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Le bonheur est dans le sexe!

Chapitre 3

Végétariens?

Erotique
Les vacances d’été ont commencé depuis plus d’un  mois ; Eva et Marc, comme chaque année au mois d’Août, ont loué un studio à la montagne pour essentiellement s’adonner à la marche qu’ils pratiquent assidument. Ils mettent leurs petites séances sexuelles à plus de deux personnes en stand-by et consacrent leurs élans amoureux à leurs petites personnes.

C’est jour de marché dans la petite station ; jamais à court d’idées, Eva a mijoté un petit plan (plat ?) dans sa tête et s’arrête devant l’étal des fruits et légumes et passe commande de bananes, concombre, courgettes, aubergines et d’une mangue de bonne dimension.

Sous l’œil médusé de la marchande, Eva frotte son fessier contre la braguette de son amant qui est plaqué derrière elle et lui dit :

— Tu as vu mon chéri, que de belles bites !

— Tu n’es qu’une grande gourmande, Eva !

Le cabas garni de ces ingrédients Eva et Marc rentrent à l’appartement. Il fait un temps maussade et la pluie est annoncée dans la journée, l’un et l’autre sont d’accord pour la consacrer à baiser, autre sport qu’ils pratiquent assidûment.

Marc fait l’inventaire des achats d’Eva, la mangue l’interpelle, mais il préfère laisser planer le mystère. Eva les fait tremper dans une grande bassine d’eau et les essuie soigneusement.

Eva et Marc sont végétariens ; végétariens d’un type spécial, certes, mais végétariens tout de même. Ils s’adonnent à ce type de baise un peu particulière de temps en temps, de façon à pimenter leur sexualité débordante d’inventivité.

Il sent Eva venir se coller à lui par derrière et ses mains se joindre autour de sa bite. L’une de ses mains déboucle sa ceinture et elle baisse le pantalon puis le boxer de Marc ; elle fait le tour de son amant et se met à genoux pour le sucer alors que sa bite monte en puissance et atteint bientôt sa taille opérationnelle. La verge de Marc en érection est droite comme un I, elle est de taille normale (eh oui ça existe, tout le monde n’est pas monté comme un étalon contrairement à ce qu’on peut lire çà et là)  et il a une belle paire de couilles bien pendantes ; et cette queue fait les délices d’Eva qui se régale des assauts de cet homme plus âgé qu’elle.


Satisfaite de l’érection de la bite de Marc elle se relève pour l’embrasser fougueusement pendant qu’il la dénude, ce qui est vite fait puisqu’elle ne porte que sa robe légère et un string. Il la repousse doucement et la fait tourner comme dans un tango pour admirer encore et encore ce corps si désirable qui le transporte si souvent vers des jouissances divines. Il la prend dans ses bras et la porte sur le lit où il entreprend de lui lécher la chatte à grandes lapées puis d’exciter son clitoris avec sa langue en pointe ; la chatte d’Eva est un délice pour Marc, les grandes lèvres sont largement boursoufflées, la gaine du clitoris apparait très nettement cachant sa mini bite le tout de couleur fauve ; elle est surmontée d’une touffe de poils en triangle qu’elle rase façon barbe de 3 jours : lorsqu’ils se sont connus Eva s’épilait la chatte, mais Marc lui a demandé de laisser pousser ses poils, sa chatte rasée lui donnant la fâcheuse impression de baiser une gamine pubère. (Il est très curieux de constater que plus les femmes se rasent le pubis, plus les hommes se laissent pousser la barbe! Faut-il y voir une relation de cause à effets?)

Elle gémit doucement sous les effets des caresses de Marc qui sent arriver la cyprine par petites coulées, son majeur fouille entre les fesses d’Eva et parvient à l’introduire dans le cul de sa copine. Il ne peut pas voir son visage mais celui-ci est parcouru de grimaces répétitives, elle se mord la lèvre inférieure, son souffle est haletant ; ses mains retiennent la tête de Marc entre ses jambes, son bassin se contracte, ses tétons bandent, l’ensemble de son corps est parcouru de soubresauts, une première extase s’empare de ce corps en feu qui se relâche peu à peu, apaisé.

