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La bonne épouse

Chapitre 1

Où tout commence

Hétéro
Les temps étaient durs pour Alicia et Pierre. Ce dernier venait de perdre son boulot alors que Alicia n’avait toujours pas trouvé de poste. Pourtant, côté personnel, tout se passait très bien. Le couple avait mis en place un jeu dans lequel Pierre était soumis à son épouse.
Et Alicia finit par trouver un emploi dans une petite société de la région.
Tout se passait bien mieux puis Alicia invita son patron à manger pour « fêter » son sixième mois dans la société. La soirée se déroulait à merveille jusqu’au dessert. Alicia s’éclipsa pour aller chercher le gâteau, laissant Pierre avec Oscar, le patron de son épouse.
— Écoutez Pierre. J’aime beaucoup ce que fait votre épouse dans la société.— Je suis ravi de l’entendre.— Et son boulot n’est pas remis en cause. Elle a passé sa période d’essai.— Pourquoi cette précision ?— Parce que je veux qu’elle se sente à l’aise avec ce que je vais lui demander.— Lui demander quoi ?— D’être ma pute.
C’est à ce moment qu’Alicia revint dans la pièce.
— Ça se passe bien, Monsieur ? demanda Alicia à son patron.— Oui, mais ça pourrait être mieux.— Comment ?— C’est très simple : je veux une pipe. Je veux que tu me suces.
Alicia eut un mouvement de recul et regarda son mari. « Ne t’inquiète pas, il sait que tu peux refuser. » lança Oscar. Alicia baissa les yeux et s’accroupit devant son patron. Elle sortit son sexe du pantalon, et sans lâcher des yeux son mari, commença à le caresser. Très vite, Oscar durcit entre les mains d’Alicia. Elle finit par se pencher et prendre en bouche le sexe de son patron. Elle commença à faire aller et venir ses lèvres le long du sexe d’Oscar. Pierre, bouche bée, ne pouvait quitter du regard la scène qui se déroulait devant lui. Alicia usa de sa langue sur le gland de son patron. Elle lécha et suça chaque parcelle de la verge tendue. Elle lui goba les boules en le masturbant. Puis Oscar l’arrêta.
— Mets-toi à poil, ma petite cochonne, ordonna Oscar.
Alicia se lava et fit tomber sa robe et ses sous-vêtements au sol. Maintenant nue, elle s’accroupit de nouveau devant son patron et le reprit en bouche. Elle continua à sucer Oscar pendant que Pierre ramassait les vêtements de sa femme et les repliait soigneusement pour les poser sur une chaise. Oscar semblait prendre un très grand plaisir dans la bouche d’Alicia. Pierre continuait de regarder sa femme, la bouche vissée sur le sexe de son patron. Soudain, Oscar agrippa Alicia par les cheveux et la fit reculer. Il jouit d’un coup. Son sperme vint s’écraser sur le visage d’Alicia.
Oscar se releva alors puis se rajusta. Il prit le dessert devant Pierre médusé et Alicia toujours nue et à genoux, le visage maculé de sperme. Une fois son dessert avalé, il se leva, remercia ses hôtes et quitta la maison non sans donner rendez-vous à son employée le lundi matin.
— Chérie ? Qu’est-ce qu’il t’a pris ? demanda froidement Pierre.— Rien de particulier. Il voulait une pipe. Je n’ai pas pu lui refuser.— A moi, tu le refuses !— Oui, mais lui je ne l’aime pas.— Et alors ?— Je ne peux pas me comporter comme la dernière des salopes avec l’homme que j’aime... Avec toi, je suis une femme aimante, une bonne épouse. Avec lui, je me contente d’être un sex-toy... Et il a une belle bite. Ça me change de ton cornichon qui pue... N’en parlons plus. J’ai décidé. Tu obéis.
Le lundi matin, lorsque l’heure fut venue, Alicia s’apprêta pour aller travailler. Elle enfila une belle pièce de lingerie, une jupe serrée, un chemisier et une paire d’escarpins. Elle se rendit au travail et commença sa journée, comme d’habitude, pour aller voir son patron pour les consignes.
