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Bonheur anglais

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Les kilomètres défilaient et ne semblaient pas le rapprocher de sa destination. Il ne pensait qu’à la prochaine pause qu’il pourrait prendre pour se dégourdir les jambes. Décidément, cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas roulé sur d’aussi longues distances. Il faut dire que toute sa famille habitait plus ou moins à deux heures de son domicile, il ne voyait donc pas l’intérêt de partir pour un long trajet jusqu’à très récemment. La motivation, il l’ avait trouvée dans cette mystérieuse lettre qui lui avait été adressé par le patron de sa boîte. Un patron qu’il ne connaissait pas plus qu’un autre puisque pauvre maillon dans l’engrenage infernal de son entreprise, il n’avait jamais été amené à le rencontrer. Dans cette fameuse lettre, son supérieur faisait les louanges de son travail et pour le récompenser, en plus de lui verser une prime pour le moins coquette, il lui confiait la mission d’aller garder son manoir sur les côtes armoricaines. A la première lecture de la lettre, André s’était dit qu’il se contenterait d’empocher la prime et que la surveillance de la demeure, son patron pouvait bien se la mettre où il pensait. Néanmoins, après une seconde étude, il s’avéra que la prime allait de paire avec la surveillance. Il allait donc devoir s’y rendre. Il était par ailleurs précisé qu’il pouvait y amener sa famille. Voilà donc André et sa petite famille dans leur fidèle Renault Espace sur les routes bretonnes à la recherche dudit manoir. Dans la voiture se trouvaient donc la femme d’André, Fabienne et leur deux enfants Paulo et Julia, de respectivement 18 et 20 ans. Le couple quant à lui avait le même âge, à savoir 43 ans. Julia dormait profondément depuis maintenant plusieurs dizaines de minutes, Paulo n’en menait pas large non plus et aller finir par sombrer d’ici quelques instants. Fabienne, elle, pianotait tranquillement sur son téléphone. André ne savait jamais ce qu’elle pouvait bien taper sur son téléphone et pourquoi elle y passait autant de temps ; lui, il avait bien essayé d’avoir un de ces smartphones mais il n’avait jamais accroché et s’était rabattu sur un ancien modèle à clapet. De la route, encore de la route… Ah ça, il en aura bouffé de la route aujourd’hui ! se dit-il intérieurement. A ce moment, sa femme décrocha enfin son regard de son téléphone pour lui adresser la parole :— Tu penses pas qu’on devrait faire une petite pause ? Je commence à avoir un peu mal aux jambes…— Mmh, grogna André pour seule réponse.
 Il se déporta sur la voie de droite et attendit la prochaine sortie, qui était justement une sortie d’aire de repos. Arrivé sur le parking, il arrêta la voiture sur une place handicapé et coupa le moteur. Le petit sursaut que la voiture fit à ce moment réveilla les deux enfants à l’arrière.— On est arrivé ? demanda niaisement Julia.— Non ma chérie, il reste encore pas mal de kilomètre mais j’avais besoin d’une pause alors s’arrête dix minutes ici, répondit Fabienne. Profitez-en pour aller faire un tour aux toilettes hein, il nous reste encore pas mal de route.
 Paulo et Julia quittent donc la voiture en direction du bâtiment principal de l’aire. Un bâtiment surtout utilisé par les usagers pour les besoins essentiels mais qui profitait de les avoir sous la main pour leur proposer toutes sortes de choses à des prix exorbitants. Fabienne pianota encore quelques instants sur son téléphone avant de les rejoindre. La porte se ferma avec un grand grincement et tout fut calme autour d’André. De là où il était, il pouvait voir sa femme s’éloigner. Il s’arrêta quelques instants sur son jean moulant et ce déhanché qu’il connaissait si bien. Ses fesses étaient encore bien fermes et n’avait pas grand-chose à envier à celles des petites minettes mais elles étaient bien trop connues d’André pour provoquer sur lui le même effet. C’est pourquoi, il les abandonna vite au profit d’une recherche de paires un peu plus jeunes et un peu moins familières. Recherche, hélas, vaine. Les seules jeunes filles qu’il pouvait apercevoir étaient malheureusement habillées en jogging trop amples pour pouvoir mouler ce qui intéressait André. Il réfléchit deux minutes à combien de temps il lui restait à conduire. 