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Un bon appétit

Chapitre 1

Erotique
UN DÎNER EN FAMILLE.
Tu t’étrangles presque lorsque tu sens sa main sur ta cuisse, sous la table à manger. Tu es en jupe, sa main est chaude et remonte vers ta culotte.
— Ça va Amal ma chérie ? te demande ta tante.
— Oui Tatie, t’inquiète, j’ai juste avalé mon coca de travers. »
Tu éclates de rire, facticement !
Tu approches de ta bouche le demi-sopalin qui tient lieu de serviette de table chez ta tante pour essuyer le coca de tes lèvres et surtout pour cacher ton expression choquée tandis que ton oncle malaxe ta cuisse tout en continuant à remonter la main. Il presse désormais fermement ta petite chatte. A vingt-cinq ans, tu as, il est vrai, le physique d’une Lolita de 16 ans ; et visiblement, ça l’excite le bougre.
L’attention de ta tante se détourne. Son intérêt très alcoolisé est retourné aux informations à la télé. Elle fait semblant de suivre, de comprendre, mais elle est déjà complémentent bourrée à seulement 20H, et ton oncle, lui, est vraiment bien en forme !
Attention, tu aimes profondément ton Oncle, tu as toujours eu une attirance, un désir, peut-être même... Une envie, une pulsion pour lui, pour ce père que tu n’as pas connu, mais là... Ca décoiffe carrément quand même, c’est hyper-trop incroyable, trop fort !
Rien de mal ne s’est jamais passé avec lui... Parce que c’est... ton ONCLE. Merde !
Bon, en pyjama licorne, en shorts moulants, tu l’as peut-être un peu affolé ces derniers temps... Mais c’est tellement bon d’être regardée ou plutôt dévorée par ses yeux...
C’est vrai qu’il n’a pas une vie facile avec ta pute de tante qui n’aime chez lui que son salaire attractif et prend plutôt son pied ailleurs ou avec sa bouteille de vin blanc à deux balles !
Sa paume appuie maintenant fort sur ta chatte et remue lentement. Tu sens ta chatte commencer à suinter. Il sait y faire ! C’est impossible, incroyable et... vrai !
Tu sais que tu devrais serrer les cuisses, lui interdire ce geste, mais tu sens une bouffée de chaleur dans ta petite chatte, Merde, c’est juste dingue !

