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La bonne petite élève

Chapitre 5

la fin d'une époque

Hétéro
A la suite de cette journée Myriam et moi avons continué à nous voir fréquemment. Le plus souvent à l’institut où je donne des cours, soit dans la salle de classe une fois vidée par les autres élèves, soit dans mon bureau. A chaque fois le même scénario. On s’enlace, on s’embrasse, on se caresse. Et puis Myriam me glisse à l’oreille : « Monsieur, faites-moi jouir... ». Alors à chaque fois je glisse ma main dans sa culotte, j’explore ses plis, titille son bouton très érectile, palpe ses fesses, ses seins, retire ses vêtements, frotte ma queue entre ses lèvres humides...Parfois quand j’ai l’assurance que nous ne serons pas dérangés, je l’assois nue sur mon bureau et je plonge ma tête entre ses cuisses pour me délecter de son nectar. Son minou est ferme, charnue, juteux. Passer beaucoup de temps à la lécher est devenue l’activité principale de mes fins de journée. Le plus souvent c’est dans ma bouche qu’elle jouit. Au fil des jours elle prend de l’assurance et n’est pas en reste pour me donner du plaisir. Ses mains deviennent plus sures pour aller chercher ma bite au fond de mon caleçon et me branler divinement. Un jour c’est avec son cul qu’elle va me branler. Je suis assis dans mon bureau, sur mon fauteuil, Myriam me rejoint après que ses camarades soient partis. Elle m’embrasse avec volupté, palpe mon sexe, le sors de sa prison de tissus, le branle pour qu’il gagne en vigueur. Une fois érigé, elle baisse son pantalon et sa culotte, se met dos à moi, prend appuis sur le bureau, et elle dirige ses grosses fesses musclées vers mon gland rougi. Par d’habiles flexions de ses cuisses elle fait glisser son cul le long de ma queue, de haut en bas. Puis elle écarte ses fesses à pleine main et enserre mon membre entre elles avant de s’agiter frénétiquement dessus provoquant ma rapide montée de sève due pas tant aux sensations ressenties qu’à l’excitation de la situation et au plaisir de la voir s’employer à me donner du plaisir.
Au fil de nos entrevus sa bouche est également devenue experte. Plus besoin de lui montrer comment me sucer. Elle apprend vite. A plusieurs reprises elle m’a laissé me vider dans sa gorge. Je vois bien qu’elle n’aime pas trop ça, mais elle insiste pour que j’aille au bout. Je comprends cela comme une façon de « s’excuser » de ne pas pouvoir aller au bout de cette relation physique et ne pas accepter la pénétration.
Je dois dire que cela me satisfait globalement. Et quand le besoin de pénétrer une chate est trop fort, je réactive les vieux contacts de mon téléphone portable. Mais aucune n’a la saveur de cette petite élève qui a déjà franchi tant de palier. Les semaines défilent et la fin de l’année scolaire est là. Plus de moyen naturel de voir Myriam, je la sollicite donc pour qu’elle vienne chez moi. Elle refuse une première fois, au prétexte de devoir garder ses petits frères et sœurs, puis une seconde, une troisième... Je suis un peu déçu que les choses s’achèvent ainsi, mais après tout ce n’est pas l’amour de ma vie, juste une de mes élèves que j’ai pervertis et qui désormais va poursuivre sa vie !Puis au beau milieu de l’été Myriam m’envoie un message, demandant à me voir pour me parler d’une chose sérieuse. Je lui fixe rendez-vous dès le lendemain matin chez moi.A son arrivée pas d’embrassade ni de câlin. Myriam a l’air tendue, préoccupée, nerveuse. Je ne sais pas à quoi m’attendre mais je veux le savoir très vite :
— Qu’est-ce qu’il se passe ? Tu as un problème ?— Il faut que je vous dise que la semaine prochaine je pars au bled. Je vais y rester tout l’été et... je... je vais m’y marier...— C’est donc ça la raison de ton silence et de ta froideur— Oui. Je savais que j’étais promise là-bas, mais je ne pensais pas que cela arriverait si tôt— Et tu le connais ?— Oui, oui on s’est déjà rencontré plusieurs fois, mais il ne s’est rien passé hein ! Il a mon âge et il est très gentil. Cela fera un bon mariage pour ma famille.— Myriam si cela te satisfait, alors moi aussi.— Mais Monsieur je m’en veux vis-à-vis de vous !— Pourquoi ?— Parce que je vais lui offrir ce que je vous ai toujours refusé, alors que j’en avais très envie. Mais je n’ai pas le choix, il doit être mon premier.— Tu es jeune Mimi, tu dois vivre ta vie, c’est normal, je savais que cette situation se présenterait un jour, ne t’en fais pas pour moi.— C’est vrai, vous ne m’en voulez pas ?— Pas du tout. Mais tu sais, si vraiment tu voulais m’offrir ta première fois, tu peux encore le faire, mais d’une autre manière.