— Alicia, vous avez envoyé le devis à M. Keustome ?— Oui, Monsieur.— Et vous avez fait passer le planning aux équipes ?— Oui, Monsieur.— Bien... Ça avance bien pour la soirée de fin d’année ?— Oui, Monsieur. J’ai contacté le lieu et nous avons...— C’est parfait, Alicia... Tu es une prostituée ?— Non, Monsieur.— C’est bien ce que je pensais. Donc nous n’allons pas envisager une rétribution pécuniaire pour tes extra. Mais il me semble normal que ta contribution soit récompensée. Ta participation sera mentionnée dans les nouveaux contrats avec les clients. A ce titre, tu recevras une part des bénéfices.— Comme vous voudrez, Monsieur.— Prépare l’avenant à ton contrat en ce sens, tu recevras par mail les conditions de cet avenant.— Très bien, Monsieur... Merci, Monsieur.— Dernière chose : tu portes une culotte ?— Oui, Monsieur.— Tu vas aux toilettes, tu l’enlèves et tu me l’apportes... Et tu n’en mettras plus sauf nécessité.
Alicia se rendit aux toilettes et y entra. Elle souleva sa jupe et fit descendre sa fine pièce de lingerie le long de ses jambes. Elle rajusta sa jupe, et cachant sa culotte dans sa main, ressortit des toilettes pour retourner dans le bureau de son patron. Elle frappa et entra dans le bureau. Oscar était à sa place. Face à lui, il y avait deux clients, le rendez-vous de 9h30 qu’elle avait oublié.
— Alicia ? Vous avez quelque chose pour moi ?— Oui, Monsieur, mais... tenta Alicia avec un mouvement de tête pour indiquer la présence des clients.— Il n’y a pas de ‘mais’ qui tienne.— Oui, Monsieur.
Et elle lui tendit la pièce de lingerie qu’elle tenta de dissimuler au mieux. Lorsqu’il eut entre les mains, Oscar déplia la culotte et l’examina devant les clients. Ils regardèrent Alicia avec un petit rictus qui trahissait leur libido.
La journée se déroula ainsi. Alicia, nue sous sa jupe, ne se sentait pas mal comme elle l’aurait pensé. La sensation nouvelle du frottement de sa jupe directement sur ses fesses nues n’était pas sans lui déplaire. Lorsque la journée fut finie, Alicia retourna voir son patron.
— Puis-je récupérer ma culotte, Monsieur ? lui demanda-t-elle.— Non.— Je ne vais pas rentrer chez moi comme ça ?... Mon mari...— Est assez intelligent pour savoir ce qui allait se passer après ce week-end, la coupa-t-il.
Alicia quitta alors son bureau et retourna chez elle sans cette petite protection. Bien évidemment, son mari s’aperçut du manque. Il fut vite rembarré par son épouse. Elle lui rétorqua qu’il n’avait pas à se soucier de ce qu’elle faisait de sa journée avec son patron.
Les semaines suivantes, hormis qu’Alicia se rendait au travail sans sous-vêtements, rien ne semblait changer. L’attitude d’Oscar envers elle était la même. Il ne lui demandait rien de plus qu’avant cette fameuse soirée. Pour autant, elle avait remarqué que son salaire avait augmenté suite à l’attribution de primes. Elle se satisfaisait de cette situation et son mari s’était fait une raison.
— Alicia, dans mon bureau !
Cette simple phrase prononcée au téléphone par Oscar la fit bondir. Qu’avait-elle fait ? Pourquoi un ton si dur ? Elle accourut dans le bureau de son patron qui la fit entrer et lui demanda de fermer la porte.
— Tu portes une culotte aujourd’hui ?— Non, Monsieur. Comme vous me l’avez ordonné.— Montre-moi... Parfait, dit Oscar en voyant Alicia soulever sa jupe jusqu’à dévoiler son sexe nu. Tu vas appeler ton mari tout de suite, ici, et lui dire que tu dois rester tard parce que j’ai besoin de toi pour un dossier.
