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Le Bonheur à l'armée

Chapitre 1

Gay
Le bonheur à l’armée1er épisodeJe fais partie de la dernière génération de ceux qui ont eu la “chance” de faire leur service militaire. Un peu pistonné je l’admets, j’ai fait mon temps d’armée à Bordeaux, la ville où je faisais mes études et de plus dans l’armée de l’air. Ce fut pour moi une période de fête, je vais vous expliquer pourquoi. La plupart des appelés étaient des étudiants qui n’avaient pu échapper au service, et comme nous étions parmi les derniers à devoir passer sous les drapeaux, nous étions relativement épargnés par les conneries que peut imposer l’armée.
Dès notre arrivée, nous avons été pris en charge par un capitaine plutôt sympa, c’était un pilote qui devait encadrer un contingent de bidasses pendant deux mois et qui, de ce fait, se retrouvait privé de vol pendant cette période, il nous avoua de suite que cela ne l’enchantait pas, mais que c’était ainsi et qu’il espérait que cette période se passerait le mieux possible. C’était un superbe type d’une trentaine d’années, brun, taillé comme une armoire à glace, sanglé dans son treillis, il avait un sex-appeal extraordinaire.
Nous étions dix dans la chambrée, tous étudiants à l’exception du jeune caporal qui nous encadrait et qui lui, était un engagé. Le brave garçon ne brillait pas par son intelligence, l’armée était semble-t-il pour lui une planche de salut. Les mecs étaient tous des sportifs et la première séance de douche le soir fut pour moi un vrai bonheur, tous ces mecs nus, plus beaux les uns que les autres, me faisaient fantasmer. Mais il me fallait rester prudent, je n’avais aucune envie de me dévoiler et risquer douze mois de galère. C’est au moment où nous étions tous sous la douche que le capitaine entra, je fus surpris qu’il ait choisi ce moment pour venir faire son inspection du soir, mais je me dis qu’il venait s’assurer de notre hygiène. Je remarquais tout de même que son regard s’appesantissait beaucoup sur nos corps nus. Je me dis que mes fantasmes d’homo devaient encore me jouer des tours.
Je remarquais cependant qu’un de mes camarades ne semblait pas insensible aux regards du bel officier. Avant de repartir, il nous dit que si quelque chose posait problème, il était toujours prêt à nous recevoir. Le caporal qui l’accompagnait semblait gêné et paraissait avoir hâte de sortir.
Nous avons tous, ensuite, réintégré la chambrée, où nous avons passé la soirée à faire plus ample connaissance, chose que nous n’avions guère eu le temps de faire, la journée ayant été consacrée aux formalités d’incorporation. Le mec qui m’avait semblé prendre plaisir à se faire mater par le capitaine occupait le lit contigu au mien, il s’appelait David, c’était un beau blond d’un mètre quatre-vingt, il avait un physique d’athlète, j’appris qu’il faisait de l’aviron. Il avait comme moi vingt ans et en discutant, je découvris que nous avions des passions communes, notamment la musique. Très vite, la conversation de la plupart des gars se mit à tourner autour des filles. Certains avaient une copine, les autres parlaient de leurs futures conquêtes, les plaisanteries grasses fusaient de toutes parts, seuls David et moi restions en retrait de ces échanges graveleux.
L’extinction des feux étant annoncée pour dix heures, je partis vers moins le quart assouvir mon envie de pisser, David me suivit. Arrivé aux pissotières, il s’installa à côté de moi et sortit son engin non sans regarder ostensiblement du côté du mien, je ne fis aucun commentaire, mes soupçons se confirmaient. Sans un mot, je posais ma main libre sur ses fesses, je n’avais pas réfléchi aux conséquences que pouvait avoir mon geste, il ne broncha pas. Après avoir remballé ma queue, j’entrepris de caresser son splendide cul, aucun bruit ne parvenant du couloir, je devins plus entreprenant, mon beau blond n’avait pas rangé son chibre qui se mit à gonfler dès que mes mains commencèrent à parcourir son corps. Il s’abandonnait à mon jeu, je me positionnais dans son dos, mes mains caressèrent son buste au travers du tee-shirt et descendirent sur son sexe dressé. Ma queue s’était réveillée et malgré le tissu de nos joggings, il ne pouvait ignorer son état.
