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La bonne épouse

Chapitre 3

Où tout se poursuit

Hétéro
— J’espère que tout est prêt pour le séminaire, Alicia, demanda son patron à Alicia.— Oui, Monsieur. J’ai réservé pour 8 comme demandé.— Très bien.
Alicia avait tout préparé pour le séminaire de sa société : 3 jours de retraite et d’échanges dans un domaine arboré. Tout était pris en charge par la société. De la réservation du domaine aux repas en passant par les domestiques du domaine. Quelques tables rondes étaient prévues et Alicia devait être présente pour l’intendance. Elle arriva comme prévu le mardi en début d’après-midi au domaine. Elle fut accueillie par Oscar qui était étonnement déjà là. Elle fut amenée à l’accueil où elle fut prise en main par une hôtesse.
— Veuillez me suivre, Madame. Je vais vous guider vers votre chambre.— Je vous remercie.
Elles montèrent toutes les deux à l’étage. L’hôtesse fit entrer Alicia dans une chambre.
— Ceci est votre chambre pour ce soir, Madame.— Pour ce soir ? demanda Alicia.— Oui. Je laisserai un autre vous expliquer... Dans le placard, vous avez les tenues choisies pour vous... Voici le code Wi-Fi pour vous connecter. Une adresse vous permettra de passer des appels visio à votre mari.
C’est à ce moment qu’Oscar entra dans la chambre.
— Te voilà arrivée.— Oui, Monsieur.— Ce soir, tu dormiras dans ma chambre, lui dit-il. Mais ça ne veut pas dire que tu n’iras pas dans d’autres chambres selon mon bon vouloir.— Pourtant, j’ai réservé 8 chambres.— Oui, mais nous sommes 9. Donc tu iras de chambre en chambre... Tu obéiras ?— Ai-je le choix ? demanda Alicia.— Bien sûr.
Et Alicia baissa les yeux pour donner son accord. Son patron lui indiqua alors le placard et lui donna le nom d’une tenue qu’elle devait revêtir. Tel un automate, Alicia sortit du placard les vêtements de la tenue. Elle se mit nue devant son patron puis enfila la tenue choisie : un simple chemisier et une jupe très courte assortis d’une paire de sandales à talons hauts. Oscar guida ensuite son jouet vers une salle de réunion. Toute l’équipe attendait là. Ils regardèrent Alicia avec beaucoup d’envie. Oscar indiqua à Alicia un tabouret dans le coin pour s’installer.
— Tu restes là. Si quelqu’un a besoin de quelque chose, il te fera signe. Ne croise pas les jambes.— Oui, Monsieur, répondit Alicia.
Montant sur le tabouret, Alicia s’aperçut que tout le monde avait une vue imprenable sous sa jupe. Elle passa tout l’après-midi sur le tabouret, ne se levant que pour finir de l’eau ou un café à qui le voulait. A chaque fois, elle était scrutée par l’ensemble des personnes présentes qui ne perdaient pas une miette de sa montée sur le tabouret.
Quand l’après-midi fut finie, l’équipe profita de l’extérieur arboré du domaine. Alicia suivit à sa demande son patron. Lorsqu’ils furent un peu à l’écart, Oscar défit sa braguette et fit jaillir son sexe.
— J’ai attendu ça toute l’après-midi. Tu m’as bien excité à te balader habillée comme une catin. Suce-moi ! ordonna-t-il.— A vos ordres, Monsieur, répondit Alicia en s’agenouillant.
Elle prit le sexe de son patron en bouche. Il était d’une dureté rare. Il devait avoir été bien émoustillé par son jouet, quasi nu aux yeux de tous. Alicia fit aller et venir ce barreau de chair entre ses lèvres. Sa langue caressa le gland tendu duquel perlait un liquide de plaisir. Telle la chienne qu’il avait faite d’elle, Alicia lécha la verge de son patron avec avidité. Elle gobait chacune des bourses en masturbant le sexe raidi. Puis sa langue et des lèvres s’occupaient de la hampe et du gland violacé. Elle tétait, léchait, suçait la moindre parcelle du sexe que son patron lui avait offert. Soudain, il posa sa main sur la nuque d’Alicia et enfonça son sexe profondément dans la bouche de son employée. Alicia sentit un flot de sperme se déverser dans sa gorge. Son patron la maintint en place, l’obligeant à avaler sa liqueur. Lorsqu’elle eut tout avalé, Oscar relâcha son emprise et Alicia put laisser sortir le sexe de son patron de sa bouche.
