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Le bonheur est dans le sexe!

Chapitre 5

Laurie 2

Avec plusieurs femmes
5- Laurie 2Eva et Marc viennent de faire l’amour après la visite de Laurie tellement excités par la séance entre elle et Eva, surveillées de près par Marc, qu’ils se sont promis de recommencer samedi prochain. Au fil de la semaine leur vision du sujet évolue et ils se demandent s’il ne serait pas plus bandant que Marc participe aux joutes lesbiennes de ces demoiselles ; l’idée fait son chemin, reste à déterminer le scénario.Samedi à 16 heures tapantes Laurie sonne à la porte ; comme la semaine dernière c’est Marc qui vient lui ouvrir :
— Salut Laurie, entre !— Bonjour monsieur, comment allez-vous ?— Bien, bien et toi, tu as passé une bonne semaine ?— Très bonne, merci !— Assied-toi, Eva arrive dans un instant ; tu es sacrément jolie, dis-moi, tu dois faire des ravages parmi les garçons du lycée ?— Euh, oh ! et bien vous me gênez un peu, vous n’êtes pas mal non plus ! Vous savez, les garçons de mon âge ne m’intéressent pas vraiment ! — Tiens donc et pourquoi ça ?— Je ne sais pas, je préfère les hommes mûrs comme vous, ils sont plus sérieux et ils sont moins bêtes.— Dis-moi Laurie, entre nous, tu ne serais pas en train de me draguer par hasard ?— Je pense que nous sommes en train de nous draguer !— Bien vu jeune fille, tu sembles être quelqu’un de très évoluée, je pense que tu n’es plus vierge, je me trompe ?— Non en effet, et vous ne me croirez peut-être pas, mais c’est un homme de votre âge qui m’a dépucelé !— Arrêtes, tu me fais marcher !...
Un bruit de porte se fait entendre, Eva apparaît à la sortie du couloir vêtue d’une robe légère au ton vert tendre, tenant un dossier à la main :
— Hello, Laurie, tu vas bien ?— Oui merci et vous ?— Bien, allez, on va s’installer pour le travail dit Eva non sans un petit sourire ironique !
Marc quitte la pièce et en passant près d’Eva dit suffisamment fort pour que Laurie entende :

— Tu me fais bander, d’ailleurs elle aussi !
Lorsque les deux jeunes femmes s’étreignent amoureusement, Laurie est toute rouge, sans doute troublée par les derniers mots de Marc, elles s’embrassent longuement leurs mains déjà à la recherche des parties sensibles de leurs anatomies, leurs seins, leurs chattes leurs anus sont les destinations principales, mais aussi les fesses, les ventres, les épaules. Une semaine à se voir une heure au moins une fois par jour sans jamais pouvoir se toucher leur a paru une éternité à l’une et à l’autre, et ne pas montrer trop d’attirance l’une pour l’autre a été un calvaire. Alors elles se lâchent, se mettent à nu, s’étreignent encore, puis se renversent sur le tapis, leurs deux corps ne font plus qu’un, soudés par le désir, leurs langues perforent le plus profond de leurs intimités vaginales et anales, leurs orgasmes transcendent ces âmes à la recherche du 7ième ciel.Essoufflées, repues, alanguies, elles réfléchissent :
— Eva, demande Laurie, tu crois (je peux te dire ‘tu’ ?), tu crois que Marc plaisantait tout à l’heure quand il a dit qu’on le faisait bander ?— Non ma chérie, il m’en a parlé cette semaine, il est très sérieux et il aimerait nous baiser toutes les deux après que nous ayons fait l’amour, maintenant..., ça te pose un problème ?— Je ne m’attendais pas à cela aujourd’hui, mais non, pas de problème !— Alors va le chercher, c’est au fonds à droite.— Moi, mais il faut que je m’habille !— T’habiller ? pourquoi s’il faut ôter tes fringues la minute suivante ?
Hésitante, Laurie se lève, une main devant sa toison légère, l’autre devant sa poitrine d’un pas incertain elle se dirige vers le bureau de Marc et frappe ou plutôt effleure la porte ; de l’autre côté Marc l’ouvre ; comme Laurie, il est nu comme un ver, la bite en érection dirigée vers son ventre, d’un geste souple il emporte Laurie dans ses bras vers Eva qui les attend sur le tapis du séjour.
Le mâle, légèrement imbu de son sexe, s’allonge entre ses deux fées ; Eva se penche et commence à sucer avec application ce bel échantillon, alors que Laurie lui soupèse avec légèreté sa paire de couilles ; Marc, lui, est aux anges, ses soupirs contenus en témoignent ; Eva passe le bâton de relais à sa coéquipière qui se met à le sucer version sauvage et pour étouffer les râles de son mec, Eva vient lui chevaucher le visage, intimant à sa langue de lui pénétrer la chatte. Le couple avait convenu que Marc baiserait Laurie en levrette et qu’Eva viendrait se positionner sous elle pour à la fois sucer son clitoris et lécher la bite de Marc ; les voilà donc dans la position souhaitée, Laurie n’en crois pas ses yeux, elle se retrouve le jouet d’un couple qu’elle apprécie et qui le lui rend bien ; Marc la pilonne par derrière et lui demande :
— Tu sens bien ma bite, Laurie chérie, tu veux que je continue ?— Oui, vas-y, ça fait quelques temps qu’on ne m’a pas baisée, je vous aime tous les deux pour le plaisir que vous me procurez. Allez-y, bon dieu, je sens que vous allez me faire jouir !
Eva et Marc s’activent de plus en plus vite sur et dans le sexe de la jeune fille qui semble perdre pied, elle perd le contrôle, s’agite de droite et de gauche, et s’effondre la tête entre les cuisses d’Eva éructant des sons gutturaux et laissant la bite de Marc sur le visage de sa compagne. Les deux diablesses reprennent en main, ou plutôt en bouche, le sexe de Marc et le suce, l’une délicatement, l’autre plus rudement et à tour de rôle ; dans un emballement inéluctable Marc envoie ses premiers jets au fond de la bouche de Laurie qui écarquille ses grands yeux goûtant sans doute pour la première fois ce délicieux élixir, quelques miettes sont ensuite léchées par la langue d’Eva. Marc d’abord, Eva ensuite viennent embrasser fougueusement Laurie qui leur restitue pour partie la semence de Marc.
Les trois corps sont alanguis sur le tapis à la recherche d’une conscience quelque peu perturbée par les jouissances se réveillent ; Eva se lève et va chercher un rafraichissement à la cuisine ; Laurie se rhabille lentement avouant à Marc avoir joui comme jamais auparavant et lui dépose un léger baiser sur une joue. Le trio se sépare se promettant un samedi suivant très chaud.
Eva et Marc n’en ont pas fini pour autant ; leur lit les attend pour de chaudes heures de félicité sexuelle, l’absence de Laurie n’est que fictive tant sa présence est encore vivace dans leurs esprits et dans leurs jeux sexuels.
Avec cette belle jeune fille ce couple revit une sexualité débordante ; chaque samedi est une récréation bouillonnante de sensualité et d’érotisme. Eva et Marc n’en sont cependant pas esclaves et sont parfaitement conscients des risques encourus, notamment par Eva, si cette relation venait à être révélée. Vers la fin du trimestre, peu avant Noël, Laurie leur fait part de l’invitation de ses parents pour un diner chez eux en toute décontraction, ce qu’ils acceptent avec plaisir.A suivre...
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