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La bonne épouse

Chapitre 5

Où tout prend fin

Avec plusieurs hommes
Quelques semaines après le retour d’Alicia du séminaire, Oscar organisa la réunion annuelle avec certains clients et employés autour d’une soirée. Il ordonna à Alicia de venir et d’inviter son mari. La soirée se passait dans les locaux de la société, un vendredi soir.
Alicia avait pour ordre de rester au travail ce jour-là et de rejoindre son patron dans son bureau avec Pierre à l’arrivée de celui-ci. Et c’est ce qu’elle fit. Vers 19h, quand Pierre arriva, ils se rendirent dans le bureau d’Oscar.
— Pour ce soir, je t’ai choisi une tenue. Tu sais comme j’aime te vêtir ma poupée qui dit toujours oui, dit Oscar à son employée en lui tendant un paquet.— Oui, Monsieur.— Elle va se changer et elle revient, tenta Pierre.— Inutile, elle peut se changer ici, répondit Oscar.— D’accord, Monsieur.
Alicia commença à se déshabiller sous les yeux de son mari et de son patron. Elle fit tomber au sol sa jupe, son débardeur et son soutien-gorge. N’ayant pas le droit de mettre de culotte au bureau, elle se retrouva nue, perchée sur ses sandales à talons. Puis elle ouvrit le sac dans lequel se trouvait sa tenue du soir : une jolie robe noire pailletée qui lui descendait aux genoux, dos nu et fendue jusqu’au haut des cuisses. Une fois qu’elle fut habillée, Oscar sortit son sexe.
— On a un peu de temps devant nous. Suce-moi !
Alicia s’approcha de son patron et se mit à genoux devant lui. Elle prit le sexe déjà dur en bouche sous les yeux de son mari. Pierre savait qu’il devait s’attendre à ce genre de choses alors il ne dit rien en voyant sa femme faire une pipe à son patron. Alicia, consciente de se donner en spectacle, suçait avec avidité la verge d’Oscar. Elle faisait aller et venir ses lèvres le long de la hampe, elle léchait les boules. Elle tétait le gland violacé. Pierre, honteux, ne voulait pas regarder, mais il ne pouvait détacher les yeux de sa femme. Malgré tout, cette traînée suceuse de bite, il l’aimait.
Oscar mit fin à la caresse parce qu’il ne fallait « pas faire attendre les invités ». Il proposa à Alicia de se rendre dans les toilettes pour rafraîchir son maquillage et sa coiffure avant de rejoindre tout le monde dans la grande salle de réunion. Il s’y rendit avec Pierre. Sur le chemin, il ne put s’empêcher de revenir sur ce qu’il s’était passé dans son bureau.
— Quand je l’ai vue nue, j’ai tout de suite eu envie d’elle, lâcha-t-il. Vous ne m’en voulez pas ?— Oui, quand même. Savoir que vous baisez ma femme, c’est une chose, le voir, c’en est une autre.— Je ne l’ai pas baisée. J’ai juste usé de sa bouche. Elle suce si bien, c’est un régal, vous le savez.— Non, je ne sais pas !— Pardon, j’avais oublié qu’elle vous refuse ça... Comme son cul d’ailleurs.— Ça vous amuse ?— Un peu... Mais je peux vous proposer quelque chose. Si vous acceptez que je joue avec votre femme ce soir et que vous gardiez une position de voyeur quoi qu’elle fasse, je peux vous promettre de lui demander de s’occuper de vous. C’est le mieux que je puisse faire pour que vous usiez de MA salope.

Pierre sentit monter une colère sourde qu’il dut calmer parce qu’ils arrivaient dans la salle de réunion. Elle était pleine de gens, avec au milieu, des serveurs qui proposaient des boisons et des petits fours. Quelques instants plus tard, la salle se tut lorsque Alicia y entra. Pierre s’élança vers son épouse, mais Oscar fut plus prompt. Il commença à passer d’invité en invité pour présenter Alicia, dernière recrue, et parler business. Pierre se sentait un peu abandonné et tentait de suivre son épouse de loin. Au bout d’un moment, il perdit de vue son épouse. Il fut alors abordé par Oscar.
