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Du bonheur à l'horreur

Chapitre 1

Une soirée inhabituelle partie 1

Orgie / Partouze
Cette histoire et les personnages sont totalement fictionnels. Elle sera découpée en plusieurs chapitres racontés par les deux personnages principaux. CharlesJe m’appelle Charles, je suis un jeune homme de 22 ans, blond aux yeux bleus, assez sportif, malgré un visage quelque peu enfantin, je suis un beau garçon style gendre idéal. Je suis un ingénieur en bâtiment fraîchement diplômé qui vient de décrocher son premier CDI dans une grande entreprise, un peu pistonné par mon père (qui est le commissaire de police de la ville).
En plus de ça, je suis en pleine préparation de mon mariage avec ma magnifique fiancée Adèle. En effet, c’est une sublime femme de 21 ans, svelte, brune, bronzée, avec de superbes petits seins bien ronds, mais surtout un fessier magnifiquement rebondi. Je l’ai rencontrée au collège et nous sommes tout de suite tombés fou amoureux l’un de l’autre, avec une image de couple parfait, et c’était vrai. Nous sommes un couple très catholique et timide, c’est pourquoi nos expériences sexuelles sont très limitées. Nous avons déjà fait l’amour, mais à de rares occasions, et seulement en position missionnaire. Bref, aucun de nous deux n’en a tiré un véritable plaisir dû à la culpabilité de ses relations hors mariage. Adèle est à la fin de ses études de professeure de français, elle cherche actuellement son stage de dernière année.
Nous vivons tous les deux dans un petit appartement, en attendant que nos revenus montent. Bref, on peut dire que ma vie est bien lancée.
Dans mon entreprise, je travaille en grande partie avec mon conducteur de travaux principal Carlos, et le chef de chantier Atif. Carlos est un homme de 55 ans, assez rustre et bedonnant. C’est un portugais à moustache, avec un réel charisme. Quant à Atif, c’est un algérien de 62 ans, proche de la retraite, c’est lui qui dirige directement les ouvriers, on peut donc dire que c’est une grande gueule, avec un physique imposant, grand, et lui aussi bedonnant. Bref, ce ne sont clairement pas des gravures de mode, mais ils m’ont pris sous leur aile, tel un petit protégé. Je suis assez timide donc le soutien de ces deux hommes d’expérience est d’une grande aide dans le milieu difficile du bâtiment.
Notre mariage arrivant dans une semaine, j’avais posé des congés pour finaliser les derniers préparatifs. Pour fêter cela, Carlos avait organisé un repas chez lui avec Atif et nos femmes, ou pour mon cas, fiancée, respectives.
J’étais prêt, attendant dans le salon qu’Adèle finisse de se préparer ; j’avais opté pour une chemise et un jean, plutôt décontracté, tout en gardant une certaine classe (cela restait un repas avec mes collègues). Je vis ma fiancée arriver dans une sublime robe saumon, mettant parfaitement sa silhouette en valeur ; elle était classe, tout en apportant une touche sexy.
— Tu es vraiment magnifique mon amour !— Merci, tu ne trouves pas l’ensemble un peu trop sexy ? — Non, tu es simplement parfaite, mes collègues vont comprendre pourquoi je veux me marier si jeune.
Ainsi nous primes la voiture pour rejoindre la maison de mon supérieur se trouvant dans la banlieue chic de la ville. Et en effet, la maison était tout simplement magnifique. Un grand jardin amenant vers une sublime bâtisse entourée de baies vitrées.
— Vivement la promotion que je puisse nous offrir une telle maison.— Je sais que tu y arriveras, tu es un homme brillant, je t’aime tellement.— Moi aussi je t’aime.
C’est Carlos qui nous ouvrit, grand sourire aux lèvres, surtout quand il vit Adèle à qui il fit une bise appuyée.

— Eh beh, tu ne choisis pas les plus moches dis donc, elle est canon !