Elle ne comprend visiblement pas où je veux en venir. Je la prends alors dans mes bras, embrasse son front, ses joues, son menton puis sa bouche. La regardant fixement dans les yeux, je descends mes mains sur son cul que je serre fermement.
— Ce que tu as là, je peux encore être le premier à l’avoir. Je peux même être le seul si tu le souhaite.— Mon... Monsieur, j’ai peur que ça fasse mal. Mais j’ai envie de vous l’offrir, je veux vous sentir en moi, là, maintenant.
Je sens un vent de désir m’emporter. Je saisis sa main et l’entraîne dans ma chambre. Debout devant le lit je l’embrasse fougueusement, nos langues s’entremêlant avec frénésie, nos bouches se rendant chaque baiser. Je lui ôte son débardeur, dégrafe son soutif, je la retourne violemment, dos à moi, j’empoigne ses seins, pince ses tétons, mord son oreille. Sans lâcher son sein, une de mes mains se libère pour baisser son legging de sport noir et sa culotte bleue. Elle finit de les enlever à l’aide de ses pieds. A mon tour je défais mon short qui glisse par lui-même et je retire mon boxer. Ma queue fièrement redressée vient déjà taper contre ses fesses. Mais il est encore trop tôt.Je l’invite à s’allonger sur le lit. Je m’étends au-dessus d’elle, embrasse à nouveau sa bouche, puis ses seins, son ventre et enfin je viens plonger dans sa toison humide. L’odeur de sa chatte comme toujours m’enivre. Une odeur âcre, forte mais pas désagréable. Je lèche chaque recoin de son minou, suçant son bonbon avec délectation. Ma petite élève gémit, se tort, griffe mon crâne, tire sur son sexe pour l’écarter au maximum. Elle est dégoulinante, ma bouche est pleine de sa cyprine. J’attrape alors sa cuisse que je fais pivoter. Mimi est à présent allongée sur le ventre, son cul ferme et rebondi face à moi, comme la première fois qu’elle est venue chez moi, à ceci près qu’elle ne porte plus aucun vêtement et que cette fois je n’aurais pas à contrôler mes envies. Je lui écarte les cuisses, mes genoux rassemblés entre elles. Je malaxe son cul, suffisamment fermement pour apercevoir à chaque mouvement son petit trou encore vierge. En maintenant son cul bien ouvert, j’abaisse mon visage vers lui, embrassant d’abord ses globes charnus, puis me dirigeant par de petits baisers entre ses fesses. Je continue à déposer des bisous tout autour de son trou fripé, puis après avoir marqué une toute petite pause, je lèche son cul d’un grand coup de langue ; « ohhhh » s’exclame-t-elle. Je réitère l’opération, des bisous de plus en plus précis, suivis d’un coup de langue sur l’anus. A chaque fois la même exclamation de sa part. A présent je me concentre uniquement sur sa rondelle, la lipant comme un chien. De temps à autre je redescends sur son minou toujours aussi mouillé. Je continu à préparer son cul à me recevoir en passant mon index le long de ses lèvres pour l’humecter, puis je le dépose sur son étoile en y décrivant de petits cercles à chaque fois un peu plus profond. Je vois alors la pointe de mon doigt disparaître dans sa grotte la plus secrète. Je la sens prête pour la suite.
Je me recule un peu, et j’attrape ses hanches pour la redresser. Myriam est à quatre pattes, et la vision conjuguée de ses seins ballants, sa chatte ouverte et humide et son petit trou du cul serré redonne vigueur à ma bite. Je me cale bien derrière elle, mon gland vient flirter avec son minou. J’humecte à nouveau mon index que je fais pénétrer dans son cul sans trop de tergiversations. Myriam lâche un cri de douleur et de surprise. Je reste immobile, bien planté dans son trou. Enfin ses chairs se relâchent, ma muse se détend et accepte ce doigt inquisiteur. Je le retire de trois ou quatre centimètres puis le réinsère. A chaque passage le mouvement est plus fluide. Je la crois prête à me recevoir. Sans retirer mon doigt, je fais passer ma queue entre ses lèvres, pour la baigner de son jus. Une fois bien lubrifiée, je me redresse et me tiens debout derrière elle, fléchi sur mes cuisses. Je tiens ma queue bien dure dans ma main et je la présente au cul de la belle. Mon doigt toujours en elle décrit des cercles de plus en plus grands pour bien la dilater. Puis enfin je le retire et présente instantanément mon gland à l’entrée de son cul ouvert. D’un mouvement du bassin je le fais pénétrer en elle, lui arrachant un nouveau petit cri. Quelques secondes pour qu’elle s’y fasse, puis je pousse le reste de mon membre en elle. Cette fois son cri est déchirant, elle a mal mais me garde en elle.