Marc choisit dans le panier qu’Eva a déposé sur le lit une petite courgette de la taille équivalente à sa bite, l’introduit doucement dans le vagin d’Eva bien humide et l’enfonce à son maximum ; il vient se placer au-dessus d’elle en position 69, Eva engloutit sa queue et commence à la pomper alors que lui agite la courgette comme si c’était sa bite qui baisait Eva ; quelques minutes plus tard il décide de positionner la courgette devant l’anus d’Eva qu’il a mouillé de salive, puis il prend dans le panier le concombre énorme et introduit l’un après l’autre ces deux bites de substitution dans les orifices de sa chérie qui pousse de petits cris étouffés par le gland de Marc au fond de sa gorge. Eva continue de pomper Marc et branle activement le morceau de bite qui sort de sa bouche, de l’autre main elle a introduit un doigt dans l’anus de son copain qu’elle agite fébrilement.

La double pénétration légumière porte ses fruits (!) et le corps de la belle Eva se soulève à intervalles réguliers annonçant un orgasme qui arrive à grands renforts de spasmes incontrôlés et de sourds gémissements. Marc, lui, n’en a pas fini et prend la direction des opérations en baisant la bouche ouverte d’Eva qui recueille le sperme de son compagnon qu’elle avale directement.

Une pause est la bienvenue, Marc en profite tout de même pour peloter la poitrine d’Eva histoire de laisser ce corps en éveil ; celle-ci dans une demie conscience lèche le concombre, ils n’ont pas encore passé le cap de sucer les légumes ou la bite ayant pénétré l’anus.

Requinqués par cette pause Marc entreprend de mettre un préservatif à l’aubergine, sa peau ne glissant pas facilement dans le sexe pourtant détrempé. Ils sont sur le tapis du living, Marc pose l’aubergine au sol et sa coquine vient positionner sa chatte au-dessus. Le diamètre de la bête est impressionnant et Eva abaisse doucement son fessier, l’aubergine pénètre la grotte, plus elle s’enfonce plus ses grandes lèvres convulsées s’élargissent ; quand Eva sent que celle-ci est entrée à son maximum elle se met à quatre pattes et dit à Marc :

— Encule-moi chéri, déchire-moi le cul !

— Je viens mon amour, mais ça risque d’être serré.

— Je m’en fous, je veux sentir ta bite dans mon anus même si l’aubergine me remplit la chatte.

Marc s’exécute après avoir enduit sa verge d’un gel lubrifiant et pénètre ce corridor d’autant plus étroit que l’aubergine le compresse. Eva est tendue comme une corde et lorsque la chignole de Marc l’a enfin perforé elle se détend enfin alors que son copain s’agite dans son cul en alternance avec l’aubergine dans sa chatte. Eva est parti dans un autre monde, ses plaintes sonores sortent de sa gorge et ressemblent à des cris bestiaux répétitifs, son visage que Marc ne peut pas voir est ravagé de rictus, la bouche ouverte, les yeux révulsés, ses petits seins ballotent au rythme des mouvements du salaud qui lui ravage le cul, mais elle aime ce salaud et elle le désire, folle de sexe, elle ne demande qu’à ce qu’il continue ; elle jouit de tous les pores de sa peau qui tremble, maculée de sueur, son ventre agonise entre l’aubergine et la queue, et dans un râle de femme des cavernes elle rend les armes alors qu’elle sent la semence de Marc lui inonder l’étroit canal.

La tête dans l’oreiller, le cul en l’air Eva n’est plus qu’un corps vidé, meurtri mais détendu. Marc se retire et Eva en contractant sa chatte repousse l’aubergine vers l’extérieur qui ressort brusquement accompagné d’un «schlock » disgracieux. Les deux amants sont côte à côte allongés sur le ventre Eva sort peu à peu de son état second, sourit à Marc qui lui dépose un baiser sur les lèvres.

Il est bientôt midi, ils se lèvent et vont prendre une douche réparatrice.

Après un repas léger ils décident de faire une bonne sieste sur les transats du balcon seulement habillés d’un string et d’un boxer. Il fait gris et il tombe quelques gouttes mais il fait chaud et l’atmosphère est lourde et orageuse. Eva se réveille la première et va discrètement chercher une banane, puis revient s’allonger; sans retirer son string elle en écarte le bord et introduit le fruit dans sa chatte et attend sagement que Marc se réveille. Quelques minutes plus tard celui-ci émerge et vient embrasser Eva. Sa main descend machinalement vers le sexe d’Eva et touche la banane qu’il n’avait pas vue.

— Eva, tu es une vraie petite salope, heureusement que nous n’avons que la montagne comme vis-à-vis !

— J’aimerai bien que quelqu’un nous voit, répond-t-elle en caressant la verge de son amant à travers le boxer. J’imagine un couple qui se régalerait en nous voyant et se mettrait à baiser grâce à nous, c’est excitant, non ?

— Il faudra qu’on essaye cela un jour, mais trouver l’opportunité ne sera pas facile.

