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La bonne petite élève

Chapitre 4

Hétéro
Après cette première séance de massage qui m’a permis de découvrir le corps de Myriam, je sors de la chambre et me dirige vers la salle de bain, lui ordonnant au passage de se rhabiller. Quelques giclées d’eau bien fraîche sur mon visage me permettent de reprendre un peu mes esprits et d’envisager la suite sereinement. J’en profite également pour vérifier l’état de mon sexe. Il est encore gonflé de désir et mon gland est très humide. Je suis pris d’une grosse envie de me masturber. Mais non, je résiste, si je dois jouir aujourd’hui je veux que ce soit avec elle et sur elle. Un gant d’eau très fraîche vient calmer mes ardeurs. Il n’est pas encore l’heure pour mon sexe de répandre sa semence. Et je veux que Myriam assiste à cette libération, pour prendre la mesure de tout mon désir pour elle.Bien calmé, je vais dans la cuisine et j’invite Myriam à s’asseoir sur le canapé. Je nous prépare quelques petites choses à manger et à boire et je la rejoins. Nous mangeons et buvons avec envie tout en regardant distraitement la télévision. Une fois rassasié, j’engage la conversation qui porte sur des banalités.Au bout de quelques minutes, Myriam bâille à plusieurs reprises. J’y vois là l’occasion de se rapprocher à nouveau.
— « Tu es fatiguée, allonge-toi sur moi si tu veux… » Myriam s’étend alors sur le dos, sa tête reposant sur mes jambes, je pose mon avant-bras sur son abdomen. Tout en caressant légèrement son front et ses cheveux, je reprends la conversation : — Myriam, tu sais, il y a des choses que je voudrais savoir sur toi…— Monsieur, demandez-moi et je vous répondrais— Eh bien tout d’abord j’aimerais savoir si tu as un petit copain.— Oula ! ça non alors. Vous savez Monsieur, mes parents sont âgés, j’ai un frère et une sœur plus vieux que moi, ils sont plus à la maison alors je m’occupe beaucoup de mes petits frères et sœurs. J’ai pas le temps de penser aux garçons. Et puis nous sommes très pratiquants dans ma famille et la seule chose que je peux envisager c’est de me marier un jour. Mais fréquenter un mec sans que ce soit sérieux çà non. Et puis franchement j’y comprends rien aux garçons !— Hum, tu n’as donc jamais embrassé un garçon ?— Non jamais Monsieur, je sais, c’est surprenant de nos jours, mais mon père ou mes frères me tueraient !— Et donc j’en déduis que tu n’as jamais eu de contacts physiques avec un homme avant aujourd’hui ?— Monsieur, si je vous dis un truc vous jurez de jamais le répéter ?— Je te le promets Mimi…— Eh bien un jour pendant les dernières vacances, on était dans la famille au bled. Tout allait bien, normal, et un soir mon cousin, le fils du frère de mon père m’a proposé d’aller voir les étoiles filantes sur la colline à quelques centaines de mètres du village. J’étais d’accord et à la nuit tombée on est parti tous les deux avec la bénédiction de nos pères. On s’est allongé sur des rochers, on regardait le ciel, c’était magnifique. Au bout d’un moment j’avais froid et mon cousin m’a dit de m’asseoir et il s’est assis derrière moi et m’a entouré avec ses bras. Franchement pour moi il y avait rien de vicieux, surtout que c’est la famille et on a grandi en partie ensemble. Après quelques minutes, il a commencé à me faire des petits bisous dans le cou. Un, puis deux, puis trois puis il ne s’arrêtait plus. Je trouvais ça bizarre, mais c’était agréable et alors je l’ai laissé faire. Ensuite il a commencé à toucher ma poitrine, j’étais surprise, je lui ai demandé ce qu’il faisait, alors il m’a répondu qu’il voulait juste me caresser un peu.
Je sais que c’est dur au bled d’avoir des relations avec une fille alors je l’ai laissé faire, et puis en vérité ça m’excitait un peu même si j’avais honte de moi. Alors il a carrément passé ses mains sous mon sweat et mon tee-shirt et il m’a empoigné la poitrine. Aussitôt il a s’est collé contre mes fesses et je sentais son "machin" durcir. Plus il me touchait, plus il embrassait mon cou, plus son truc durcissait en me donnant des petits coups dans les fesses et le dos. Avec mon tee-shirt relevé, je commençais à avoir super froid et je demandais à rentrer. Du coup il s’est arrêté.