J’avais prévenu ma fiancée des possibles remarques de ce genre de la part de mes collègues qui il faut bien l’avouer sont très rustres et brut de décoffrage.Cette remarque fit néanmoins rougir Adèle que sa grande timidité trahissait, et moi, je ne trouvais rien de bien intelligent à lui répondre.Il nous fit entrer dans sa demeure, nous présentant au passage les autres convives. Je reconnus bien sûr Atif posé dans un des sofas avec sa femme Carla. Et en face d’eux, Natasha, la femme de Carlos.Carla et Natasha faisaient vraiment vulgaires, ce qui ne me surprit pas, connaissant mes collègues ; elles portaient toutes les deux des robes, trop moulantes pour leurs corps un peu grassouillets, sur de hauts talons. L’une était blonde et l’autre brune avec de grosses lèvres pulpeuses et des visages que la chirurgie avait retravaillait. Elles devaient avoir la quarantaine toutes les deux. Quant à Atif et Carlos, ils avaient également opté pour la chemise et le jean.
Nous nous sommes tous installés dans le petit salon sur les sofas à boire l’apéritif. Les discussions portaient sur le travail, les séries télé, le sport, etc., et l’ambiance était vraiment sympa même si je sentais les regards appuyés de mes deux collègues sur les jambes et le décolleté pourtant sage de ma promise. Je ne pouvais pas leur en vouloir, car à côté de leurs femmes, Adèle était un véritable canon et son côté Latina lui donnait un charme fou.
Après 3 bouteilles de champagne, Carlos nous invita à passer à table avec un léger coup dans le nez. Il avait sorti le grand jeu : Pâtes feuilletées d’escargots aux morilles, Ris de veau, plateau de fromages et baba au rhum ; le tout arrosé de grands crus. Bref, Carlos savait cuisiner et recevoir malgré ses airs un peu machistes, c’était lui aux fourneaux. Le repas terminé, nous nous apprêtions à rentrer avec Adèle.
— Vous n’alliez quand même pas partir sans un petit digestif ? — Nous avons pas mal de choses à préparer encore pour le mariage, donc je pense que si.— Tu ne peux pas conduire avec autant d’alcool de toute façon. Il y a des chambres libres à la maison. Atif et Carla dorment eux aussi, vous n’aurez qu’à partir tôt demain matin, et sobre en plus.
L’idée ne m’emballait pas trop, mais il avait raison dans le fond, aucun de nous ne pouvait conduire, nous étions bien alcoolisés. Carlos proposa alors un poker, ce qui enchantât les 3 autres convives.
— Cependant, je n’ai pas de jeton, du coup, on peut le faire en mode strip-poker, et si on refuse d’enlever un vêtement, on boit un shot.
Un bref regard d’Adèle me confirma qu’elle n’était pas du tout ravie par l’idée, même si je la sentais bien saoule. Cependant, nos timidités respectives nous ont contraints à accepter, ne voulant pas vexer mes collègues et casser l’ambiance.
Ainsi dans ce climat de plus en plus malsain, Carlos distribua les cartes, nous ayant préalablement servi un shot d’absinthe chacun. Adèle ne savait pas trop jouer, et moi, je n’avais pas pratiqué depuis un bon cinq ans. Heureusement, les autres n’avaient pas l’air d’expert non plus.
Adèle perdit naturellement la première main, elle but son premier shot. Puis vint le tour de Carla et de Atif. Tout le monde choisissait les shots au début, et nous en étions à au moins 3 chacun, et cela devenait vraiment difficile de les boire.
C’est Carlos qui fit tomber la chemise le premier, nous dévoilant un ventre bien dodu recouvert de poils vraiment pas sexy. Atif le rejoint assez rapidement, exhibant lui aussi un ventre bien formé et des poils grisonnants. Natasha et Carla firent voler la robe à leur tour, nous offrant un beau visuel sur leur ensemble soutien-gorge string. Elles n’étaient pas très belles, avec un physique similaire un peu gras, des fesses un peu trop grosses, et de grosses paires de seins englobés dans leurs soutifs trop petits.
Je me mis également à perdre, à enlever ma chemise sur un corps sportif. Je vis même Natasha passer sa langue sur ses lèvres en voyant mon torse. Adèle s’obstinait à préférer le shot, et elle était maintenant complètement bourrée. Je me décidais donc à intervenir :
— Nous devrions peut-être arrêter, tout le monde a bien bu, et je pense que l’on va aller se coucher. — Oh fais pas le lâche, nous on a commencé à s’exhiber, on ne va quand même pas arrêter maintenant. — C’est clair et puis il n’y a rien de mal, on s’amuse.
