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Le bon jour au sauna

Chapitre unique

Gay
En ce mardi, je me suis décidé d’aller à un sauna gay bien connu du centre-ville nantais.
Pour faire les présentations, j’ai la trentaine, plutôt grand 1.90m rouquin, barbu et costaud.
Je suis bisexuel et je suis attiré par beaucoup de formes de sexualités.
Pour revenir à ce mardi, je me prépare de manière intime chez moi avant de me mettre en route. Une fois arrivé, après avoir salué et m’être acquitté du droit d’entrée, je me dirige vers les douches même si j’en sors. Je commence à faire le tour et constate avec plaisir qu’il y a un peu de monde. Je m’installe dans le Hammam souvent propice aux bonnes rencontres. J’y reste dix minutes, mais rien ne se déclenche, rien ne me tente.
Je suis venu pour l’action, donc je choisis de me diriger vers la partie donjon, comprenez là où tout se passe. Je rentre dans une cabine de Glory Hole, celle du milieu, celle où j’ai mes habitudes. Voilà un moment que j’aime et que je déteste : celui de l’attente et de tous les espoirs. Au bout de quelques minutes, une queue se présente à moi. Je la mets en bouche avec gourmandise, elle est de taille respectable et gonfle dans la bouche à vue d’œil. Je commence à saliver de ce membre qui se raidit contre ma langue. J’accompagne ma fellation en me masturbant. Je le lèche sur tout le long avant de le prendre à plusieurs reprises en gorge profonde.
L’homme se retire, se baisse et me demande si je veux continuer en cabine. Une si belle bite, ça ne se refuse pas. On se rejoint dans la plus grande des cabines, il prend soin de fermer la porte et part s’allonger sur le lit sur le dos. Je viens entre ses jambes et je reprends mon ouvrage en constatant que ce dernier n’a pas trop perdu de sa superbe. Je recommence donc à sucer, je me régale de ce membre bien ferme qui coulisse dans ma bouche. Je suis entre ses cuisses et je m’y agrippe histoire d’augmenter la tension. Mon partenaire, petite cinquantaine, a l’air d’apprécier le traitement. Sa main vient se poser sur l’arrière de ma tête. D’un coup, il se décharge dans ma bouche, quelle sensation unique que de sentir sa bouche inondée de sperme. Il s’empresse de s’excuser de la rapidité de l’éjaculation, mais je m’en fiche, je me suis régalé. J’avale ce merveilleux nectar et le remercie pour cela.
C’est un bon début.
Il n’y a plus grand monde dans la partie donjon, je décide donc de retourner vers la partie balnéo, après tout il est tout juste 14 heures, l’après-midi ne fait que commencer. Je me glisse dans le jacuzzi où seul un mec de la cinquantaine barbote. Après quelques minutes, il décide de partir et j’ai le luxe d’avoir le bain pour moi seul. J’en profite pour fermer les yeux et me détendre. Les yeux toujours fermés, j’entends des bruits de personnes qui rentrent dans l’eau et rapidement nous sommes six dans le jacuzzi. Je décide de repartir vers le donjon après avoir facilement passé quarante minutes dans l’eau.
Je retourne à la cabine Glory Hole, mais les minutes passent et rien de très glorieux. Un tout petit pénis et un qui est incapable de durcir seront les seules visites de ma bouche. Un peu sur ma faim, je décide d’aller vers les cabines du fond du donjon. Ce sont de petites pièces avec juste un matelas en similicuir d’une petite épaisseur. Je me glisse dans la première qui est libre et je referme derrière moi, le temps de me préparer. Chaque pièce dispose de son distributeur à capote et à gel. Je m’enduis la rondelle de gel et je suis prêt pour la suite. J’ouvre de nouveau la porte et je me positionne à quatre pattes le cul vers la porte. Maintenant commence l’attente, où je m’ennuie, je rêvasse, je m’assoupis légèrement.
Une main posée sur mon cul me sort de ma torpeur. Elle est ferme et va à l’essentiel, car déjà il joue avec ma rondelle. Etant dans l’obscurité, je ne sais pas qui est dernière et cela ne me gêne absolument pas. D’une voix calme et autoritaire, on me demande de me baisser un peu. Je m’exécute directement. Là vient mon appréhension que ça foire. Car même si mon gros cul est appétissant et accepte sans douleur les gros calibres ; il est exigeant et demande une bonne rigidité pour passer le premier rideau. De nombreuses fois, mon partenaire du moment ne pouvait pas rentrer s’il ne bandait pas suffisamment. D’après mes ex-amants, c’est la fête, une fois cette étape passée, car je suis suffisamment serré pour que cela soit plaisant sans que cela soit douloureux.
Pour le coup, mon partenaire de jeu du jour arrive quasiment à rentrer du premier coup. Humm bonne bite, pas exceptionnelle, mais déjà très plaisante. Je suis à quatre pattes en train de me faire enfiler par un mec dont je ne connais même pas le visage. J’adore cette situation. Je me fais labourer et je prends mon pied, un mec nous rejoint et se positionne sur le côté en se masturbant en nous regardant. J’ai l’espace d’un instant l’espoir d’être pris à la chaîne, mais celui-ci repart et nous laisse mon mâle et moi à nos occupations. Il me saisit par les hanches et commence à me mettre des coups de boutoir, putain ce que c’est bon. Quelques minutes de ce traitement et mon bourreau m’annonce devoir se retirer sinon il va jouir.
Dommage, j’espérais plus. Sauf que je ne bouge pas, car sa main continue de me flatter la croupe. A peine trente secondes après la fin de notre étreinte, il me reperfore la rondelle, trop content sans doute d’avoir trouvé un bon cul. Il me dit qu’il adore la façon dont mon cul bouge sous ses coups de bites. Je prends un pied fou. Je le sens accélérer pour mon plus grand bonheur. Il commence à vocaliser et je jubile de ce qui va se passer. Il me dit qu’il ne peut plus se retenir, et plante son pieu bien au fond pour répandre son jus dans mes entrailles, je jouis littéralement par le cul. Je reste dans cette position encore sous l’extase de cet orgasme que j’ai eu et celui que j’ai reçu. J’espère réussir à tout garder en moi. Je n’aime pas gâcher le foutre.
Au bout de quelques minutes de rêveries par rapport à ce qui vient de m’arriver, je suis sorti de mon état, car je sens le poids de quelqu’un monter sur le fin matelas. Je ne bouge plus et attends de voir la suite. Je n’ai jamais été pris deux fois à la suite, suite à un premier rapport non protégé. Un doigt vient voir comment mon anus réagit pendant qu’une bouche accompagnée d’une barbe de trois jours embrasse mes fessiers. J’ondule et cherche à tâtons, le bâton de plaisir de ce nouveau partenaire. J’atteins enfin le saint Graal et là, quelle surprise, j’en sens une comme j’en ai rarement eue entre les mains, mon pouce et mon index peinent à en faire le tour et pourtant j’ai de bonnes mains. Pour la longueur, on ne doit pas être loin du double décimètre. Et pour couronner le tout, je sens une belle rigidité qui me garantit de ne pas avoir de déception lors de l’assaut.
Son pouce est toujours inquisiteur dans ma rondelle, mais étonnamment autant j’aime les bites même de bon calibre dans mon anatomie autant j’ai toujours été réticent au doigtée, car je n’ apprécie pas. Je le laisse continuer, car la promesse est trop belle. Je décide d’augmenter mes ondulations pour lui faire comprendre que je veux plus vite, plus gros, plus profond. Mon voeu s’exauce rapidement, je le sens se replacer derrière moi et que ce vilain pouce laisse enfin mes chairs tranquilles. J’entends le bruit d’un crachat, à mon avis pas d’une grande utilité en terme de lubrifiant, mais en termes d’ambiance : j’apprécie l’attention. Je sens le crachat couler le long de ma rondelle qui est vite rejoint par l’objet de mes désirs.
Mon partenaire se montre doux durant la phase d’abordage et avance en douceur de manière continue. En moins d’une minute, je sens les deux joyeuses de son service trois-pièces toucher mes fesses. Ô bordel, il m’a tout mis et je déguste autant dans le plaisir que la douleur. Il reste patient sans bouger et laisse le temps à mon anus de s’habituer à une présence aussi massive. Ce n’est clairement pas sa première fois et il a conscience du défi que représente sa bite. Mon cul s’est enfin habitué au nouveau locataire et je commence à faire des mouvements de hanches pour faire comprendre à mon mâle que je suis disposé à encaisser sa saillie.
Une main douce se positionne sur ma hanche et une autre ferme s’abat sur ma nuque. Message reçu, je ne mènerai pas la danse et cela me va très bien. Il commence à s’activer et je faillis, je suis au nirvana à chacun de ses assauts. Ses râles me font comprendre qu’il prend autant de plaisir que moi, il ne doit pas toujours trouver un anus accueillant pour une telle bête. Il alterne les phases rapides et d’autres lentes et puissantes. Lors de ces phases, je sens que dans mon dos c’est un colosse qui me baise et pour moi qui est un grand gabarit avoir ce genre de type en actif rajoute au pied phénoménal que je prends. Je voudrais que jamais ça s’arrête.
Je perds la notion du temps, mais je sais que ça fait un moment que ça dure et j’en suis ravi. Mon goliath accélère la cadence et j’entends des commentaires de voyeurs dont je n’avais même pas remarqué la présence, trop occupé à prendre mon pied. Avec sa pression sur ma nuque, il me force à me cambrer davantage et me donne d’énormes coups de boutoir en grognant. Je sens de formidables giclées tapisser mon fond déjà bien rempli. Punaise je n’avais jamais fait ça. Une fois, sa jouissance finie, il reste bien au fond de mon cul en me caressant les fesses. Quand il commence à se retirer, il me saisit le poignet pour regarder mon bracelet de casier, puis il part.