— Et c’est tout ce qu’il a fait ?Ben une fois rentrés à la maison, on s’est assis dans le salon pour boire un thé pour se réchauffer. Tout le monde dormait, alors il m’a demandé de lui montrer mes seins. J’ai un peu hésité puis j’ai accepté, parce qu’après tout je le reverrais pas avant longtemps. Donc j’ai soulevé mes vêtements pour lui montrer. Il m’a demandé d’enlever mon soutif, mais j’avais peur que quelqu’un arrive, donc j’ai juste fait passer ma poitrine par-dessus les balconnets. Là tout de suite j’ai vu que son machin grossissait dans le pantalon, il a voulu me toucher, mais j’ai refusé, trop peur. Alors il a mis sa main dans son pantalon et a secoué son truc pendant quelques minutes avant de pousser un genre de cri et de vite partir dans sa chambre. Je me suis couché aussi et on s’est pas trop reparlé du séjour. C’est la seule fois où j’ai été en contact avec un homme. — Eh bien quelle histoire !— Qu’est-ce que vous allez penser de moi maintenant !— Oh rassure-toi, que du bien Myriam. Et je jalouse un peu ton cousin…— Pourquoi ?
— Parce qu’il a vu tes seins et pas moi…et je meurs d’envie de les voir— J’ai un peu honte, mais je veux bien vous les montrer…
Je suis assez surpris par sa volonté de me les faire voir et je ne trouve rien de mieux à dire que de hocher la tête bêtement en signe de mon approbation. Alors avec une certaine assurance elle se lève, se plante debout face à moi, et relève son tee-shirt, me dévoilant sa grosse poitrine enfermée dans son soutien-gorge noir. A peine le temps de réaliser et de lâcher un petit « waouh » qu’elle baisse son tee-shirt et se rassois près de moi.
— Heu Myriam, c’était magnifique, mais c’est allé très vite et je n’ai pas tout vu !— Vous voulez les revoir Monsieur ?— Ah eh bien oui, plutôt ! Mais je veux prendre du temps pour ça. Tu me laisses faire ?— Oh oui bien sur Monsieur, je me sens en confiance avec vous, faites comme vous voulez.Il n’en faut pas plus à ma bite pour retrouver de sa vigueur…je me lève et m’agenouilles devant elle. De mes mains j’écarte délicatement ses genoux afin de pouvoir m’avancer un peu plus vers elle, mon abdomen calé entre ses cuisses.— Myriam chérie, enlève ton tee-shirtLa belle s’exécute. Je pose mes mains au-dessus de ses seins et je fais glisser mes doigts vers ses épaules. Je pince chacune des deux bretelles que je fais glisser le long de ses bras. Ma queue s’enfonce un peu dans le coussin du canapé alors que Myriam déglutit péniblement, comme si sa gorge était nouée par le stress. Je remonte mes doigts sur ses bras, ses épaules, sa gorge, puis je les descends vers ses seins, parcourant leurs masses charnues. Je m’arrête à la lisière du soutif, et lui dis de se pencher vers moi. Elle s’avance, et ce faisant je passe mes doigts sous ses bras, me penchant à mon tour vers elle.Mes doigts arrivent enfin sur les crochets de son soutif que j’enlève sans mal. Mais avant de découvrir ses seins entièrement nus, je veux goûter sa peau. Sa gorge, son cou, sa peau mate, son odeur, tout me fait chavirer, et je m’empresse de l’embrasser à pleine bouche, la faisant frémir et lui arrachant un petit gémissement. Je parcours son cou de sa gorge jusqu’à son oreille dont je tète le lob goulûment.Enfin, je me retire et en revenant dans ma position initiale mes doigts emportent en douceur son soutif noir. Je le dépose près de moi, et je contemple alors ses énormes seins, ronds, pleins, mais avec beaucoup de tenue. J’en examine chaque centimètre, de leur naissance au milieu de son thorax, à leur pointe. Et quelle pointe ! Noire, ou du moins très sombre, de grosses aréoles qui sous mes yeux se rétractent, de petits tétons en comparaison au reste, encore sans vie. Un grain de beauté sans relief vient orner le galbe interne de son sein droit. Tout est superbe et je reste là, immobile, à les contempler sans y toucher encore. Myriam me sort alors de ma douce rêverie :— Mon…Monsieur, ils ne vous plaisent pas ? Vous ne vous attendiez pas à ça ?Devant mon absence de gestes, la pauvre fille pensait que j’étais déçu !— Ma belle, ne t’inquiète pas, ils sont magnifiques et je vais les honorer, n’aie crainte.