Plaqué contre son dos, je glissais mes mains sous son tee-shirt, sous sa peau douce saillaient des muscles merveilleusement dessinés. David pencha sa tête sur mon épaule en cherchant ma bouche, il me roula un palot en fermant les yeux, puis se retourna, je le maintins plaqué contre moi en glissant mes mains dans son jogging pour découvrir son petit cul. Il m’embrassait presque sauvagement comme s’il y avait urgence à ce que nous fassions l’amour. La sonnerie annonçant l’extinction des feux nous tira de notre étreinte. Il me regarda avec envie : « j’étais sûr que tu étais gay », me dit-il, « rien qu’à la façon que tu as de mater les mecs sous la douche... ». Nous sortîmes des toilettes ensemble pour revenir vers la chambrée, dans le couloir, la capitaine discutait avec un appelé d’une autre chambre, un beau gars avec un physique de rugbyman, il était torse nu et portait une serviette sur les épaules.
Le capitaine semblait le couver du regard, lorsque nous passâmes près d’eux, je vis que le bidasse semblait gêné, le capitaine nous dit bonsoir, ainsi qu’à son interlocuteur, et se dirigea vers son bureau non sans poser sur nous un regard plein de regrets. Tout en remontant le couloir, le jeune appelé, comme pour justifier sa présence, nous dit combien l’officier était sympa. A peine avions-nous pénétré dans la chambre que la lumière s’éteignit. Je me glissais dans mon lit non sans m’être mis nu, je ne peux dormir autrement, je compris que David en faisait autant. Les gars continuèrent à plaisanter pendant quelques minutes, puis progressivement les premiers souffles réguliers, signes du sommeil, se firent entendre. Tous n’étaient pas endormis, surtout pas moi, complètement pris par mes rêves érotiques sur le corps de David. Quelques bruits de draps se faisaient entendre, manifestement, je n’étais pas seul à flatter ma queue, dans le lit d’à côté, David semblait lui aussi être en émoi.
Progressivement, le calme se fit, et alors que j’allais renoncer à faire exploser mon plaisir, je sentis une présence entre mon lit et celui de David, mon drap se souleva, je compris que mon beau voisin n’entendait pas s’endormir comme ça, il s’était agenouillé près de mon lit et avant même que je fasse quoi que ce soit, je sentis sa bouche avaler ma queue sous le drap, je posais une main sur ses cheveux pour lui indiquer mon consentement. Excité comme je l’étais, ma jouissance vint rapidement et j’explosais dans la bouche de mon nouvel amant qui de son côté semblait également s’être soulagé au pied de mon lit.
La sonnerie du réveil se déclencha à 6 heures, le caporal alluma la lumière, malgré l’éblouissement, je regardais immédiatement en direction de David, il me fit un large sourire. “Bien dormi ? ” me demanda-t-il. “Merveilleux, plein de rêves...”. Déjà presque tous les gars s’étaient levés, la plupart étaient à poil et laissaient voir les restes de leur érection du matin, deux d’entre eux semblaient être particulièrement bien pourvus par la nature, David quant à lui essayait de cacher son sexe en semi-érection. J’enfilais rapidement mon jogging pour cacher la mienne. Le programme prévoyait un décrassage dans la cour avant le petit-déjeuner, cette perspective ne m’enchantait pas. Le rassemblement eut lieu dans la cour, la plupart des gars n’étaient pas bien réveillés. Le capitaine était déjà dans la cour et nous attendait, il nous expliqua que nous allions faire quelques tours de cours et que nous irions déjeuner ensuite et qu’après nous pourrions prendre une douche.
