Je me réveille tôt ce dimanche matin, j’ai besoin d’aller me soulager, il fait encore nuit, je regarde mon réveil, il est 7h18.Après être sorti des toilettes, je vais prendre une douche, je me sens incroyablement détendu, je ne sais pas combien de temps je reste sous l’eau chaude, mais j’ai l’impression d’être sur un nuage... Je me sens léger, est-ce dû au départ d’Emma ? Je reviens dans ma chambre m’allonger, peut-être même me rendormir un peu, et dans le noir, je me rends compte que ma fille est allongée à mes côtés, j’avais complètement oublié qu’elle était restée dormir avec moi ! Mince il faut que je trouve un caleçon.Au moment de me relever, je sens sa petite main qui me retient et je retombe sur le lit. — Papa, attends.— Tu es déjà réveillée ma puce ?— Oui, le vide que tu as laissé dans le lit lorsque tu t’es levé m’a réveillée.— Ah oui, mais attends, je dois mettre quelque chose, je n’ai pas fait attention et suis revenu nu de la salle de bain. Soudain, je sens une petite main qui glisse sous le drap et qui me touche le sexe. Je sursaute ! — Mais ma chérie qu’est-ce que tu fais ? dis-je d’un ton surpris. Elle ne répond pas, mais je sens ses cheveux qui me frôlent le visage dans le noir de la pièce, et soudain ses lèvres se posent sur les miennes.Je me rends compte qu’elle aussi est nue, et ses petits seins rencontrent mon torse, je sens même ses petits tétons qui pointent.Mon cœur s’arrête de battre, mon cerveau se déconnecte, je ne comprends pas ce qu’il se passe... — Papa, je t’aime, laisse-moi prendre soin de toi... Je suis incapable de répondre, mon esprit est saturé de sentiments et d’images, je revois Lucile qui me sourit, une scène qui s’est déroulée lorsque nous étions de jeunes amoureux, puis je sens son souffle sur mes lèvres, humidifiées par la salive d’Eléonore qui me procure une sensation de froid, et je réalise que mon sexe est entouré par sa main et qu’il est en érection, une érection bien solide comme cela ne m’était pas arrivée depuis un moment, l’obscurité de la salle cache cette scène obscène et pourtant si naturelle. — Qu’est-ce qu’il se passe ma chérie ?— Chut, laisse-toi faire...
Je sens la couette glisser et ses cuisses se poser de part et d’autre de mon bassin, elle s’est installée à genoux sur moi, ses cheveux tombant me caressent le visage et je sens son parfum de la veille, une délicieuse odeur vanillée... Elle saisit à nouveau mon sexe qui était plaqué contre mon ventre pour le redresser à la perpendiculaire, sa petite a du mal à en faire le tour.Soudain une sensation de chaleur et d’humidité me saisit, elle descend doucement le long de mon sexe... Je penche la tête en arrière en expirant... je ferme les yeux... — Mais... mon ange ?— Hmmm, laisse-t-elle échapper, dans un soupir de soulagement. Je suis vaincu, elle prend possession de moi, je la sens monter et descendre sur mon sexe, son vagin est serré, accueillant, doux, bien humide, son mouvement est assez lent pour que cela dure, et assez rapide pour que nous prenions du plaisir.Dans le noir, je balade ma main sur sa poitrine, ses petits seins sont très agréables à caresser, ils sont différents de ceux de sa mère, mais ils me plaisent tout autant. Je me sens plein de vigueur, mon érection ne faiblit pas, bien au contraire.Eléonore est endurante, elle a ses 20 ans et sa fine silhouette pour elle, quel délice...Je sens à son souffle irrégulier qu’elle approche de l’orgasme, les parois de vagin se resserrent, je ne tiens plus, je saisis ses hanches dans un réflexe pour me retirer, mais elle me force à rester en elle. Mon souffle se coupe, je ne tiens plus, et me répands en elle, ce qui la fait jouir à son tour et un cri de libération déchire l’obscurité de la chambre. Elle se laisse tomber sur moi, sa tête dans le creux de mon cou, elle est en nage et elle est essoufflée.J’embrasse délicatement son front puis elle redresse la tête et m’embrasse amoureusement, cette fois-ci je réponds à son baiser...Elle se redresse et je sens mon sexe glisser du sien et en sortir, plein du mélange interdit de nos fluides. — Papa, est-ce que je peux continuer à prendre soin de toi ?— Il faut qu’on en discute ma puce, je ne me suis pas encore remis de ce qu’il vient de se passer. Est-ce que tu avais préparé ce qu’il vient de se passer ? Je la sens hésiter et sens une larme tomber sur moi. — Papa, dit-elle avec la voix serrée, je t’aime !— Je t’aime aussi ma chérie.— Mais est-ce que tu comprends que je suis amoureuse de toi ? J’aimerais être ta nouvelle femme, ta petite femme à toi, qu’on soit heureux ensemble jusqu’à la fin de nos jours !— Mon cœur... je crois que j’en serais très heureux, je crois que moi aussi je t’aime...— Oh mon amour, je t’aime, je m’étais préparé à ce moment pendant des années, maintenant je veux être celle qui partagera ce lit avec toi !— Ma chérie, nous sommes complètement fous, mais c’est vrai que nous ne sommes que tous les deux maintenant, laisse-moi un peu de temps, ce que tu me demandes est aussi fou que difficile à assumer, et pourtant je n’arrive pas à me dire qu’on pourrait faire marche arrière. Dans tous les cas, je suis ton père, et je t’aimerai toujours, quoi qu’il en soit. En attendant de réfléchir à ce qui nous arrive, nous nous levons. La suite prochainement.
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