Chacune de mes mains s’empare alors d’un sein. Je les effleure d’abord dans leur partie la plus charnue. Puis je m’attaque à ses pointes qui aussitôt se tendent, se redressent fièrement, comme un chat le ferait pour chercher la caresse. Je veux goûter sa peau, et je me penche alors, dessinant le contour de ses aréoles avec la pointe de ma langue. Je perçois de doux gémissements s’échapper de la gorge de Myriam. Ma langue se fait alors plus large, plus rapide, plus inquisitrice pour lécher la totalité de ses tétons érigés. En les suçant, je les empoigne, les presse, les torts sous les petits cris de ma bonne petite élève.
— J’adore sucer tes seins Mimi, ils sont trop bons !— C’est vrai Monsieur ? Vous aimez ça ?— J’adore tu veux dire !" Ma queue est sur le point d’exploser et maltraite mon boxer. Je l’enfonce autant que possible dans le canapé !— Mimi lèche tes seins toi aussi, tu vas voir comme ils sont bons et doux— La néo-coquine s’exécute, attrape son sein gauche de ses deux mains et en porte la pointe à sa bouche. Elle se tète d’abord, puis se lèche à grands coups de langue.— Je n’en peux plus ! Violemment je défais ma ceinture, les boutons et je sors ma queue que je saisis fermement. Pas le temps de commencer à me branler que Myriam m’interpelle :— Monsieur je…je veux la voir !— Je feins de ne pas comprendre par une moue dubitative. Elle reprend :— Vot… Votre truc là, je veux le voir de près.— Petite chienne, tu vas le voir mon truc et de très près ! Je me relève bite en main, et me tiens face à son visage ébahi, sans relâcher l’étreinte de ma main gauche sur son sein. Sans rien lui demander, Myriam avance timidement sa main vers ma hampe et la pulpe de ses doigts se dépose sur ma chair tendue. Elle le presse maladroitement, le parcours avec crainte, et naïvement elle me demande :— Vous voulez que je le secoue ?— La candeur, l’innocence de cette fille me font sourire autant qu’elles m’excitent.— Oui, vas-y secoue le.— Elle m’empoigne alors à pleine main et me branle à grande vitesse. Pendant ce temps, je continue à pétrir son sein alors que mon autre main se pose à l’arrière de sa tête. Par de petits à coups sur son crâne, je l’invite à rapprocher sa bouche de ma queue. Visiblement, elle ne saisit pas le message et continue à agiter mon sexe violemment. Je dois être plus explicite : — Myriam, suce-moi je t’en prie.— Sans mot dire elle cesse ses va-et-vient manuels. Elle approche alors doucement sa bouche de mon gland, ses lèvres tendues vers l’avant. Sa bouche formant un cercle bien large enrobe mon gland que je vois disparaître en elle pour moitié. Elle s’essaye à quelques mouvements d’avant en arrière ainsi, puis je sens sa langue fraîche et humide venir titiller mon méat et les chairs environnantes. C’est sans doute la pipe la plus maladroite de toute ma vie, mais aussi la plus excitante car faite par une jeune femme que rien ne prédestinait à se retrouver là et qui n’avait aucune connaissance en la matière. Alors j’en savourais chaque instant.Je lui ordonnai enfin d’arrêter et je me saisis de sa tête à deux mains. — Ouvre grand ta bouche bébé, et sors un peu ta langue, je vais te montrer comment faire.Par des mouvements du bassin je guidais alors ma bite vers sa cavité, faisant glisser le dessous de mon gland sur sa langue, puis disparaître mon sexe dans sa bouche, centimètre après centimètre. — Referme tes lèvres par-dessus, là, oui c’est bon comme ça.Je continuais mes pénétrations dans sa bouche ainsi, lentement, pour apprécier chaque centimètre carré de sa langue, de ses lèvres, de son palet.Du coin de l’œil j’observe. Les yeux de Myriam sont rivés sur ma queue qui entre et sort, ses