Claire se tenait sous le jet d’eau tiède. Elle caressait lentement son sexe pour entretenir son excitation mais aussi pour, à regret, se débarrasser de la semence qui aurait pu la compromettre. Elle le fit avec douceur et délice tout en repensant à ce moment incroyable qu’elle venait de vivre. Enfin vierge de toutes traces, elle sortit de sa douche pour entendre son mari rentrer de sa pêche. Elle se hâta de retourner dans la chambre pour refaire rapidement le lit et passer une petite robe d’été. Sa décision était prise et l’occasion était trop belle. Il l’avait trompé, elle allait lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle descendit les escaliers à la rencontre de Marc. La pêche avait été bonne mais il avait confié son butin à une famille de campeurs qui en feraient sans doute meilleur usage qu’eux. Marc se rendit dans la salle de bains pour à son tour prendre une douche. Claire servit deux verres d’apéritif en l’attendant et s’installa sur la terrasse. Son esprit vagabondait encore. Elle s’imaginait dans le grand lit de la chambre du haut, à la merci des deux insatiables amis. Elle se voyait assise sur le sexe dur de Jean pendant que sa bouche ouverte collectait le doux sperme de son ami. Levant les yeux, elle remarqua Jean, encore à son balcon, nu et bandé. Elle releva sa robe et tira sa dentelle noire de côté pour séduire encore son nouvel amant. Elle s’assura qu’il la voyait caresser sa vulve encore mouillée, mais, Claire entendit les pas de Marc dans les escaliers. Elle se ré-apprêta dans l’urgence et fit bonne figure pendant que Jean disparaissait. L’après-midi fut calme et le repas du soir charmant. Marc était d’humeur coquine. Il laissait ses mains glisser sur les cuisses de sa jolie femme pour lui envoyer un signal. Mais, Claire était repue, après sa séance matinale et quelques masturbations secrètes durant l’après-midi. Elle le repoussa gentiment prétextant une fatigue intense due à sa journée de ménage. Puis vint la nuit, les deux époux rejoignirent leur lit. Claire embrassa Marc tendrement et ferma les yeux pour repenser à ses deux amants usant et abusant de son corps. Elle mit du temps à trouver le sommeil mais finit par s’endormir. Le lendemain Claire sentit l’odeur du café chaud en s’éveillant. Elle descendit l’escalier et se rendit sur la terrasse ou l’attendait Marc. La table était dressée avec des fruits frais et des croissants à profusion. Les deux époux prirent leur petit déjeuner puis après une douche décidèrent de partir pour une virée en tandem autour du village. Ils arpentèrent le secteur prenant soin de visiter les places qui leur étaient chères. Il était bientôt 11h30 et ils pédalaient vers leur maison, lorsqu’ils furent victime d’une crevaison. Ils descendirent de leur bicyclette. Ils n’étaient qu’à un petit kilomètre de la boutique de vélos, ils pouvaient pousser le tandem mais après 200 mètres, ils virent une C3 grise stopper à leur hauteur. C’était Jean ! Il était accompagné d’un jeune homme brun. Il baissa sa vitre et dit : — Un problème les amis ?— Oui répondit Marc, crevaison ! Je vais pousser jusqu’à la boutique. Tu peux ramener Claire ?— Bien sûr répondit Jean. Marc ajouta — Venez donc diner ce soir. Jean déclina expliquant que son ami Jean-Luc était chez lui ce soir mais innocemment, Marc répondit qu’il était évidemment le bienvenu et que lui et Claire seraient ravis de faire sa connaissance. Jean demanda au jeune homme de passer à l’arrière du véhicule et laissa Claire s’installer sur le siège passager. Claire pris place à ses côtés puis il démarra.
