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Le bonheur est dans le sexe!

Chapitre 4

Laurie

Erotique
Rentrés de leurs vacances à la montagne, bronzés, en pleine forme, Eva et Marc reprennent leurs activités professionnelles, elle au lycée de la ville, lui dans son entreprise du bâtiment.Quelques jours plus tard Eva rentre chez elle l’humeur quelque peu chafouine. Marc est déjà là et remarque qu’elle semble contrariée alors qu’Eva est la joie de vivre personnifiée.
— Quelque chose ne va pas, ma chérie ?— Figure-toi qu’une de mes élèves de terminale m’a draguée cet après-midi ; je l’avais déjà en première l’an dernier et j’avais remarqué qu’elle me fixait de son regard insistant mais sans jamais se manifester autrement ; ça m’a fait tout drôle.— Elle t’a dit quoi exactement ?— Elle a prétexté une question à me poser à la fin du cours et m’a dit qu’elle était amoureuse de moi depuis l’an dernier et m’a franchement mis la main aux fesses.— Elle est un peu gonflée tout de même ! Et tu as fait quoi ?— Je l’ai remise à sa place vite fait, mais mon chéri je t’avoue qu’après coup sa main m’a troublée.— Comment ça ?— J’avais envie qu’elle recommence !— Sans blague ! Et on peut savoir qui est cette jeune fille ?— Elle s’appelle Laurie, elle a 18 ans, c’est une bonne élève, sérieuse, de bonne famille.— Et physiquement ?— Elle est très jolie, grande, blonde, un corps de rêve.— Oui, enfin, tu as craqué pour elle !— Je t’avoue ne plus très bien savoir où j’en suis.
Marc lui fait un signe et elle vient s’asseoir contre lui ; il l’entoure d’un bras et l’embrasse tendrement. Cette petite discussion l’a remué et il sent une érection sous sa robe de chambre. Eva le connait bien et sa main se glisse vers le membre maintenant tendu ; il lui caresse les fesses et lui demande si Laurie a agît de la même façon.
— Non, dit-elle, elle a fait glisser sa main du haut en bas de ma raie jusqu’à l’anus.— Comme cela, ma chérie ?— Oui c’est cela, continue s’il te plait.
Quelques instants plus tard Eva passe au-dessus des jambes de Marc et vient s’asseoir sur sa queue ; elle écarte un bord de sa culotte et fait entrer sa bite dans sa chatte qu’il trouve déjà bien trempée sans doute dû à l’effet Laurie. Encore toute habillée, elle se met à le baiser en sautillant sur lui telle une cavalière sur son canasson et en quelques minutes plus tard l’un et l’autre jouissent ensemble.
Le lendemain matin, prêts à partir au travail, le téléphone d’Eva sonne ; Jacques Longine... C’est le nom de famille de Laurie ! Eva met le haut-parleur et fait signe à Marc de s’approcher.
— Oui, bonjour, Jacques Longine à l’appareil.— Bonjour monsieur, que puis-je pour vous ?— Je suis le père de Laurie, l’une de vos élèves de terminale. Ma fille m’a demandé s’il vous serait possible de lui donner quelques cours de soutien ?— Pourquoi pas, mais je suis étonnée, Laurie est une très bonne élève !— Elle me dit qu’elle a des zones d’ombre qu’elle voudrait éclaircir.— Ecoutez, monsieur Longine, si vous êtes d’accord, je vais m’en entretenir avec Laurie cet après-midi.— Parfait chère madame, je vous remercie.
Eva en est toute retournée. Cette petite peste a manipulé son père pour arriver à ses fins ; éclaicir des zones d’ombre..., tu parles ! Mais intérieurement elle est plutôt contente de la tournure des évènements. Marc aussi semble plutôt satisfait du déroulement des opérations, il n’aura même pas à insister pour que Laurie vienne à la maison comme il l’avait secrètement souhaité depuis hier.A la fin du cours Eva libère les élèves et dit à l’attention de Laurie :
— Laurie, ton père m’a appelé ce matin, passe me voir s’il te plait.— Oui, madame.— Laurie, il parait que tu as besoin de cours de soutien ?— Oui madame, je suis un peu perdue en ce moment.— Tu es certaine qu’il ne s’agit pas d’autre chose qui serait en rapport avec l’incident d’hier après-midi ?— Il n’y a pas eu d’incident hier après-midi.— Ah bon, j’avais cru ! De toute façon, il va falloir clarifier les choses, viens samedi à 16 heures, prends ma carte pour l’adresse.— Je sais où vous habitez, madame.— Tu... ! c’est bon Laurie, on se voit samedi.
Cette gamine a un sacré culot, Eva en est toute déstabilisée et se promet de mettre les choses au point samedi.A 16 heures pile Laurie sonne et c’est Marc qui va lui ouvrir.
— Bonjour monsieur, je suis Laurie, je viens pour le cours de maths avec madame Leduc.— Entre Laurie, elle arrive tout de suite. Viens t’asseoir près de la table, tu as soif ?— Non merci monsieur.
Marc examine la jeune fille et la trouve remarquablement gaulée, un corps de rêve comme disait Eva, un beau visage un peu trop maquillé à son goût, habillée avec soin, si Laurie est lesbienne c’est vraiment dommage.Eva entre dans le séjour, Laurie se lève et salue Eva qui lui demande de se rasseoir.
