps étranger, pas nécessairement appartenant à un autre homme, je fis un jour l’acquisition d’un magnifique sexe en latex, que je pris le plus semblable possible au mien, souple et doux, pour un maximum de réalisme. La vendeuse m’ayant bien conseillé, j’avais également pris un beau tube de lubrifiant, pour éviter tout frottement désagréable. Je comptais en faire la surprise à Maëlie, de façon à combler, je l’espère, l’un de ses fantasmes.
Je plaçais discrètement le matériel au bord du lit, de mon côté, et je plaçais le braquemart factice sous moi, de sorte de le mettre à température corporelle. Elle était nue, près de moi, comme chaque soir. Je la caressais le plus sensuellement possible, et je fus ravi de voir que j’avais moi aussi ce genre de pouvoir sur elle. Elle se tourna sur le dos, bras et jambes légèrement ouverts, les yeux fermés, comme offerte à mes caresses. Je me plaçais au-dessus d’elle et je fis glisser mes mains tout doucement, depuis son cou, sur ses fines clavicules, m’écartant lentement vers les épaules. Puis je fis faire demi-tour à mes mains, pour refaire pratiquement le chemin inverse, mais légèrement plus bas, vers la naissance de ses seins. Mes mains étaient légères sur sa peau, j’étais sûr qu’elle était parcourue de frissons, qui devaient aboutir au tréfonds de son intimité, déclenchant la lubrification de son puits de plaisir.
Chacune de mes mains parcourait le galbe intérieur de ses seins, à la limite de ce qu’elle offrait à la vue de tous les hommes, quand elle portait un merveilleux décolleté. Je pensais à tous ceux qui devaient s’imaginer y glisser un jour une main sans rencontrer de résistance de sa part, jusqu’à venir empaumer totalement ce doux globe frémissant de plaisir. Mais elle n’offrait ce plaisir qu’à moi. Une part de moi-même le regrettait, alors que tout le reste de mon être s’en réjouissait totalement. Nous avons une totale confiance l’un en l’autre, et c’est sans doute ça qui me permet d’imaginer de telles scènes inavouables, qui entretiennent le feu de notre sexualité.
Je franchis doucement les limites du « visible » en ralentissant encore le geste, allégeant mes doigts jusqu’à venir les faire mourir sur ses mamelons durcis d’excitation. Je me redressais au-dessus d’elle, puis je me penchais vers sa bouche, pendant que mes deux mains descendaient sur ses seins, continuant à caresser les mamelons de mes pouces. J’approchais ma bouche entrouverte de la sienne et je suçais doucement sa lèvre inférieure. Sa langue répondit à mon baiser en venant à la rencontre de la mienne, mes lèvres se posèrent sur sa bouche et nous nous embrassâmes tendrement, comme deux amants qui se découvrent. Aussitôt se forma dans mon esprit l’image de Maëlie embrassant un jeune homme pour la première fois, un ami qu’elle aurait proposé d’héberger en mon absence, par exemple, et qui se serait petit à petit rapproché d’elle, sans aucune préméditation de la part d’aucun d’eux, jusqu’à se retrouver dans mon exacte position, leurs langues se frottant sensuellement l’une à l’autre, ses mains sur les seins de ma femme, allongée sur le dos, offerte.
Ma bouche quitta la sienne pour descendre le long de son cou, glissa sur la peau douce de ses seins pendant que mes mains les caressaient encore, se fraya un passage sur son ventre, pour s’arrêter temporairement sur son nombril. Elle a un très joli ventre plat, dont la douceur n’est rompue que par un nombril aux contours délicats. Je m’attardais quelques instants sur lui, pour profiter de sa chaleur et le caresser de ma langue, pendant que j’en profitais pour reculer mes jambes et m’allonger de tout mon long. Maëlie bougea un peu, pour s’installer encore plus confortablement, sachant ce qui l’attendait.
Mes mains quittèrent sa merveilleuse poitrine pour glisser le long de son corps, jusqu’à ses fesses. Ma bouche quitta le nombril en direction du bassin, pour contourner sa toison en direction de son délicieux abricot, dont je comptais me délecter. Alors que mes lèvres embrassaient la peau fine de son bassin, je remarquais qu’aucun poil ne venait me chatouiller la joue pour tenter de me détourner de mon objectif. Je crus un instant qu’elle s’était entièrement épilée, répondant ainsi à un autre de mes petits fantasmes. J’approchais ma bouche de son pubis, pour constater qu’elle n’avait en fait qu’entretenu sa toison, en la taillant relativement court. J’étais un peu déçu, mais tout de même très excité, car ça changeait énormément le contact. J’embrassai son pubis, puis je fis courir ma langue sur l’intérieur de sa cuisse, qu’elle avait relevée légèrement pour me faciliter l’accès à l’antre de son plaisir.
Je tendis la langue en direction de son sexe offert, et elle ne rencontra qu’une peau vierge, entièrement dénuée de toute pilosité. Je frémis de surprise et de plaisir. Elle avait finalement voulu me faire plaisir, elle aussi, et avait transformé son intimité dans l’objectif de faire l’amour avec moi ce soir. C’est merveilleux comme on peut rester synchrones, après quasiment 10 ans ensemble !
