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Le bonheur est dans le sexe!

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
7- Laurie 4,
Rentrés dans l’appartement et débarrassés de leurs vêtements, Eva propose une infusion que chacun accepte avec plaisir et qu’ils boivent dans la cuisine en bavardant et en évoquant le début de soirée chez les parents de Laurie. Celle-ci, assez intriguée demande à Marc :
— Dis-moi Marc, comment ça s’est passé avec Maman dans la cuisine ?— Laurie, tu ne crois pas que c’est le genre de question un peu gênante ?
Eva surenchérit :
— Mais non, Laurie a raison, moi aussi je voudrais savoir comment cela s’est passé, simple curiosité.— OK les filles, Armelle et moi avons ressenti tout de suite une attirance l’un pour l’autre et après quelques préliminaires elle s’est appuyée sur le rebord de l’évier et je l’ai baisé debout par derrière. J’ajoute que j’avais l’impression d’enfiler Laurie avec 25 ans de plus !— Tu as donc pensé à moi quand tu la baisais ?— Je l’avoue, oui !— Humm, ça m’excite !
Eva rappelle tout le monde à l’ordre et invite Marc et Laurie à une douche collective où les corps savonnés et glissants se frottent les uns contre les autres, les 6 mains frictionnent avec ardeur les parties bombées puis les parties en creux de chacun des corps, les lèvres se rencontrent furtivement, la bite de Marc passe indifféremment des mains de l’une aux mains de l’autre, les seins des filles se tamponnent les uns contre les autres tétons fièrement dressés, les fesses rebondies accueillent avec gourmandises les caresses voluptueuses et enfin les serviettes chaudes vont sécher les coins les plus reculés. Marc emporte l’une puis l’autre sur le lit king-size où ils se retrouvent tous les trois allongés dans la chambre des maîtres de maison.
Marc s’installe au milieu du lit, la bite en érection pointée vers le plafond ; Laurie y voit une invitation qu’elle accepte d’autant qu’elle est en a rêvé toute la soirée ; elle approche sa bouche gourmande et gobe le gland de Marc entre ses lèvres charnues et le titille avec sa langue avant d’avaler ce sexe tendu jusqu’à sa base et commence une fellation lente, appliquée, continue qui remplit Marc d’aise, la bouche baveuse elle se retire et vient se planter au-dessus de lui et sans préambule introduit le gourdin raide dans sa chatte ; Eva, jusqu’alors spectatrice vient placer sa chatte au-dessus du visage de Marc, les fesses face à Laurie ; l’un et l’autre trouvent la situation appétissante et si Marc plonge sa langue dans la chatte d’Eva, Laurie elle, voit à la fois la langue de Marc fouiller les méandres des grandes lèvres d’Eva, mais aussi la rosace du cul d’Eva qui semble la narguer en lui faisant signe de venir y plonger sa propre langue, ce qu’elle n’hésite pas une seconde à faire avec la fougue de la jeunesse.
Chacun s’agite pour faire goûter au maximum aux autres les plaisirs que procure ce mélange de corps, cet amas de chairs qui vibrent au rythme des mouvements de bite et de langues, l’amour à trois sublimé par l’imagination et la créativité sensuelle des amants ; chacun ressent dans ses tripes les jouissances, les tressaillements, les secousses que lui procurent les autres et lorsque Marc semble les avertir que son éjaculation approche, les deux filles sans se concerter quittent leurs positions pour aller recueillir la semence du mâle ; lorsqu’elle se met à jaillir tel un geyser, les bouches de ces dames sont là pour recueillir la presque totalité du précieux élixir dans la mesure du possible; abreuvées, les deux bouches se referment l’une sur l’autre, les langues s’enlacent autour du sperme, les lèvres se soudent, les glottes se meuvent signifiant que chacune avale la liqueur ; encore quelques coups de langues qui lapent les gouttes égarées et chacune vient poser sa tête sur le torse de Marc qui leur caresse avec affection leurs chevelures en bataille.
La soirée s’achève, un par un les corps alanguis sont gagnés par un sommeil salvateur, les rêves, peut-être, viendront émailler la nuit qui s’annonce calme et douce.Eva, levée la première vers 9 heures, prépare les petits déjeuners à la cuisine et va réveiller ses 2 comparses ; elle s’aperçoit que Laurie tient en main la queue molle de Marc et elle ressent une certaine jalousie ; cette gamine qu’elle aime d’une certaine façon ne pense tout de même pas qu’elle va lui piquer « son » Marc ; délicatement elle retire la main de Laurie et tape dans ses mains pour les réveiller ; les deux ronchonnent un peu et traînent des pieds pour se rendre à la cuisine ; le petit déjeuner englouti, Eva propose d’aller faire une ballade pour se dégourdir un peu ; à nouveau ça râle un peu, mais finalement chacun prend sa douche et se prépare à la ballade. Il fait beau mais le soleil d’hiver voilé ne peut cacher le froid piquant et chacun conçoit que la marche cadencée qu’impose Eva leur fait un bien fou. Les corps meurtris par les séances amoureusement folles d’hier soir ont besoin de ce coup de fouet afin de retrouver vigueur et décontraction.