— Vous avez pensé à ce que je vous ai proposé tout à l’heure ?— Quoi ? demanda Pierre, sachant très bien de quoi parlait Oscar.— Moi usant de votre femme et vous voyeur ?— Et j’aurai la possibilité de...— Oui, c’est une promesse.— Alors d’accord.
Oscar invita Pierre à le suivre. Ils sortirent de la salle de réception et s’engouffrèrent dans les couloirs. En arrivant devant les toilettes des hommes, Oscar indiqua à Pierre que sa femme était dedans. Sur les toilettes, il y avait un écriteau mentionnant que les toilettes n’étaient pas disponibles. Oscar ouvrit la porte et invita Pierre à entrer. A l’intérieur se trouvaient un homme et Alicia.
— Comme promis, vous êtes avec notre meilleure recrue de l’année et je vous présente son mari. J’espère que, après cela, nous pourrons voir notre collaboration s’améliorer encore, dit Oscar.— Cela ne dépend pas de moi, dit l’homme en regardant fixement Alicia.— Alicia, fais ce que tu fais de mieux, lui dit Oscar. Et, vous, on ne fait que regarder, on n’intervient pas, ajouta-t-il à l’attention de Pierre.
Alicia tomba alors à genoux sur le carrelage devant l’homme. Elle envoya les mains vers son pantalon. Rapidement, Alicia sortit le sexe de l’homme et le porta à sa bouche. Elle se mit à le sucer doucement, tendrement. Elle léchait et tétait toute la verge de l’homme, les yeux grand ouverts tournés vers le visage de l’homme. Pierre regardait son épouse en train de faire une pipe à un autre homme, un homme dont il ne connaissait ni le nom ni la relation qu’il pouvait avoir avec Oscar. Mais Alicia semblait obéir à son patron, docilement.
Puis l’homme releva Alicia et l’entraîna vers les lavabos, face aux miroirs. Il la pencha et lui releva la robe. Sans attendre, il pointa sa verge vers le sexe d’Alicia. D’un coup, il s’y enfonça. Grivoisement, il signala que la jeune femme mouillait « comme une fontaine » parce qu’elle devait aimer « faire des pipes dans les toilettes comme une salope. » Pierre avait envie de réagir, mais l’optique de pouvoir ensuite fourrer sa bite dans la bouche de sa femme le fit se retenir. L’homme besognait Alicia qui haletait et gémissait de plaisir. Dans le miroir, elle s’observait en train d’être prise sous le regard de son mari et de son patron. Mais très vite, l’homme ne put retenir son orgasme. Il se retira d’Alicia et laissa échapper son sperme au sol. L’homme se rajusta et quitta les toilettes pendant que Alicia nettoyait le sol. La jeune femme, son mari et son patron retournèrent ensuite vers la salle de réunion.
Pierre avait envie de hurler sa frustration à Alicia, mais il y avait trop de monde autour d’eux pour ça. Alors, il restait sagement à ses côtés. Quelques minutes plus tard, Oscar s’approcha du couple.
— Il faut que vous me suiviez. Will a besoin de vous sur un dossier, dit-il.— Quand est-ce que je pourrai... tenta Pierre.— Pas encore, elle n’est pas encore disponible.
Le couple suivit le patron jusqu’à son bureau. Ils y entrèrent et virent Will avec un autre homme, un client potentiel probablement.
— Ah ! Alicia ! Tu vas m’être d’un grand secours, lui dit Will enjoué.— Que puis-je faire ?— Tu devrais laisser faire Will, lui dit son patron.