Arrivés à destination, Jean rentra sa voiture dans son jardin et ordonna à Kevin, son neveu de dix-huit ans de refermer le portail. Profitant du fait que le jeune homme sorte de la voiture, Jean déboutonna son pantalon laissant échapper son sexe massif et déjà dur. Sans hésiter, Claire se penchât pour prendre tout l’homme mûr en bouche.Toujours aussi rugueux, jean dit — Mets-toi à quatre pattes pour me sucer salope. Claire, maintenant habituée à être traitée de la sorte, obtempéra. Elle grimpa sur le siège passager de la petite voiture pour sucer son amant de vacances, ses fesses collées à la vitre du passager dans cet étroit véhicule. Elle se comportait comme la dernière des cochonnes mais cela l’excitait. Elle sentit le vent chaud s’engouffrer sous sa jupe quand Kevin ouvrit la portière, puis, le tissu se soulever et sa culotte s’écarter. Un sexe, long et vigoureux s’introduisait maintenant entre ses lèvres glissantes. Le jeune homme la pénétrait sous le regard lubrique de son oncle. Elle sentait le plaisir grandir sous les coups de boutoir de ce gamin qui se régalait à la vue de ses jolies fesses écartées. Dix minutes plus tard, elle se laissa aller à la jouissance pendant que Jean remplissait sa bouche de son sperme délicieux et que son neveu éjaculait tout au fond de son vagin. Les deux hommes sortirent Claire de la voiture pour la mettre à genoux au milieu du jardin et la faire nettoyer leurs deux sexes, encore juteux, jusqu’à la dernière goutte.Jean lui dit — Retourne chez toi petite trainée, ce soir ça va être ta fête. Et pas la peine de mettre une culotte ! Claire rentra donc dans la maison voisine en souriant. Elle ne prenait pas « la menace » trop au sérieux. Comment cela pourrait-il arriver en présence de son mari ? Néanmoins, elle décida de relever le défi et de ne rien porter sous la petite robe blanche et noire qu’elle avait déjà prévu de revêtir.Trois quart d’heure plus tard, Marc revint. Les deux époux prirent leur déjeuner puis allèrent faire quelques emplettes pour leurs invités. Vers 19h, la sonnette retentit et Marc accueillit les trois compères. Jean avait apporté, en cadeau, une bouteille de pineau à fort degré d’alcool, issu de sa réserve personnelle. La table était déjà dressée et ils n’eurent plus qu’à s’installer et se laisser aller à leurs discussions. Après quelques verres de pastis, Claire se sentait moins nerveuse, mais aussi un peu déçue. Il ne se passerait sans doute rien ! Elle se leva pour aller dans la cuisine chercher quelques amuses gueules supplémentaire. Jean dit à Marc. — Il est temps de gouter du vrai pineau ! c’est du spécial et si tu le trouves à ton gout, j’en ai pas mal en réserve. Il quitta la table également et rejoint la maitresse de maison dans sa cuisine. Quand il arriva, elle était penchée dans le réfrigérateur à la recherche de quelques charcuteries. Il colla son corps contre ses fesses mimant l’acte sexuel et retroussa sa robe pour être certain qu’elle avait bien suivi ses instructions. Il enfouit ses doigts calleux dans le sexe humide de Claire et dit. — C’est bien ! Tu me donnes un verre pour ton homme ? Claire alla jusqu’au vaisselier un sourire aux lèvres. Elle pensa : — Quel vieux cochon. Son sexe était trempé et elle se demandait quand et comment elle allait se faire baiser à nouveau, d’autant plus que cette fois ci, ils étaient trois ! Jean déboucha la bouteille apportée pour l’occasion pendant que Claire retourna rejoindre les convives. Peu de temps après, Jean arriva pour tendre un demi-verre de son précieux breuvage au maitre de maison. Marc le goûta du bout des lèvres d’abord puis en prit une franche rasade complimentant Jean pour son excellent choix. Puis il se leva et revient avec la bouteille pour ne pas rester le seul à profiter de l’excellent breuvage. Il servit les hommes mais Claire déclina. — Je le gouterai demain, c’est promis ! La discussion reprit mais, grisé qu’il était par le délicieux breuvage, Marc enchainait verre sur verre, oubliant toute bienséance et