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La bonne petite élève

Chapitre 3

Hétéro
9h le lendemain matin, tout est prêt de mon côté pour recevoir Myriam dans les meilleures conditions. La maison est propre, aérée, le lit est fait et l’huile de massage trône sur ma table de nuit. Etonnant qu’elle ne soit pas là, être en retard n’est pas dans ses habitudes. J’attends encore cinq minutes puis je l’appellerai. Je suis trop impatient, trois minutes après j’ai mon téléphone à la main, légèrement anxieux qu’elle m’annonce que finalement elle ne viendra pas. Je n’ai pas le temps de passer l’appel que l’interphone résonne.C’est bien elle, elle monte. Gros ouf de soulagement pour moi mais aussi grosse montée de pression, cœur qui s’emballe et jambes qui flanchent. Je respire un grand coup et lui ouvre la porte.Aujourd’hui pas de soins particuliers, ses cheveux sont lâchés, peu coiffés, pas de maquillage et elle porte un survêtement et un sweat. Peut-être s’est-elle imaginé qu’en venant un peu négligée cela allait altérer mes ambitions... c’est mal me connaître. Alors que nous échangeons des banalités, je perçois le malaise chez elle, mains dans les poches, regard bas fixé sur ses baskets, elle se contente de répondre à mes questions de manière évasive. Pour détendre l’atmosphère et me laisser le temps d’envisager la suite, je me dirige vers la cuisine et lui propose de nous faire un café. A mon retour trois ou quatre minutes après, je la retrouve devant la porte-fenêtre donnant sur mon balcon, le regard perdu au loin, en train de se ronger les ongles. Cet état de stress apparent va me donner l’occasion d’établir un premier contact physique. Je dépose les tasses de café sur la table basse et à pas feutrés je m’approche d’elle. Arrivé à une trentaine de centimètres d’elle je pose mes mains sur ses bras, toujours aussi fermes et charnus. Cela a pour effet de la faire légèrement tressaillir et revenir à la réalité.
— Tout va bien Myriam ?— Oui ça va, je stresse un peu quoi.— Je te résume la situation : tu me dois de l’argent pour les cours, tu n’as pas cet argent et moi je ne veux pas que tes parents payent davantage. Moi j’adore m’occuper de toi en te massant et donc je te propose de me payer en me laissant te masser. Où est le problème ? Tu es doublement gagnante !— Oui c’est vrai, mais vous m’avez dit que je n’aurais pas besoin de vêtements, c’est ça qui me stresse.— Hum... je comprends Mimi, mais tu ne dois pas t’inquiéter. Tu sais le massage c’est une pratique de bien être très répandue à travers le monde et pour être vraiment efficace ça doit se pratiquer sur peau nue. Mais écoute, tu garderas tes sous-vêtements si tu veux. Et puis tu sais, tu es une gamine pour moi, on a presque 20 d’écarts, je n’ai pas d’intentions malsaines, je veux juste t’apporter un peu de détente. Ça va bien se passer. Allez, viens boire ton café.
Que Dieu s’il existe me pardonne ce vilain mensonge ! Evidemment que j’ai des intentions malsaines !Nous nous installons sur le canapé pour boire notre café, et je dois dire que je ne suis pas sûr que mon discours l’ait beaucoup détendu ! Mais maintenant nous y sommes, pas moyen qu’on revienne en arrière. Le café avalé, j’essaye de prendre la voix la plus relax et détendue possible pour lui dire : « Bon on s’y met ? ». Elle esquisse un léger sourire et prend une profonde inspiration qui écarquille ses narines et soulève sa poitrine généreuse. « Allez viens suis moi » lui dis-je en étant à deux doigts de lui prendre la main. Mais je me retiens, histoire de ne pas paraître trop pressé. Je me lève et me dirige vers ma chambre d’un pas décidé, j’ouvre la porte que je maintiens pour laisser entrer Myriam dont le pas est beaucoup moins assuré que le mien. Je referme la porte derrière elle :
— Enlève tes vêtements et allonge-toi sur le lit. Je vais nous mettre de la musique zen.