— Rien n’est impossible, mon chéri, rien !

Les mains de ces deux accros au sexe ne restent pas inactives ; Eva a sorti la bite de Marc et ce dernier active la banane dans la moule ; celle-ci est de belle taille, bien droite, seul le bout est recourbé et elle pénètre comme dans du beurre dans ce lieu mystérieux qui a connu pire ce matin ; Marc se déplace et vient se positionner à genoux devant Eva, lui enlève son string et active la banane à une cadence d’enfer.

Personne ne les voit mais on peut les entendre et Eva commence à pousser de petits cris qui ne laissent pas de doute sur leur origine ; pour augmenter son plaisir elle se masturbe activement, ses doigts écrasant son clitoris à chaque passage ; la banane coulisse maintenant facilement dans ce tunnel inondé de nectar qui coule doucement vers la raie des fesses ; les petits cris d’Eva se transforment en gémissements, Marc peut maintenant voir son visage se transformer au fur et à mesure que l’orgasme arrive, il bande comme jamais et c’est Eva qui n’en peut plus qui retire elle-même d’un geste brusque la banane de sa chatte. Mais Marc a encore faim. Il pèle le fruit, l’enfonce à nouveau dans le puits profond et humide, il se penche pour manger bouchée par bouchée la banane pleine de mouille qui ressort petit à petit ; il garde la dernière bouchée et l’apporte à la bouche d’Eva en l’embrassant. Mais Marc n’a toujours pas joui.

Elle se lève et se positionne en levrette les coudes sur le transat, la queue de Marc la pénètre en douceur, elle glisse dans cet océan de liquide vaginal et ressort avec de petits bruits gluants ; les va et vient de cette queue tendue à l’extrême l’amène à une éjaculation foudroyante accompagnée d’un râle sourd, Eva une fois encore se tortille de plaisir. Dès qu’il sort sa queue elle se précipite pour le sucer avidement et récupérer semence et jouissance.

Repus, les deux amants se décontractent et s’assoupissent dans les transats ; Marc demande :

— Chérie, ce matin j’ai vu que tu achetais une mangue, c’est pour le dessert ce soir ?

— Ce sera le dessert, oui, mais avant je voudrais te faire une surprise ; j’ai vu une vidéo porno qui m’a beaucoup inspirée !

— Et je peux savoir ?

— Si je te le dis maintenant, ce ne sera plus une surprise !

— OK, je bande déjà d’impatience.

A l’heure du goûter, ils se lèvent, prennent un petit en-cas et là Eva, un sourire enjôleur aux lèvres prend la mangue et s’allonge sur le lit :

— Mon chéri, vient me lécher et me faire mouiller, je vais en avoir besoin.

— Je suis à tes ordres, répond-il d’un air martial !

Marc s’applique à faire mouiller Eva et lorsqu’elle sent son vagin assez trempé elle commence à y introduire la mangue ; le diamètre de celle-ci est sensiblement supérieur à celui de l’aubergine de ce matin ;

— Marc, aide-moi à la pousser vers l’intérieur, vas-y enfonce-la moi, enfonce-la moi complètement !

— Je n’ose pas trop, je crains de te blesser.

— Bordel ! Défonce-moi !

Marc s’exécute et arrive enfin à faire pénétrer le fruit dans le saint des saints de sa femme dont il n’aperçoit plus que l’extrémité. Celle-ci dans un effort continu couplé de sons barbares le fait ressortir doucement jusqu’à ce qu’il soit éjecté tel un ballon de rugby qui s’échappe des mains du demi de mêlée ! Eva recommence plusieurs fois ce petit jeu pendant que Marc se masturbe au-dessus de son ventre. A chaque fois que la mangue ressort c’est au prix d’un gros effort ; épuisée, Eva pose la mangue sur son ventre et quelques instants plus tard c’est le sperme de Marc qui l’arrose copieusement. Eva porte le fruit à ses lèvres et le lèche avec avidité pendant que Marc récolte sur le ventre d’Eva les quelques gouttes dispersées. Un long baiser les unit encore une fois.Les deux amants décident d’aller faire un footing de quelques kilomètres, histoire de leur remettre les idées en place.  De retour ils vont sous la douche effacer définitivement les outrages d’une journée de baise.

Pour le diner, Eva a préparé une salade de concombre, une ratatouille et une salade de fruits mangue/banane en dessert. Quand on vous disait qu’Eva et Marc étaient végétariens !

Qui pourrait faire de petits plats savoureux avec des godes en plastique ?  C’est la question que se pose le couple en dégustant ce repas improvisé dont ils ont grand besoin .

A suivre...
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