Ton rythme cardiaque a maintenant vraiment accéléré, alors tu écartes les cuisses, ta jambe nue presse contre la sienne.
Sans un mot, il a compris le message... « Vas-y ! » et il continue, bien sûr.
Posant les coudes sur la table, tu croises les bras et empoignes tes épaules l’air de rien pour masquer l’érection visible de tes petits seins. Discrètement, tu baisses légèrement la tête, descends ta main droite, empoignes ton petit sein droit et le serres fort.
L’autre connasse n’a rien remarqué. Tant mieux. Ça devient vraiment tellement cette situation.
Il a remarqué le geste le salaud !
Tu sens ses doigts se plaquer sur ta petite culotte de satin rouge. C’est vachement bon, mais merde, il est cinglé... Là, à table, avec ta tante en face, il est cinglé. La table a un plateau en verre. Au travers, on voit le sol et surtout le bras de ton oncle !
Si elle n’était pas déjà complètement bourrée, elle n’aurait qu’à regarder et verrait sa main entre tes cuisses. Cela te fait tourner la tête. Le joint que tu as fumé avant le dîner et le vin pris à table n’y sont pas étrangers !
Bien fait pour cette pute, tu avances subtilement le bassin contre ses doigts.
— Mhhh. Un gémissement t’échappe avant que tu ne le réalises...
— E hmm Tatie, peux-tu me passer la salade ?
Elle te dévisage un instant de façon appuyée, et te dit : — Que se passe-t-il ici ? Depuis quand tu aimes la salade ?
— Ben, il me fait... Ooops ! Celle-ci me fait tellement envie Tatie, comment résister ?
Heureusement, elle semble sur le point de s’endormir, ne capte rien, passe le plat de salade et retourne aux informations.
Tu souris, fière de la façon dont tu t’en es sortie. Tu te saisis de la fourchette, de la cuillère et te sers. Puis, passant la main sous la table, tu appuies et diriges fermement la sienne vers ton volcan.
Soudain, tu laisses tomber la cuillère comme tu sens un doigt pénétrer ta chatte déjà trempée. Il a écarté ta culotte sur le côté et glisse maintenant un doigt en avant et en arrière de ton vagin.
Cette fois-ci, ta tante ne se tourne même pas ! Il te regarde et lance un clin d’œil. Tu rougis.
— Désolé, je suis vraiment maladroite ce soir. lui dis tu en souriant, espiègle.
Tu t’empresses de remplir ta bouche de salade, et de mâcher pour masquer ta respiration de plus en plus bruyante. Il enfonce un second doigt en toi et commence à te masser le clitoris avec le pouce.
C’est trop fort, putain, tu vas tomber au sol si ça continue, mais c’est trop tard, tu veux jouir !
Tu mâches un morceau de carotte pour ne pas crier. Tu as tellement envie de crier, de partir, de décoller, tes seins nus pointent contre ton tee-shirt, ton sexe est inondé maintenant.
Il y a juste un petit problème, ta tante est présente même si elle semble loin, les yeux vitreux !
— Mmmm ! gémis-tu. Tu lèches rapidement ta cuillère, savourant la vinaigrette crémeuse. — Tatie, cette vinaigrette est géniale ! Mmmm !
Espérons qu’elle ne remarque pas la sueur qui se forme sur ton front.
— Contente que ça te plaise, ma chérie, mais tout le mérite en revient à ton oncle. Il a des doigts magiques en cuisine.
Pas qu’en cuisine, j’te jure ! Tu es trempée, ton bassin avance contre ses doigts, tu es prête à défaillir. Tu ne peux que te concentrer sur ses doigts qui te labourent. Il le remarque et appuie encore plus fort sur ton clitoris. Il va te rendre folle !

Elle se lève et va s’allonger sur le canapé face à la télé. Très vite, sa respiration se cale en position sommeil, elle est total bourrée.
Tu vas jouir, tu le sens dans ton ventre, tu vas tremper la chaise et tes cuisses brûlantes, c’est absolument sûr ! C’est en train d’arriver ! Tu vas jouir, là, fort fort fort, dans la salle à manger, les doigts de Tonton dans la chatte, ta tante à cinq mètres.
Tu as un moment de panique et avales très vite ton verre de coca pour tenter de reprendre ton souffle. C’est l’inverse qui se produit, tu lâches un rôt sonore en même temps qu’il pousse ses doigts au plus profond de toi. Il est en rut, tu l’entends à sa respiration. Il te sourit gentiment. C’est un cadeau qu’il t’offre. Ses va-et-vient se sont accélérés et intensifiés.
Tu commences à jouir vite et fort, juste là, à la table du dîner. — AH ! Tu lances un cri rauque.
Craignant d’avoir attiré l’attention aiguisée et soupçonneuse de ta tante, tu flippes, lèves les bras en l’air et les yeux fermés, feins de bâiller en arquant le dos. Sous le tee-shirt, tes petits seins sont tendus à extrême.
Tu te lèves enfin, débarrasses ta vaisselle et de retour dans la salle, tu passes tes bras autour du cou de ton oncle et tu lui as donné un gentil baiser sur la joue. — Bonne nuit tonton. tu baisses la voix et chuchotes doucement : Et merci.
Tu montes l’escalier en courant pour rejoindre ta chambre et revivre ce moment dans ton lit.
Ce soir, tu laisses la porte de ta chambre entrouverte et allumes une veilleuse avant de te mettre au lit...

FIN
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