Ce faisant et bien que je sois à l’autre bout de la pièce, je l’observe se déshabiller. D’abord son sweat, puis son tee-shirt de sport informe. Elle est dos à moi et j’aperçois alors un soutien-gorge noir à large bretelle, je penche un peu ma tête pour me dégager l’angle de vue et ce que je vois est à la hauteur de toutes mes espérances. Je peux à présent voir son sein droit, enfermé dans le tissu de ce soutif on ne peut plus classique. Le volume de ce sein est tout simplement énorme. Mais pas le genre énorme, flasque et gras. Non plutôt énorme et ferme ! Pour ne pas être pris la main dans le sac en train de la mater, je me tourne vers la chaîne hi-fi et lance la musique. Avant même que je me retourne Myriam m’interpelle : « est-ce que je peux garder mon pantalon ? ». Je suis un peu agacé mais je veux y aller en douceur : « oui si tu veux, au moins au début... ». J’ose enfin me tourner et je la découvre allongée sur le lit. Elle s’y est installée en une fraction de seconde, sans doute pour éviter que je n’aperçoive sa poitrine.
Je m’approche du lit et je prends quelques secondes pour bien la regarder. Son visage est planté dans l’oreiller, comme un enfant qui cherche à se cacher, ses bras nus sont étendus le long de son corps, serrés comme pour masquer la vue sur ses cotes et ses seins. Ses longs cheveux d’un noir profond sont jetés pêle-mêle sur son dos ne dévoilant que par zébrures sa peau très mate, presque noire. Mes yeux descendent encore et se posent sur le creux de ses reins magnifiquement cambrés desquels émergent de part et d’autre de la colonne vertébrale deux magnifiques fossettes rondes. Puis son cul, malheureusement recouvert de son jogging, qui ne masque pas à quel point ses fesses sont rebondies, charnues, sans doute très musclées.Je dirige vers la table de nuit, saisis la bouteille d’huile et m’assois sur le bord du lit, de sorte que ma hanche soit en contact avec la main gauche de Myriam, toujours étendue le long de son corps. Quelques gouttes au creux de ma main, de l’autre je repousse la masse de ses cheveux par-delà son épaule droite. Je commence à la masser sur le haut du dos, dans l’espace défini entre les deux bretelles verticales et la bretelle horizontale de son soutif. Rapidement je fais glisser les deux bretelles sur ses bras, pour me dégager de la surface. Je masse à présent sa nuque, ses épaules et toute la partie du dos allant jusqu’à l’attache du soutien-gorge. Il est temps à présent de le dégrafer, ce qui entraîne chez elle la prise d’une profonde inspiration. Puisqu’on y est, je lui demande de le retirer. Un peu maladroitement elle se redresse et l’enlève en essayant de cacher au mieux ses deux grosses masses charnues. Je parviens à simplement entrevoir une infime partie de ses seins. Ce n’est que partie remise.
Je la masse, ou plutôt je la caresse, à présent sur toute la surface du dos, insistant bien sur ses reins, ses lombaires, et venant buter sur l’élastique de son pantalon. Pour prétendument plus de confort je lui demande de mettre ses bras en croix, et j’en profite alors pour toucher plus généreusement ses côtes, et une petite partie de sa poitrine qui écrasée contre le matelas déborde assez généreusement sur les côtés. Je reste assez longuement sur les côtés de ces seins, ce qui provoque l’accélération de sa respiration. Je doute encore à ce moment-là de la raison de cet emballement : l’excitation ou la peur ? Il est encore trop tôt pour investir plus largement cette partie de son intimité. Je reviens donc sur son dos. Elle tourne son visage sur le côté, ses yeux sont clos, ses traits me paraissent détendus. Je me dis que c’est le bon moment pour passer à l’étape supérieure. Je me redresse, passe au pied du lit sur lequel je grimpe à genoux et remonte vers elle. Chacune de mes mains attrape un côté de son pantalon par l’élastique que je fais lentement glisser vers le bas.