Je fis courir ma langue sur les lèvres de son sexe, que je découvrais entièrement lisse pour la première fois. Mes doigts rejoignirent ma langue pour profiter eux aussi de ce nouveau plaisir. Elle fut rapidement trempée de ma salive, mais également de sa propre excitation. J’évitais de trop introduire mes doigts, car je voulais lui réserver un autre type de pénétration avant de la faire jouir. Je me penchais vers elle, lui murmurant à l’oreille « tu aimerais avoir un amant qui te lèche ta petite chatte toute épilée comme ça ? » « aaahhh, ouiii » me répondit-elle dans un râle de plaisir alors que me doigts s’introduisaient légèrement en elle. « Tu imagines le plaisir que tu aurais, au moment où il se préparerait à te pénétrer de son sexe bien dur ? » « ouiiii, ouiii, ce serait bon ». « Imagine que tu es avec un autre, c’est la première fois que tu te retrouves complètement nue devant lui, il t’a caressée, tu as sucé son sexe, comme tu l’as fait pour tous tes autres amants dans ta vie, et maintenant, il va te pénétrer ». Elle haletait, la tête repoussée en arrière, les jambes repliées et ouvertes, complètement offerte à son amant imaginaire.
J’aurais aimé pouvoir me trouver dans sa tête, pour observer les images qui s’y formaient, assister la pénétration qu’elle imaginait par son nouvel amant. Je pris le sexe en latex et l’approchait d’elle, discrètement. J’ouvris le tube de lubrifiant, ce qui dû la surprendre, étant donné la façon dont son sexe était déjà lubrifié, prêt à me recevoir. Mais elle continuait à s’offrir, pensant sans doute que je voulais juste profiter du plaisir des va-et-vient de nos deux sexes en présence de lubrifiant supplémentaire, qui offrait toujours une sensation différente.
Je pris une noisette de gel entre les doigts et j’en appliquais rapidement sur le gland du pénis artificiel, puis je posais mes doigts sur son sexe offert, comme elle devait s’y attendre. Une légère pression de mes deux doigts ouvrit son sexe pour les recevoir en lui. Je fis un ou deux aller retours, la paume vers le haut, l’index et le majeur caressant la paroi intérieure de son vagin en profitant de ses soupirs de bien être.
« Maintenant, imagine-toi que c’est un nouvel amant qui va te pénétrer, tu ne le connais pas, c’est la toute première fois qu’il entre en toi. Je suis là avec vous deux et je l’ai autorisé à te prendre. Tu es d’accord, tu en as envie? » « oh ouiii » dans une expiration, puis « vas-yyy » en inspirant, n’y tenant plus. Je savourais par avance ce qui allait suivre. Je plaçais le gland du gode sur ses lèvres intimes, puis poussais doucement. J’étais à genou entre ses jambes et je tenais le gode à deux mains, car il était tout luisant de lubrifiant. Au moment où je vis ses lèvres intimes se resserrer autour du gland artificiel, j’entendis un petit cri de surprise et de plaisir. Elle comprit instantanément, bien que nous n’ayons jamais abordé le sujet d’un sextoy. Son soupir s’intensifia, se transforma en râle de plaisir.
Au-dessus d’elle, je pouvais observer pour la toute première fois un autre sexe que le mien pénétrant celui de ma jeune épouse, totalement offerte et ivre de plaisir. Dans la pénombre, l’illusion pour moi était parfaite, et j’espérais qu’il en était de même pour elle. Je pouvais voir les veines de ce membre bien raide qui s’enfonçait dans les chairs de ma femme, je le serrais à la base et le poussait jusqu’à ce que mes doigts entrent en contact avec les lèvres de son sexe, comme s’il s’agissait du ventre de son amant. Je le retirais ensuite doucement et le ressortis presque, de façon à pouvoir regarder à nouveau le gland se frayer un passage vers la douce intimité de Maëlie.
Je continuais avec de lents va-et-vient en elle, je la regardais s’offrir en rêve à un autre homme, gémissant de plaisir. Ma main gauche caressait son clitoris enduit de lubrifiant, descendait entre ses lèvres jusqu’à toucher ce sexe qui la possédait. Ma main droite guidait son amant en elle, avec sensualité. Je reproduisais le rythme et l’amplitude des mouvements dont j’avais l’habitude quand je lui fais l’amour: plutôt doux et amples, je ressortais le membre presque entièrement avant de le repousser à nouveau complètement en elle. Je gardais ma main droite fermement serrée sur la colonne de latex, de façon à servir de butée et ne pas la blesser. J’aurais voulu être capable de la prendre un peu plus brutalement, car elle m’avait dit un jour que c’était la façon dont l’avaient prise tous ses amants précédents. Je les imaginais l’embrocher de leur sexe à grands coups de reins puissants, la faisant crier de plaisir. J’aime moins cette façon de faire, car je ressens moins le plaisir du frottement de son sexe humide contre le mien. Il faut une certaine douceur pour avoir la possibilité de ressentir le moindre de nos chairs glissant l’une contre l’autre. Je sais que le jour où elle prendra un amant avec mon accord, elle retrouvera peut-être ce type de pénétration virile, alors que je continuerai à lui prodiguer une pénétration plus sensuelle, ce qui devrait la combler totalement.
Son excitation fut à son comble en quelques instants et elle me supplia de remplacer son amant juste avant qu’elle ne jouisse. Je n’eus aucune difficulté à exploser exactement en même temps qu’elle, tellement heureux de ce nouveau plaisir que nous nous étions procuré mutuellement. Je restais un moment sur elle, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Je pouvais percevoir son sourire dans sa façon de respirer, ce qui fut confirmé quand elle me dit « merci » à l’oreille.
Je sus à ce moment qu’elle me remercierait un jour pour un plaisir encore plus intense que je lui aurais procuré, en lui permettant de vivre une scène similaire, avec un amant réel cette fois.
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