— Tu peux retourner à l’intérieur. Ils vont servir l’apéritif et le dîner.
Effectivement, lorsqu’elle revint dans la demeure, les employés étaient en train de tout préparer. Alicia prit place aux côtés de son patron pendant le repas. Au moment du dessert, Oscar se pencha vers elle.
— L’un des desserts contient une surprise. Tu iras passer la nuit dans la chambre de celui qui l’a eue.— Très bien, Monsieur. Et si c’est moi qui l’ai ? demanda-t-elle.— Alors on ne mettra plus les pieds ici, répondit Oscar en rigolant doucement.
Lorsque le repas et la soirée furent finis, chacun partit vers sa chambre. Oscar prit Alicia par la main et l’entraîna vers les chambres, à l’étage. Ils passèrent devant la chambre d’Oscar et continuèrent dans le couloir. Puis Oscar s’arrêta devant une porte à laquelle il frappa. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit sur Gary, un homme d’une bonne quarantaine d’années, un peu bedonnant et avec une forte calvitie.
— Gary, je te présente une bonne petite salope, lui dit Oscar.— Merci patron... T’es vraiment le meilleur boss du monde ! répondit Gary en ricanant.
Et Oscar proposa à son employée d’entrer à l’intérieur de la chambre. Gary la prit dans ses bras. Celui-ci ne perdit pas une seconde et commença à tripoter les seins et les fesses d’Alicia. Oscar suivit Alicia dans la chambre et prit place dans le fauteuil.
Gary s’installa sur le lit et attira Alicia vers lui. Très vite, il sortit son sexe et attira la bouche d’Alicia vers celui-ci. Comme un automate, Alicia ouvrit ses lèvres et laissa entrer le sexe de Gary dans sa bouche. Elle se mit à le sucer comme elle l’avait fait quelques heures plus tôt avec son patron. Gary appréciait vivement la caresse. Oscar ne perdait pas une miette du spectacle que lui offraient ses employés. Très vite, la dextérité d’Alicia eut raison de Gary. Il la repoussa et dirigea un jet de sperme puissant sur le visage de la jeune femme.
Gary se rajusta pendant qu’Oscar relevait Alicia et lui tendait des mouchoirs pour se nettoyer.
— Merci boss... Ça faisait trop longtemps que je n’avais pas été sucé par une bouche à pipe comme celle-là.
Oscar entraîna Alicia jusque dans le couloir. Alors que la jeune allait repartir vers la chambre de son patron, celui-ci frappa à la porte juste en face de celle de Gary. Will, un grand un peu sec, ouvrit la porte.
— Je viens pour te présenter une traînée, dit Oscar à Will.— Rentrez, dit Will.
Comme la première fois, Oscar entra dans la pièce et s’installa sur le fauteuil près du lit.
— Je peux lui faire ce que je veux ? demanda Will à Oscar.— Oui, si elle veut bien, répondit le patron.— Mais vous savez que j’aime... Enfin, vous savez...— Elle a l’habitude.
Will se retourna vers Alicia et lui demanda de se dénuder. Alicia ouvrit son chemisier, le fit tomber au sol avec sa jupe et retira ses chaussures. Une fois nue, Will lui demanda de venir se mettre à quatre pattes sur le lit. Il s’approcha de la bouche du visage d’Alicia. Il lui mit sa verge dans la bouche. Tout en pénétrant la bouche d’Alicia, il se servit de sa grande taille pour insérer un doigt puis deux entre les fesses de la jeune femme. Quand il la jugea à point, il se retira de la bouche d’Alicia et vint se mettre derrière elle. Il pointa sa verge couverte de salive sur le petit trou ouvert.
— Je peux ? demanda-t-il.— Monsieur ? interrogea Alicia.— C’est toi qui décides. C’est ton petit cul après tout, répondit Oscar.