Myriam ouvre les yeux :
— Monsieur... j’ai honte.— Ne t’inquiète pas ma belle, ferme les yeux et détends-toi.— Mais Monsieur...— Chut, laisse-moi faire.
Voulant éviter une protestation supplémentaire je m’empresse de tirer le survêtement jusque sur ses cuisses puis le retirer complètement ainsi que ses chaussettes. Mimi porte une culotte en lycra noire, avec des bords assez larges, mais pas suffisamment pour recouvrir entièrement les marques de bronzage de l’été dernier et laisse donc voir une portion de peau légèrement plus claire de chaque côté. Son cul est une véritable colline, rond, abrupt, ferme. Je m’assois à présent de part et d’autre de ses cuisses, et je reprends vigoureusement le massage du dos que j’étends à présent jusqu’à la culotte dans laquelle je laisse parfois pénétrer mes pouces. D’abord vraiment juste à la lisière sous l’élastique, puis de plus en plus loin allant jusqu’à deviner sous mes doigts le sillon séparant ses deux fesses. Je m’attaque ensuite à ses hanches, en remontant là encore de plus en plus largement sur ses fesses. Je commence à bander très fermement, une grosse bosse se formant sur mon pantalon. A chaque fois que je remonte de ses hanches vers ses fesses, je presse intensément ces masses de chair qui se déforment et je viens les appuyer légèrement sur ma bite en tension.
Je ne tiens plus et j’en veux plus ! Je remonte en douceur mais avec assurance sa culotte entre ses fesses de sorte qu’elle forme un string. Myriam expire longuement ce qui fait tressaillir ma queue. Je me consacre à présent exclusivement à ses fesses que je pétris avec vigueur. Avec tout le poids du haut de mon corps je fais pression sur son cul comme pour que son minou s’écrase sur le matelas. Je me rends alors compte que ce geste provoque une réaction chez elle. Des frissons dans le dos la première fois, sa bouche s’ouvre grand comme par manque d’air la seconde. Alors j’alterne de plus en plus fréquemment ces pressions avec du pétrissage de ses globes. A chaque fois des réactions sont provoquées. J’en profite alors pour m’étendre un peu sur elle afin de lui parler à l’oreille :
— Alors Mimi, tu regrettes de l’avoir enlevé ton pantalon ?— Non, non, vous massez trop bien, continuez.
Et comment ! Je reprends ma place mais je change le sens de mon massage. Je ne vais plus de l’extérieur vers sa raie, mais de sa raie vers ses hanches. Cela a pour effet de très largement écarter son cul et si elle ne portait pas cette culotte un peu roulée en boule entre ses fesses, à coup sûr je pourrais voir à chaque mouvement son petit trou sans nul doute encore vierge de tout. J’en profite même pour approcher ma tête de son cul, et en l’écartant je viens frôler son anus avec mon nez. J’y reste cinq ou dix secondes le temps de m’enivrer du parfum de ses plis. Une odeur légèrement âcre s’en dégage. J’aime cette odeur et j’ai à présent très envie de lécher ce petit trou. Mais je ne la crois pas encore prête à ça. Au prix d’un gros effort je retire ma tête d’entre ses fesses avant qu’elle ne s’en rende compte. Ma queue me brûle mais devra patienter, je m’étends à nouveau sur elle, venant caler au passage la bosse de mon pantalon sur son cul. Je pose ma joue sur la sienne, et à voix basse je lui demande : « tu as aimé ? ». Dans une profonde inspiration elle me répond que oui. « J’espère que tu n’as rien prévu d’autre aujourd’hui, car on va passer la journée ensemble ».A ma grande satisfaction Myriam m’apprend qu’elle a dit à ses parents qu’elle passerait la journée chez une amie. Hum cette première approche m’a mise en appétit. Vivement la suite de la journée...
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