Alicia s’assit sur le bureau d’Oscar et téléphona à Pierre. Durant toute la conversation, Alicia fut contrainte de caresser le sexe d’Oscar. Tout en branlant son patron, elle expliqua à son mari qu’elle devait finir un dossier urgent et que, par conséquent, elle devait rentrer un peu plus tard le soir. Pierre, sans être ravi de la situation, l’accepta.
Le soir, lorsque tous les autres employés avaient quitté les locaux, Oscar appela Alicia. Après lui avoir ordonné de fermer la porte, il l’emmena fermement vers le bureau. Il sortit son sexe et obligea Alicia à s’agenouiller pour lui enfoncer la verge dans la bouche. Il entama alors de brutaux va-et-vient dans la bouche de son employée.
— Tu aimes ça la bite ?— Non... Monsieur... bredouilla-t-elle entre deux coups de verge.
Les couilles d’Oscar venaient frapper le menton d’Alicia. Elle commençait à baver abondamment pour tenter de lubrifier sa bouche. Des larmes d’étouffement commençaient à couler de ses yeux rougis. Soudain, Oscar ressortit de la bouche d’Alicia. Il la fit se pencher sur le bureau et lui retroussa la jupe mettant à nu ses fesses. Il la fessa avec férocité. Ses mains marquaient les courbes rebondies. Il écarta ensuite les fesses d’Alicia. Il commença à caresser le petit trou de son employée.
— Qu’est-ce que vous faites ? demanda Alicia.— Je te prépare.— Pour quoi ?— J’ai envie de t’enculer, lui répondit sèchement Oscar.— Mais je n’ai jamais fait ça. Je n’ai pas envie. C’est pas normal... et c’est sale.— Tu te trouves normale, le cul à l’air dans le bureau de ton patron ? Après avoir menti à ton cher époux ?— Ce n’est pas pareil.— Et tu vas aussi me dire que tu n’es pas une sale chienne perverse ?
Sur ces mots, Oscar cracha sur le petit trou d’Alicia. Il lui enfonça un doigt entre les fesses. Il commença à ramoner l’anus d’Alicia qui gémissait sous cette nouvelle sensation. Peu après, il dirigea un deuxième doigt dans le petit trou de son employée. Oscar tenait dans son autre main son sexe dur et couvert de la bave d’Alicia. Quand il estima l’anus de la jeune femme assez ouverte, il retira ses doigts et présenta son sexe à l’entrée du petit trou.
Oscar s’enfonça petit à petit dans l’anus d’Alicia. Cette dernière cria au fur et à mesure de l’avancée de la verge en elle. Lorsque les couilles d’Oscar arrivèrent contre les fesses d’Alicia, il se mit à bouger petit à petit. Il fit de petits aller-retour comme pour amadouer sa nouvelle pouliche. Lorsqu’elle fut à point, il lui claqua violemment les fesses. Une fois ses doigts marqués sur les fesses rebondies d’Alicia, Oscar lima plus sauvagement la jeune femme. Alicia commença à hurler son plaisir douloureux. Son anus le brûlait. Chaque coup de boutoir d’Oscar la faisait tressaillir. Très vite, un orgasme puissant la terrassa. Elle manqua de perdre connaissance tant son plaisir était immense.
Lorsqu’elle revint à elle, Oscar lui mit sa verge dans la main. Il la contraint de se masturber jusqu’à ce qu’il jouisse lui aussi. Il juta sur le carrelage de son bureau. Il obligea Alicia à nettoyer le sol avec des mouchoirs, les fesses découvertes, pendant qu’il se rhabillait. Une fois le sol propre, il renvoya son employée chez elle.
Les semaines suivantes, Oscar contraignit Alicia aux mêmes types de traitement. Elle dut sucer la verge de son patron et se fit sodomiser à plusieurs reprises.
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