laissant ses invités pour compte. Mais tel était le plan de Jean ! Au fur et à mesure que la bouteille descendait, Marc était de moins en moins participatif. Ses paupières se fermaient de plus en plus régulièrement et Claire pensa « il a encore trop picolé ! »Quelques minutes plus tard et après avoir bu les trois quarts de la bouteille à lui tout seul, le mari s’excusa. — Désolé, je me sens fatigué. Je vais juste me reposer cinq minutes sur le canapé. Il entra dans le séjour, S’assit sur le sofa et plongea aussitôt dans un profond sommeil causé par l’ivresse.Jean regarda Claire et dit. — Ton petit mari va dormir comme une masse jusqu’à demain matin ! — On va bien s’occuper de toi ! mais avant cela, sers-nous encore une petite tournée et inutile de garder ta robe. Claire était estomaquée par la dominance de cet homme mûr. D’un côté, elle voulait l’envoyer paître pour la traiter ainsi, mais de l’autre, elle était envoûtée par le jeu de la soumission.Elle défit le zip frontal de sa robe et la laissa tomber sur le carrelage de la terrasse, restant nue, seulement vêtue de ses escarpins noirs sous le regard avide des trois hommes. Puis elle opéra un demi-tour et entra dans la maison par la porte fenêtre. Sans même s’arrêter, elle jeta un coup d’œil à son mari qui dormait et ronflait comme un bienheureux puis revint, une autre bouteille à la main. Les trois compères l’attendaient, tous allongés sur les transats au milieu du jardin, un verre vide à la main, tous en tenue d’Adam et tous bandés comme des taureaux. Elle remplit consciencieusement les trois verres pendant que les trois hommes usaient de leurs mains libres pour masturber leurs sexes déjà durs. Jean dit — Va te chercher un autre verre ! Claire se dirigea vers la table pour reprendre son verre et le remplir quand Jean l’interpella — Qui t’a dit de te servir ? Elle reposa le flacon d’alcool et revint vers jean, le verre vide à la main. — Garde-le près de toi ! nous allons te servir un cocktail maison. Claire comprit et s’agenouilla devant la chaise longue de Jean-Luc pour mieux le sucer, puis vint le tour de Kevin, puis celui de Jean. Au fur et à mesure de son travail de succion, les langues des hommes se déliaient pour commenter sa performance, l’encourager ou la diriger, la faisant tour à tour branler, sucer leurs pénis ou lécher leurs bourses gonflées. Claire sentait maintenant la cyprine ruisseler hors de son sexe et sur l’intérieur de ses cuisses. Elle était folle d’excitation. Elle enjamba le transat de Kevin pour s’assoir sur son sexe bandé. Elle n’avait pas bien vu ce matin mais il était aussi bien membré que son oncle. Ce devait être de famille ! Les deux hommes mûrs vinrent se tenir de chaque côté du transat, ainsi elle pouvait branler et sucer pendant qu’elle s’empalait sur la jeune verge. Les deux sexagénaires salaces usaient tour à tour de sa bouche chaude et humide en lui donnant tous les noms possibles et imaginables. Elle était au bord de l’extase quand Jean l’arracha à son plaisir pour la remettre à genoux. Les trois hommes se masturbaient fortement devant elle maintenant quand un nouvel ordre vint — Donne-nous ton verre ! Claire tendit le flacon vers Kevin qui éjacula le premier dans le gobelet translucide. Puis ce fut le tour de Jean-Luc, puis Jean. — A ton tour de boire l’apéro ! dit Jean. Claire se saisit du verre et regarda les trois hommes bien en face. Son sexe était encore au bord de l’orgasme causant un profond sentiment de frustration. Elle aurait fait n’importe quoi pour se faire prendre bien vigoureusement. Elle regarda le verre tout baigné de liquide blanchâtre et le bascula dans sa bouche pour tout boire et en lécher le rebord ruisselant des trois spermes divins.Elle collecta le reliquat de ses doigts qu’elle lécha de façon suggestive, puis dit — Maintenant les garçons, c’est à vous de prendre soin de moi. Puis elle entra dans la maison et grimpa l’escalier vers la chambre à coucher suivie des trois amis.
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