mains sont crispées, agrippées sur le canapé. — Myriam, caresse-toi entre les jambes— Sa main se décrispe et pénètre dans son pantalon et sa culotte, et au fur et à mesure qu’elle disparaît en elle sa respiration se gonfle, s’intensifie. J’accélère alors le mouvement de ma bite dans sa bouche, activant mon bassin plus intensément. Sa main sur sa chatte suit le rythme de cette poutre qu’elle avale. J’accélère à nouveau, la salive coule sur son menton, elle gémit à chaque pénétration, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Enfin tout en serrant ses dents sur ma queue pour plus que je ne bouge, un cri aigu, strident s’échappe d’elle, son corps est secoué, son ventre se tort, ses yeux s’écarquillent, la salope se fait jouir sans doute pour la première fois et s’écroule inerte sur le canapé, la main immobile dans son pantalon, la bouche dégoulinante, les cheveux ébouriffés, les seins dressés. Je la regarde gémir encore, vautrée de tout son corps.— Ça va Myriam ?— Oh punaise, Monsieur, j’en peux plus, c’était trop bon. J’ai jamais connu ça !— Et ce n’est pas fini ma belle. Ton plaisir a connu son apogée, mais pas encore le mien. Reprends ton souffle. Je nous sers à boire et je reviens…
Je reviens quelques secondes après avec deux verres d’eau que nous avalons rapidement.
— Mimi, tu m’as beaucoup excité tout au long de la journée, il va falloir que tu me fasses jouir— Monsieur d’accord, mais vous savez que je ne peux pas faire l’acte, je dois rester vierge— Ne t’inquiète pas, je connais tes limites, tu ne risques rien— Je peux vous sucer encore si vous voulez, mais je veux pas le jus dans ma bouche— Hum, je comprends, pour une première c’est rude. Commence par lever ton pantalon et ta culotte.
Sans se lever du canapé, elle tire sur ses vêtements et lève tout. Je découvre son minou, bardé de poils très noirs, cours, mais denses. Je m’assois près d’elle, ma queue légèrement ramollie. Je lui intime l’ordre de me sucer à nouveau, en promettant de ne pas jouir. Elle s’y applique en se penchant très largement sur moi. Sa position me dégage un accès à son cul, que je pétris avec vigueur, allant jusqu’à effleurer son petit trou du bout de mes doigts. Sa pipe est déjà plus adroite, sa bouche humide, sa langue plus sure. J’étends davantage le bras pour remonter ma main sur son sexe, que je fouille en me frayant un passage entre ses poils. Elle est humide, trempée plutôt ! J’alterne les stimulations de son bouton durci et les redescentes vers ses lèvres dégoulinantes, son anus étroit et ses fesses charnues.Elle me suce de plus en plus vite et je sens que je ne vais pas tarder à exploser. J’attrape ses cheveux et la tire en arrière. « Myriam allonge toi et écarte les jambes ! ».Je m’agenouille alors entre ses cuisses, je saisis ma queue et je me branle frénétiquement dans ses plis, caressant tout à la fois son clitoris et ses lèvres offertes. De ma main libre, je glisse l’index entre ses fesses et décris des cercles sur son anus. Après cinq ou dix secondes la mouille qui s’échappe de sa fente et les cris qui accompagnent son second orgasme du jour ont raison de ma résistance et je me libère à mon tour, inondant toute sa toison de mon jus épais, chaud et collant. C’est sur cette double jouissance que la journée s’est achevée sexuellement. Après s’être nettoyée, elle est rentrée chez elle. Et tard dans la soirée elle m’envoyait un texto :
— Monsieur j’ai kiffé grave, vous m’avez fait jouir en me respectant. On remet ça quand vous voulez.— Ma petite Myriam, je te ferais jouir de la sorte chaque jour où l’on se verra.
L’histoire ne faisait que commencer…
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