1h30, ça va, ça n’était pas insurmontable. Le plus dur était passé. Il n’avait pas envie d’aller aux toilettes, alors il attendit que ses enfants et sa femme reviennent. Paulo fut le plus rapide, il s’avança lentement traînant un peu des pieds. Il n’était pas vraiment élégant dans son jean troué et avec son t-shirt décoré d’une image de dessin animé mais il ressemblait plutôt pas mal à André, ce qui suffisait à le rendre fier. Quelques minutes passèrent, puis vint Julia. Habillée d’un leggings gris, qui mettait très bien en avant ses fesses rebondies et d’un débardeur noir, elle ne ressemblait à pas grand monde dans la famille. André toutefois la trouvait vraiment belle, et se dire qu’elle était sa fille lui mettait le sourire aux lèvres. Fabienne suivait Julia de très près, elles montèrent ensembles dans la voiture et il repartirent. Après 1h30 de route interminables, ils arrivèrent enfin. Le manoir était situé à un petit kilomètre d’un charmant petit village, dans lequel ils iraient sûrement souvent afin d’acheter le nécessaire pour vivre. Avant d’entrer à l’intérieur du domaine, André dut descendre de la voiture et ouvrir un large portail en fer forgé. Il eu un peu de mal à le déplacer, il était sûrement resté comme ça, immobile, pendant un certain temps. Au bout de l’allée, longue d’un peu plus de cinq cent mètres, la demeure était là. Elle était plutôt spacieuse, quoiqu’un peu moins qu’il avait pu se l’imaginer. Deux petites ailes en formes tours rectangulaires encadraient ce qui faisait la taille d’une bonne maison de campagne. Il déchargèrent la voiture, et en peu de temps ils furent installés. L’aile droite étant condamnée, il occupèrent trois chambres dans l’aile gauche, qui n’était pas si petite que ça finalement. Les parents au rez-de-chaussée et les deux enfants à l’étage.  Afin d’éviter à certains des efforts inutiles, Fabienne décide que deux personnes devraient aller chercher de la nourriture dans le petit village d’à côté. Le sort tomba malheureusement sur André et sur Julia. Revoilà donc André au volant, en direction du magasin le plus proche. — Ça va, le manoir te plaît ? demanda t-il à sa fille.— Ouais il est vraiment cool ! Je suis contente que tu ais accepté et que tu nous ais proposé de venir, lui répondit-elle de sa douce voix.— Je suis content que vous soyez là aussi, je me serais fait sacrément chié sans vous. Tu as des idées sur ce que tu vas faire pendant le séjour ?— Mmh je ne sais pas trop encore. Ce qui est sûr c’est que je vais aller à la plage, j’ai ramené quasiment tous mes maillots de bain, dit-elle en riant gaiement.
 André ne répondit pas. Il les connaissait ces maillots. Des petits strings et des soutiens-gorge qui ne cachaient guère que les tétons de sa fille. En plus avec un corps avantageux comme le sien, elle allait encore attirer les regards. Enfin, elle était vraiment trop innocente pour se rendre compte de ce genre de choses et ça attendrissait André malgré tout. Après une bonne dizaine de minutes de recherches dans le village, ils parvinrent à trouver une petite épicerie, dans laquelle ils achetèrent ce qu’il fallait pour ce soir et un peu de nourriture pour le lendemain. Un fois de retour, ils tombèrent sur Fabienne et Paulo en pyjama, tout propre.— Vous devriez voir comment les douches sont trop bien, leur lança Paulo, c’est des douches à l’italienne !— Ah ça j’en doute pas qu’elles sont biens mais pour le moment c’est repas et après dodo, je suis claqué moi, répondit André. Le repas se passa plutôt bien, tout le monde rigola, sauf André qui était exténué par la conduite et qui eu la tête dans l’assiette tout du long. Il finit avant tout le monde et ne préférant pas attendre pour aller dormir, s’éclipsa discrètement, pris une douche (pas mal en effet) et plongea dans un profond sommeil dans le premier lit qu’il trouva.
 Il se réveilla d’un coup en pleine nuit avec la gorge extrêmement sèche. Il s’était endormi en pyjama, chose qu’il ne fait jamais. Il s’insulte tout bas ne voulant pas réveiller Fabienne puis se rend compte qu’elle n’est pas à côté de lui. L’envie de boire passant avant tout envie d’expliquer cela, il se leva sans réfléchir et se dirigea vers la cuisine. Un fois là-bas, il vida quasiment entièrement une bouteille d’eau. En se redirigeant tranquillement vers sa chambre, il entendit un bruit sourd venant de l’étage, comme si quelque chose venait de tomber. André se dirigea vers les escaliers, commença à monter, puis s’arrête brusquement. De là où il était, il avait un vue prenante sur une des chambres dont la porte était ouverte. A l’intérieur, son fils était en train de se faire sucer par une fille qui n’était autre que Julia !
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