Après ce décrassage, le petit-déjeuner fut particulièrement bienvenu, je m’installais au bout d’une table dans le réfectoire un peu à l’écart du reste de la chambrée. “Tu nous fais la gueule ? ” me demanda l’un des gars, “non, mais le matin j’ai besoin de calme” répondis-je. David vint s’installer en face de moi, il me couvait du regard ; “du calme, tu me regardes comme si tu allais me sauter dessus, tu vas finir par nous faire repérer.” Sans se départir de son sourire, il me demanda si la petite gâterie de la veille m’avait plu, tout en me demandant cela, il me faisait du pied sous la table. Je lui fis comprendre que oui, mais qu’un minimum de discrétion était nécessaire. Le capitaine vint s’installer à côté de nous, David parut quelque peu contrarié. “Alors les gars, je vois que les premières affinités se manifestent déjà ? ” nous dit-il. Je me mis à rougir comme si je venais d’être découvert.
Le capitaine s’en aperçut, mais ne fit aucun commentaire, son regard passait de David à moi, ce mec me faisait un drôle d’effet, il semblait lire dans nos pensées. Pendant le petit-déjeuner, il ne cessa pas de nous dévisager comme s’il attendait de notre attitude une confirmation de quelque chose.
Il nous expliqua ce que allions faire pendant les deux mois qui allaient suivre, nous laissant comprendre qu’il avait l’intention d’être plutôt cool, puis il se leva pour aller ramener son plateau, avant de partir, il posa sa main sur mon épaule, “ne vous en faites pas les gars, je ne suis pas là pour vous en faire baver, au moindre problème, n’hésitez à venir me voir”, nous dit-il, sa main resta posée sur mon épaule une ou deux secondes qui me parurent une éternité, avant de me lâcher, il imprima une forte pression qui me fit tressaillir, ce que j’aurais dû prendre comme un geste paternaliste provoqua chez moi un plaisir sensuel, David s’aperçut de mon trouble : “la capitaine en pince pour toi” me dit-il d’un ton presque de reproche ; “il ne te plaît pas ?” demandais-je innocemment ; “faudrait être difficile, il est super bandant” me répondit David ; j’étais cramoisi de honte, ce mec allait nous mettre dans une merde noire par son manque total de discrétion.
Fort heureusement, les autres gars faisaient du bruit à leurs tables et semblaient ne pas se préoccuper de nous et n’avaient manifestement pas entendu. Nous remontâmes dans la chambrée vers 7h30, je n’avais qu’une hâte, c’était de prendre une douche, j’ôtais mon tee-shirt, posais une serviette sur mes épaules et me dirigeais vers les douches, celles-ci étaient prises d’assaut, toutes les chambrées attendaient pour passer, et un sergent faisait activer les gars pour que tout le monde puisse passer avant le rassemblement de 8 heures et demie. Une main se posa sur mon épaule, c’était le capitaine, “viens par ici” me dit-il, “tu ne passeras pas avant une demi-heure”. J’entrais dans son bureau, il m’indiqua la pièce d’à côté, “il y a une douche là, tu auras plus vite fait”, il me laissa, et revint dans son bureau.
Il avait laissé la porte entrebâillée, dès que je fus à poil, je jetais un regard vers le bureau, le capitaine était au téléphone et me regardait, je ne savais comment réagir, je pénétrais dans la douche, tirais le rideau, ouvrais le robinet et commençais à me laver, à peine une minute plus tard, j’entendis la porte de la pièce se fermer, je pensais qu’il avait voulu préserver ma tranquillité. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis le rideau s’ouvrir, le capitaine était là, nu, “tu me fais une petite place” me dit-il. Sans plus de préliminaire, il se glissa près de moi, prit du gel douche et commença à se laver, ses mains parcouraient ses pectoraux saillants et recouverts de fins poils bruns, descendaient sur ses abdos, frottaient ses fesses rondes et musclées ; j’étais pétrifié. Il reprit du gel et se mit sans plus de façon à me frictionner la poitrine, je bandais comme une bête.