Alicia acquiesça. Will poussa alors d’un coup sec et pénétra l’anus d’Alicia. La tenant fermement par les hanches, il se mit à la besogner avec vigueur. Alicia gémissait son plaisir sans retenue. Oscar regardait un petit sourire son employée, son jouet, se faire enculer par un autre. Will agrippa les cheveux d’Alicia et la sodomisa encore plus fort. Alicia se mit à hurler de plus en plus fort. Will sortit alors de l’anus de la jeune femme et jouit sur ses fesses.
Pendant qu’Alicia nettoyait ses fesses, Oscar rassemblait les affaires de son employée. Alors qu’elle lui tendit les bras pour récupérer ses vêtements, Oscar ricana et se dirigea vers la porte. Il ordonna à son jouet de venir avec lui. Ils se retrouvèrent dans le couloir où Oscar marqua une pause.
— Tu te souviens de ce que je t’ai dit à table ? demanda le patron.— Sur le dessert, Monsieur ?— Oui.— Oui, je me souviens, Monsieur.— Parfait... Donc, là, on va voir le vainqueur.— Et les deux premiers ? interrogea Alicia.— Eux ?... C’est juste parce que tu es une grosse salope qui aime se faire baiser. Je ne t’ai rien demandé. Tu as tout fait de ton propre chef.
C’est à ce moment qu’un employé du domaine passa dans le couloir. Il dévisagea la jeune femme et se mit à sourire. Oscar attrapa Alicia par le bras et l’entraîna de l’autre côté du couloir, vers une troisième chambre.
— Bravo David ! Tu as tiré le gros lot. Du coup, ce soir, si elle accepte, tu pourras tirer la grosse chienne, dit Oscar.— Merci Chef !
Et Oscar se poussa pour laisser entrer Alicia à l’intérieur de la chambre. Il referma la porte et laissa son employée avec cette grande armoire à glace.
David agenouilla Alicia et lui mit sa verge dans la bouche. Il baisa pendant quelques minutes la bouche d’Alicia qui dégustait alors sa quatrième verge de la journée. Il faisait taper ses boules contre le menton de la jeune femme. Son gland venait lui frapper le fond de la gorge. La tenant fermement par la nuque, David usait et abusait de la bouche de la jeune femme.
Il l’emmena ensuite sur le lit où il l’installa sur le dos. Silencieusement, il monta sur le lit entre les cuisses d’Alicia. Il pointa sa verge à l’entrée du sexe de la jeune femme. Toujours sans un mot, il la pénétra. Il commença à aller et venir entre ses cuisses sans douceur. Il la besognait avec vigueur, arrachant des soupirs de plaisir à Alicia. Ses coups de boutoir se faisaient de plus en plus féroces. David commençait à sentir le plaisir monter en lui. Il se retira d’un coup sec et se recula. Il observa sa partenaire nue et les cuisses largement écartées devant lui.
— Caresse-toi.

Alicia fit glisser ses doigts sur son sexe coulant et sensible. Devant elle, David observait la jeune femme qui se masturbait. Très vite, elle s’embrasa. Son corps fut pris de tremblements et de soubresauts. Elle jouissait pour la première fois de la journée malgré tout ce qu’elle avait donné jusque-là aux hommes de la société.
David la retourna alors et, sans la prévenir ni même la préparer, il enfonça sa verge toujours raide dans l’anus de la jeune femme. L’agrippant par les épaules, il entama une violente pénétration d’Alicia. Chaque coup semblait arracher à sa partenaire des cris de douleur. Elle était enculée comme jamais elle ne l’avait été auparavant. Si la pénétration anale n’avait plus de secret, pour elle depuis que son anus avait été défloré par son patron, celle-ci lui semblait plus brutale que jamais. Elle subissait cette sodomie avec difficulté. Heureusement pour elle, son étalon ne put tenir longtemps et il se déversa dans son rectum dans un grand râle. Il s’écroula ensuite sur le lit, attirant Alicia auprès de lui.
A plusieurs reprises, David réveilla Alicia pour user de ce corps qui lui avait été offert.
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