Alicia s’avança alors vers Will qui la prit dans ses bras pendant que Oscar fermait les stores et la porte de son bureau à clé. Will commence à caresser Alicia. Oscar jeta un regard à Pierre qui semblait lui dire de ne pas bouger et de regarder. L’homme défit sa braguette et en sortit son sexe. Machinalement, Alicia voulut s’approcher de lui afin de lui sucer le sexe comme on lui demande régulièrement de le faire. Mais Will l’arrêta. Il l’entraîna derrière le bureau et la fit s’y pencher. D’un geste sûr et rapide, il remonta la robe dévoilant ses fesses nues. Il se pencha sur Alicia et lui susurra à l’oreille :
— Il aime regarder des femmes jouir. Il va se branler en te regardant. Et si en plus, elles ont un peu mal, il adore ça.
Alicia sentit alors le sexe durci de Will pousser sur son petit trou. Sans ménagement, il investit le petit trou d’Alicia lui arrachant un râle de plaisir et de douleur mêlés. Will s’enfonça en elle au plus profond. Cette pénétration anale semblait durer des heures à la pauvre Alicia. Une fois qu’il fut bien en elle, il lui rappela qu’elle devait regarder devant elle. Alors que la verge de Will allait et venait entre ses fesses, Alicia avait les yeux perdus devant elle. Son regard passait sur le client qui se masturbait, la queue noueuse au gland violacé à la main. Puis il allait vers son mari qui la regardait avec un air mélangé de honte, de tristesse, de colère. Enfin, elle regardait Oscar qui lui souriait, visiblement ravi de la salope qu’il avait faite d’elle.
Will s’agrippa aux hanches de la jeune femme et augmenta le rythme de la sodomie. Elle gémissait son plaisir. Ses yeux avaient du mal à cacher sa douleur. Devant elle, le client se masturbait de plus en plus fort comme s’il suivait la fréquence des coups de boutoir de Will. Soudain, il se figea et une belle giclée de sperme s’échappa de son sexe. Elle vint s’écraser au sol devant lui. Will sortit alors de l’anus d’Alicia et jouit sur ses fesses.
Alors que les deux hommes se rajustaient, Alicia essuyait le sperme de Will sur son cul. Une fois qu’elle fut ‘propre’, elle se redressa et remit sa robe en place. Will et le client avaient quitté la pièce et Alicia suivit de peu. Pierre arrêta alors Oscar :
— Et moi ? Quand est-ce que ce sera mon tour de baiser ma femme ? demanda-t-il.— Bientôt. Elle n’est pas encore tout à fait prête. Elle n’est pas encore tout à fait la traînée qu’elle doit être, lui répondit le patron.
La soirée n’était plus tout jeune et les premiers invités étaient partis. Pierre n’avait jamais été aussi excité. Il attendait avec impatience l’ordre d’Oscar à son employée pour qu’elle lui fasse ce qu’elle lui refusait depuis si longtemps. Mais cet ordre n’arrivait pas, toujours pas. Lorsqu’il ne restait plus que les serveurs, Oscar, Pierre et Alicia, la jeune femme fut appelée par son patron.
— Alicia, tu as été très bien ce soir, comme d’habitude.— Merci, Monsieur.— Mais il me reste une dernière chose à te demander.— Tout ce que vous voudrez, Monsieur.— Enlève tout ce que tu portes.
Et Alicia s’exécuta. Elle se retrouva nue au milieu de la pièce alors que les serveurs rangeaient les dernières tables.
— Messieurs, elle est à vous.
Trois hommes s’approchèrent de la jeune femme nue. L’un d’entre eux la pencha en avant et lui fourra sa verge dans la bouche. Un autre vint se poser à côté et Alicia dut partager sa langue et ses lèvres entre les deux membres. Le troisième, resté derrière elle, se mit à lui caresser le sexe. Il s’amusa de l’état d’excitation d’Alicia, montrant ses doigts trempés aux deux autres. Très vite, il sortit son sexe lui aussi et l’enfonça dans le sexe d’Alicia. Il commença à la besogner avec force alors qu’Alicia tentait de se tenir aux deux verges qu’elle suçait. Alicia gémissait, mais ses soupirs de plaisir étaient étouffés par les deux verges qui se succédaient dans sa bouche.