Je suis repu, je sens un immense vide dans mon anus. Parmi les voyeurs, un veut me caresser à cet endroit, mais ma rondelle endolorie a capitulé. Pour faire passer le message, je m’assois en tailleur contre le mur, la bouche ouverte et en pleine masturbation suite à cette jouissance phénoménale. Deux des voyeurs repartent et le dernier vient mettre son sexe sur ma langue et se masturbe. Je jouis enfin de ma masturbation et mon sexe explose littéralement sur les giclées. Mon éjaculation déclenche celle de mon voyeur. J’en reçois dans la bouche et sur le visage, une belle quantité, apparemment il a apprécié le spectacle.
Epuisé et ravi, je me dirige vers la douche. L’eau de la douche raffermit ma rondelle et me garantit de conserver en moi ma précieuse cargaison.
Je retourne au vestiaire pour me rhabiller et rentrer, je suis mort. A l’ouverture de mon casier, un papier s’envole. Je le rattrape. Un numéro avec un merci de la part ’’Du grand mec avec la grosse bite’’.

Je ne suis pas fleur bleue, mais ce bout de papier me met du baume au cœur, j’ai apprécié son anatomie, mais également sa façon de faire et d’être, peu de verbage, de la douceur une certaine autorité. Je vais sans doute le revoir. En attendant, je m’éloigne en étant ravi, épuisé, impatient, fatigué.
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