Atif et Carlos m’intimidaient et je ne sus que répondre, à ma grande honte. La partie reprit donc de plus belle.Le moment fatidique arriva, Adèle recracha le shot, n’en pouvant plus, elle se leva donc timidement et retira tout doucement sa robe, nous dévoilant un ensemble de lingerie blanc magnifiquement sexy, avec ce tanga en dentelle mettant sa peau bronzée en valeur. Elle se rassit néanmoins immédiatement, cachant du mieux qu’elle peut son soutien-gorge.
Des sifflets un peu lourds se firent entendre de la part des 4 autres. Ils avaient bien vu que nous étions timides et jouaient à fond là-dessus pour nous chambrer.Les trois garçons firent tomber le jean et je pus constater des bosses impressionnantes dans les slips blancs de mes collègues qui depuis qu’Adèle avait quitté sa robe, n’avaient d’yeux que pour elle. Je voyais même Atif se caresser lentement par-dessus son caleçon.
La situation commençait vraiment à m’échapper, mais j’étais incapable d’intervenir, et Adèle semblait complètement dans les vapes.
Natasha et Carla firent tomber leurs soutifs, laissant échapper 4 gros seins lourds et pendants. Quand vint le tour d’Adèle, elle le retira si rapidement, toujours en tenant de cacher le mieux possible ses formes avec ses mains. Mais nous avions tous pu admirer ses deux petits seins ronds et bronzés avec des petits tétons qui pointaient. Je ne savais pas si la situation l’excitait un petit peu ou si elle avait juste froid.
Je dus en premier me mettre nu, dévoilant un sexe en érection malgré moi, d’une taille normale de 16 centimètres sous les yeux de tout le monde. Ma fiancée me dévisagea quelque peu avec un peu de peur dans le regard. Natasha et Carla enlevèrent leurs strings sans aucune pudeur, en les jetant même au milieu de la table sous de grands éclats de rire. On pouvait distinguer que même leurs lèvres étaient pendantes et une touffe de poils bien fournie, surtout Carla qui était brune.
Atif nous sortit un sexe d’un bon 25 centimètres avec des couilles réellement énormes couvertes de poils gris, il resta une bonne minute debout pour bien nous montrer la taille de son membre. Adèle était quelque peu hypnotisée par ce chibre.
— Alors ma belle, tu n’en as jamais vu des comme ça ?
Cette remarque d’Atif à destination d’Adèle la fit totalement rougir et elle détourna les yeux.Mais elle n’avait pas encore tout vu, car Carlos exhiba un pénis d’une autre dimension d’un bon 30 centimètres bandé au maximum couvert lui aussi de poils. Il fit même un tour de table pour bien nous le montrer. Adèle paraissait choquée, mais en même temps complètement à l’ouest. C’est vrai que notre éducation catholique stricte ne nous avait pas habitués à ce type de soirée débauche et je sentais que nous n’étions qu’au début. Le dernier bastion finit lui aussi par tomber, c’était maintenant à Adèle de nous découvrir son intimité sous les chants humiliants et beaufs des 4 autres.
— Vas-y Adèle, montre-nous tes fesses, vas-y Adèle, montre-nous ton cul !!!
Elle fit tomber le tanga, les larmes au bord des yeux. Elle montra son sexe épilé vraiment appétissant, tel un fruit juste mûr à point et un fessier superbe dénué du moindre défaut. Nous étions quand même rassurés que ce cirque était sur le point de terminer, et prêts à nous rhabiller quand Atif proposa de poursuivre par un jeu auquel il venait de penser.
Chacun écrit un gage sur un papier que l’on met dans un bol et chacun en tire un au sort. Ce jeu se déroule en trois manches où les gages sont de plus en plus durs. Je ne fus pas surpris de la motivation des autres convives et moi comme Adèle n’avions pas le courage et la force de nous opposer à ce jeu. Une tournée de shot pour donner du courage nous acheva de toute résistance.
Cependant, ma fiancée et moi ne voulions pas participer à l’élaboration des gages, c’est donc Carlos et Atif qui écrivirent à notre place.La préparation de la première manche prête, nous nous installâmes dans les canapés, nus, chaque couple dans un canapé, le bol sur la table basse centrale.A suivre...
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