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La bonne petite élève

Chapitre 1

c'est pas gagné!

Hétéro
Je m’appelle Stéphane, j’ai 36 ans et j’ai entre autres activités professionnelles la charge d’instruire et former de futurs professionnels dans une école de préparation à des concours. A ce titre je rencontre chaque année une quinzaine de jeunes femmes, pour ne pas dire filles, car elles ont en général entre 18 et 24 ans. Et je dois dire que jamais il ne m’était venu à l’idée de flirter avec une de mes élèves ! Je suis assez sérieux, et le travail c’est le travail ! Et cette année scolaire aurait dû ressembler aux autres... oui mais cette année, il y a Myriam. Une jeune fille de 18 ans à peine, d’origine marocaine, la peau très mate, des cheveux longs et très bruns, un corps massif, musculeux, un visage et des allures infantiles soulignés par une attitude et des vêtements un peu « quartier ». Elle est en effet beaucoup plus adepte du survêt-baskets que de la petite tunique bien féminine. Mais je dois dire qu’elle a un certain charme, auquel ne sont sans doute pas étrangères une apparente forte poitrine et une paire de fesses très charnue qui trône au bas d’une chute de reins à la cambrure très marquée.
Ô bien sûr elle ne fait jamais rien pour les mettre en valeur. Je pense qu’elle n’a pas conscience qu’elle peut éveiller la curiosité des hommes, et je pense même que cette simple idée la terrifierait ! Myriam est plutôt du genre à faire la dégoûtée quand ses camarades parlent de leurs petits copains, voire à se boucher les oreilles en hurlant lorsque les conversations ou même les cours parlent de sexualité ! Et le pire c’est que je la crois sincère. A mon avis elle n’a jamais connu d’hommes, pas même pour un baiser !Bref Myriam est une élève fort attachante, mais qui présente de très grosses difficultés en expression écrite et orale. Et ces difficultés l’ont conduite un jour à m’envoyer un mail tout à fait innocemment pour me demander si j’étais d’accord pour lui donner des cours de soutien le soir ou les après-midi off. Alors bien sûr, si je peux aider, c’est avec plaisir, mais j’avoue que quelques idées bien perverses m’ont traversé l’esprit... Mais abuser de ma position dominante avec une fille aussi fermée qu’elle ne sera pas chose aisée. Wait and see...Je m’empresse de répondre à son mail, pour lui dire que je suis évidemment d’accord pour l’aider, et que nous pourrons commencer dès le lendemain soir après les cours, dans mon bureau.
Le lendemain Myriam est bien présente en cours et elle a revêtu son jogging et son sweat habituels. Disons que si je m’étais un tout petit peu imaginé qu’elle profiterait des cours particuliers pour tester son pouvoir de séduction et bien je me serais totalement planté ! La fin de journée approchant, je profite d’une pause pour aller augmenter le chauffage dans mon bureau, histoire de peut-être lui faire enlever une couche de vêtement et en voir un peu plus. Il est 17h et après une petite pause-café, Myriam me retrouve dans mon bureau. Il y fait chaud, très chaud même, mais je n’ose pas encore lui proposer de lever son sweat. Je la fais s’installer à mon bureau, et rapidement nous nous mettons au travail. Au bout d’une quinzaine de minutes, elle m’interpelle :
— Monsieur, sérieux il fait super chaud dans votre bureau.— Oui je sais, je l’ai signalé à l’agent d’entretien, il doit s’en occuper dans la semaine, en attendant fais comme moi, mets-toi en tee-shirt.— Ouais, non, j’aime pas ! Mais bon il fait chaud c’est abusé !
Après quoi elle s’empresse de retirer son sweat. Je la retrouve alors dans un débardeur bleu, très près du corps. Et là inévitablement mon émoi commence à monter. Ses bras musclés, visiblement fermes, ses épaules lisses et très brunes, et bien évidemment sa poitrine... Elle m’apparaît énorme, surdimensionnée malgré son corps à l’allure massive et en dépit d’une épaisse brassière de type sportive. Je ne suis pas spécialiste mais je dirais que la petite fait bien un 110 F !!Réussir à profiter de tout ça ne va pas être simple mais j’ai ma petite idée...
Pendant que nous travaillons je la pousse dans ses retranchements, je la mets sous pression, je m’arrange pour qu’elle n’ait jamais la bonne réponse bref je veux qu’elle perde son calme. Au bout de quelques minutes c’est chose faite, elle envoie valser sa trousse, clame des insultes, se traite d’incapable. Peut-être vais-je avoir une ouverture... Je quitte ma position face à elle délaissant quelques instants sa délicieuse poitrine, pour venir me placer dans son dos. Plaçant une main sur son épaule je mets mon plan à exécution : « calme-toi Mimi, ce n’est rien, on va reprendre... », « non Monsieur, je suis nulle ! », « tu n’es pas nulle mais tu es trop tendue, stressée, laisse-moi faire » je place alors mon autre main sur sa deuxième épaule. Je les presse vigoureusement, puis j’effectue des gestes se rapprochant davantage du massage, sur ses épaules, puis sa nuque en passant sous ses épais cheveux bruns. Elle ne dit mot et semble même se détendre un peu. J’accentue la pression de mes doigts sur son cou, puis je descends mes mains sur ses omoplates et mes pouces décrivent de grands cercles sur le haut de son dos.
Après quelques minutes ainsi, je laisse glisser la pointe de mes doigts sur ses côtes, et le plus subtilement possible j’essaye de remonter jusqu’à la base de ses seins, gagnant quelques millimètres supplémentaires à chaque passage.
A ce moment la Myriam allonge sa tête sur le bureau, le visage coincé entre ses bras, comme pour dormir, mais vu le bruit que fait ma respiration qui s’accélère, je doute qu’elle s’endorme sereinement. Je ne veux pas risquer qu’elle s’offusque et me file entre les pattes, alors je préfère la jouer fine. Je continue quelques secondes à masser son dos et la base de ses seins de manière presque imperceptible, puis je descends sur ses lombaires que je masse pendant cinq bonnes minutes.

Puis je me redresse, lui demandant si elle s’est calmée, elle balbutie un peu puis m’annonce qu’il est l’heure pour elle d’y aller. Elle récupère ses affaires à la volée et s’enfuit en vitesse.Un peu interloqué, je m’assois sur mon fauteuil un peu désemparé. A ce moment-là il me paraît évident que je l’ai effrayé et que les cours particuliers sont sans doute finis.En rentrant chez moi, j’essaie d’oublier cette histoire avortée avant même d’avoir vu le jour puis en allant me coucher vers 23h30, je découvre un mail sur mon smartphone provenant de Myriam : « désolée d’avoir pété les plombs, j’aime pas échouer... et merci pour le massage, j’ai kiffé... »
Tout n’est peut-être pas perdu... A suivre
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