Rentrés dans l’appartement, ils déposent leurs vêtements chauds et les filles s’installent sur le canapé, Marc va chercher du jus de fruits dans la cuisine ; lorsqu’il revient il les voit s’embrassant, se pelotant les seins, se caressant le bas-ventre, s’échauffant comme des sportives avant l’épreuve ; petit à petit les habits volent, les petites culottes atterrissent en direction de Marc qui les récupèrent et les porte à ses narines, reniflant voluptueusement les odeurs intimes de ces dames ; nues, elles se mettent face à face à chaque bout du canapé et se caressent leurs minous chacune attentive aux mouvements de l’autre dans une sorte de mimétisme, deux virtuoses de violon qui jouent une partition dans un accord parfait.
Marc les admire, serein ; il s’est mis à poil, son sexe d’abord flasque s’est vite redressé face au spectacle qui lui est offert et maintenant il manie la baguette du chef d’orchestre avec virilité et nervosité, ses doigts allant du gland jusqu’aux couilles en cadence. Ce n’est pas l’envie qui lui manque d’approcher sa pine devant l’une des bouches gourmandes à proximité, mais il préfère se délecter de la vue imprenable qu’il apprécie.
Insensiblement les demoiselles s’agitent un peu plus, les têtes chavirent, les yeux se révulsent, les seins gonflent, la cadence s’accélère, les vulves s’humectent d’un liquide visqueux qui huile les doigts masturbateurs, la symphonie entame ses derniers accords délirants ; le gland de Marc lui aussi libère de grosses gouttes d’un précieux liquide qu’il répartit sur sa verge, ses couilles d’abord baladeuses se contractent, annonçant la libération du sperme ; la tension monte chez les filles, elles se masturbent maintenant dans des mouvements désordonnés, lâchent des sons rauques ou aigus, les jouissances pointent au bout des tétons, les orgasmes sonnent la charge puis les corps se relâchent, s’abandonnent, se diluent dans une dernière secousse.
Marc se rapproche, les bouches des filles dans un réflexe sensuel se tendent vers la queue du mâle, la décharge volcanique touche les objectifs au hasard des giclées, les langues récupèrent les gouttes égarées, puis lèchent le gland et le sucent à la recherche des derniers écoulements.
Le déjeuner vite avalé fait place à une sieste réparatrice.Lorsqu’elle se réveille la première, Laurie regarde autour d’elle et voit les deux corps alanguis de ses amants, un homme, une femme, beaux et désirables dans leur nudité ; elle hésite entre la bite de Marc et la chatte d’Eva ; l’une et l’autre l’attirent également et elle se décide de promener sa langue dans la raie des fesses de la femme qu’elle aime, elle l’effleure d’abord et part à la recherche de la rosace de son cul qu’elle titille un instant avant d’aller explorer la grotte qui lui fait envie ; Eva réveillée par ses caresses sublimes prend conscience de la situation et aperçoit face à elle la bite de Marc toujours endormi ;elle la prend en main et la dirige vers sa bouche qui n’est pas habituée à une telle mollesse, l’image d’une limace lui traverse l’esprit, ce qui la fait sourire.
Les trois amants sont maintenant éveillés, Laurie qui veut sa part de plaisir s’arrange pour se positionner de façon à ce que Marc puisse lui lécher son intimité, ce n’est plus un trio mais un triangle.
Marc a envie de baiser Laurie, (il aura Eva toute la semaine) ; il récupère son sexe de la bouche d’Eva, Laurie se met à quatre pattes la foufoune au-dessus du visage d’Eva et Marc vient enfoncer son pieux dans cette chatte juvénile et pourtant si gourmande. Le feu d’artifice qui s’en suit conclut un week-end érotiquement très chaud
Marc et Eva raccompagnent Laurie chez ses parents. Armelle en profite pour donner discrètement un papier plié à Marc qui le glisse dans sa poche ; au moment des adieux elle demande à Laurie :
— Dis-moi chérie, tu avais déjà baisé avec Marc et Eva avant l’autre soir ?— Oui maman et depuis Octobre !— C’est bien ce que nous pensions !
Rentrés chez eux, Marc déplie le papier d’Armelle : c’est une photo en gros plan de la chatte d’Armelle largement ouverte avec la mention : « Elle et moi t’attendons avec impatience !». Au revers le numéro de son portable.A suivre...
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