Je me retire lentement, ne laissant que mon gland dans son cul, bien qu’il soit serré, étranglé même par son conduit étroit. Je dépose de la salive sur la partie visible de mon sexe et je me réenfonce en elle jusqu’à ce que mes couilles cognent ses cuisses. Je me retire à nouveau et y retourne. Ses cris sont moins intenses, ma bite est moins serrée, je peux désormais y aller avec plus de vigueur. Je l’encule à un rythme soutenu, ne la ménageant plus, mes couilles et mon bas-ventre claquent contre elle, mes coups sont toujours plus vigoureux, plus rapides, cherchant à aller toujours plus loin. Ses cris m’excitent plus intensément « Ah... Ah... Ahh... Oh oui... Ahh », je redouble d’énergie, « Tu aimes ça chérie ? Tu me sens bien en toi ? Tu sens comme je bande dans ton cul ? » « Ouiii... Ouiii, j’aime ça !! ».Je saisis ses hanches pour que son corps suive davantage mes mouvements, je n’en peux plus, dans un grand cri j’explose au plus profond de son cul, libérant ma semence en trois ou quatre longues giclées. Je m’écroule sur Myriam, qui s’écroule à son tour sur le lit. Ma queue dégonfle, je me retire d’elle et je m’étends à ses côtés. Elle ne bouge plus, ne parle plus. Après quelques minutes de silence j’ose enfin lui dire : « merci Myriam ». Elle se tourne alors vers moi, m’embrasse et me dit : « merci à vous c’était génial ». Nous restons ainsi blottis et nous assoupissons. Après un laps de temps que je ne saurais estimer, je suis tiré de mon sommeil par une sensation de fraicheur et d’humidité sur mes parties intimes. J’ouvre péniblement les yeux et vois Myriam penchée au-dessus de mon sexe, en train de le nettoyer avec un gant mouillé et du savon.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Monsieur c’est sans doute la dernière fois que l’on se voit, je veux vous faire plaisir jusqu’au bout ! Laissez-moi faire.
Elle finit ma petite toilette et retourne déposer le gant dans la salle de bain. Elle réapparait toujours entièrement nue et se penche immédiatement vers mon sexe ramolli pour le prendre en bouche. En quelques secondes il retrouve de sa vigueur et le désir renait. Myriam s’en occupe divinement, ne négligeant pas le moindre centimètre de mon sceptre. Mes couilles ne sont pas oubliées non plus, elle les suce, les embrasse, les gobe... un fabuleux réveil. Pour notre dernier moment ensemble je ne peux rester aussi passif. Je l’invite à s’allonger sur moi, son minou sur ma bouche. Nous nous dégustons l’un l’autre dans un concert de gémissements. Très vite son corps est secoué, envahi de frissons et comme cela lui est arrivé bien souvent elle jouit dans ma bouche, sans jamais cesser de me sucer. Haletante, ivre de plaisir, elle m’ordonne de ne pas encore jouir, « je la veux encore dans les fesses » me dit-elle.Encore tremblante, la peau parcourue de frissons elle se redresse et s’installe à quatre pattes à l’autre bout du lit. « Non pas comme ça, lui dis-je, je veux voir ton visage pendant que je te baise ». Je me lève alors et l’entraîne vers la salle à manger. Je la fais s’allonger sur la table et replier ses genoux vers sa poitrine. Son cul est ainsi magnifiquement offert. Ma queue est suffisamment lubrifiée pour s’y insérer sans peine. J’entame de longs allers-retours dans son rectum étroit, avec un plaisir décuplé par la vue de son visage tiraillé par le plaisir et la douleur. Tout en la baisant de la sorte j’entreprends de branler son clitoris rose et dur que laissent timidement apparaître sa toison fournie. Les mouvements de mes doigts suivent ceux de ma bite en elle. Nos cris, nos gémissements, nos respirations qui s’emballent, nos spasmes, ne laissent pas la place au doute, nous allons jouir ensemble ! Et quel orgasme mes chers lecteurs ! Une explosion de plaisir, un volcan de volupté.
Mes couilles se sont libérées une fois de plus au plus profond de son cul. Son minou ruisselle entre mes doigts. Nous sommes tous deux à bout de souffle, éreintés mais comblés.Après une remise en état de nos corps, Myriam m’annonce son départ et me fait ses adieux les yeux pleins de larmes, embrassant une dernière fois ma bouche.Dans sa fuite rapide pour pas que je ne la vois pleurer, elle me fait la promesse de ne jamais offrir cette partie de son corps à son mari et qu’ainsi je serais le premier et le dernier.
Ce sont les derniers mots que nous échangerons avant bien longtemps...
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