Sa main descendit sur mes abdos, mon sexe touchait le haut de sa cuisse, il le prit entre ses mains et lui appliqua la même friction puis il me serra contre lui. Déjà ses mains parcourraient mon dos et descendaient sur mes fesses, j’abandonnais toute réticence. Nos queues étaient maintenant côte à côte, prisonnières de nos corps plaqués l’un contre l’autre, je caressais à mon tour le corps musclé du bel officier, mes mains parcourraient son dos merveilleusement large et musclé, je glissais sur ses fesses, un de mes doigts se perdant dans la raie de son cul bien rond. Il n’opposa aucune résistance et lorsque l’un d’eux rencontra sa pastille, il poussa un léger gémissement de plaisir, je me dégageais de son étreinte et glissais le long de son corps à la recherche de sa bite, je rinçais le savon qui la recouvrait, elle était imposante, bien épaisse et de presque une vingtaine de centimètres, je décalottais bien le gland et commençais une lente pipe.
Il posa ses mains sur ma tête qu’il caressa doucement, mes mains parcourraient ses cuisses puissantes, je les remontais vers son cul, il se pencha légèrement en avant dès qu’elles arrivèrent à destination, d’un doigt, je massais son œillet, il gémissait, je le fis pénétrer légèrement, son gémissement augmentait, un deuxième pénétra sans difficulté alors que je continuais de le pomper. Je l’entendis écarter le rideau de la douche et chercher à tâtons sur la petite étagère à côté de la douche ; puis il se libéra de ma bouche, me fit me relever et s’agenouilla devant moi pour me rendre la pareille. Il me lima la bite une minute puis l’habilla de latex et se retourna, lui présentant son cul pour qu’elle l’honore.
Je présentais mon chibre à l’entrée de ce cul offert et gourmand, je n’eus aucun mal à le pénétrer, mon gland passa sans difficulté son sphincter, ma tige pouvait maintenant s’enfoncer doucement, il s’astiquait la queue tout en remuant le cul pour que je le pénètre plus profondément encore, j’entamais mes premiers aller-retour, chaque fois que je m’enfonçais en lui, il gémissait de plaisir, mon beau capitaine était donc une salope qui ne rêvait que de se prendre une bite dans le cul, il était cambré, offrant sa croupe à mes assauts, j’accélérais le mouvement, la joue plaquée contre le carrelage mural de la douche, il me gémissait des “oui” lascifs. Son cul bien ouvert me semblait être un bon garage à bites, la facilité avec laquelle je l’avais pénétré laissait à penser que les visites de l’endroit devaient être fréquentes. Une de ses mains vint se poser sur le haut de ma hanche, me faisant comprendre qu’il en voulait encore plus, je l’empalais complètement, il râlait de plaisir.
Je me penchais légèrement et saisis sa queue au bord de l’explosion, je le masturbais, ma main pleine de savon allait et venait sur sa belle tige au summum de l’érection, à peine une minute plus tard, je sentis qu’il allait exploser, j’étais moi même près de la jouissance, j’avais à peine senti son sperme sur ma main que je déchargeais à mon tour dans son cul, nos jouissances conjuguées nous arrachèrent presque un cri de bonheur. La douche n’avait pas cessé de couler sur nos corps luisants d’eau et de transpiration. Dès que je me fus dégagé de l’étreinte de son cul, il se retourna et m’embrassa fougueusement en me remerciant pour le merveilleux plaisir que je venais de lui donner. “Tu n’es pas mon premier bidasse, me dit-il, mais tu es superbement monté et tu baises comme un dieu”. Le compliment me fit plaisir, à cet instant, je me dis que j’allais passer les prochains mois... dans la joie.
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