— Je vais vous laisser, je suis dans mon bureau si tu as besoin dit Marc. (en fait, il s’installe dans le couloir sur une chaise pour rester aux premières loges, caché derrière un rideau).
Eva et Laurie se toisent, se jaugent ; il semblerait que Laurie ait perdu un peu de sa superbe et qu’elle paraisse moins arrogante qu’au lycée.
— Alors Laurie, on va laisser tomber les maths et tu vas m’expliquer la véritable raison de ta présence ici, je t’écoute.
Eva a gardé le ton autoritaire de la prof afin de mater tout de suite cette gamine, même si une lueur dans ses yeux ne dit pas tout à fait la même chose.
— Je suis désolée madame, je ne voulais pas vous contrarier bien au contraire, j’ai pour vous une attirance que je ne peux plus cacher, c’est pourquoi l’autre jour je me suis montrée sans doute un peu trop expressive et je m’en excuse.— Tu es attirée par les femmes, Laurie ?— Pas spécialement, madame, par vous oui !— Et qu’est-ce qui t’attire chez moi Laurie ?— C’est difficile à dire, c’est un ensemble de choses, votre élégance, vos fesses, vos petits seins, votre autorité même.— Mais tu sais bien que je vis en couple Laurie, tu ne voudrais pas briser un ménage, dis-moi ?— J’ai vu votre ami tout à l’heure, je suis certaine qu’il m’a trouvé à son goût, cela pourrait peut-être éviter les drames.— Laurie, tu te rends compte de ce que tu dis ? Tu me proposes maintenant une partie à trois ?— Non madame, pas tout de suite, c’est juste au cas où les choses tourneraient mal.
Eva est complètement déstabilisée par cette gamine d’une perversité pour le moins précoce. De son côté Marc se régale, il voit là une opportunité de diversifier les plaisirs sexuels avec Eva et sa bite en érection semble être d’accord avec lui. Laurie, elle, avance une main sous la table et palpe une cuisse d’Eva. Celle-ci ne se retient plus et dit à Laurie :
— Viens sur le canapé, Laurie !— Oui madame.— Et arrête de m’appeler madame, ici je m’appelle Eva, mais ici seulement !— Oui mad..., Eva !
Eva décide de prendre l’initiative et commence à dévêtir avec autorité la belle Laurie, ses seins sans sous-tif lui apparaissent lourds, gonflés, tendus vers elle, elle les caresse puis les embrasse avec avidité, fait lever Laurie pour lui enlever jupe et string.
Elle se lève également, d’un geste brusque enlève sa robe qui dévoile sa nudité, fait tourner Laurie pour admirer son divin corps et l’attire vers elle pour l’embrasser fougueusement, les mains de Laurie s’aventurent vers la raie de ses fesses et sa rosace répétant le geste de l’autre fois. Eva descend doucement vers le sexe de Laurie lèche ses seins, son ventre en descendant arrive à une petite toison claire et s’empare goulûment de son clitoris qui donne des frissons à Laurie et enfonce deux doigts dans la chatte de la belle qui lui bloque la tête. Eva se relève et la bascule sur le canapé pour se mettre en position 69.
Marc n’en perd pas une miette derrière son rideau ; il a sorti sa bite qui lui fait mal tant elle est raide et se masturbe lentement en s’efforçant de respirer doucement.Les deux filles se bouffent le minou avec ardeur, Laurie a enfoncé un doigt dans le cul d’Eva et l’agite nerveusement, Marc en plus de la vue peut entendre leurs petits cris et gémissements de ces deux femelles en rut. C’est Eva qui a le premier orgasme, elle décide elle aussi de mettre non pas un mais deux doigts dans l’anus de Laurie qui éclate d’un coup dans un râle sauvage. Elles se relâchent sur le canapé tout en s’embrassant comme des folles.
Marc, lui, n’en peut plus, sa bite se met à cracher un sperme épais sur le rideau en se retenant comme il peut de faire du bruit.Les deux filles ont repris leur esprits, se rhabillent, le cours de maths semble terminé ; Eva sert deux jus de fruits qu’elles boivent en bavardant :
— Laurie, je te demande la plus grande discrétion sur nous deux au lycée et ailleurs également, d’accord ?— Bien entendu, Eva, n’ayez aucune crainte, je ne tiens pas à ce que cela s’arrête. Mon père m’a demandé ce qu’il vous devait ?— Ce n’est pas pressé, dis-lui qu’il m’appelle à l’occasion, il faut bien que l’on fasse comme si il y avait vraiment cours de soutien; à samedi, même heure ?— D’accord, j’ai hâte !
Lorsqu’elles se quittent après un dernier baiser derrière la porte, Eva se dirige vers le bureau de Marc, mais elle bute sur lui, il est en train d’essuyer le rideau plein de sperme, la queue ramollie qui pendouille de sa braguette :
— Espèce de petit salaud, tu t’es branlé en nous regardant ?— Oui, je l’avoue et je peux te dire que le spectacle m’a amené à une jouissance peu ordinaire !
Elle le prend par la main et l’attire vers la chambre :
— Viens avec moi, après ces ébats avec Laurie, il me manque une bite.
A suivre...
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