L’homme derrière elle quitta le sexe d’Alicia et se rapprocha de sa bouche. L’un des deux autres prit sa place entre les cuisses de la jeune femme. Une nouvelle fois, Alicia se retrouva avec deux verges dans la bouche et une troisième dans son sexe juteux. Pierre se déplaça pour mieux voir son épouse satisfaire les trois inconnus. Sa femme adorée se faisait baiser par trois hommes sous ses yeux, et de peur de ne pas avoir droit à ce qui lui avait été promis, il ne disait rien. Les places changèrent encore et le troisième se mit à baiser Alicia pendant que ses deux compères se faisaient sucer. Puis les trois hommes s’écartèrent pour reprendre leur souffle. L’un d’eux s’adressa alors à Oscar :
— On peut lui prendre le cul ?— Si elle le veut bien... Mais je suis sûr qu’elle acceptera. Son trou du cul est un vrai gouffre à bites, répondit Oscar.
Les mots du patron résonnèrent alors dans la tête de Pierre. Son épouse bien-aimée, si prude, qui ne se risquait pas de sortir des sentiers que sa morale étriquée lui autorisait, était-elle devenue ‘un vrai gouffre à bites’ ? La suite donna raison au patron.
Alors que l’un des hommes s’allongea au sol, un deuxième vint sodomiser la jeune femme. Le troisième reprit place dans sa bouche. Et c’est ainsi que, avec trois verges qui la pénétraient par les trois orifices qu’elle pouvait offrir, Alicia jouit bruyamment une première fois. A plusieurs reprises, les trois hommes échangèrent leurs places tel un manège pervers autour de la jeune femme. Chacun put profiter de son sexe gluant, de sa bouche avide et de son anus si serré encore. Ils mirent du cœur à ne pas jouir, ce qui permit à Alicia d’avoir plusieurs orgasmes à chaque fois plus fort.
Mais il fallait finir la soirée alors Oscar arrêta les trois hommes. Il invita Alicia à s’agenouiller et les trois hommes à venir jouir sur elle. Ils se branlèrent en posant leur gland sur le visage d’Alicia offert. A tour de rôle, ils déversèrent une bonne giclée de sperme chaud sur la jeune femme. Lorsqu’ils eurent fini, les trois hommes de rhabillèrent. Oscar permit à Alicia d’aller se nettoyer puis elle revint dans la pièce. Elle enfila la robe et Oscar libéra la couple.
Frustré, Pierre conduisit sa salope d’épouse jusqu’à chez eux. En arrivant, Alicia invita Pierre à s’asseoir sur le canapé et mit un DVD dans le lecteur. Sur la vidéo qui commença, on pouvait voir la salle de réunion du séminaire. Très vite, les choses tournèrent à l’orgie et Pierre put voir que sa femme s’était fait baiser par tous les hommes de l’assemblée.
— Et maintenant, le cadeau de mon patron, dit-elle en se mettant entre les cuisses de son mari.
Elle sortit le sexe de son époux et entama une douce fellation. Déjà bien excité par la soirée et la vidéo de la perversion de sa femme, Pierre ne tint pas longtemps et jouit une première fois dans la bouche de son épouse qui avala le tout. Mais elle ne lâcha pas pour autant sa proie. Elle continua à le sucer et un second orgasme vint remplir la gorge d’Alicia. Ce n’est qu’au troisième orgasme que Pierre demanda grâce.
Alicia expliqua alors à son mari que, dès lundi, elle allait travailler dans une autre société. La soirée était donc la dernière avec Oscar. En même temps qu’il l’avait libérée de son emploi, il l’avait libérée de son joug.
— Maintenant, je peux prêter le serment d’allégeance envers qui je veux, lui dit Alicia en répétant les mots de son ex-patron.— Très bien. Mais envers qui veux-tu prêter ton serment d’allégeance ? demanda Pierre, amusé des termes.— Si vous l’acceptez, à votre bite, mon amour, mon Maître.
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